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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 7

SIMPSONNERIES DEFENDUES - Chapitre 7



Ne laissant pas le temps à Bart de se remettre de ses émotions, Jimbo sinstalla entre ses cuisses grêles et commença à lui embrasser le pubis. Le souffle du jeune était saccadé, pleurant nerveusement par trop de jouissances successives.

La langue de lado lécha les bourses et ségara à la base dune petite trique incontrôlable. Il goba une à une les petites couilles, et frotta de la main la bite. Jimbo ouvrit grand la bouche et engloutit lorgane tout entier. Les lèvres se refermèrent sur le membre, lui encercla les bourses avec. Sans y penser, Bart caressa les cheveux de lado, qui effectuait des va-et-vient avec sa bouche gourmande. Il lécha le gland tout rouge, puis reprit la petite queue dans sa bouche. Sous ses fesses, le garçon sentit Kearney ou Doplh insinuer un de leurs doigts vers son trou de balle. La première phalange appuya doucement sur le sphincter anal, et Bart sentit une envie de pisser le gagner. Il serra les dents pour se retenir au maximum. Quarriverait-il sil déversait son trop plein durine dans la bouche de Jimbo. Une bouche qui avait de nouveau happé le pénis et accélérait le mouvement, exerçant une pression plus importante des lèvres.

Bart respirait de plus en plus fort, ne pouvant plus me retenir. Il nétait quun jeune préado sans sperme, et ce quil laissait à présent couler dans la bouche de Jimbol’extase ! Le garçon travaillait de la bouche avec un tel enthousiasme quil avala tout, sans même en remarquer la saveur. Jusque à la dernière goutte, il garda le sexe de Bart dans la bouche. Il le lapa longuement avec la langue alors que ce qui se dressait en haut des cuisses du garçon sétait remis à pendouiller. Vidé de toute vigueur, Bart navait plus de jambes et il se laissa tomber à terre.

Jusquà la fin de la colonie de vacances, le jeune Simpson resta le petit amant spécial des trois ados, passant entre leurs mains à tour de rôle. Bart apprit à branler, à lécher et reçut ses premiers cours de sodomie, que ce soit avec le doigt ou avec la queue. En échange, Jimbo et ses copains le protégeaient contre les plus grands qui lui auraient cherché des noises.

La plage où se rendait le camp d’été était isolée dans une espèce de calanque à laquelle on accédait par un escalier plutôt raide, taillé dans la roche. Quelques rares buissons épineux ajoutaient de la couleur au décor dépouillé. Bart n’avait d’yeux que pour les filles, avec des regards plus qu’ardents vis-à-vis de Jessica. Parmi les enfants de la colonie, dès le voyage en car, Bart lavait remarquée. Elle avait à peu près son âge, mais sa poitrine était déjà ornée de deux jolies mandarines que l’on remarquait sans problèmes. Il détaillait les formes de son corps, s’attardait sur ses seins naissants, son petit cul rond et ses jambes de sauterelle galbées et musclées. Le garçon parvenait à l’imaginer sans rien.

Il arrivait aussi, en fin d’après-midi, que certains enfants se changent, sans le moindre complexe, devant tout le monde. Il s’agissait surtout des plus jeunes et ils s’exhibaient sans la moindre révolte de pudeur. Mais Bart ne l’aurait sûrement pas fait sur la plage, devant tout le monde. Il trouvait aberrant de pouvoir se rincer l’il en voyant des fentes et des zizis prépubères.

Une fois, alors qu’il était assis en tailleur sur sa serviette, une fille de onze ans se planta face à lui, entièrement nue. Elle vaquait innocemment, ne pensant absolument pas à dissimuler sa vulve. Depuis sa place, il la voyait en détail, sentant son zizi palpiter très agréablement. Heureusement, pas au point de provoquer une érection qu’il aurait eu du mal à dissimuler sous le maillot.

Quelquefois, c’étaient les garçons qui se révélaient les plus impudiques. Ils montraient une biroute, parfois ridicule, sans s’apercevoir du trouble qu’ils provoquaient chez certaines petites filles. Et cet examen attentif conforta Bart dans ses convictions. Il n’était pas si mal gaulé que ça. A part ses camarades de chambrée et lui, tout le monde s’était déjà retrouvé sur la plage en tenue d’Eve ou d’Adam. Sauf Jessica.

Vers la fin du séjour, en allant se baigner, elle plongea à côté de Bart, l’éclaboussant copieusement au passage. Sous l’eau, il sentit sa main frôler son entrecuisse puis, plus franchement, toucher mon zizi. Les doigts de Jessica gratouillèrent l’endroit, malgré le tissu qui moulait l’organe. Bart surgit brusquement de l’eau, tel un monstre aquatique.

