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Périple dans les cyclades – Chapitre 6

Périple dans les cyclades - Chapitre 6



Le lendemain nous partons tôt pour une nouvelle destination.

Dans le bateau qui nous emmène vers lîle suivante, nous restons silencieux. Notre aventure de la veille nous laisse songeurs. Comment notre couple si sage est-il devenu en si peu de temps parvenu à se dépraver à ce point?

Nous débarquons en début daprès midi dans une île connue pour ses moulins et ses murs très libres.

En attendant la navette, nous nous promenons dans la ville (la seule de lîle). Il sagit dun vrai labyrinthe aux passages étroits, inaccessibles aux voitures: les rues font à peine deux mètres de large et de chaque côté, en plus des bancs en pierre réduisent encore le passage. Il y a foule. Si lon rencontre des touristes ordinaires, on ne peut cependant ignorer ces groupes de filles qui se promènent à peine vêtues de maillots de bain et dune chemise complètement transparente. Il sagit semble-t-il de la tenue à la mode ici. Des couples dhommes se promènent la main dans la main. Des filles assises dans des escaliers dévisagent dautres femmes de manière provocante, les cuisses ouvertes.

Cela nous surprend même si nous étions avertis des murs de ce lieu.

En passant devant une boutique, je propose à Anne dacheter une de ces chemises transparentes. Elle accepte sous réserve que cela lui serve uniquement de tenue de plage. Jaccepte faute de mieux. Dans la cabine, Anne essaie une chemise qui souvre jusquau nombril, après sêtre dévêtue. Elle est très sexy ainsi, le vêtement ne cache absolument rien de son anatomie et de ses sous vêtements: cest comme si elle ne portait rien.

Nous rejoignons notre hôtel tard le soir.

Le lendemain matin après un sommeil réparateur et un solide petit déjeuner, nous allons nous baigner à la plage située en bas de lhôtel, puis retour à la chambre pour une sieste coquine (très). Nous décidons de commencer à rédiger les cartes postales aux amis, car la fin du séjour approche. Nous nous installons sur la terrasse. Notre chambre en rez de chaussée donne sur un jardin commun à plusieurs chambres.

Anne sinstalle à la table seulement vêtue de son paréo. Le vent soulève celui-ci et lécarte. Nous ne tardons pas à nous apercevoir que deux jeunes de 18-20 ans font tomber leur ballon de plus en plus souvent à proximité de notre espace. Je sais quils voient Anne nue de profil. Celle-ci se lève pour aller chercher des timbres. Jen profite pour prendre sa place. Lorsquelle revient, elle me regarde et sans mot dire sinstalle à la mienne. Elle est ainsi en face des jeunes. Bien sûr, le vent la dénude à nouveau. Son paréo étant noué juste sous ses bras, elle est carrément nue. Les jeunes reprennent leur jeu, de plus en plus intéressés.

Anne me regarde en souriant et me dit:

— Tu as envie que jen montre plus?

— Oui, lui répondis-je si tu veux.

— Je vais le faire car jai aimé me montrer depuis le début des vacances, je sais que cela texcite.

Joignant le geste à la parole, elle sappuie sur le dossier du siège, écarte ses jambes pour les faire passer de part et dautre des pieds de la table, puis se rapproche. De ce fait, elle est écartelée! Je me penche et vois son sexe carrément ouvert. Tout en faisant encore semblant de soccuper du courrier, en souriant, elle me dit:

— Ca te convient comme çà?, parce que plus, je ne peux pas!.

Les jeunes nen reviennent pas et finissent par tomber lun sur lautre à force de ne pas faire attention à eux pour mater Anne.

Nous décidons de cesser ce jeu et de partir vers une plage réputée par les guides. Je demande à Anne de mettre son mini maillot à balconnets et sa chemise nouvelle. Elle accepte puisque nous allons en bord de mer. Lautocar nous dépose sur une plage étroite, ou les jeunes de 18-20 ans sentassent tèls des pingouins. Nous dénotons avec notre petite quarantaine.

