Chapitre 4
Je saisis mon t-shirt près de moi, et je me retourne pour l’enfiler. Je sais que Jeannot a une vue complète sur ma nudité de face, mais après ce massage très intime je m’en fous. J’aime qu’il n’y ait plus aucune barrière entre nous. Je m’allonge sur le dos et lui ouvre les bras « Viens ! Mets-toi contre moi… »
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Je m’allonge sur le côté près de Cécile, à sa droite. Elle passe un bras autour de mon cou et je pose ma tête dans le creux entre son épaule et sa poitrine. Mon bras droit entoure sa taille. J’ai toujours une trique d’enfer, je n’ose pas me coller complètement à elle. Mais je rapproche mes jambes des siennes, elles sont douces Cécile rabat le côté supérieur de son sac de couchage et je finis de nous recouvrir à l’aide du mien. Nous restons ainsi sans rien dire un bon moment. Cécile passe ses doigts dans mes cheveux, me massant légèrement le crâne. Mais je sens qu’elle ralentit et bientôt s’arrête complètement elle s’endort ? Je ne suis pas très à l’aise ainsi, à demi replié sur le côté. Mon sexe a repris une place et une proportion moins gênantes, aussi je me risque à changer de position et à me coller davantage contre Cécile. Je me cale plus confortablement en passant ma jambe droite par-dessus sa cuisse pour glisser mon mollet entre ses jambes. En le faisant, je me rends compte que, ma cousine n’ayant pas remis son shorty, ma cuisse avant de plonger entre ses jambes rencontre les poils de son bas-ventre Mince, je recommence à bander ! Cette fois-ci Cécile ne peut que s’en rendre compte
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Mon Jeannot a sa cuisse sur le bas de mon pubis et sa jambe plonge entre mes jambes nues. Elle est presque au contact de mon sexe ! Il est tout contre moi, et j’ai bien l’impression qu’une excroissance nouvelle se fraie un chemin entre son bas-ventre et mon côté droit Il m’avait bien semblé tout à l’heure, quand je passais mon t-shirt, avoir aperçu une belle bosse dans son caleçon J’adore. Mon petit cousin de 18 ans bande vigoureusement, à cause de moi, sa vieille cousine Surtout ne pas broncher, ne pas l’effrayer J’adore ce moment de tendresse et de complicité entre nous. Je suis tellement détendue et en communion avec ce petit mec Je me laisse aller Je sens que le sommeil me gagne
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Cécile s’est endormie. Je crois que je ne vais pas tarder non plus. Mon sexe est toujours dressé contre le flanc droit de ma cousine. C’est sûr, elle s’en est aperçu. Mais elle n’a rien dit. Soit elle est trop gênée, soit elle s’en fout, soit ça lui plaît En tout cas moi maintenant je m’en fous. Elle m’a déjà vu la bite en l’air ce matin de toute façon ! C’est dingue quand j’y pense. Je suis lové contre une magnifique jeune femme de 27 ans à moitié nue, je touche son sexe nu, je viens de la masser intensément et intégralement, jusque dans les replis de son intimité, je bande comme un dingue contre son flanc
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Quelque chose vient de me réveiller. Il fait nuit noire. Le feu est presque mort, mais je n’ai pas le courage de sortir le ranimer. Je devine le corps de Jean près de moi. Il s’est retourné sur l’autre côté, mais nous sommes toujours dans notre « lit » commun. Mais je n’entends pas sa respiration, j’ai l’impression qu’il ne dort pas. J’entends un bruit de frottement de tissu, régulier le tissu du sac de couchage je pense. J’ai l’impression que le sac vibre légèrement Je me retourne vers Jean et viens me blottir contre lui, je passe mon bras gauche autour de sa taille. Je m’aperçois au contact entre ses fesses et mes cuisses qu’il ne porte plus de caleçon ce qui confirme mon intuition sur l’origine de ces frottements Mais Jean est immobile à présent, il n’ose plus bouger. J’approche mon visage de son cou, je dépose un baiser tendre dans le creux près de son épaule et lui glisse à l’oreille :
– Tu peux continuer mon Jeannot. C’est naturel il faut se soulager parfois Je le fais aussi tu sais tout le monde le faitet ça me plaît que tu le fasses pour moi Tu es beau mon Jeannot
Mais Jean ne bouge toujours pas et ne répond pas. Il est comme tétanisé. Je lui dépose à nouveau un puis deux baisers dans le cou Ma main gauche remonte contre sa poitrine et je me serre très fortement contre lui. Mes cuisses se collent contre les siennes, mon pubis nu rencontre le sommet de ses deux adorables fesses d’homme-enfant Comme il ne reprend toujours pas son va-et-vient, je descends progressivement la main vers son bas-ventre Mes doigts rencontrent ses premiers poils pubiens, et le sommet de ma main frôle son membre dressé. Je décide de continuer ma descente. J’atteins le creux de l’aine, et de deux doigts seulement je m’aventure dans le pli le long de la base de son sexe et de ses bourses. Je les contourne, remonte de l’autre côté, passe sous son pénis, je fouraille gentiment dans les poils pubiens à la base de son sexe et je recommence