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Sexe et religion – Chapitre 2

Sexe et religion - Chapitre 2



Deux jours plus tard, nous étions le 1er Mai et je lui demandais sil avait quelque chose de prévu pour le soir même. Mayant confirmé quil était libre, je lui demandais de réserver sa nuit pour moi. Dans laprès-midi, jallais réserver une chambre dhôtel pour notre première (et unique) nuit ensemble.

Le moment venu je lui demandais de venir me chercher pour nous rendre à lhôtel. Je savais quil aimait beaucoup les tenues décolière et javais donc mis une courte jupe rouge à carreaux avec une chemise blanche qui épousait parfaitement la forme de ma poitrine. Pour la lingerie, javais opté pour un ensemble trois pièces en dentelle noire (soutien-gorge, string et porte-jarretelle) avec une paire de bas noirs et une jarretière noire ornée de dentelle.

Arrivés à destination nous avons posé nos affaires et je lui donnais quelques informations sur la chambre dont lheure à laquelle il fallait la rendre, quil y avait le satellite et que la pièce était insonorisée.

Dès quil eut posé ses affaires et retiré ses chaussures, il ouvra un peu la fenêtre, saisit son paquet de cigarettes et la télécommande avant de sinstaller confortablement sur le lit pour regarder Mission Impossible 2 ! Je nen revenais pas et lui ai clairement dit que je navais pas payé la chambre pour regarder la télé. Il fit comme si de rien nétait et monopolisa son attention sur lécran. Dépitée je lai rejoint et me suis blottie contre lui. Jai supporté ça environ la moitié du film avant de prendre enfin les choses en main, avant de me retrouver condamnée à une soirée « maison de retraite ».

Je passais ma jambe sur la sienne en me tournant face à lui comme pour mieux minstaller et chercher des câlins. Innocemment je remontais mon genou jusquà son entre-jambes et je larrêtais lorsquil entra en contact avec la bosse dure dissimulée sous le pantalon. Je lécrasais doucement pour faire comprendre à ce trentenaire que la jeune femme de dix-huit ans allongée à ses côtés navait pas la moindre envie de passer une soirée télé mais au contraire une nuit des plus mouvementée…

Il ne comprit pas de suite ce que je manigançais mais au bout dun moment il saisit. Son bras qui était enroulé autour de mes épaules sallongeât peu à peu pour placer sa main sur un de mes seins et le caressa du bout de doigts. Puis il le fit glisser sous mon bras pour pouvoir mieux passer sa main sur la peau de ma poitrine qui nétait pas recouverte par ma chemise et sur mon ventre. Je sentais le désir croître en moi par le flux et reflux des vagues de chaleur qui déferlaient de plus en plus fortes à mesure quil se faisait plus précis et insistant.

De mon côté, je ne restais pas inactive, frottant vigoureusement la bosse à présent parfaitement solide à travers le vêtement en la serrant plus ou moins fort. Ma langue passait sur son cou dans une douce caresse, mes dents agaçaient gentiment le lobe de son oreille tandis que mon souffle le faisait frissonner de désir. Sans arrêter ces délicieuses caresses je grimpais sur lui en plaçant ses jambes entre les miennes et posais mon derrière sur ses cuisses. Je lembrassais à pleine bouche, goûtant la saveur de ses lèvres et de sa langue mêlée à celle de la nicotine, une de mes mains se glissa sous son t-shirt pendant que lautre me servait dappui. Je me retrouvais donc à quatre pattes le postérieur cambré au-dessus de cet homme que je désirais tant que mon string en était tout mouillé.

