Histoires de sexe lesbien Histoires de sexe sœur

Premières envies et premiers pas – Chapitre 2

Premières envies et premiers pas - Chapitre 2



À pas de loup

Lucile avait maintenant pris en main son plaisir ; bien sûr, Marc nétait pas devenu un amant exceptionnel, mais il fallait bien reconnaître que les séances de masturbation avec « Ben » ou « Joe » lexcitait beaucoup. Il aimait, quand il rentrait du travail, trouver Lucile, nue ou simplement vêtue dun déshabillé vaporeux, étendue sur le canapé ou dans leur chambre avec les godes humides encore plantés dans ses orifices ou encore négligemment posés à côté delle. Il aimait voir ses lèvres intimes gonflées par le passage de ces sexes imposants. Il aimait en apprécier lhumidité et, quand Lucile avait beaucoup joui, il nétait pas rare quelle se soit abondamment répandue, tachant les draps ou le canapé de ses émissions de cyprine. Marc instinctivement se baissait vers cet entrecuisse impudique pour en sentir le parfum, en apprécier la chaleur. Il accompagnait son exploration de remarques du genre « salope, tu tes encore faite baisée par tes amants, ils tont bien écarté la chatte ! » ou encore « Putain, tas encore niqué tout laprès midi ! » Elle confirmait généralement avec plaisir et réclamait sa langue ou bien lui proposait de lui montrer comment « ils » lavaient prise. Elle repartait alors dans une séance de masturbation effrénée pour leur plus grand plaisir. Devant le spectacle, Marc se déshabillait rapidement et entamait une lente masturbation pour renforcer son érection. Dès quil était convenablement chauffé, il prenait la place déjà bien ouverte et senfonçait avec fougue dans sa femme qui en criait de plaisir. Lucile nétait jamais aussi heureuse que lorsque Marc la prenait. Quimporte que son sexe soit petit, il sen servait chaque fois un peu mieux et cétait lui quelle voulait de toute façon. Depuis quils avaient introduit « Ben » et « Joe » dans leur vie, Marc se montrait plus viril. Ils avaient trouvé une sexualité presque normale. Il leur arrivait souvent de jouir à lunisson même si, parfois, Marc lâchait encore trop top sa liqueur. Elle le faisait alors lécher et nettoyer sa semence ce qui lui redonnait, quelquefois, une belle érection et permettait de « remettre le couvert ».

Marc raffolait du sperme quil recueillait à la « source » de Lucile. Aussi, ils terminaient systématiquement leurs ébats par un nettoyage approfondi de ses orifices. Pourtant, ces « excès » semblaient insuffisants et Marc exprimait de plus en plus souvent des regrets :

— Jaimerais tant que ce soit vrai !

— Comment ça ? Quest ce que tu voudrais qui soit vrai ?

— Je voudrais que ce soit vraiment le sperme dun autre, la semence dun de tes amants que je lèche et javale.

— Encore ! Tu voudrais vraiment que je te trompe ? Tu crois que tu pourrais supporter dêtre un mari cocu ?

— Oui, jaimerais que tu me trompes. Je voudrais vraiment être cocu, que tu me le dises, que tu me fasses lécher le sperme de tes amants. Je voudrais arriver et te trouver souillée, ici dans le canapé, au milieu du salon ou bien dans notre chambre. Jaimerais rentrer et que lappartement pue la baise et le sperme.

— Tes complètement fou ! Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Est ce que tu prends vraiment la mesure du risque ? Si je prends un amant qui me baise mieux que toi, quadviendra-t-il de notre couple? Je nai pas envie de te perdre !

— Moi non plus, je ne veux pas te perdre ; mais, je me rends compte que, depuis que nous utilisons les services de « Ben » et de « Joe », tu as retrouvé un certain appétit sexuel. Je ne peux pas te satisfaire.

— Tu me combles parfaitement, cest idiot ! Je taime et, surtout, je nai pas envie de coucher avec un autre.

— Je ne le crois pas ; reconnais que tu prends du plaisir tous les jours avec tes jouets. Tu en prendrais largement plus avec de vraies bites, non ?

