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Rubrique: un mec pour Alexa – Chapitre 2

Rubrique: un mec pour Alexa - Chapitre 2



Lundi soir, l’émission avait suivi son cours normal, jusqu’à ce que Mia, la standardiste, annonce a Donald qu’elle avait un appel important. Donald termina donc sa conversation avec l’auditeur qui était a l’antenne, puis il prit la nouvelle communication.

— Allô ? Fit-il distraitement, non sans son dynamisme habituel.

« Salut, c’est Alexa ! »

Johnny et Aurelie relevèrent brusquement la tête, tandis que Donald répétait :

— Alexa, Alexa ? Celle de Mercredi soir ?

« Oui c’est moi. Vous allez bien ? »

— Super et toi ? Et ton rencard alors ?

« Ben en fait, ça a rien donné… »

— Quoi ? S’écria Johnny.

— Mais qu’est-ce qui s’est passé ? S’étonna Donald.

« Ben il avait une belle voiture, un beau costard, mais rien dans le pantalon. »

— Quoi ? Attends, raconte quelques trucs! Demanda Donald.

« Ben je sais pas. Il m’a trimballée partout pour me montrer a ses copains, et une heure après il voulait toujours pas s’asseoir. »

Donald était étonné :

— Attends, Alexa… Tu l’as planté là parce qu’il voulait pas s’asseoir ?

« Non, je l’ai planté là parce qu’il voulait pas s’asseoir après que je lui aie dit que je voulais me mettre sur ses genoux. »

— T’es dure ! Lui reprocha Aurélie.

Donald secoua la tête :

— Non, moi je comprends. Quand une nana te propose de s’asseoir sur tes genoux et que tu lui dis « Attends, j’ai encore des potes qui ont pas vu tes gros seins! », je comprends qu’elle s’énerve.

« Merci Donald ». Lâcha-t-elle.

— Mais du coup, t’as trouvé quelqu’un d’autre ? S’enquit Johnny.

Elle fit silence suffisamment longtemps pour que Donald lâche, un peu gêné :

— Ah…

« Ben non, je suis rentrée chez moi en taxi, et jetais bonne pour me mettre les doigts encore une fois… »

Tout le studio avait réagi pour qu’elle ne le dise pas, mais elle était passée a-travers. Elle s’excusa quand même, mais tout le monde sentait qu’elle était désespérée.

C’est Aurélie qui reprit la conversation, au risque d’enfoncer le clou :

— Alors du coup, t’es toujours en train de chercher ? Je veux dire: t’as vraiment trouvé personne ?

« Ben voilà… J’en peux plus, je crois bien que si ça continue je vais sortir de chez moi et faire le trottoir. »

Johnny éclata de rire et Donald essaya de la raisonner :

— Non, Alexa, fais pas ça. Sérieusement, je pense que tu as juste pas de chance, et que ça va revenir. Fais en sorte d’être accessible et quelqu’un finira par tenter le coup.

Johnny essaya de chercher la source du problème :

— Dis-nous, Alexa : t’as pas fait la chieuse, si ?

« Hein ? Mais pourquoi j’aurais fait la chieuse ? Dans l’état ou je suis tu crois que je vais m’amuser a faire le chieuse ? »

— Oui tu te moques d’elle, là. Renchérit Aurélie.

— Non c’est pas vrai ! Se défendit Johnny. J’essaie toujours de comprendre comment une fille foutue comme elle peut avoir du mal a baiser.

— Surveille ton langage quand même! Demanda Donald, en riant, avant de demander : Alexa, tu en penses quoi ?

Elle sembla réfléchir puis répondit :

« J’en pense que même si je suis en manque je vais pas me rabaisser a me laisser faire comme une chienne. »

Donald éclata de rire :

— OK, ça c’était pour nos jeunes auditeurs. Merci !

— Oh arrête, il est vingt-trois heures ! Fit Aurelie.

Alexa riait, mais elle voulait ajouter quelque chose :

« Déslée, je fais ce que je peux pour pas être trop crue. Par-contre, la c’est officiel: je suis en manque. Il faut vraiment que vous m’aidiez… »

— Comment ça ? Fit Donald.