Il me caressait maintenant le dos et les fesses avec beaucoup dinsistance, laissant ses doigts ségarer sur ma raie et sur mon con en passant sous ma jupe. Mon corps bougeait de façon lascive, faisant parfois effleurer mes seins prisonniers sur son torse. Je laissais progressivement mon bassin descendre jusquà ce que dans mes mouvements je simule lacte sexuel contre la proéminence qui poussait le pantalon. Lentement je massis sur son entre-jambes et, de mes mains placées sur son dos, lattirais à moi tout en lembrassant. Quand il fut assis je lui enlevais son t-shirt et il se rallongeât en me dévorant des yeux. Sans le quitter du regard je déboutonnais ma chemise qui contenait à grand peine ma poitrine puis je la retirais de mes épaules et la jetais sur la moquette. Je repris mes baisers en me couchant presque sur lui et dans un seul mouvement de sa part il se retrouva sur moi.

Profitant de sa position, il quitta ma bouche pour lécher mon cou et une de mes oreilles en les mordants sensuellement, puis il dériva sur ma poitrine en la dévorant littéralement. Ses mains me caressaient des cheveux jusquau ventre, lorsquelles rencontrèrent ma jupe, alors il chercha et trouva la fermeture et me lenleva. Il admira quelques instants mon corps à présent uniquement recouvert de ma lingerie noire et repris ses caresses avec beaucoup plus de ferveur. Il glissa deux de ses doigts dans la fournaise liquide quétait devenu mon vagin en frottant du pouce mon clitoris dressé de désir. Je gémissais fort, ondulant sous leffet que me procurais ses attouchements.

Après avoir jouis une première fois, je le remis sur le dos et lui ôta son pantalon et son boxer qui semblait trop petit pour lui, javais peut-être cette impression à cause de sa bedaine soigneusement entretenue… Quand je lui enlevais le dernier rempart de tissu, son membre viril jaillit comme un diable hors de sa boîte.

Je lobservais un peu, dun il plein de lubricité tout en caressant ses cuisses qui faisaient presque deux fois les miennes, inexorablement elles se rapprochaient de leur objectif. Mes doigts effleurèrent ses bourses sur toute leur surface, leur faisant parfois toucher son anus, ce qui le faisait instinctivement serrer les fesses, ils se dirigèrent ensuite vers la colonne de chair qui bougeait par à-coups toute seule comme animée dune vie propre. Je fis quelques mouvement de vas et viens dune main un peu lâche mais caressante.

Enfin, je me penchais sur lui et lui prodiguait la fellation dont il semblait mourir denvie. Cétait un peu désagréable à cause des poils qui me chatouillaient le nez et qui menaçaient de me faire éternuer, mais je my appliquais encore plus consciencieusement que la dernière fois, ouvrant même ma gorge pour la première fois à une queue, serrant un peu mes dents juste assez pour quil les sente pendant que je remontais ma bouche jusquau gland. Je répétais ce mouvement entre chaque pause dun pompage intensif durant lesquelles je faisais virevolter ma langue tout autour et tout le long du pénis. Je le pompais avec gourmandise jusquà ce que sa semence jaillisse et aille frapper le fond de ma gorge, javalais tout sans le relâcher de lemprise de mes lèvres puis je nettoyais soigneusement la hampe de ma langue ainsi que le gland qui bénéficia dune attention toute particulière.

Il me ramena vers lui, membrassa à pleine bouche, me mit sur le dos et descendit à nouveau vers mon minou détrempé. Il plongea sa tête entre mes cuisses et repris son exploration avec sa langue et ses doigts. Cétait divin et je me mis à crier lorsque son doigt caressa mon illet. Il fit des allers retours entre mes deux trous, lubrifiant le seul encore vierge avant dy enfoncer son index. Le frisson de plaisir dune puissance que je navais pas encore connue me parcourut le corps du bout de mes orteils jusquà la racine de mes cheveux, laissant ma peau hérissée de chair de poule. Il le faisait bouger doucement dans mon fondement ce qui me procurait un immense plaisir mais aussi le désir ardent de le sentir en moi dans ce conduit auquel je naurais jamais songé pour me procurer du plaisir.