Nous décidons de rebrousser chemin et daller de nouveau à la plage de lhôtel. Malheureusement, lautocar fait une boucle qui passe par la ville. Lorsque nous nous en apercevons, cest trop tard. Il faudrait attendre une demi heure avant que celui-ci ne reparte de la gare routière, en comptant le retour, cela nous amènerait fort tard pour le retour en ville. Anne et moi décidons daller visiter la cité et ses fameux moulins. Ma femme nest pas très à laise dans une tenue quelle ne voulait pas porter en ville. Cependant elle sy résout et nous partons visiter les sites remarquables dont le quartier corsaire réputé, avec ses rues au ras de leau.

Anne ayant soif, nous nous arrêtons dans un bar offrant une vue magnifique. Ma femme se décide pour un cocktail aux couleurs chatoyantes mais dont je devine le degré dalcool. Après quelques minutes, nous repartons. Anne a les yeux brillants et les joues rouges. Il faut que je lui remonte le soutien gorge à plusieurs reprises car les balconnets trop petits laissent sortir ses aréoles et ses bouts si lon ny prend garde.

Nous entrons dans une boutique pour essayer une paire de sandales lacées sur le haut du mollet qui lui plaît beaucoup. La vendeuse habillée dune mini robe se place assise devant elle, et lui essaye les chaussures. Pour lacer, elle fait écarter les cuisses dAnne. Je remarque quelle ne cesse de regarder la poitrine de ma femme et son entre jambe. Cela ne déplaît pas visiblement à Anne qui se laisse faire. Elle me regarde ravie et fière de susciter cela dune fille. La vendeuse sattarde sur les mollets de mon épouse. Nous décidons dacheter les sandales mais je demande à Anne de les garder aux pieds. Nous sortons et continuons nos emplettes. Nous faisons lacquisition de bijoux en argent que je demande à Anne de porter tout de suite.

La nuit est à présent tombée. Anne me dit quil se passe: ce quelle naurait pas voulu: se trouver en ville dans cette tenue. Je lui souris et lui demande daller se maquiller car je sais quelle a le nécessaire dans son sac à dos. Je lui explique que si nous retournons à lhôtel, notre soirée sera fichue à cause du temps de transport. Elle accepte dautant que le cocktail fait toujours son effet. Elle se met dans un coin et au bout de quelques minutes, elle na rien à envier aux filles que nous croisions hier soir, les sandales à talons lui donnent une belle cambrure qui lui fait ressortir les fesses, un délice pour moi!

Nous décidons daller dîner car le petit déjeuner est loin. Nous choisissons un restaurant sur le port, une table au premier étage dans une tonnelle qui nous masque de lextérieur tout en nous offrant une belle vue sur la baie. Nous sommes bientôt rejoints par deux filles qui occupent lautre table. Elles sont belles, presque aussi dénudées quAnne. Lune semble plus masculine que lautre et ne cesse de mater la poitrine de ma femme. Nous échangeons des considérations en anglais en buvant un vin résiné. La blonde près de ma femme observe le manège de sa copine.

Cest bien sûr le moment que choisit un bout de sein pour sortir du balconnet gauche bien visible car la chemise était complètement ouverte. Dans la conversation Anne ny prêtait même plus attention tellement cétait courant. La fille brune aux cheveux courts à côté de moi fixe le sein dénudé. Anne sapercevant enfin de cela, voulut le remettre en place. Vivement ma voisine lui dit que si cela ne la dérangeait pas et moi non plus elle aurait aimé quAnne reste ainsi. Ma femme me regarde, dun battement de cils je lui donne mon feu vert. Ce qui sétait passé dans le magasin de chaussure mavait montré quelle nétait pas insensible au fait de sexhiber devant une autre fille.

Anne descendit son balconnet comme il était auparavant.

A partir de là, la conversation prit une autre tournure. La brune commença à lui faire des compliments sur sa poitrine. Anne avait en effet de quoi être fière dun 95c bien porté. Ma voisine lui demanda si elle pouvait la montrer entière et, sans attendre, la blonde baissa les bonnets. Ma femme se trouvait à présent seins nus.