Hé ! S’écria-t-il. Pourquoi tu me touches le sexe ?

Loin de se mettre à rougir, Jessica rit de sa petite voix et s’approcha un peu plus de lui, en faisant peser ses mains sur ses épaules. Elle força Bart à s’accroupir dans l’eau, face à elle. Comme si elle voulait lire la vérité au fond de ses iris, elle interrogea le garçon en attachant son regard au sien.

On te l’a jamais touché ?

« Si tu me laisses te toucher la pine, ajouta-t-elle d’un air intrigant, je te laisserai me toucher les seins, l’été prochain, quand j’en aurai !

Jessica lui présenta sa poitrine, comme un argument, se cambrant pour mettre encore plus en évidence ses appendices féminins. A présent, Bart rêvait de les voir nus.

Oui, mais je ne sais pas si je serai là, l’année prochaine, expliqua le garçon en bafouillant d’une voix mal assurée.

Bart était tout de même surpris par la proposition, aussi lubrique soit-elle.

Comme il devait trop tarder à son goût pour répondre, Jessica se détourna et commença à s’éloigner. Bart la vit rejoindre, à la brasse, un petit groupe de garçons dont faisait partie Jimbo. Il se ravisa et rattrapa la jeune fille.

C’est d’accord !

Son visage encore un peu enfantin s’éclaira d’un sourire. Son regard était brillant de lubricité, la mine gourmande. Contrairement à Bart, un peu sur la défensive. Jessica lui prit la main et le fit sortir de l’eau. Sans se faire voir par les moniteurs, ils s’éloignèrent derrière une dune. De nombreux buissons de tamaris avaient poussé à même le sable. Le couple juvénile avait tout le loisir de se dissimuler derrière. Ce qu’il fit.

S’agenouillant devant Bart, Jessica entreprit fébrilement de dénouer le cordon de son maillot de bain. La bosse que faisait son pénis était à peine visible. Mais le garçon eut une appréhension en réalisant ce que sa copine voulait faire. Il arrêta son geste.

Non ! Gémit-il, craintif.

Tais-toi, idiot ! Lui rétorqua Jessica un peu rudement. Si tu veux que je le touche, il faut que je le vois ! Et pour que je le vois, il faut que tu enlèves ton maillot ! Se justifia-t-elle en tirant sur le cordon.

Un peu humilié, Bart sentit ses joues s’empourprer en laissant une fille baisser son maillot sur ses chevilles. Il tenta de dissimuler son petit membre au creux de ses jambes serrées. Pendant un court instant, qui lui sembla durer une éternité, Jessica considéra la chose, puis elle demanda à son camarade de s’allonger. Bart s’exécuta sur la plage, sentant des grains de sable s’insinuer dans la raie de ses fesses. Toujours vêtue de son bikini, Jessica s’accroupit à côté de lui et, sans l’ombre d’une hésitation, saisit délicatement sa bestiole de la main gauche.

Le contact était d’une douceur inimaginable. Elle tripota le prépuce, tout en le laissant soigneusement en place. Le sexe de Bart palpita, puis ne tarda pas à lentement s’ériger. Jessica recula précautionneusement la peau et décalotta franchement le gland. L’organe se mit à grossir et à se redresser. Le visage de Bart montrait son trouble, mais également le plaisir qu’il recevait, un peu malgré lui. Il avait les joues rouges de honte et d’excitation. Il grinçait des dents en se trémoussant du popotin, plantant ses ongles dans le sable de la plage.

La main de Jessica éplucha et recouvrit totalement le gland, faisant mouvoir le méat comme s’il s’agissait d’une petite bouche. Elle manipula la tige chapeautée en gamine habituée à ce genre d’exercices. Elle tritura le prépuce avec une lenteur insupportable, presque exaspérante. Bart eut envie de la faire cesser pour se finir à sa place. Mais il fut incapable de bouger, paralysé par la jouissance qui montait en lui.

Son pénis se retrouva agacé de multiples caresses. Ses couilles gonflées de désir sautaient et rebondissaient entre ses cuisses. Il les écarta lentement et docilement, tandis que son sexe s’érigeait dans la main douce et experte de Jessica. Malgré ses incessants mouvements de va-et-vient, le pénis de Bart refusait de se redresser à l’horizontale, au paroxysme de l’érection. Il bandait à la verticale, le zizi pointant vers le ciel au lieu de se redresser en direction de son nombril. Le gland était gonflé par l’afflux du sang, ce qui lui donnait une teinte un peu pourpre. Jessica finit par lâcher la bite.

