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Routier italien – Chapitre 1

Routier italien - Chapitre 1



Depuis toujours, je suis attiré par les hommes. J’ai lutté contre ce penchant et suis arrivé vierge au mariage, à 21 ans, avec une jeune cousine de mon âge. La nuit de noces fut un désastre, je ne parvenais pas à bander et après plusieurs essais, j’ai dû renoncer, à ma grande honte. Mais ma femme a su me consoler et me rendre plus d’assurance, aussi trois lois plus tard, je consommais ce mariage.

J’ai maintenant 33 ans, nous vivons toujours ensemble et nous avons trois enfants, deux garçons et une fille. Mais mon goût pour les hommes n’a jamais disparu. Je l’assouvissais pendant mes tournées commerciales, dans mes chambres d’hôtel, en consultant des sites gays et en me branlant jusqu’à épuisement.

Un soir d’été, sur la route de mon domicile après une tournée d’une semaine, je me suis arrêté sur une aire d’autoroute, du côté de Valence, qui m’avait été signalée sur un site de rencontres gays. M’étant garé un peu à l’écart, vitres ouvertes par cette chaude nuit d’août, j’observais les mouvements de gens et de voitures.

Comme d’habitude, j’avais déposé ma veste à l’arrière avant de rouler. En raison de la chaleur encore perceptible et de la tension qui émanait du lieu et des ombres qui circulaient, j’enlevais ma cravate et déboutonnais mon col de chemise. Voyant un homme descendre d’une voiture et se rendre aux toilettes, torse nu et en short, je ne résistais pas à l’envie d’enlever moi aussi ma chemise, puis de retirer mes chaussures, puis le pantalon. Je restais ainsi un moment, en boxer bleu et chaussettes, continuant de regarder du côté des toilettes où je voyais des hommes se livrant à d’étranges manuvres.

J’avais toujours chaud, j’étais excité par l’ambiance et la vue de ces mecs visiblement à la recherche de rencontres et mon sexe, maintenant dressé dans mon boxer, me faisait mal tant il se trouvait serré. N’en pouvant plus, je faisais descendre mon boxer le long de mes jambes, tandis que mon vit se redressait tel un ressort et venait heurter mon nombril. Je retirais complètement mon sous-vêtement et le jetais sur la banquette arrière avec pantalon, chemise et cravate.

Etrangement, tout nu dans ma voiture, j’ai alors ressenti un immense soulagement, une véritable libération après tant d’années de refoulement et de répression de mes véritables envies.

Me caressant alternativement la verge et les couilles, j’attendais, je ne sais quoi. Peut-être une aventure avec l’un de ces hommes ? Peut-être une révélation ? Ou une rencontre qui transformerait ma vie ?

J’en étais là, plein d’espoir et de désirs, lorsque j’aperçus un homme qui se dirigeait lentement vers ma voiture. La lune éclairait faiblement la scène, mais je distinguais un mec mince et élancé, brun, cheveux courts, fines moustaches et barbe en collier, en pantalon de toile et t-shirt blanc. Normalement, j’aurais dû être effrayé, craindre d’être surpris dans le plus simple appareil, mettre en route et partir plus loin. Au contraire, le cur battant, la verge toujours dressée, toute pudeur abandonnée, j’ouvris ma portière. L’homme qui s’était arrêté un moment reprit sa marche et vint à ma hauteur, côté conducteur. Nous nous sommes regardés, sans un mot. Il était encore plus beau que je ne l’avais cru, avec ses yeux d’un noir profond et sa peau brunie, paraissant environ 25 à 30 ans. Je n’osais bouger, contemplant la bosse de son entrejambe tout en continuant à me branler doucement.

Se décidant, l’homme a alors baissé son pantalon. Il ne portait rien en dessous et me présentait un sexe long et fin, en semi-érection, des couilles rondes couvertes de poils noirs et un pubis orné d’une touffe épaisse et sombre. Je ne résistais pas une seconde et me penchant légèrement, je saisissais à deux mains cet objet de toutes mes convoitises, ces organes masculins si souvent admirés sur des vidéos pornographiques et que je n’avais jamais eu l’occasion de toucher sur un autre mâle que moi. Au contact son vit s’est durci rapidement, a gonflé et s’est complètement redressé. Me posant une main sur la tête, il m’a fait comprendre que je devais le sucer.

Là encore, curieusement, sans aucune réticence, je me suis penché et j’ai posé mes lèvres sur son gland, doux et humide, un peu salé, mais sentant bon l’homme viril. Pendant un long moment je l’ai sucé consciencieusement, tout en me masturbant avec vigueur.

L’homme a alors pris l’initiative, retirant son T-shirt et le posant sur le toit de ma voiture. Il était très poilu sur la poitrine et une raie de poils noirs descendait jusqu’à son pubis. Je caressais cette fourrure, si douce sous les doigts, pendant qu’il me soulevait et me tirais hors de mon véhicule. J’étais désormais exposé à tous les regards, debout sur l’aire de stationnement, en tenue d’Adam, le sexe bandé, la lune faisant ressortir la pâleur de ma peau. J’aurais dû être extrêmement gêné, me cacher derrière ma porte ouverte, chercher à réintégrer ma voiture. Eh bien non ! Complètement désinhibé, je me suis collé au corps de mon nouveau compagnon qui, tout en me triturant les fesses, m’a fait une pelle profonde et baveuse. Je le serrais très fort, frottant mon sexe contre le sien et caressant son dos musclé avec passion.