La fille à côté delle tout en observant sa compagne, se mit à lui caresser les bouts. Anne se laissait faire tout en me souriant, visiblement elle appréciait les caresses.

Malheureusement, un bruit dans les escaliers obligea Anne à ranger sa poitrine dans le maillot. Le serveur venait présenter laddition demandée quelques instants auparavant. Nous nous levâmes, suivis de peu par nos voisines de table et nous éloignâmes avec visiblement quelques regrets.

Nous repartîmes pour le centre de la ville, dans les ruelles tortueuses, étroites et très encombrées par une foule de touristes à cette heure de la soirée.

La foule était si dense dans ces passages dà peine deux mètres de large quil suffisait quun groupe sarrête pour bloquer la rue, cela finit dailleurs par se produire et nous nous trouvâmes bloqués, incapables davancer ou de reculer.

Anne se tourna au bout de quelques instants vers moi et me montra, à tout au plus un mètre de nous, une femme assise sur un banc, dos au mur sirotant une boisson posée sur une table minuscule fixée au banc. Elle était vêtue dun costume à rayures, mince, les cheveux courts et gris, des lunettes rondes en acier. Elle tenait un porte cigarettes. Je compris immédiatement pourquoi mon épouse attirait mon attention: la femme dévisageait Anne et promenait son regard sur son corps comme peu dhommes auraient osé le faire. Elle déshabillait véritablement ma femme du regard, allant des ses seins à son sexe, sans aucune discrétion.

Anne me souffla:

— tu as vu?, on dirait quelle me regarde comme si jétais à poil!.

Anne, semblait presque hypnotisée par ce regard.

Pour éviter de rester encore bloqués dans la rue, je lui proposai dentrer dans le magasin de souvenirs situé juste après la femme, pour sortir de la cohue et éventuellement faire des emplettes pour notre retour. Elle accepta volontiers et nous entrâmes. Attirés par un portant de tee-shirts formant un U qui dépassait de lentrée sur la rue, Anne se plaça au creux de celui-ci pour faire ses choix. Nous prîmes plusieurs vêtements pour en comparer les motifs lorsque je sentis ma femme tressaillir.

— Anne, que se passe-t-il?

— Je sens une main sur mon mollet!

Je regarde autour de nous, il y a des allemands qui discutent juste derrière avec une vendeuse mais à lévidence, il ne peut sagir deux. Je me penche par-dessus le portant et vois juste derrière, la femme au costume rayé dont lépaule disparaît dans les tee-shirts. Je fais signe à Anne pour lui demander si elle voulait que jintervienne car elle ne pouvait se reculer à cause des clients, à quelques centimètres delle. Elle me dit non de la tête.

— Après tout je ne risque rien en plein magasin, me dit-elle.

— Alors dis moi ce quelle fait car je ne distingue rien, tu es contre les vêtements;

— Daccord, me répondit-elle.

— Maintenant, elle me caresse les cuisses.

— Cest agréable?

— Plutôt, dit-elle en me souriant, se laisser caresser comme ça en plein magasin, je naurais jamais crû que jen serais capable.

— Moi non plus!

— Elle me fait écarter les jambes!

Je vois en effet Anne bouger;

— Tu te laisses faire?

— Si tu veux seulement.

— Alors vas-y! et raconte moi tout.

— Elle me caresse lintérieur des cuisses presque au maillot. Ca y est.Elle me caresse le sexe à présent.

Anne laisse les tee-shirts et se tient des deux mains au portant. Elle a les yeux mi-clos.

— Elle me met la main dans la culotte!

Ma femme ferme les yeux, Jessaie de voir mais cest impossible.

— Elle mets sa main sur le haut du maillot et tire dessus pour me baisser le slip, non! elle essaie de le faire tourner autour de ma taille!

— Et alors?

— Elle pousse le tissu sur le côté. Elle ma dénudé le sexe et une fesse aussi,

— Ca te plaît?