Je mis donc un terme à ce préambule brutalement en le repoussant et en me mettant à quatre pattes. Jécartais bien les jambes pour lui offrir une entrée royale et me cambrais au maximum pour dévoiler à ses yeux mes trésors intimes

Il enfila prestement un préservatif et entra en moi, faisant coulisser langoureusement la colonne de chair dans mon con en se tenant à mes hanches pour conserver son équilibre. Mais jétais beaucoup trop excitée et le rythme était beaucoup trop lent à mon goût étant donné mon état… Aussi je plaçais mes avant-bras à plat sur le lit, agrippais fermement le drap de mes deux mains en y enfonçant mes ongles. Lorsque ma position fut assurée je donnais un grand coup en arrière avec mon corps, au moment où il reculait en ne laissant en moi que son gland violacé, en lui disant sans tourner la tête vers lui : « Vas y prend moi fort ! Jai envie de te sentir au fond de ma chatte ! ».

Alors il sexécuta, se cramponnant plus fermement à ma croupe. Il me donnait des coups de boutoir aussi puissamment quil le pouvait, abandonnant toute douceur comme si ma chatte béante et dégoulinante nétait plus que le trou dune poupée gonflable ou un punchingball pour queue… Jaimais ça. Cétait nouveau pour moi dans un sens car javais déjà subi des assauts…enthousiastes, mais cette partie de jambes en lair cétait tout à fait différent.

Je prenais du plaisir comme jamais et dans le secret de mon esprit, je hurlais à men faire exploser les tympans si je le faisais réellement. Je sentais mon crâne sur le point dimploser tant la pression de mes pensées était forte. Je magonisais dinjures toutes plus dégradantes et humiliantes les unes que les autres… « Ah oui baise moi ! Baise ta sale chienne ! Hum, tu laime ma chatte débordante de mouille ! Frappe-moi ! Oh oui fous moi des claques sur mon cul offert ! Défonce-moi ! Prend moi ! Vide-toi en moi !… » Je nétais plus moi, la jeune femme sage que tout le monde connaissait, je nétais plus que plaisir. Mon corps et mon esprit étaient des objets dédiés à la jouissance. Je jouis quelques secondes avant lui en poussant un grognement bestial, presque un rugissement, et je me suis écroulée, tremblant de tous mes membres, le corps couvert de sueur, sans plus aucune force même pour mallonger complètement

Quand nous avons retrouvé notre souffle, nous nous sommes allongés lun contre lautre, je me suis blottie contre lui et mendormie épuisée tandis quil me serrait contre lui pour regarder la fin du film. Je dormais sur le côté droit quand je le sentis se mettre contre mon dos, passant son bras autour de moi et nichant sa tête dans mon cou. Je me réveillais deux ou trois heures plus tard avec la désagréable sensation dêtre un vieux four bruyant. Cétait le cas dans un sens… Nathan était collé à moi comme sil voulait fusionner nos corps, je transpirais énormément, comme si des litres deau suintaient de ma peau, et il poussait des ronflements extrêmement fort, juste à côté de mon oreille. Je passais donc un très long moment à tenter de me libérer de cet étau.

Cest avec bonheur que je passais le reste de ma nuit au bord du lit, mon corps menaçant de basculer pour se retrouver sur la moquette. Je me levais tôt, pris une douche chaude que je terminais par une eau glacée. Nous avons pris un petit déjeuner très agréable et très calme avant quil me raccompagne en bas de chez moi.

La journée se déroula tranquillement jusquà la fin de laprès-midi… Il menvoya un message dans lequel il me quittait, je lui demandais pourquoi et il me répondit quavoir des rapports sexuels avant le mariage est un péché et quil est protestant. Je partis dans une colère noire car il ne mavait rien dit mais surtout, il avait deux adorables fillettes dune dizaine dannées de mères différentes et quil na jamais été marié. Je lui dis sans prendre de gants que la religion ce nest pas à la carte, que je naurais rien fait sil me lavait dit etc… Jachevais ma tirade en disant que ce nétait plus la peine despérer de moi autre chose que du sexe mais quil devait sattendre à aller en enfer parce que le sexe en dehors du mariage est un péché.

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