S’écartant, remontant son pantalon, reprenant son T-shirt à la main, l’homme est alors reparti, me faisant signe de le suivre. Affolé de désir, ne sachant plus ce que je faisais, je l’ai suivi, comme cela, à poil, le vit en bataille, sans prendre mes clés, sans fermer ma voiture. Je l’ai rapidement rejoint et nous avons traversé une partie du parking pour rejoindre un camion italien garé de l’autre côté des toilettes. En passant devant celles-ci, j’ai aperçu plusieurs hommes qui nous regardaient, la bite à l’air, se caressant en nous fixant, l’air hagard. Mais je n’y ai pas prêté plus d’attention, ne voulant pas perdre mon partenaire et le suivant de près.

Il a ouvert son camion, est monté et m’a attiré à lui. La cabine était vaste, avec une assez belle couchette derrière les sièges. Il m’a poussé vers celle-ci sur laquelle je me suis assis, pendant qu’il se déshabillait. A genoux entre mes jambes, il commença une fellation dont je me souviendrai toute ma vie, à gorge profonde, experte, tantôt douce, tantôt appuyée, de haut en bas ou autour du gland. Je me cramponnais à ses cheveux, m’efforçant de me contrôler et de ne pas jouir trop vite. Mais il savait s’interrompre à temps, puis reprendre au bon moment, si bien que je ne débandais jamais, toujours excité et proche de la jouissance. Au bout d’un quart d’heure, j’ai éjaculé dans un rugissement, en cinq longues saccades. Le routier italien a tout avalé et m’a ensuite nettoyé le sexe de sa langue.

Je me suis affalé sur la couchette, à bout de souffle. Lui s’est allongé à côté de moi, me caressant sur tout le corps, me disant des mots en italien, pleins de tendresse. Puis il s’est redressé, s’est accroupi sur moi, ses deux jambes de part et d’autre de ma poitrine et m’a présenté son membre viril pour que je le suce à mon tour. J’ai fait de mon mieux et avec plaisir, entretenant son excitation et surtout sa vigueur. Je me doutais de ce qui m’attendait. Jaspirais à cette ultime expérience, non sans émois, mais avec confiance, car mon partenaire me plaisait.

Effectivement, se remettant sur le côté, l’Italien me fit signe de me tourner sur le ventre. Je m’exécutais. Il glissa un oreiller sous mon ventre pour redresser mon bassin, m’écarta les jambes et débuta une exploration de mes fesses, de ma raie et de mon anus, d’abord avec un doigt, puis deux, enfin avec la langue. C’était bien agréable. Lorsqu’il me sentit prêt, il glissa son gland entre mes fesses, le posa sur ma rosette qu’il avait préalablement lubrifiée et, tout doucement, par des mouvements lents et une pression progressive, franchit la barrière de mon sphincter sans autre effet qu’une légère brûlure et me pénétra de tout son membre. Je mordis les draps lors du passage du gland, puis me détendis et ressentis une chaleur m’envahir alors que sa verge emplissait mon cul et venait heurter ma prostate. C’est le plaisir qui monta ensuite, pendant qu’il me chevauchait de plus en plus vite, ses couilles venant frapper mes fesses en cadence.

J’ai finalement joui en hurlant, du cul et du sexe, répandant ma semence sur le drap de mon vainqueur.

A vrai dire, je ne m’étais à aucun moment défendu. Après l’acte, nous nous sommes encore embrassés et caressés pendant un moment. Mais son temps de repos était passé et il devait reprendre la route. Je l’ai quitté à regret et j’ai regagné ma voiture en courant, le sperme du routier italien coulant encore de mon anus et collant à mes jambes.

Un homme dans la cinquantaine, grisonnant et ventripotent m’attendait près de ma voiture ouverte. « Je vous ai gardé votre véhicule pendant que vous étiez avec cet Italien » me dit-il, ajoutant « cela mérite bien une petite récompense ». Je compris ce qu’il voulait et dans ma tenue, je ne pouvais pas faire le fier. Je lui ai donc présenté mon service trois-pièces et, à genoux, il m’a fait une fellation. Il se débrouillait ma foi pas mal et j’ai encore éjaculé pour la quatrième fois de la nuit.

Après m’être rapidement rhabillé, j’ai repris le volant et suis allé prendre une chambre dans un motel proche où, après une bonne douche, je me suis endormi comme une masse de plomb, pour ne me réveiller que le lendemain à 9 h, la bite raide.

Depuis cette rencontre, j’ai multiplié les aventures avec des hommes, lors de mes voyages professionnels, menant une double vie qui me satisfait entièrement sur le plan sexuel. Une fois seulement, par hasard, je suis retombé sur mon Italien, toujours aussi chaud et aussi muet, mais qui était accompagné d’un second chauffeur, bien plus jeune que lui. Nous avons passé toute une nuit ensemble, dans son camion, un peu à l’étroit, mais bien à labri. Quelle fête !

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