— Ça nest pas la même chose ! « Ben et Joe » servent notre imagination

— Et ton plaisir !

— Oh ! Tu magaces à la fin ! Je ne veux pas de ça, cest tout ! En plus, je suis sure que tu serais beaucoup plus jaloux que tu ne veux bien le croire. Tu en souffrirais beaucoup et je ne veux pas te faire souffrir. Je ne veux même pas y penser !

— Si tu dis ça cest que tu y penses quand même.

— Conard !

— Je voudrais simplement que tu sois parfaitement heureuse, que

— Mais, JE SUIS HEUREUSE ! Arrête avec ça ! Tu commences à ménerver sérieusement !

Ils en restèrent là et Marc sefforça, dans les semaines qui suivirent, à ne pas remettre ça sur le tapis. Malgré son agacement et son refus de passer un jour à lacte, une pensée obscure était maintenant fermement ancrée à lesprit de Lucile. Une graine qui nattendait que les conditions favorables pour germer et faire évoluer encore leur sexualité. Ces conditions ne devaient pas tarder à se réunir

Lucile travaillait à temps partiel et rentrait chez elle en début daprès-midi. Cette situation lui convenait parfaitement puisquelle lui laissait du temps pour soccuper delle et accessoirement de sa maison. Elle pouvait ainsi, à loisir, aller chez le coiffeur ou lesthéticienne pour entretenir son épilation, faire les soldes,  Et être disponible pour son mari quand il rentrait en début de soirée. Quand elle était chez elle, Lucile se mettait à laise. Elle se vêtait de tenues sexy, propres à exciter son homme, toutes plus transparentes et courtes les unes que les autres. Il sagissait de petits déshabillés légers, de combinaisons ou de nuisettes, en tulle ou en mousseline de soie, courts, parfois accompagnés dun string en dentelle assorti qui disparaissait dès quelle utilisait ses jouets.

Par un bel après-midi de printemps, Lucile, après sêtre changée, décida de laver les rideaux et les vitres de lappartement. Elle avait une simple nuisette et ne portait pas de culotte. Perchée sur un petit marchepied, elle passait dune fenêtre à lautre et offrait, sans y prêter attention, la vue de son corps à lappartement den face, de lautre coté de la rue. Chaque fois quelle levait les bras, sa nuisette se relevait pour découvrir sa toison soigneusement entretenue, et limitée au pubis, ou la base de ses fesses rebondies. Régulièrement, elle marquait une pose, écartait légèrement une jambe pour profiter de la brise légère ; elle aimait sentir la caresse du vent sur son sexe. Elle en appréciait la douceur et la fraîcheur. Elle passait alors un doigt dans sa fente, laissait partir son imagination et subitement sarrêtait pour reprendre son activité. Elle était en train de finir les portes-fenêtres du salon donnant sur leur balcon quand elle réalisa quun appartement en face de chez eux avait une vue imprenable sur lensemble de leur intérieur, depuis la salle deau jusquau salon en passant par leur chambre. Jetant un coup dil furtif, elle distingua parfaitement une silhouette mal dissimulée derrière des rideaux ternes. Quelquun lobservait ! Lucile rougit, réalisant quelle sexhibait depuis bientôt une demi-heure et sétait même caressée ! Cette prise de conscience la rendait honteuse mais en même temps, elle se sentit fondre littéralement. Être ainsi épiée lexcitait et succombant à une pulsion irrésistible, elle glissa une main entre ses cuisses. Elle était trempée. Ses caresses lélectrisaient ; elle en voulait davantage. Elle voulait en donner davantage également. Elle avait subitement envie de sexhiber devant cet inconnu, de se masturber devant lui, pour lui. Cétait une de ces envies brutales, un de ces besoins pulsionnels que lon exécute au bord du tremblement dans un état de semi conscience. Descendant de son marchepied, elle tourna un fauteuil vers la fenêtre encore grande ouverte et, sasseyant dedans, les cuisses largement écartées, elle entreprit une lente masturbation. Elle voulait prendre son temps, en profiter au maximum. Elle soccupait tour à tour de son petit bouton et de « sa grotte ». Pendant que deux doigts de sa main droite fouillait son intimité, elle se caressait les seins de la main gauche, en faisait durcir les tétons. Elle en tirait les bouts, les pinçait, les étirait.

