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sous le figuier – Chapitre 5

sous le figuier - Chapitre 5



A la fin du repas, je demande à mes hôtes si je peux m’allonger sur un des transats disposés sur la terrasse, bien exposée et inondée de soleil.

— Bien sûr, tu veux un café Jean?

— Avec plaisir.

— Et toi mon chéri.

— Oui, merci chérie.

Allongé sur les gros coussins, je commence à somnoler. Élodie pose une tasse de café à côté de moi avec un sucre et un morceau de chocolat. Je la remercie et je bois mon café. Brice boit son café et déclare:

— Sieste générale!

Tout le monde s’allonge et je fini par m’endormir.

Une sensation de mouillé me réveille et je vois Élodie entrain de me tailler une pipe. C’est une experte et je joui dans sa bouche en quelques minutes. Elle avale tout et va voir Brice qui ne dort pas et se caresse la bite. Même motif, même punition, il se fait pomper par sa femme et ne résiste pas beaucoup plus longtemps que moi.

— Je vais prendre une douche nous dit Élodie.

Rex est à côté de moi et commence à s’agiter en passant de Brice à moi.

— Allez Rex calme toi lui dit Brice. Il ne comprend pas que l’on ne s’occupe pas de lui me dit Brice.

— C’est à dire?

— Et bien il aime bien se faire un cul ou une chatte humaine.

— Même les hommes?

— Bien sûr, pourquoi tu veux essayer?

— Pourquoi pas.

Je me redresse sur mon transat et appelle Rex. Il arrive immédiatement et cherche à se faire caresser. Je passe ma main sur sa tête, son cou, son dos et descends vers son bas ventre. Je saisie sa bite et il se couche immédiatement sur le côté pour me faciliter la tâche. Je prend sa bite à pleine main et commence une masturbation en règle. Son sexe sort de sa housse et prend des proportions assez intéressantes. Il est énorme avec une tige rouge violacée qui s’étire de plus en plus. N’y tenant plus, je me penche sur lui et je le prends en bouche. Son sexe palpite et laisse couler un liquide assez agréable au goût. Je le suce depuis à peine une minute que je sent une giclée m’envahir le palais. J’avale le plus possible de jus mais il y en a de trop et le trop plein coule de long de mon menton. Je me redresse et Élodie se précipite vers moi pour me nettoyer le visage avec sa langue. Elle me donne un baiser torride, j’ai l’impression qu’elle veut m’extraire un maximum de foutre de Rex de la bouche.

— Alors c’était bon me demande Brice.

— Oui mais je reste un peu sur ma faim, je veux le sentir m’enculer.

— Je vais te préparer me dit Élodie.

Elle sort d’un coffret un énorme gode.

— 6 cm de diamètre et 22 de long. Tu pourra le prendre?

— Ne t’en fait pas, le plus gros gode que je me suis enfilé peut atteindre 9 cm de diamètre une fois gonflé à bloc et j’en suis à 8 cm de diamètre dans le cul.

— C’est bon, en place.

Je me met à quatre pattes en prenant appuis sur le transat. Je suis en travers du transat, les jambes d’un côté et les bras et la tête de l’autre. Élodie me lubrifie l’anus et présente le gode à l’entrée. Elle pousse un peu et l’engin s’enfonce comme aspiré par mon cul. Après tout ce qui s’est passé ce matin, mon sphincter est souple, je le sent se dilater et laisser le passage au mandrin de silicone. Élodie commence les va et viens en douceur se qui me rends de plus en plus hystérique. Je vais au devant du gode et Élodie accélère le mouvement tout en augmentant l’amplitude. Brice vient s’agenouiller devant moi, la bite au garde à vous. J’ouvre la bouche et Brice s’engouffre dans l’ouverture. J’ai un gode dans le cul et une bite dans la bouche. Je suis aux anges!!

Jugeant ma préparation suffisante, Élodie me retire le gode et je sent la truffe de Rex venir explorer mon arrière train. Il me lèche des couilles au fion et mon corps commence à émettre des ondes de plaisir. Il me monte dessus, prend appuis sur le transat et essaye de m’introduire son sexe. Élodie le guide et je reçois le bout de sa bite sur mon auréole. Il donne un coup de rein et me transperce d’un seul coup. C’est si violent que je pousse un cri de douleur qui a du ameuter tout le quartier. La douleur s’estompe vite et laisse place au plaisir. Je ne cri plus, je gémis de bonheur en sentant ce mandrin qui me pistonne à une vitesse folle en se déversant en moi. A chaque va et viens, je sent sa boule grosse comme une orange venir frapper mon fion. Rex s’immobilise et pousse plus loin que d’habitude ce qui a pour effet de me dilater encore plus le cul. Il insiste et je sent mon sphincter se dilater de plus en plus, sans douleur, mais plutôt avec la sensation que tout va exploser. D’un seul coup le sphincter se referme sur l’orange. Elle est en moi, je sent ses jets de foutre m’envahir le colon et je joui, je joui, je joui.

