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Soumise, sinon rien. – Chapitre 10

Soumise, sinon rien. - Chapitre 10



Le fait de se fourrer les doigts l’excitait encore plus. Tant mieux, c’était le but. L’exciter encore et encore pour lui en demander toujours plus.

— Apparemment, tu plais beaucoup au serveur. IL avait l’air très ému.

— Oui, j’ai vu.

— Sache que la prochaine fois, il n’est pas impossible que je te demande d’aller aux toilettes avec lui, afin qu’il puisse profiter de toi !!

— D’accord. De toute façon, je ferme ma gueule et j’obéis, c’est bien ça ?

— C’est exactement ça. Tu n’as plus ton mot à dire. De toute manière, en acceptant, tu savais à quoi tu t’exposais ?

— Oui. Même si l’acceptation a été dure, au final, je me suis rendu compte que ce que je voulais, c’était toi. Et vu que le seul moyen d’y parvenir était de devenir ton esclave, ta soumise comme tu dis, j’ai abdiqué.

— Attention ! Esclave et soumise, ce n’est pas pareil. Tu noteras, comme je m’y suis engagé, que je prends soin de toi. Tu ne fais pas de corvées, comme une vulgaire esclave. Tu es juste soumise à mon vouloir et mes désidératas.

— Oui, enfin, pour moi, c’est pareil.

— Ne crois pas ça. Si tu veux que je me serve de toi comme esclave, on peut faire le test. Tu verras que tu vas très vite déchanter.

— Non, ça va. Je te crois.

— N’arrête pas ! Continue de te fourrer les doigts et de bouffer ta mouille. Tu aimes ça, hein ?

— Franchement, c’est pas mauvais. Ce matin, j’ai même trouvé très bon de lécher Fabienne.

— C’est bien ma belle. Tu me fais plaisir quand tu dis ça. Bon, allez, c’est pas tout ça, mais on a encore des choses à faire.

Après avoir payé l’addition, direction un magasin dans zone industrielle, de vêtements et lingeries érotiques.

La porte du magasin passée, une jeune femme, environ 25 ans, vint à notre rencontre.

— Bonjour, qui puis-je pour vous ?

Je lui répondis

— Nous avons besoin de vêtements et lingerie pour madame.

— Oui, bien sûr. De quel type ?

— Robe moulante et échancrée, jupe, chemisier, lingerie. Les robes doivent être très sexy et assez ouvertes. Les chemisiers, dans la transparence.

— Très bien. Et pour la lingerie ?

— Elle ne portera que des bodys, impérativement transparents. Montrez-lui aussi quelques nuisettes du même acabit. Et j’ai vu que vous aviez des combinaisons aussi, en tulle.

— Je vois que vous avez des gouts très arrêtés.

— Tout à fait. D’ailleurs, ajoutez aussi des bas autofixants.

— Parfait, je m’occupe de tout ça. Veuillez me suivre.

Après avoir erré dans les rayons pendant plus de 20 minutes, nous voilà devant les cabines d’essayage.

— Bon, ben va falloir essayer tout ça maintenant !! La cabine est juste là.

— Non ! Pas de cabine. Elle va essayer devant nous. Steph, déshabille-toi !

Stupeur dans le regard de la vendeuse.

— Ecoutez, vu les articles que vous vendez, pas de quoi vous offusquer. Nous sommes les seuls clients et ma soumise rêve de se foutre à poil devant vous… voire plus si affinités…

— Vu comme ça.

Steph, résignée, ôta sa veste et sa jupe. Elle fit aussi tomber son body. Gênée, elle se tenait cependant tête haute et commença les essayages.

Tout lui allait à la perfection.

— Dites-moi, les produits que vous avez choisis sont tous ajustables ?

— Oui, pourquoi ?

— Je compte bien lui faire reprendre des seins et du cul, et je ne voudrais pas avoir à tout racheter.

— Tous les produits lingerie sont en tulle et élasthane. Donc, aucun souci. Pour les vêtements, c’est plus compliqué, mais ça devrait aller.

— Parfait. En tous cas, vous avez fait d’excellents choix. Comment vous remercier de nous avoir si bien aidés ?

— Mais je vous en prie. Je n’ai fait que mon travail.

— Permettez-moi d’insister, svp. Ma très chère soumise est une experte des cunnilingus. Si ça vous tente.

— Dit comme ça, je veux bien.

— Allez Steph, montre à la dame ce que tu sais faire.

Elle s’approcha alors de la vendeuse, dézippa la fermeture de sa jupe et descendit son shorty. Elle débuta alors son cunni, dont la vendeuse semblait se délecter. Après avoir joui, elle nous remercia et nous encaisse, non sans nous avoir fait une belle petite remise.

C’est sur ces emplettes que nous prenions le chemin de retour, après avoir fait un détour, finalement très rapide, par chez elle.

— J’ai trop envie de te bourrer Steph. Toute cette journée passée avec toi m’a bien fait monter la sauce.

— Cool. Trop bien, car je me sens frustrée. J’ai trop envie que tu me baises.

— J’ai une petite surprise pour toi à l’appart.

— Ah, c’est quoi ?

— Tu verras…

Arrivés dans l’appart, je demandais à Steph d’aller poser toutes ces affaires dans sa chambre, puis de revenir au salon, nue et de se mettre en position.

Fabienne venait tout juste d’arriver, elle aussi. Ne pouvant pas rester car elle avait une soirée, elle m’expliqua le fonctionnement de la trayeuse. Rien de bien compliqué en soit.

Les deux filles se croisèrent. Fabienne en partant, Steph en arrivant. Fabienne lui claqua les fesses en lui disant.