Elle avait dabord gardé les yeux clos puis les avaient subitement rouverts pour essayer de voir ce que faisait son voyeur. Celui-ci ne se cachait plus ; avait-il compris quelle sexhibait consciemment ? Il avait tiré son rideau et alternait prises de photos et masturbation. Le salaud semblait bien équipé et nen perdait pas une miette. Puis, sans doute vaincu par lexcitation, il abandonna lappareil et se branla avec frénésie. Ils se masturbaient lun en face de lautre. Quand elle vit la silhouette de son voyeur se tendre, elle fut éblouie et secouée par un orgasme hors du commun. Venaient-ils de jouir en même temps ? Elle le crut et sen sentit heureuse.

Mais, un sentiment de honte reprit le dessus. Elle referma les fenêtres et remit de lordre dans le salon avant daller se doucher. Elle avait limpression davoir fait lamour avec cet homme. Elle qui avait toujours dit à Marc quelle ne coucherait pas avec un autre, elle sétait, dune certaine manière, donnée sans retenue Elle choisit den le garder secret. Pour linstant Marc nen saurait rien ! Et dailleurs, elle ne recommencerait pas ; du moins elle le croyait.

Les jours passaient et Lucile se demandait si son voyeur lépiait toujours. Cette idée la travaillait. Elle y pensait sans cesse, de jour comme de nuit et même en faisant lamour avec Marc. Elle avait envie quil la regarde encore, quil se branle en lobservant, faussement caché derrière son rideau. Elle limaginait éjaculant sans retenue par terre, sur ses rideaux ou sur ses murs. Son esprit gambadait Elle mouillait comme une dingue. En rentrant chez elle une semaine plus tard, elle écarta les rideaux de la chambre et fixa la fenêtre du voyeur. Son cur semballait, elle espérait lapercevoir. Elle attendit quelques minutes puis, alors quelle sapprêtait à occulter sa fenêtre, un pan de rideau gris souvrit à la fenêtre den face. Lhomme était là ; il la regardait ! Elle le distinguait mal et imaginait quil en était de même pour lui. Alors elle ouvrit la fenêtre en grand et après avoir fait un sourire en direction de ce mystérieux personnage, elle se déshabilla lentement dans une sorte de strip-tease. Elle seffeuillait langoureusement puis une fois nue, elle se mit sur son lit et se saisit de « Joe » qui était posé sur sa table de nuit. Elle en caressa la forme comme elle laurait fait avec un véritable pénis puis introduit le sexe débène dans sa bouche pour lhumecter par une savante fellation. Elle se caressait dune main, écartant ses lèvres chaudes, tout en avalant la colonne de latex. Enfin, tout en regardant fixement la fenêtre den face, elle introduisit le gode dans son sexe avide. Ils se masturbèrent lun en face de lautre pour la deuxième fois. Lucile était dans un état second. Elle jouit intensément à plusieurs reprises avant de se laisser glisser dans une douce torpeur. Elle prenait tellement de plaisir à ces exhibitions quelle savait maintenant quelle recommencerait. « Il faudra que jen parle à Marc » pensa-t-elle.

Ce petit jeu continua pendant une ou deux semaines avant quelle décide den aborder le sujet avec Marc. Lété sapprochait et elle se sentait de plus en plus excitée. Piquée par un démon, elle en voulait plus. Elle devait reconnaître quelle aimait sexhiber et exciter le désir de cet inconnu. Elle prenait également conscience quelle avait envie dexciter et surtout dêtre prise. Peut-être être que, si ça plaisait à Marc, elle pourrait en « allumer » dautres… Aller plus loin. Elle connaissait son fantasme et son envie dêtre cocu. Elle lavait rejeté, la balle était dans son camp maintenant. Elle devait rengager la conversation sur les pentes glissantes de ladultère.