Rex tente de se retirer mais tout est bloqué, alors il passe une jambe au dessus de mon dos et se retourne. Nous sommes cul à cul.

— Salut les amis dit Élodie.

Je redresse la tête et je vois un couple entrain de nous regarder par dessus la séparation des terrasses.

— Faites le tour, la porte est ouverte dit Brice en m’envoyant sa semoule dans la bouche. Je réagis automatiquement en avalant tellement je suis dans une autre dimension. J’entends la porte s’ouvrir et se refermer et le couple apparait.

Elle, grande, mince avec un pubis épilé et une belle poitrine (au moins 95 B). Lui très grand (190 cm) athlétique, épilé aussi et très bien monté.

— Jean, je te présente Valérie et Éric nos voisins.

je suis à quatre pattes, un énorme sexe de chien dans le cul et mon corps qui m’envoie des message de jouissance. je ne réponds pas, concentré sur mon plaisir.

Valérie remarque les soubresauts de mon corps et vient me caresser les fesses, sa main s’attarde sur la jointure entre le sexe de Rex et mon cul. Je reçois une nouvelle décharge de plaisir. J’explose, mon cur s’emballe, mes jambes flageolent, mon cerveau se liquéfie. Je n’en peux plus, je m’écroule sur le transat et ne bouge plus.

Au bout de quelques minutes, Rex se libère et un flot de foutre coule le long de mes cuisses. C’est ce qu’attendait les deux femmes. Elles se précipite sur mes jambes et les lèche pour les nettoyer. Elle remonte jusqu’à mon fion. ces langues qui me titillent le cul me font exploser une nouvelle fois. Valérie s’occupe de ma bite tandis quÉlodie me nettoie le cul en enfonçant sa langue au plus profond qu’elle peut.

Les hommes me prennent par les bras et les pieds et me dispose en long sur le transat. Je peux enfin récupérer.

Tout le monde se calme en parlant de tout et de rien lorsque Brice demande à Éric.

— Le déménagement est terminé?

— Oui, tous les meubles sont dans la ferme, il ne reste plus que les chevaux à ramener. Ils arrivent demain.

— J’espère qu’ils seront en forme dimanche demande Brice.

— Ne t’en fait pas, ils auront 2 jours pour récupérer.

Je me demande si j’ai bien compris le sens de ces phrases et je regarde Brice d’un air interrogateur.

— Tu as bien comprit Jean, ce sont des chevaux baiseurs. Deux superbes étalons. Un arabe et un percheron.

— Un percheron? ça doit être bien monté ça.

— Ce n’est rien de le dire me précise Éric, d’autant plus que c’est un percheron particulièrement grand.

— Ça t’intéresse de venir dimanche avec nous à la ferme me demande Brice.

— Bien sûr, je rêves depuis longtemps de me faire mettre par un cheval. Toutefois un gros percheron, je pense qu’il faut un peu d’expérience.

— Avec ce qu’on peut te mettre dans le cul, je pense que tu as suffisamment d’expérience. De toute manière une longue préparation est nécessaire et nous avons tout ce qu’il faut.

— Ok, vivement dimanche.

— C’est bien beau tout ça mais moi je ne suis pas là pour enfiler des perles. Je préfère une grosse bite de chien dans mon cul nous dit Valérie.

Elle écarte les jambes et avance au dessus du transat pour venir s’asseoir sur mon visage. Je ne peux que la satisfaire en lui léchant la vulve et l’anus. Elle semble prendre du plaisir mais Élodie la rappelle à l’ordre.

— Cela ne suffira pas pour ce que tu veux faire ma chérie.

Valérie se dégage à mon grand regret et vient se mettre à quatre pattes au bord du transat. Je libère le transat pour lui laisser suffisamment de place.

— Met toi aussi à quatre pattes à, côté de Valérie me demande Élodie.

Elle va au fond de l’appartement et revient avec un autre gode d’une taille pas si impressionnante que ça. Je la regarde d’un air étonné quand je remarque que le gode possède un petit tuyau terminé par une pompe. Un gode gonflable!!

— Tu peux aller jusqu’à combien de diamètre?

— 11 à 12 cm, tu pourra.

— Pour l’instant j’en suis à 8 facile avec de tempos en temps des pointes à 9.

— Pas mal, on va vérifier tout ça.

— Mon cul est encore un peu endolorit mais je pense que ça peut le faire.

— rapprochez vous tous les deux nous dit Élodie.

Je me colle à Valérie et déjà le fait de la toucher fait monter en moi une vague de plaisir.

Élodie s’empare du gode qu’elle a utilisé pour moi et du gode gonflable.

Elle les présentent chacun devant son trou respectif et pousse doucement.

Mon gode, gonflé à 6 cm de diamètre, entre facilement tellement mon cul est souple et ouvert.

Pour Valérie, Élodie doit pousser plus fort. Je sent Valérie se crisper de temps en temps puis, au bout d’un moment son corps se détend et ses hanches font un mouvement de va et viens caractéristique.

Les deux godes sont en place et la fête peut continuer.

Mais ceci est une autre histoire.

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