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Roxy chien fidele – Chapitre 1

Roxy chien fidele - Chapitre 1



Comme quasiment tous les jours à la pose déjeunée, je rodais dans les rayons du supermarché du coin à la recherche d’une ménagère à espionner ! Et oui c’est ma perversion ! Ma vie sexuelle en est réduite à cela, mater les femmes dans les grandes surfaces ! Mais que voulez-vous, quand on est minable, c’est jusqu’au bout ! J’adore ces femmes plus ou moins jeunes qui pour certaines se mettent sur leur 31 pour aller faire leurs courses ! De la teenager lookée à la femme BCBG, toutes m’excitent en poussant leurs petits caddys !

Donc ce jour-là, je me trouvais au rayon des détergents quand je tombe nez à nez sur la perle rare !

À quelques mètres de moi, se tient une belle grande brune de 45-50 ans, en robe fluide noire ! Le vêtement épouse parfaitement ses formes généreuses. Ses cheveux tirés en queue de cheval dégagent bien son visage fin et délicat. Elle se tourne légèrement et je découvre les formes de son opulente poitrine. Elle semble avoir des seins très volumineux et très ferme ! Je l’observe fasciné ! Elle est impeccable. Mais ce qui retient le plus mon attention, ce sont ses chaussures !

 Au bout de ses longues jambes parfaitement gainées de bas couleur chair se trouve une paire d’escarpins magnifiques qui subliment ses pieds ! Ils enferment ses petits doigts de pied dans un écrin roses en peau de lézard vernis et sertis d’une plaque en fer chromé. Ils laissent apparaitre la base de ses orteils sur le devant et ils ont un talon de 12cm au moins sur l’arrière. La plante de ses pieds est pratiquement à la verticale tellement la chaussure est droite ! Ces escarpins lui procurent une posture bien droite et une classe superbe ! Je suis hypnotisé par l’aura qu’elle dégage. Je ne peux résister et Je mets la main dans la poche de mon pantalon et je me masse le pénis à travers le tissu fin.

Du coup je ne m’aperçois pas quelle m’a démasqué et qu’elle jette sur moi un regard sévère

« Et bien on ne se gêne pas à ce que je vois ! » dit-elle avec une voix envoutante et stricte à la fois!

Je reviens sur terre d’un seul coup ! Je rougis et Je baisse les yeux de honte ! Je balbutie un « Excusez-moi madame » en sortant ma main de ma poche.

« Vous pourriez au moins demander l’autorisation avant de dévisager les gens comme cela ! Vous ne croyez pas non ? Et vous vous caressiez en plus ? C’est très minable ça ! Vous êtes un minable ? » Dit-elle avec un ton calme mais très sure d’elle. Moi de mon côté je suis assez paniqué, si elle se mettait à hurler je serai démasqué comme le pervers de service ! Je réponds avec une voix tremblotante : « oui madame, je suis un minable de me toucher comme cela mais ne dites rien, par pitié ! »

« Ce sont mes jambes et surtout mes chaussures qui semblent t’exciter, hein ? C’est bien cela ? »

« Oui madame »

« Tu as remarqué qu’elles sont sales.il faudrait les nettoyer non ?

« Oui madame » J’ai compris le message ! Docilement, je me mets à genou par terre et je dépose un peu de salive sur ses magnifiques escarpins vernis que je commence à lustrer avec la manche de ma chemise. Heureusement nous sommes entre midi et deux et le supermarché est assez désert

Quand elle voit cela, elle me repousse du pied, se baisse et m’attrape par les cheveux :

« Tu n’as pas compris mon petit toutou, il faut lécher pour bien nettoyer. »

Puis elle me rejette la tête vers ses chaussures ! Le signal est donné, je me mets à passer ma langue sur ses escarpins ! Je lèche et je bave comme un mort de faim ! De temps en temps je dérape sur ses orteils et le dessus de son pied ! Ce contacte furtif me donne une érection monumentale, enfin pour la petite fiotte que je suisJe suis totalement excité !

 Je remarque un joli tatouage tribal sur le dessus de son pied droit ! C’est tellement séduisant, ses pieds sont magnifique, je les idolâtre ! Au bout d’un moment, je tente un regard vers le haut, en espérant entrevoir sa culotte ! Mais elle le remarque, se baisse et je sens une grosse claque sur mes fesses.

Elle me dit : « ça, ce n’est pas pour toi ! Allez, relève toi et pousse mon caddy, tu vas m’aider à finir mes courses ! » J’acquiesce de la tête. « Moi c’est Madame Lydia et toi tu seras maintenant Roxy mon toutou ! »

Je me redresse piteusement. J’ai la langue pâteuse, mais comme un bon animal domestique, je me mets derrière son caddy et je la suis pendant qu’elle continue ses courses ! Elle m’a possédé. Je suis soumis à son bon vouloir. Elle le sait et me traite avec dédain Elle continue ses courses en me regardant à peine !…..

