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Rencontre improbable – Chapitre 4

Rencontre improbable - Chapitre 4



Dans le milieu de la matinée, alors que j’étais enfin concentré sur mon travail, j’entends Barbara vociférer:

Aux pieds, tapette !

Surpris, je finis vite ce que je suis en train de faire. J’en ai pour dix secondes au maximum quand soudain, je la vois apparaître à la porte une main sur la hanche, passablement agacée, le bras tendu me désignant du doigt la direction de son bureau.

Quand je siffle mon chien, il accourt. ALLEZ, et que ça saute.

Je me précipitais donc, mais elle se met au travers de mon chemin, m’obligeant à baisser les yeux puis me laissant passer, m’administre une tape derrière la tête:

File ! Nous serons mieux dehors pour discuter et tu me sers un café.

Puis-je en prendre un ?

Pour toute réponse, elle me souffle la fumée de sa cigarette accompagnée de postillon en pleine face.

Surtout tu la fermes !

Elle tient son rôle de dominatrice avec une aisance surprenante. Je ne reconnais pas la Barbara confidente et fragile qui, je croyais, me respectait.

La fameuse clef USB que j’ai trouvée par hasard, était-ce vraiment un pur hasard ou tu voulais que je lise "ton rêve de fille réalisé"? Réponds ! Et ne me mens pas.

Non, non… Je l’avais réellement perdue, elle a d…

Elle m’interrompit d’une gifle :

Arrête de mentir (tout en me secouant avec violence).

Je me sens contraint de dire ce qu’elle voulait entendre. Même si je ne l’avais pas laissé traîner volontairement.

(Avec un large sourire) Eh bien, voilà. Tu sais, tu as tout à gagner, ne pas mentir à ta… Non, à tes maîtresses, mon p’tit toutou. Tiens, d’ailleurs, montre-moi comment tu fais le beau et aboie.

Je m’exécute, plein de gêne et de honte pour son plus grand plaisir.

Je parie que tu bandes.

Je ne savais pas quoi lui répondre parce que c’était vrai, mais devant elle, j’avais vraiment honte. Alors elle vérifia par elle-même.

Je te baffe et tu bandes et dire que j’avais du respect pour toi. (Ponctuant cette phrase d’un crachat de dégoût).

Bon, maintenant, tu m’écoutes et tu fermes ta gueule. Ma petite sur chérie t’a confié à mes bons soins, car tu ne l’intéresses pas du tout.

Je vais donc te dresser de façon à ce que tu m’obéisses au doigt et à l’il, elle passera parfois pour contrôler tes progrès, ne me déçois SURTOUT pas. Voilà, j’ai mis mes premiers commandements par écrit, tu as une heure pour les mémoriser. Avant, nous allons les voir ensemble:

Quand je claque du doigt en désignant ton pantalon, tu le baisses et le laisses sur tes pompes. Bien sûr, tu ne mets plus de slip. ALLEZ, exécution !

Quand je tape une fois des mains, tu te mets à genoux. Exécution !

Quand je tape deux fois des mains, tu te mets à quatre pattes. Exécution !

Quand je tape trois fois des mains, tu fais le beau. Exécution !

Quand je désigne mon bureau, tu vas dessous, ce sera ta niche. Exécution !

Pour le reste, nous verrons au fur et à mesure. Rhabille-toi et apprends tout cela par cur.

Je remonte donc mon pantalon, quand, je me sens projeté au sol violemment.

Mais t’es un vrai bourrin. Qu’est-ce je t’ai dit ? (Tout en me bombardant de coups de pied)

Je ne comprenais pas ce qu’elle attendait de moi.

Vire-moi ton calbut, un clébard ne met pas de slip. VITE VITE VITE. Ah oui ! Tu penseras à nous faire un double des clés de chez toi pour chacune d’entre nous. De plus, je veux, tous les jours, un rapport journalier sur tes activités du soir et du week-end. Allez, file te mettre tout cela dans la tête, interro, dans une heure.

Vingt minutes étaient passées quand j’entendis son ordre: aux pieds et qu’ça saute ! Sans perdre un instant, je cours vers elle qui me gratifie d’un sourire satisfait.

File dans ma voiture et amène-moi le sac plastique qui est sur le siège passager.

J’y vais en courant, lui tends. Elle l’ouvre et le vide sur le carrelage, c’était des slips de femmes et des chaussettes visiblement sales. Elle claque des doigts en me désignant mon pantalon puis tape deux fois des mains. En à peine quinze secondes, j’étais à quatre pattes, le pantalon baissé.

Elle me tend la corbeille dans laquelle je dois mettre ce linge sale.

Tu ramasses tout cela avec ta gueule puis le laves dans le lavabo.

Malgré un grand dégoût, je nai pas d’autre choix que d’obéir, le tout déculotté, humilié pourtant excité, ce qui me dut une série de coups violents sur la verge. Une fois tout cela terminé :

Je n’ai pas entendu de remerciement.

Merci, maîtresse Barbara !

C’est tout ? (avec un sourire menaçant)

(En bafouillant) Je ne sais pas maîtresse Barbara.

Bon ! Je vais être gentille avec toi. Pour me remercier, tu me lèches les pieds.

Elle était en basket, ça allait être horrible. Aussi jolis soient ses pieds, l’odeur est, elle, bel et bien dégoûtante.

Nous allons être bien tranquilles pour que tu prennes convenablement conscience de ta nouvelle situation en attendant que le patron revienne de son stage parisien.

Tu fais quoi ce week-end ?

Madame Coline m’a…

D’un air menaçant qui, Madame…

C’est elle qui m’a dit de l’appeler comme cela.

Non, une maîtresse ne demande pas, elle ordonne.

Oui, bien sûr. Elle m’a ordonné de passer chez elle, samedi après-midi et pour dimanche, je ne sais pas encore.

N’oublie pas tout ce que je t’ai dit aujourd’hui, je n’aimerais pas être obligée de me répéter. Allez, fous-moi le camp Ducon.

Merci maîtresse, à lundi.

Je passerai peut-être te voir dimanche.

Oui, maîtresse.

Ouf ! Que d’émotions encore aujourd’hui. Vivement demain que je puisse me présenter à Madame Coline en Sylvie ou plutôt en SISSY. En espérant qu’elle soit aussi douce que la première fois.

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