« Ben là je tremble pendant que je vous parle, et…Je sais pas si j’ose le dire… Rien que de parler a des mecs ça me fait mouiller… »

Le studio entier s’était mis a rire, et Donald essaya de sauver son honneur :

— Désolé Alexa, vraiment, mais ce que tu nous racontes c’est exceptionnel. Tu mouilles, là, tu le jures ?

« Oui, je suis sérieuse. Ça me donne des bouffées de chaleur toute la journée. Je suis comme une folle, et j’arrête pas de la toucher… »

— Toucher quoi ? Demanda Johnny, alors qu’Aurélie, morte de rire, essayait de l’empêcher de poser cette question.

Alexa eut l’intelligence de ne pas répondre, et Donald enchaîna :

— Bon, on va quand même essayer de t’aider. D’abord, est-ce que les gens savent que tu es disponible ?

Alexa lâcha un rire gêné :

« Bien sur qu’ils le savent, ça doit se voir a des kilomètres. Et même se sentir, je pense ! »

— OK. Fit l’animateur, amusé. Tu as dit a tes copines que tu cherchais quelqu’un ?

« Non, pas trop. »

— Mais pourquoi ? Elles vont t’aider a trouver quelqu’un ! Remarqua Aurélie.

« En fait, j’ai peur de ce que je pourrais leur dire. J’ai pas envie qu’elles aillent raconter que je crève la faim. J’ai pas besoin de ça… »

— OK, les copines on laisse tomber. Tu fais de la publicité a la télévision locale? Plaisanta Donald.

Alexa essaya de rire, mais on la sentit excédée.

— Excuse-moi, Alexa ! Demanda-t-il. Mais c’est difficile de t’aider comme ça.

« Tu imagines pas bien a quel point je suis chaude, là. Je crois que je vais faire brûler mon lit… »

— Hé, on se calme ! Implora Aurélie. Essaie de rester calme, et nous on va prendre des auditeurs et les mettre en communication avec toi.

— Là, elle monte en puissance de minute en minute, je crois. Fit remarquer Johnny, tout bas.

Les animateurs ne savaient pas quoi faire pour aider la jeune fille. En désespoir de cause, celle-ci ne voulut pas perdre le contact avec eux :

« Oh mais là je suis mal. Vous vous rendez pas compte, je suis euphorique. J’ai envie de… »

Elle se taisait, mais on la sentait tendue. Comme l’heure actuelle l’autorisait et qu’elle avait envie de rigoler, Aurélie la conseilla :

— Tu peux finir ta phrase si ça peut te soulager, Alexa…

« Je sais pas si je peux vraiment tout vous dire, je suis vraiment sale, là. J’ai tellement envie de sexe ! »

— Tu te sens mieux ? Demanda doucement Aurélie, dominant l’hilarité générale.

« Non, je suis de plus en plus chaude… »

— La vache… S’écria Johnny, avant de tonner : Écoute petite pétasse, je vais descendre chez toi et massacrer toute ta famille. Et je vais bouffer ton chien !

« C’est quoi cette merde ? S’écria-t-elle en-retour, intimidante. Si tu veux venir chez moi, bouffe plutôt mon cul, non ? »

La remarque fit éclater de rire tout le plateau, et malheureusement pour elle, elle ne reçut pas de réponse positive. Donald décrivit la réaction de son collègue :

— Oh la ! Si tu avais pu voir comment tu l’as fait retourner dans sa niche !

— Hé j’ai pas de niche ! Se défendit Johnny.

« S’il-te-plaît viens ! Coupa Alexa. Tu peux tout me faire comme un chien si tu veux, ça m’est égal ! »

— Calme, calme ! Fit Aurélie, choquée.

« Non mais je suis sérieuse, je veux… J’en veux, là. Je vais pas réussir à dormir sinon… »

Donald riait aux éclats. Il reprit son microphone et lui parla doucement :

— Attends, Alexa. Mia t’a trouvé quelqu’un, on le laisse parler. Allô Philippe ?

« Allô, oui c’est moi ! Fit un jeune homme. Tu es dans quelle région Alexa ? »

Elle était dans la même que lui.

— Tu es pompier volontaire ? Demanda Johnny.

« Non, mais je peux sortir le tuyau d’arrosage si il faut. » Proposa le garçon, enhardi par l’ambiance de l’émission.

Donald, Aurélie et Mia éclatèrent bruyamment de rire, mais Johnny ne perdit pas le contrôle de son microphone :

— Ha ha ! Direct le gamin : « Viens là, que je t’enfile mon tuyau d’arrosage !