— J’en connais une qui va connaitre des nouvelles sensations. Amuse-toi bien. En tous cas, profite…

Steph me regarda avec un air interrogateur.

Fabienne nous quitta.

Steph était devant moi, en position. Debout, les jambes écartées, les mains derrière la nuque, les coudes tirés en arrière.

— Ma petite Steph, comme je te l’ai déjà dit, tes seins et ton cul ont trop perdu. Ca me plait moyen. Tu le sais.

— Oui Fabien… je sais. Mais ce n’est pas ma faute,…

— Stop, je m’en fous des raisons. Je constate, point barre. Donc, pour pallier à cela, deux choses. Un, tu manges mieux et régulièrement, pour reprendre du poids. Un bis, tu iras faire su sport pour muscler tout ça. Deux, je vais tester une nouvelle manière. Tu vois de quoi je veux parler ?

— Oui, je crois.

— Vas-y, dis-moi pour voir si tu as compris.

— Tu vas me traire les seins.

— C’est bien ça. Comme une vache ! Après, très honnêtement, je ne sais pas si ça va fonctionner. Mais qui ne tente rien, n’a rien, n’est-ce pas ? Le but étant avec la traite, de stimuler tes glandes mammaires afin qu’elles produisent du lait. Ca te fera grossir les seins, et si ça fonctionne, cette traite quotidienne, c’est toi qui la demanderas pour te soulager.

— Oui Fabien.

— Donc, le protocole est d’une traite par jour, pendant 1 heure. Prends un coussin pour tes genoux, monte sur la table basse et mets-toi à quatre pattes.

Elle s’installa sur la solide table basse en bois et mit un coussin sous ses genoux.

De mon côté, je m’équipais d’une bouteille de lubrifiant afin de lui graisser les seins (surtout les tétons). Je lui prodiguais une sorte de massage qui semblait lui plaire.

Puis je lui demandai d’ouvrir la bouche afin de l’équiper d’un bâillon boule.

— Ca risque de piquer un peu. C’est pour éviter de t’entendre…

Je branchai alors la trayeuse et pris le premier des deux bouts pour l’appliquer sur son sein droit. Son téton fut immédiatement aspiré, puis relâché, puis aspiré… Je fis de même sur le sein gauche et m’assis sur le canapé.

J’en profitai pour prendre quelques photos que j’envoyais à Marc, son ex (à l’aide de son téléphone, évidemment).

Son visage était crispé par une certaine douleur. Quelques larmes coulaient le long de son visage. Elle respirait par le nez assez bruyamment.

Je me servis de mon côté un petit verre de vin et continuai de jouer avec son uf vibrant, alternant les sessions plus longues et plus courtes, les pauses, les intensités.

Ca me faisait bander de la voir comme ça. Je me décidai alors de la prendre en levrette et la limai, là encore par intermittence. M’arrêtant quand je sentais la sauce monter, puis reprenant plus tardivement.

Son visage alternait lui aussi les moments plaisants et les moments douloureux. Je mis un peu de musique pour détendre l’atmosphère, puis je retournai la limer pour enfin jouir en elle.

Je pris alors mon verre de vin vide, que je plaçai sous sa chatte dégoulinante, afin de récupérer tout mon sperme. J’y versai un peu de vin et le plaçai à côté d’elle en lui disant.

— Si tu as soif, je te laisse ça. C’est un bon vin rouge. Je te donne une paille.

Elle acquiesça. Je lui enlevai le bâillon boule afin qu’elle puisse boire son verre à la paille. Elle devait avoir très soif, car elle le termina très rapidement.

— Encore, me demanda-t-elle !!

— Quoi ? Du vin ? Du sperme ? Te faire défoncer la chatte ?

— Tout, stp.

— Quand tu auras fini d’être traite, on verra. En attendant, re-ouvre ta bouche que je te remette ton bâillon.

Je rajoutai :

— Quand tes seins auront repris une bonne taille, je te ferais percer les tétons par des anneaux. Ca sera très joli… Et ce soir, on mange "pizza". Ca te va ?

Elle me fit un signe positif de la tête.

Au bout d’une heure, j’arrêtai la trayeuse et vins libérer ses seins. Ils étaient bien rougis et les tétons bien étirés.

Je rangeais la machine jusqu’au lendemain et lui ôta son bâillon.

— Allez, viens contre moi. Colle ton dos à mon torse, je vais te faire un petit massage.

Avec les mains enduites d’huile de massage, j’effectuai un massage de ses seins douloureux, puis de la nuque et de son crâne tondu. Ce massage dura 15/20 minutes. Elle appréciait.

— Allez, ouste, va prendre un bon bain. Pense à laver ton plug. Ton uf est étanche, mais nettoie-le aussi et remets-le.

— Fabien, je n’ai toujours pas joui. Jen peux plus.

— Tout vient à point à qui sait attendre. Et ne t’avise pas de te masturber dans ton bain. J’ai une caméra dans la salle de bain et je te surveille. Gare à toi.

— Oui Fabien.

Elle prit congé et s’en alla à la salle de bains.

De mon côté, je restai, assis et songeur, dans mon canapé, sirotant mon verre de vin.

J’étais content. J’avais finalement trouvé une bonne soumise qui semblait être prête à tout pour me faire plaisir.

Je pouvais assouvir mes fantasmes avec cette femme. De son côté, elle semblait s’être faite à la situation. Mais il fallait que je la pousse plus loin. Il fallait que je la pousse à lui faire me demander de lui faire des choses.

C’était la prochaine étape…

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