____________________________

Le soir où elle choisit daborder le sujet, elle avait, comme à son habitude, refermé fenêtres et rideaux avant quil ne rentre. Elle lattendait, nue, en pensant à la meilleure façon de lui dire que, depuis deux mois, elle se masturbait devant un inconnu. Elle était perdue dans ces pensées quand il entra dans la chambre. Elle sursauta.

— Ooo, mon Dieu !

— Je tai fait peur ?

— Non, jétais plongée dans mes rêves

— Ah bon ! Quel genre de rêves ?

Il plongea sa main entre ses cuisses, deux doigts rentrèrent sans résistance entre les lèvres poisseuses

— Tu tes masturbée comme une cochonne tout laprès-midi pour être dans cet état-là ! Il avait une grosse bite ton rêve ?

— Oui, Enfin non, je nen sais rien. Jai

— Tu as ?

— Jai quelque chose à te dire

— Je técoute ma chérie, dis-moi tout !

Marc continuait à masser doucement le sexe de Lucile. Il était surpris par le ton grave quelle avait pris. Ce devait être quelque chose dimportant et cela linquiétait un peu. Il attendait

— Je ne sais pas trop comment te le dire, jai un peu honte de moiTu mas souvent dit que tu voulais que je « baise » avec dautres hommes et moi je ne voulais pas. Pourtant, je lai fait Enfin, pas exactement, mais presque.

— Comment ça presque ?

Les doigts de Marc sétaient arrêtés et restaient immobiles dans la chatte de sa femme. Il attendait. Son cur bâtait la chamade ; avait-il peur de ce quil allait entendre ?

— Et bien, depuis quelques temps, je partage un petit jeu érotique avec un voisin den face. Je me suis aperçue quil me matait derrière ses rideaux et, je me suis mise à me masturber devant lui. En fait, pour quil voit mieux, jécarte les rideaux et jouvre les fenêtres et puis, soit dans un fauteuil du salon que je tourne vers la fenêtre, soit sur le lit, je me masturbe en regardant dans sa direction. Je peux voir quil ne reste pas non plus inactif car il ne se cache plus vraiment maintenant. À chaque fois, je jouis comme une folle et je peux voir que lui aussi

— Tu Tu baises à distance avec un inconnu ?!

Les doigts de Marc reprirent leurs mouvements et Lucile put voir à son visage empourpré quil allait exploser dexcitation !

— Salope ! Tu baises avec un inconnu pendant que je suis au travail !

— Oui Mon chéri, je « baise » avec cet inconnu tous les jours de la semaine

— Raconte-moi tout ! Dis-moi comment ça a commencé

— Lèche-moi, cocu !

Marc se plaça entre ses cuisses alors quelle entreprenait le récit de la première fois. Marc était de plus en plus excité tandis que Lucile, à lévocation du souvenir eut un premier orgasme. Quand il apprit quil lavait photographiée ou filmée, Marc se redressa, le visage dégoulinant de cyprine, et arracha littéralement sa chemise. Il baissa dun coup son pantalon et son caleçon sur ses chevilles avant de sintroduire sauvagement dans la chatte de sa femme. Il nen revenait pas !

— Aaaaah ! Salope ! Tu texhibes ! Tu te branles pour lui ! Aaaah, Putain !

— Ouiii, on se masturbe ! Ça me fait jouir ! Aaaaaah !

— Il prend des photos, Oooooh ! Il te filme ! Ooooooh tu mexcites salope !

— Ouii Aaaah ! Je suis sure quil Ooooh quil les montre Ooooh !

— Ooooooh Tu tu crois quil Aaaah quil les met sur internet ? Ooooh Oh oui ! dis-moi quil les Oooooh ! Quil les met sur internet !

— Oooouih ! Oui, il me montre au monde entierAaaah ! Tout le monde me baise ! Aaaaah !

— Oooh ! Salope ! Putain ! Aaaah ! Aah ! Ah ! Ah ! Aaaaaaah !

— Oh oui mon cocu ! Ooooooh ! Baise-moi fort cocu ! Oooooooh !