Tandis que Bart restait allongé, un peu frustré de n’avoir pas atteint l’orgasme, il vit Jessica regarder furtivement autour d’elle. Le cur du garçon se mit à battre plus vite. Paniqué, il se redressa en s’appuyant sur ses avant-bras, puis il tourna instinctivement son regard en direction de la dune, s’attendant à voir apparaître un moniteurs à son sommet. Mais la crique était déserte, comme enclavée dans le secret qui liait les deux préados. Aucun bruit ne se faisait entendre, mis à part le ressac.

Jessica se tenait debout face à Bart, qui ne quittait pas des yeux le petit slip bleu ciel qui masquait d’un triangle son sexe. Ce qui venait de se passer gênait le garçon et il n’osait pas affronter le regard de la fillette. Même si ses deux polissons avaient été plus consentants qu’innocents, Bart avait honte.

Tu veux que je te montre le plus beau coquillage du monde ? lui demanda Jessica tout d’un coup.

Elle esquissa un sourire en venant se placer entre les chevilles écartées de Bart. Ainsi, elle avait une vue plongeante sur son sexe. Il n’était plus vraiment en érection, mais palpitait encore d’un orgasme inassouvi. Il était encore un peu ferme, mais moins rond et toujours aussi limité.

Si on met son oreille tout contre lui, on entend la mer ! continua Jessica d’un ton intrigant.

Mais on l’entend la mer, ici !

Bart avait réponse à tout.

Sans dire un mot, Jessica agrippa son bikini à la ceinture, introduisit ses pouces à lintérieur, puis le fit glisser jusqu’à ses genoux en l’enroulant sur l’élastique. Sa fente, nichée en haut des cuisses, apparut devant les yeux écarquillés de Bart. Elle se détachait en plus rose de la blancheur laiteuse de la peau, marquée par le maillot.

Quelques poils fournis avaient poussé là où sa vulve prenait naissance.

Bart sentit son ventre s’alourdir. A l’exception de celui de ses deux surs, il s’agissait du premier sexe de fille qu’il voyait aussi nettement. Il la regardait sans bouger. Il aurait voulu remonter son maillot sur sa taille et rejoindre les autres en courant. La vue de ce sexe pré-pubère l’attirait irrésistiblement.

Se mettant péniblement à genoux face à Jessica, il s’en approcha et put le détailler. De nouveau raide, son membre s’extirpait en haut de ses cuisses, dressée comme un minuscule paratonnerre.

La fente vulvaire était plus droite que celle de Lisa, moins longue et bâillait un peu. Tandis qu’il constatait la convexité du pubis, Jessica y plaqua sa main, sans regarder le gamin. A l’aide de deux doigts, elle décolla les muqueuses et fit apparaître l’entrée du vagin. En faisant coulisser son index entre deux lèvres épaisses et pulpeuses, elle tressaillit. La gamine ferma les yeux, rejeta légèrement la tête en arrière et fit béer davantage les abords immédiats de son sexe.

Du regard, Bart y vit les nymphettes rouges qui en constituaient l’intérieur. Les doigts de Jessica descendirent le long de la blessure intime. Elle écarta davantage les jambes, serra les fesses et se cambra. Le garçon avait le visage à moins de quinze centimètres du sexe presque glabre.

Le bouton s’allongea quand elle le tritura du bout de l’ongle de son majeur. Il était tout rose, fin comme une minuscule quéquette de Schtroumpf. Jessica tremblota sur ses jambes. Bart crut même qu’elle allait tomber en arrière. Son pénis commençait à perdre de sa rigidité. Il lui tardait de remonter son maillot et de couper court à cette exhibition obscène. Même si elle était réciproque.

Jessica abandonna cet organe et passa à l’extrémité de son mont de Vénus enfantin. D’où il était, Bart voyait le périnée et la naissance de la raie fessière. S’il avait été intrigué et diverti par la mise à nu de la gamine, il était dégoûté maintenant.

Il baissa les yeux vers son organe toute mou. Il le prit dans sa main pour le remettre en place, c’est-à-dire pendouillant entre ses cuisses. Il remonta son maillot, en noua maladroitement le cordon en grimpant la dune, sans se retourner, avant de rejoindre la colonie.

Bart eut l’impression que ce qu’il venait de se passer se lisait sur son visage. Jessica ne refit son apparition que dix minutes plus tard. Sûrement avait-elle pris le temps de se masturber. Elle n’adressa plus la parole au fils Simpson jusqu’à leur retour. Sur le parking de la mairie de Springfield, quelle ne fût pas sa surprise en voyant la voyant se jeter au cou du révérend Lovejoy, le pasteur anglican de l’église de la ville. Jessica embrassa son père, lui murmura quelques mots à l’oreille qui le firent sourire et elle alla embrassa Bart sur la joue. Elle lui sourit.

Tu ne seras peut-être pas obligé dattendre lannée prochaine, lui dit-elle simplement, se cambrant jusque ce quil faut pour faire saillir sa poitrine.

(à suivre…)

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