« C’est sérieux. Je veux bien venir pour un cas d’urgence. » Insista le jeune homme.

« Non, ta gueule ! » Le rabroua Alexa. Arrêtez de vous moquer de moi, je suis mal là ! »

— T’es difficile en tout cas ! Nota Aurélie.

« Non, c’est pas vrai ! »

— Ben si, quand même. Reprit Donald. Tu sais rien de lui et tu veux déjà rien savoir.

« C’est parce qu’il a un caractère de merde. Je veux pas me faire arroser, j’ai besoin de baiser ! »

Johnny ne s’était pas arrêté de rigoler, et il demanda :

— Ça fait combien de temps, déjà ?

« Bientôt trois mois et demi ». Compta-t-elle, malheureuse.

Il ne put s’empêcher de rire, mais avait une proposition à lui faire :

— Écoute, je te conseille de faire ça : tu choisis un mec ce soir, qui que ce soit, et tu le laisse te calmer. Ensuite tu le jettes, et on t’aide à en trouver un autre.

« Ça va pas ou quoi ? Tu veux que j’aille me faire sauter par le premier-venu ? Bonjour le bon exemple, j’y crois pas ! » S’écria-t-elle.

— C’est vrai ça. Nota Donald.

« J’ai pas besoin que tu le dises pour avoir raison ! Se défendit Alexa. Désolée, mais là vous vous foutez carrément de moi. Vous savez dans quel état je suis, là ? »

Cette remarque excédée avait fait baisser les rires, et Donald essaya de la raisonner :

— OK, désolé Alexa, on va essayer de se calmer, tous. Est-ce que tu veux prendre un autre appel ?

« …Oui, je veux bien. »

— D’accord. On prend un garçon et tu le laisses te dire ce qu’il a à dire. Tu fais la gentille, et au pire on te donnera pas son numéro après. Ça marche ?

« Oui, ça marche. »

— OK. Mia, tu as quelqu’un ?

La jeune femme prit un casque pour pouvoir répondre à l’antenne :

— Alors… j’ai trois propositions, là : Bernard, trente ans, aide-comptable qui fait du rugby…

« Si tu pouvais me dire la longueur ça me donnerait une idée différente… » Fit remarquer Alexa.

Johnny ne put s’empêcher d’éclater de rire, mais n’ajouta rien. Mia se soumit à la demande de la jeune fille en écoutant les trois hommes répondre :

— Alors, Bernard c’est seize centimètres.

Alexa ne répondit pas tout de suite :

« OK, très bien. Et les deux autres ? »

Donald éclata de rire :

— Quoi, c’est pas suffisant ?

« Si, bien-sûr ! Mais je veux comparer. D’ailleurs, je me fous de leur métier, au cas-où. »

— D’accord, d’accord. Fit Mia. Alors le deuxième, c’est Émeric. Il a vingt-trois ans, fait du vélo de descente, et il dit qu’il a vingt-et-un centimètres.

Comme Alexa avait l’air d’attendre, Mia termina :

— Le troisième, c’est Arnold, vingt ans. Il est moniteur en colonies de vacances, et il a quatorze centimètres.

« Ouais, OK. Lâcha Alexa. Passe-moi le premier, alors. »

— Ben quoi, t’as peur de vingt-et-un centimètres ? S’étonna Johnny.

« Pas du tout. Mais j’aime pas le vélo de descente. » Répondit Alexa.

— Mon cul, t’as peur ! Provoqua-t-il.

« J’ai peur d’aucune bite, petit con ! Se défendit-elle. Je voulais pas le dire, mais je parie qu’il a la à-peine les deux tiers. »

— Il dit que t’as qu’à venir essayer. Répondit Mia.

— Attends, laisse-le parler, mets-le à l’antenne ! Ordonna Donald.

Le garçon prit immédiatement la parole, sûr de lui :

« Hé, Alexa. Supposer c’est bien, mais le mieux c’est de voir les choses de ses propres yeux. »

« Oui ben je m’en fous. Je préfère seize centimètres de dur qu’un serpent tout mou. »

— Ouais mais tu sais pas s’il est dur ou mou ! S’écria Donald.

« Désolée, mais je le sens vraiment pas. » Fit la jeune fille.

