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prise de conscience – Chapitre 2

prise de conscience - Chapitre 2



mon fils ne me regarde plus comme une mère, ses regards me mettent très mal à l’aise et, bien-sûr, le coup de la jupe relevée sur mes cuisses gainées de nylon dans la voiture, n’a pas arrangé les choses.

Pourtant, lorsque je le surprends en train de me regarder, il rougit et part ailleurs, sans doute, mort de honte.

J’en déduis que sil est dans cet état, c’est qu’il sait que ses regards franchissent une barrière morale qui ne devrait pas être dépassée entre un fils et une mère.

Je n’espère qu’une seule chose, que cela prenne fin car je ne maîtrise plus la situation. Depuis quelque temps, je retrouve mes culottes sales, pleine de sperme et c’est certainement pas mon mari qui s’amuserait à faire ce coup là. La première fois que je men suis aperçue, jen ai été sidérée ! Cétait ma culotte rose en dentelle que j’avais porté le jour d’avant et dont je m’étais débarrassée le soir même, avant ma douche. Jai vite refermé la porte afin que personne nentre et saperçoive dun tel délire.

Sur linstant, je n’ai pourtant rien dit, mais plusieurs choix me trottaient dans la tête :

Le gronder, oui, mais en quoi cela allait-il sarranger ?

Le dire à son père, déjà que leurs relations ne sont pas au mieux !

Lui parler, oui, mais lui dire quoi et comment ?

Ne rien dire et attendre que cela ce calme !

J’ai opté pour la dernière solution, il est plus facile de laisser faire les choses.

Puis, dernièrement, dans la soirée, il fait irruption dans les toilettes du deuxième étage de la maison. Le loquet de la porte est bloqué, Jean-Marie m’avait dit qu’il le réparerait, mais ses affaires d’entreprise ne lui ont pas laissé le temps de s’en occuper.

Jétais en train de faire pipi lorsque la porte s’ouvrit, d’un coup. Je n’eus pas le temps d’ouvrir la bouche, Nicolas se retrouva, face à moi, me fixant de la tête aux pieds. Il en avait pour ses yeux, me voilà face à lui, les fesses nues sur le trône, jupe rouge retroussée, un porte-jarretelles noir à l’air libre qui tenait mes bas, couleur chair et ma culotte noire, transparente, descendue à mi-mollets.

Il s’est excusé et il est sorti en vitesse, me laissant émue et pantelante, mes jambes flageolaient de lexcitation provoquée par son intrusion et surtout, par la manière quil avait eue de me regarder. Je me suis calmée et je suis sortie. Nous n’avons pas reparlé de ce qui c’était passé, mais depuis cet incident, je suis consciente que le regard dun homme, fût-il mon fils, me met dans tous mes états.

Ce qui est dingue à la maison, c’était la différence dambiance quand mon mari était là et quand il ne l’est plus. Dès que j’entends fermer la porte et le vois partir au travail, le sentiment d’être observée réapparaît inéluctablement. Pourtant, ce qui était, au début, un trouble, devient, petit à petit, un mélange de curiosité, mais aussi d’un bien-être inavoué.

Comment l’expliquer ?

Voyez-vous, je sais que cela doit cesser, mais pourtant, je mets tout les chances du mauvais côté pour permettre à mon fils de pouvoir en voir d’avantage.

Par exemple : si vraiment, j’avais voulu que cela prenne fin, j’aurais mis un pantalon et malgré tout, je continue, obstinément, à porter mes jupes, ainsi que mes bas et porte-jarretelles.

Je dois même avouer qu’avec le temps, je prends part au jeu et que j’écarte, volontairement, les cuisses, au plus grand bonheur de Nicolas qui n’en rate pas une miette. Souvent en culotte transparente, je suis sûr que de là ou il est, il doit voir, à travers le tissu, lombre de mon triangle pubien raisonnablement fourni.

À chaque fois que je sens qu’il me regarde, je me sens nerveuse, mais aussi excitée. Lorsqu’il a fini de se rincer l’il, c’est moi qui ai honte de ma façon d’agir.

Mais les choses continuent encore et encore, devenant même une coutume. Chaque matin, je choisis ma lingerie en devinant ce que Nicolas pensera lorsqu’il le découvrira par lui même.

Inconsciemment, je me sens revivre, je redeviens belle pour un homme, que ce soit pour mon fils m’alerte de moins en moins, me cherchant toujours une excuse du genre : « de toute façon, il ne doit pas savoir que je suis au courant de son manège, alors… ! », mais je me mens à moi même.

À chaque fois que nous sommes en voiture, je fais tout pour lui dévoiler mes cuisses, afin qu’il connaisse ma lingerie du jour. De sentir ses regards sur moi, sans que je puisse l’en empêcher, me fait mouiller de plus en plus. J’écarte les cuisses plus ce qu’il faut pour conduire, à tel point que ma culotte n’est plus cachée par ma jupe.

Je fais pipi, la porte des toilettes, grande ouverte, faisant semblant de rouspéter que mon époux n’a toujours pas réparé cette satanée porte.

Je le vois de plus en plus être présent dans le couloir du deuxième étage, afin d’en voir le plus possible.

Moi, je joue le jeu de faire celle qui ne fait pas attention à lui. J’écarte les jambes pour qu’il puisse en voir d’avantage, étirant, par chaque coté, ma culotte, positionnée à mes chevilles.

Presque chaque jour, ma culotte, portée la veille, est enduite de ses traces, nous sommes partis dans une frénésie immorale, que ni lui, ni moi, ne pouvons, dorénavant, contrôler.