Nous faisons tous les rayons du magasin, elle achète en vrac : des préservatifs, des gants en latex, de l’huile d’arachide en grande quantité, 10m de cordes, une ceinture fine en cuir tressée et du gros scotch marron d’emballage. A chaque fois qu’elle met un de ces articles dans le caddy, elle me jette un petit regard en coin, avec un petit sourire malicieux. J’ose lui demander à quoi tout cela va-t-il servir ? Elle me dit que si j’étais trop con pour ne pas comprendre je devais fermer ma gueule et qu’elle souhaite faire ces courses en silence. L’air penaud, je me tais et continu à pousser le chariot. Nous passons devant les fruits et légumes. Là, elle se saisit d’un gros et long concombre. Elle le brandi vers moi en disant : « celui-ci, il est pour toi ! » et elle se met à rire en voyant mon visage se décomposer. Je lui dis que rien n’est jamais passé par mon derrière et elle me répond :

« Cela viendra et plus tôt que tu ne le crois Roxy. Allé, ferme-la et avance, nous arrivons enfin au rayon animalerie».

Nous nous arrêtons devant le rayonnage. Elle est toute excitée. Elle jette deux balles en mousse rigide dans le caddy et elle se saisi d’un magnifique collier de chien en cuir bleu ciel à strass avec une laisse assortie. Elle me la tend.

« Vas y passe là je veux voir si c’est ta taille ! »

Là où nous sommes il y a quelque monde et j’hésite. Elle me lance un regard noir

 « Mets la immédiatement sale chien ! »

 La noirceur de son regard me terrifie. Je me passe le collier autour du cou et je l’attache. Il me va bien. Je reste là devant elle, comme un idiot, avec ma laisse qui pend. Elle me regarde triomphante :

« Tu es sublime Roxy ! »

Deux jeunes passent à ce moment-là et je les entends pouffer de rire. Je me sens humilié. Je baisse la tête. Voyant cela, elle me dit :

« Voilà, ça c’est la bonne habitude ! Tu baisses la tête, tu te tais et tu fais ce que je t’ordonne ! Maintenant rentre la laisse sous ton blouson je ne pas que l’on nous remarque plus que ça. » Je m’exécute, et je remonte mon col pour que le collier ne se voit pas trop.

Nous continuons à déambuler dans les rayons puis nous passons à la caisse. Quand tous les articles sont scannés, elle me regarde et dit : « tu ne crois pas que je vais payer ? Une Dame comme moi se fait entretenir non ? » Je me résigne et je mets la main au portefeuille. Le caddy s’ébranle vers la sortie quand le portique de sécurité se met à sonner. Nous stoppons net, surpris. Deux vigiles un grand blond carré et un brun plus petit s’approche de nous. Je suis un peu impressionné par la carrure du blond, étant un freluquet, je baisse les yeux. Il le remarque et s’adresse directement à celle qui a l’air de représenter l’autorité de notre « couple ».

« Bonjour, Veuillez nous suivre s’il vous plait »

« Bien-sûr messieurs » réponds Madame Lydia

Nous laissons le caddy sur le côté et nous leurs emboitons le pas. Au bout d’un long couloir désert, nous arrivons dans le bureau de la sécurité. La pièce est petite, il y a des écrans de surveillance, une table et trois chaises. Ça sent la sueur et le tabac froid. Le petit brun prend la parole :

«Alors pour commencer, vous n’avez rien à nous dire ? »

« Non, rien de particulier » Réponds Madame.

« Bon, alors regardez cela ! » et ils nous passent une séquence vidéo sur le moniteur. On me voit entrain de lécher les pieds de Madame Lydia. Les deux vigiles pouffent de rire, moi je baisse la tête de honte. « On voit qui a les couilles ici », lance le blond. Puis ils passent une autre séquence ou on nous voit à l’animalerie et on me voit cacher le collier et la laisse ! D’un coup cela me revient ! J’avais toujours la laisse autour du cou et nous ne l’avons pas passé à la caisse !

« C’est du vol caractérisé ! Et c’est puni par la loi ! » dit-il.

 Je sors la laisse de mon blouson et je me lance :

« Effectivement messieurs, c’est une méprise, ce n’est pas du vol, j’ai oublié de présenter cela à la caissière, mais ce n’était pas volontaire ! Et je…»

Le brun me coupe la parole : « Tais-toi, on te parle pas à toi, on parle à Madame ! À la niche Médor ! » Il se tourne vers Madame Lydia :

« Vous comprenez qu’on ne peut pas laisser passer cela! Il faut qu’il y ait une punition! Je sais que vous êtes une bonne cliente mais votre toutou a fait des bêtises alors vous, on ne vous en veut pas, mais lui.» Les deux me regardent avec un air lubrique qui me fait froid dans le dos.

Madame Lydia sourit et répond : « Bien-sûr je comprends ! Roxy a fait des bêtises, je vous le laisse, il est à vous faite ce que vous voulez avec pour vous dédommager.. »

Le piège se referme sur moi ! Je comprends alors que je n’ai pas le choix que de me laisser faire si je veux me sortir de là. Je baisse les yeux et je dis : « bien qu’attendez-vous de moi ? » Les deux gaillards éclatent de rire : « On va t’expliquerRoxymais pour commencer mets-toi nu, qu’on vérifie que tu n’as rien volé d’autre. Par contre tu gardes la laisse! » Résigné je m’exécute. Me voilà nu devant eux ma petite queue à l’air, mes affaires jetés en boule par terre .Madame Lydia s’est mise de côté et semble apprécier le spectacle de cette humiliation

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