Marc était comme fou. Il avait limpression que sa bite allait exploser tellement elle était tendue et gonflée. Lucile était troublée par autant de fougue, elle se sentait investie, possédée. Il navait jamais été aussi dur. Sous les coups répétés de son homme, elle eut un second orgasme. Puis, alors que Marc se répandit en elle, un dernier orgasme la submergea. Ils sécroulèrent enfin lun à côté de lautre.

— Petite salope !

— Tu men veux ?

— Non ! Je suis très content dêtre cocu ! même si pour linstant cest sans pénétration

— Tu voudrais que jaille plus loin ?

— Oui, je voudrais que tu baises avec lui

— Non ! Pas avec lui !

— Pourquoi ?

— Parce que lui, il habite en face et que jaime ce jeu dexhibe et de voyeur mais je ne veux ni le voir ni savoir qui il est. Je préfère que ça reste comme ça En plus, je suis sure et certaine que cest un gros dégueulasse et je ne serait pas surprise quil mexhibe effectivement sur internet peut être même que je lui rapporte du fric !

— Et ça te plaît ? Ça texcite ?

— Terriblement !

— Mais tu ne veux pas baiser vraiment avec lui ?

— Non

— Avec qui alors ?

— Je ne sais pas ; je nai pas réfléchi à la question. Cest nouveau pour moi mais,

— Mais ?

— Si tu le souhaites vraiment, je vais faire de toi un beau cocu ; laisse-moi juste un peu de temps. Je veux le faire en douceur pour pouvoir arrêter tout si je vois que tu ne le supportes pas

— Tas des amants en vue ?

— Non, pas encore, mais ça va venir. Tu préférerais quon en parle avant ou après ?

— Tu feras comme tu veux, cest ton corps et, de toute façon, cest moi le cocu alors

— Je ne voudrais rien faire qui te blesse Cest quand même bizarre, on est un couple, on vient de faire lamour et on parle de te tromper. Je naurais jamais cru en avoir envie et maintenant ça mexcite

— Je suis un homme comblé, ma femme veut me tromper et moi je rêve dêtre cocu ! Je taime !

— Moi aussi, mon amour.

— Ma chérie, En fait, la première fois, jaimerai bien quon se mette daccord sur ton amant ; tes daccord ?

— Hi hi Tes bête ou quoi ? Je tai dit que je ne voulais pas te faire de mal. Si cest quelque chose de concerté, ce sera plus facile pour toi je pense. Tu penses à quelquun en particulier ?

— Non, à personne Ou plutôt si, à plein de mecs, on a le choix parmi nos amis, nos collègues, nos proches et même

— Et même ?

— Non, cest idiot, ça te mettrait en colère

— Dis-le-moi, je veux savoir à qui tu penses !

— Non, on va sarrêter à cette liste.

— Là ! il nen est pas question ! Tu en as trop dit ou pas assez et je ne suis pas une idiote ! jai bien ma petite idée, alors vas-y ! Accouche !

— Non, sil te plaît, ma pensée est allée trop loin ! Je me suis emballé ; je ne te le dirais pas.

— Comme tu veux mon chéri, mais je sais qui cest alors on en reparlera ! Ce que je vois cest que tu veux vraiment être un cocu absolu puisque si tu me proposes de choisir des amants parmi nos amis, collègues, proches et « Qui tu sais » dans ta famille !

— Je ne parlerai plus quen présence de mon avocat ! Il se fait tard et jai faim ! Habillons-nous et allons dîner en ville ; je tinvite !

____________________________

Lucile et Marc, après sêtre douchés et habillés, partirent vers un bon restaurant. Dans leurs têtes échauffées virevoltaient, pour elle, des hordes damants même si le sujet ne fut plus abordé. Lucile était troublée ; pendant des mois, elle avait rejetée lidée de tromper Marc et, maintenant, ils étaient en train de fêter son premier « cocufiage » avec la promesse dautres à venir plus réels.

De retours chez eux, ils firent lamour avec beaucoup de tendresse, comme des étudiants, comme au premier jour et sendormirent heureux, amoureux

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire