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Sylvie, m'a éduqué ! – Chapitre 1

Sylvie, m'a éduqué ! - Chapitre 1



L’après midi, tu parle en mangeant je ne pensais qu’à elle, à sa chatte, à son odeur, j’avais envie de goûter cette mouille que j’avais vu perler sur ses lèvres.

Enfin il est l’heure de la sieste, nous en avons profité pour aller dans notre petit bois où nous avions établis un camp, le chien était avec nous.

Arrivé elle a attaché le chien à un arbre pour dit-elle attendre un peu, elle a enlevé le haut puis son soutien gorges, elle avait de jolis seins dur les tétons tendus, je la regardais les yeux exorbités la bouche sèche, elle me dit :

— On vas se mettre tout nu ! comme des animaux tu pourras me sentir la chatte et moi ta queue !

En fait elle répétait avec moi ce qu’elle allait faire avec le chien ou l’inverse ? En tout cas je me mis à bander comme un cheval, je retirais tous mes vêtements comme elle. J’avais la queue gonflée, et les couilles toutes dures.

Elle se mit à quatre pattes , bon dieu qu’elle était chienne, sa chatte rose brillante entre les poils brun ( peu d’ailleurs), et son petit trou du cul à peine foncé presque lisse, c’était complètement dingue, si nos oncles nous avais chopé ! Bon ce ne fut pas le cas.

— viens me sentir, mais tu ne me lèches pas !

— pourtant j’ai envie, tu sens bon la femelle, je veux mettre ma queue dans ta chatte !

— Non on peut pas, pas pour le moment je pourrais avoir un bébé, dans une semaine tu pourras !

Et bien une semaine à me masturber, enfin je le croyais ce ne fut pas le cas heureusement. Bref aujourd’hui elle voulait être une chienne, au propre comme au figuré.

Notre petit jeu durât un certain temps on se sentait mutuellement, elle me prenais les couilles dans sa main, tirait dessus, passait ses doigts longs et fins sur ma queue, je sais pas comment je crachais pas mon jus, mais j’avais mal, mon gland gonflé par l’envie, j’aurais baisé une chèvre si elle me l’avait demandé .Elle me sentait le gland en me disant j’aime sentir l’odeur de ta queue, ça me fait mouiller et ça m’excite. Maintenant regarde, mais tu ne te branles pas.

Elle s’approcha du chien qui était couché, se mit à le caresser en lui disant qu’elle était une chienne, elle se frotta la chatte avec les doigts, les fit sentir au chien, qui lui lécha.

Alors elle lui présenta sa chatte, il lui sentis mit quelque coups de langues, elle lui demandait :

— encore lèche ta femelle ! Oui mon beau goûte ma mouille, tu aime me lécher hein ! Oui tu vas me prendre salop ! J’ai envie de ta bite de chien en moi.

J’étais comme fasciné par ce qui se passait, je n’y croyais pas, je pensais au début qu’elle ne le ferait pas, et bien je me trompais.

Quand le chien se mit à vouloir la saillir ce ne fut pas facile, ni évident, il montait sur elle je voyais son sexe sortir du fourreau, il était rose foncé et assez gros et long du sperme giclait par petites saccades sur les cuisses de ma cousine, elle se courbait, se tordait pour qu’il rentre, elle gémissait, je regardais un peu apeuré par la situation.

De plus j’avais entendu les vieux dire que les chiens pouvaient rester collés, alors je me dis si ça arrive que fait on ? (Bon on sait qu’avec une femme c’est pas vrai souvent ce sont des racontars)

Ma cousine me demanda de l’aider, ce jour là je ne pouvais pas l’idée de toucher la bite du chien me gênais, et donc elle prit la queue du chien dans sa main le masturba, le sperme giclait presque en permanence elle voulu le goûter, dans le creux de sa main elle en lécha un peu, puis me branla pour me faire jouir, je crachais mon sperme à au moins deux mètres.

Voila pour cette fois, elle n’était pas très contente à cause de moi, mais je lui promis de le faire la prochaine fois, si elle voulais qu’on recommence.

J’ai eu du mal à dormir, les image revenaient sans arrêt, je me posais pas mal de questions, mais comme j’aime le sexe, et tout cela est rentré dans l’ordre, j’attendais avec impatience le lendemain.

Nous allions aussi souvent nous baigner dans un petit ruisseau, au début on gardait les maillots de bain, mais depuis l’épisode du pipi on se baignait à poil. Nous sommes arrivés au bord de l’eau, on s’allonge sur les serviettes, on est nus. Ma cousine me dit qu’elle a vraiment envie de se faire saillir pas le chien, en fait je lui demande pourquoi cette attirance ? Elle avait lu un livre qui traînait dans le grenier, racontant plusieurs histoires érotiques zoophiles. Ce qui est drôle c’est que ce livre, c’était moi qui le lisais en cachette et qui l’avais planqué dans le grenier.

Elle m’expliquât qu’en lisant, elle mouillait sa petite culotte et qu’elle se masturbait. Puis l’envie de se faire lécher à commencer à la turlupiner, et comme elle est folle de sexe et pas de copain pourquoi pas essayer, personne ne le saurait (sauf moi). Donc un jour elle a fait sentir sa culotte et le chien la léchée, voilà comment elle a débuter.

Pendant qu’elle me racontais je me suis mis à bander, sa main se posa sur ma queue et commença un vas et vient, elle se tu regarda mon gland , se pencha , me senti, puis sorti sa langue me lécha le bout ou perlait une goutte de liquide , pas du sperme mais ce jus pour lubrifié , tournant au tour du gland, descendant tout le long de ma queue, remontant et emboucha le gland dans sa bouche, ce fut le début de ma première pipe, j’ai pas résisté longtemps tellement c’était bon chaud , doux, humide, je pensais à ce moment que la chatte devait être aussi agréable. Elle sentit que j’allais jouir et me regardant dans les yeux, elle me demanda de gicler dans sa bouche, ce que je fis sans demander mon reste, je crachais plusieurs jet qu’elle avala j’adore qu’une femme me regarde quand je décharge dans sa bouche.

Elle ne fut pas pour autant calmée, elle se branla, et je ne pu résister je m’installais entre ses cuisses grandes ouvertes, me laissant voir de très près cette chatte magnifique, quand mon nez fut à quelques centimètres son odeur me fit rebander, j’allais pour la première fois de ma vie mettre ma langue dans le sexe d’une femme ! et depuis je ne le regrette pas .Elle me laissa la lécher longtemps il me semble, elle a prit du plaisir et moi j’ai jouis encore une fois sans qu’elle me touche.

Que j’aime ça, le sexe de ma cousine est un régal, j’aime la regarder dans sa nudité je suis. Je pense amoureux d’elle notre relation et il est vrai pas normale mais on s’en moque on aime jouer avec nos sexes et on en profite, je le répète mais c’est grâce ou à cause d’elle que je suis comme ça.

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