Pendant ce temps, je continue à embrasser tendrement le creux de sa nuque. Jean finit par lâcher un long soupir Maintenant mon index remonte lentement sur ses bourses, dans le creux entre ses deux testicules Mais sa main est descendue à la rencontre de la mienne et la saisit « Cécile. ma Cécile. ma Cécile tu me rends dingue. non, arrête, continue ma bite » Je m’exécute avec empressement et saisis sa bite vigoureusement. Elle est tendue comme un arc. Je commence à l’astiquer lentement, je remonte jusqu’à son gland qui est déjà bien lubrifié, j’ai l’impression qu’il ne va pas tenir très longtemps. La main de Jean continue à caresser la mienne puis descend sur ses couilles, remonte, puis soudainement bifurque, passe dans son dos et plonge entre mes jambes ! Il introduit vivement deux doigts entre mes grandes lèvres, et s’enfonce rapidement depuis mon pubis vers mon vagin Je ne peux retenir un petit cri. Je me mords les lèvres puis, tout en en soupirant, je chuchotte « Oh Jean ! Mon Jeannot ! Mon beau Jeannot ! oui… prends ma chatte elle est à toi…prends-la» Alors je ne sais pas ce qui me prend, je me relève, effectue un demi-tour sur moi-même et enjambe le corps de Jean, que j’allonge sur le dos. Accroupie au-dessus du torse de mon bel éphèbe, lui tournant le dos, je baisse ma tête à la rencontre de son sexe dressé
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Ma cousine est couchée sur mon torse, elle saisit ma queue d’une main et l’introduit dans sa bouche ! Son autre main malaxe doucement mes couilles ! Elle commence à aller et venir sur mon membre, l’enfonçant presque jusqu’au fond de sa gorge Mon dieu ! C’est trop, je vais mourir !!! Mais non, elle ralentit, sa langue tourne autour de mon gland, puis elle ressortme laissant souffler un peu.
Dans cette position j’ai une pleine vue sur son cul et sa fente à quelques centimètres de mon visage. Même s’il n’y a pas beaucoup de lumière, je devine qu’elle est nettement plus ouverte que tout à l’heure. J’enfonce un de mes doigts dans cette faille béante, tandis que mon autre main saisit violemment sa fesse droite. Je découvre les petits plis très humides à l’intérieur de sa fente, qui me guident vers l’entrée de sa caverne secrète, où je glisse deux doigts. Elle est mouillée, ça glisse, et je découvre pour la première fois les replis intimes d’un vagin, le col légèrement rugueux, puis la caverne qui s’élargit, les parois plus lisses, et tout au fond un petit éperon mystérieux autour duquel mes deux doigts s’égarent, repartent vers l’entrée, explorent les côtés, puis reviennent. « Haaaan mon Jeannot.Qu’est-ce que tu me fais . Tu es fou, oh non c’est bon !!!! Prends moi le cul, mon Jeannot !!!!. Bouffe-moi. » Elle a dit cela en inclinant légèrement les fesses vers mon visage. Je fais un effort pour soulever ma nuque et j’enfonce mon nez et ma bouche entre ses deux collines. Mon dieu, que j’aime cette odeur si forte, cette odeur de femme. Je lèche son jus, j’enfonce mon nez entre ses fesses, presque sur son anus, je redescends doucement vers son pubis, je lèche abondamment tout le pourtour de son vagin puis ma langue rencontre un petit point dur et proéminent qui la fait tressaillir de tout son corps quand je passe dessus. C’est donc ça, le clitoris ? Je recommence à le lécher, lui donner des coups de langue de plus en plus violents, tandis que mes deux doigts fouillent toujours son vagin. Ma cousine crie à présent, à chaque coup de langue sur son petit bouton. Elle s’est redressée et ses mains pétrissent ses deux seins. Je continue comme un fou à la lécher partout, de la rondelle de son anus au clitoris. Son bassin bascule pour accompagner mon mouvement. Je mordille la peau de ses fesses, de ses cuisses, de son pubis, puis je lèche à nouveau, je suce, j’aspire Mes doigts fouraillent de plus en plus violemment à l’intérieur de son vagin
Cécile se penche à nouveau sur mon sexe, l’avale goulûment, en lèche tout le pourtour, tout le gland, le pompe jusqu’à la base du pénis. Elle glisse deux de ses doigts entre mes fesses, et les enfonce doucement dans mon cul ! Oh mon dieu, mon dieu, putain, c’est trop bon !!!!!!!! Alors que je continue à limer et bouffer sa chatte j’éjacule violemment dans la bouche de ma cousine. Elle avale immédiatement chaque giclée de ma semence et continue à me sucer tout au long de mes secousses Puis je sens son corps se tendre elle me mord presque la bite puis la relâche, se redresse violemment dans un râle et, son corps tendu à craquer, « Ouiiiiiiii Jeannot, mon Jeannot, mon petit mec, ma beauté tu me tues. ». Elle s’écroule presque sur mon torse. Elle reste affalée, puis sa bouche s’approche à nouveau de ma bite à présent presque détendue, elle y dépose quelques baisers, sa langue lèche les dernières gouttes qui s’échappent de mon gland « Jean Jeannot. mon petit Jean. »
Je m’appelle Jean, j’ai 18 ans. Je viens de jouir dans la bouche de ma cousine de 27 ans. Elle a joui violemment de mes caresses… Je viens de découvrir le corps d’une femme.