— jai un peu peur et cest en même temps excitant.

— Que fait-elle à présent? Elle, elle me caresse avec ses doigts en mécartant les lèvres. Ca y est, elle me touche le clitoris.

Anne se mord les lèvres. Visiblement cela lui plaît. Elle est rouge, ses narines se dilatent et elle souffle doucement. Tout cela se fait dans la foule du magasin et devant des dizaines de personnes bloquées encore dans la rue!.

— Elle me caresse plus profondément à présent.

— Elle y arrive comme çà?

— Je ne te lai pas dit mais depuis le restaurant jétais trempée, après les caresses des filles. Jai même mouillé ma culotte et cette femme sen est vite aperçue aux premières caresses.

— Continue à me dire ce quelle te fait.

— Elle me met les doigts dans le vagin et maintenant avec son pouce, elle me caresse le clitoris.

— Dis-moi, mais elle te branle en plein magasin!

— Oui, cest çà, je me fais branler devant tout le monde.

Depuis quelques instants, je vois le bassin de ma femme bouger; elle est en nage et cela nest plus seulement dû à la forte chaleur du lieu!.

Ses mains se crispent sur la barre qui lui sert dappui et elle se met à gémir. Je naurais jamais imaginé ma femme jouir dans un tel lieu.

Cela finit par attirer lattention de la vendeuse qui nous demande si tout va bien. Je lui réponds que oui, mais que nous ne savons quel tee-shirt choisir, en prenant un vêtement dans chaque main et en les lui présentant pour laisser à Anne le temps de reprendre ses esprits.

La vendeuse est perplexe. Je pense quelle a en partie compris mais il lui parait difficile dimager quune femme ait un orgasme comme çà toute seule apparemment, dans son magasin en choisissant des tee-shirts « I LOVE GREECE »!. Pour couper court, je lui dis quen fin de compte, je prends les deux, que je veux un paquet cadeau. Elle se saisit des vêtements et va à la caisse pour sen occuper. Je me tourne vers ANNE. Elle est cramoisie. Elle mentraîne vers la caisse. La femme la lâchée. Jen profite pour lui regarder le bas.

-arrange toi vite, elle tas laissé la chatte à lair, et ta chemise est complètement transparente!.

Anne, dans un mouvement ramène le tissu sur son minou et se rajuste la culotte. Puis se retourne.

La vendeuse lobserve du coin de lil.

— Je suis sure quelle sest aperçue de quelque chose.

— Cest sûr mais elle ne peut savoir vraiment, car même moi je nai rien vu de ce qui se passait dans ta culotte.

Nous payons et sortons de lautre côté du magasin qui était en fait traversant.

-Jai soif, trouvons vite un bar, me dit-elle.

Nous nous installons là ou nous trouvons enfin une place libre. Anne est en face de moi, dans un fauteuil. En nous rafraîchissant, nous observons les gens qui passent, très prés de nous dailleurs.

Un groupe de fille se trouve devant nous. Lune dentre elles regarde Anne et pousse ses copines du coude en riant. Intrigué par cette attitude, je demande à Anne de se tourner plus vers moi. Elle a les jambes ouvertes sans plus. Cest alors que je distingue une tâche sur sa culotte. Elle avait raison de dire quelle mouillait mais ne savait pas à quel point.

Je lui fis signe et elle croisa les jambes.

Quelques instants plus tard nous reprenons notre promenade.

j’en profite pour lui offrir un bijou dont nous reparlerons dans un prochain épisode.

  Dans ce lieu bondé.

Vers deux heures du matin, nous décidons de repartir vers lhôtel avec nos emplettes. Il est temps car nous devons nous embarquer le lendemain vers une autre destination.

Nous nous rendons à la gare routière. Au kiosque dachat des billets, on nous désigne lautocar à prendre. Il est éteint. Nous nous en approchons. Le moteur tourne et le chauffeur est à lintérieur. Il nous dit de monter, quil y a eu problème de lumières dans la cabine mais il y a les lampes de secours.

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