Je suis partagée entre deux attitudes, celle dune personne morale, parfaite épouse respectable et celle dune femme dépravée, rongée par son vice. Cet antagonisme me mine, me rend amorphe et pleine de honte ! Heureusement, une correspondante me remonte le moral en madressant son message :

< Il ne faut pas culpabiliser, tu es une femme avec ses envies et l’homme qui se montre attiré par toi se trouve être ton fils ! Vous êtes majeurs, donc, de ce côté, pas de problème ! Tu éprouves des sentiments contradictoires (ce qui me semble normal), être attirée par ce jeune homme et que lui se sent attiré par toi et te sentir rebutée par ce désir ! Vous n’êtes pas des monstres, juste des êtres humains ! Laisse venir les choses (ce n’est que mon avis) et vois comment cela évolue ! À toi d’estimer si les choses vont trop loin ou si elles peuvent aller plus loin ! En discutant avec ton fils, bien entendu ! >

Je passe mon temps à cogiter, vais-je continuer ou tout arrêter ? Jour après jour, lenvie de son regard plein de désir, me taraude, jai besoin de sentir son excitation, je ne sais quinventer pour le provoquer. Un souvenir mobsède, ce jour-là fut le bouquet…, il y a de ça quatre mois…, nous étions au début novembre, Nicolas avait invité un de ses copains intellectuel, un mercredi après midi.

Il avait laissé, donc, son coté voyeur pour cette journée là…, enfin, c’est ce que je croyais

Je me rappelle comme si c’était hier, je faisais le repassage. Puis, je suis montée pour ranger le linge de mon époux et le mien dans ma chambre et au moment où je suis passée devant sa porte, je les ai entendus rire.

Il est rare de les entendre rire tous les deux et je me suis donc approchée pour essayer d’écouter ce qu’il les faisait tant rire.

D’un coup, la porte s’entrouvrit juste un peu, mais assez pour m’apercevoir que Julien fumait avec Nicolas et qu’il avait ouvert la fenêtre pour en faire échapper la fumée, ce qui provoqua un courant d’air et qui fit ouvrir à peine la porte.

Je fus surprise car je savais pas que mon fils fumait, j’allais me décider de rentrer dans la chambre lorsqu’une chose me stoppa dans mon élan. Je reconnus, sur le lit, une de mes culottes noire en dentelle et une autre, de couleur blanche.

Julien prit la parole et parlait de moi à mon fils. Ces mots mont scotchée, c’était du genre : « c’est vrai que ta mère est bonne, moi, je me la ferais bien ! ».

Quand Nicolas a repris la parole, il ne se ménageait pas non plus. Il lui racontait toutes les positions que je prenais lors de mes exhibitions… Que je mettais que des porte-jarretelles, des bas, même des strings, etc…

Javais la main devant la bouche pour ne pas crier, les regardant palper le tissu de mes culottes, les sentir, les lécher, tout ceci dans une telle vulgarité.

Nicolas exhibait, avec fierté, les secrets intimes de sa propre mère. Quant à moi, à ne rien y comprendre, malgré le mépris et la frustration, je sentais que mon bas-ventre me jouait des tours.

Je suis descendue pour me calmer, j’ai bu un grand d’eau. Je n’y arrivais pas, je savais que, juste au dessus de moi, des jeunes hommes parlaient de moi, tout en reniflant mes culottes sales, c’était insupportable et en même temps, terriblement excitant !

Puis vint le goûter et les deux garçons descendirent, j’avais prévu des crêpes pour faire plaisir à Nicolas qui adore ça.

Il parlait de tout et de rien, à les entendre, j’avais du mal à croire que ces deux diables parlaient de moi de façon perverse, il y a quelques minutes auparavant.

Je me suis assise avec eux pour en manger quelques-unes. Je ne parlais pas, j’étais mal à l’aise, je pensais à leurs paroles et à leurs agissements dans la chambre de Nicolas.

Le son d’une cuillère me fit sortir de mes pensées. Julien a dit : « pardon… ! », j’ai remarqué tout de suite le sourire que lui faisait mon fils.

Julien a passé la tête sous la table et j’ai compris tout de suite que cette cuillère n’était pas tombée par hasard. Jétais pétrifiée, j’ai serré les cuisses, je ne voulais pas me faire passer pour une mère dévergondée, comme Nicolas semblait le lui faire croire !

Il reprit sa place et j’étais satisfaite de lui avoir cloué la vue, mais lorsque j’ai baissé mes yeux vers mes cuisses, jeus le cur qui s’est accéléré quand je me suis aperçue que ma jupe avait, par mégarde, remonté sur mes cuisses et qu’une partie de la lisière de mes bas noirs se voyait à présent.

Vous allez me prendre pour une folle, mais un mélange d’embarras et d’excitation naquit au fond de moi.

Oui, j’étais, dorénavant, excitée de me savoir assise avec deux hommes qui me voyaient comme une femme désirable.

Mes pensées étaient complètement dingues, je les imaginais en train de bander tous les deux sous la table. Mes cuisses se frottaient entre elles, j’avais chaud et ma respiration était très courte. Je me suis donc levée de table, prétextant d’aller finir le ménage.

Même en leur tournant le dos, je sentais leurs regards appuyés sur mon anatomie.

Le soir même, j’ai eu du mal à m’endormir, je me sentais coupable, me disant que j’aurais dû stopper tout ça, bien auparavant.

Les jours qui ont suivi, j’avais totalement changé de comportement, Nicolas fut surpris de ne plus me voir en jupe.

Au bout d’un certains temps, je pensais qu’il allait se résigner et nayant plus le choix, il allait changer de cible.

bientôt la suite

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