— Tu le sens pas, tu le sens pas… Commença Donald, interrompu par Johnny :

— Je sais pas comment est Émeric, mais toi en tout cas t’es bien dure !

Alexa trouva cela drôle elle-aussi, mais elle s’excusa :

« Non mais sérieusement, je le sens pas. Croyez-en mon expérience… »

— De quelle expérience tu parles ? Interrompit Johnny. Depuis le temps que tu baises pas on pourrait dire que t’es à la retraite !

« Sûrement, sûrement… »

— Bon, ben désolé Émeric. Fit Donald. Tu veux saluer quelqu’un ?

« Oui, mon frère et ma s?ur. Je sais qu’ils vous écoutent tout le temps. Fit le jeune homme. Bonne soirée à tous ! »

— Merci, on t’adore. Répondit Donald.

— Je lui passe Bernard ? Proposa Mia.

— Oui, envoie. Fit Donald. Allô Bernard ?

« Oui, allô ? »

— Salut Bernard, ça va bien ?

« Parfaitement, et vous ? »

— Impec’ ! Tu veux parler à Alexa ?

« Volontiers, oui. »

— Qu’est-ce qui t’intéresse chez elle ? Fit Aurélie.

Elle préférait retarder la confrontation directe, pensant que cela aiderait Alexa à mieux accepter ce nouveau-venu.

« J’ai entendu sa description Mercredi passé, et je pense que c’est mon genre de filles. »

— Qu’est-ce qui t’a intéressé le plus ? Demanda Aurélie.

— Ses seins. Répondit Johnny.

« Ben… Je serais curieux de les voir, en effet, mais c’est surtout de savoir qu’elle est mince. Et si elle dit la vérité elle a une taille qui me convient bien. Moi je fais un mètre septante. »

— C’est une taille qui te conviendrait, Alexa ? Demanda Donald.

« Pour tout vous dire je suis plus intéressés par sa taille en centimètres. » Lâcha-t-elle.

L’animateur se mit à rire, et Aurélie parvint à lui demander autre chose :

— À-part le physique, tu penses avoir trouvé quelque chose chez Alexa ? Comment tu la vois au niveau de son caractère ?

« Ben… je pense qu’elle est un peu fofolle en ce moment, mais elle a l’air sympathique. » Fit Bernard.

— Et sexuellement, tu l’imagines comment ? S’enquit Johnny.

Bernard riait doucement :

« Je pense pas que ce soit le genre de filles à en demander tous les soirs. Elle a des semaines d’abstinence derrière elle, mais tout le monde serait comme elle dans cette situation. »

Doland éclata de rire :

— Qu’est-ce que tu en dis, Alexa ?

« C’est pas vrai, j’adore baiser. » Fit Alexa.

Johnny éclata bruyamment de rire, et Donald reprit :

— Bernard ? Bernard, écoute ! Comment tu la vois dans la vie quotidienne ? Je veux dire en-dehors du lit.

« Ben je sais pas, elle a l’air gentille. Je pense pas qu’on l’oublie tout le reste de la journée, justement. »

— Et tu envisagerais de rester avec elle si le courant passe ?

— Je crois que c’est pas du courant qui va passer si ils se rencontrent. Nota Johnny.

Bernard l’ignora :

« Franchement, à-partir du moment où je m’entends bien avec une fille, je me vois bien rester en couple avec elle. »

— Qu’est-ce que tu en dis, Alexa ? Demanda l’animateur principal.

« Honnêtement, je peux rien vous dire. J’ai d’autres urgences, là… »

— Fais un effort, Alexa ! S’écria Aurélie.

« Ouais, OK, pardon. Je dirais que c’est pareil : si je me plais avec lui, pourquoi pas ? »

— Pas mal. Moi je trouve ça cool. Fit Donald. Bernard, on va te laisser nous donner ton numéro hors-antenne, et on le passera à Alexa, t’es d’accord ?

« Avec grand plaisir, merci beaucoup. Bonne soirée Alexa ! »

« Je passe pas une bonne soirée et vous savez tous très bien pourquoi. » Se plaignit-elle.

— OK, en tout cas t’es de bonne humeur. Nota Donald, amusé. Prends ton mal en patience, et tu reviendras nous dire ce que ça donne si tu veux. T’es d’accord ?

« Ouais… »

— Bonne nuit Alexa, essaie de tenir le coup !

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