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Tal ma meilleure amie – Chapitre 3

Tal ma meilleure amie - Chapitre 3



C’est dans cette même position que nous nous réveillons le lendemain matin. Je me réveille en premier, il pleut un peu dehors, mais juste assez pour faire pointer les jolis tétons marron de ma copine. Ça me donne envie de les lui prendre dans ma bouche, alors je vais d’abord fermer les volets puis reviens lui bouffer les nichons.

Elle dort encore et je lui lèche doucement les seins et caressant ses fesses. J’y prends tellement de plaisir que je ne remarque pas que Tal s’est réveillée.

Mmmmmhhh… hier encore, t’avais du mal à me regarder dans les yeux et là… tu me réveilles en me suçant les tétons… ma méthode pour te désinhiber à fonctionner…

Ouais… et pour te remercier, j’ai un petit cadeau pour toi ma petite chatte en chaleur.

Lequel ?

Ferme les yeux… chuchotais-je en lui léchant les lèvres.

Elle ferme ses yeux et me laisse entièrement posséder son corps. Je n’ai pas d’idées précises en tête, mais je compte juste me laisser aller comme elle me l’avait conseillé.

Je lui demande de se mettre sur le ventre afin que je puisse voir son cul qui me fait tellement envie. Je commence par l’embrasser en empoignant ses seins. Je lui caresse, lui tire ses tétons, qui se mettent à bander. Je passe à califourchon dans son dos et le couvre de baisers, de suçons en tout genre. Plus je descends, plus elle frissonne. Enfin au niveau de ses fesses, je ne me prive pas pour les empoigner, les lécher, les mordre même. Elle me rend folle à remuer son cul comme ça devant moi, elle m’excite plus que de raison.

Aaahh Caramel… tu m’excites grave ma chérie… oh putain…

À ces mots, je perds totalement les pédales. Je lui fais écarter les jambes et soulève légèrement son bassin. Je m’allonge et me jette directement sur sa chatte. Je la lèche, l’embrasse, aspire ses lèvres, suce son clitoris, fourre ma langue dans sa grotte, bois son jus, je me déchaîne.

Je ne sais pas ce qui m’arrive, je ne me reconnais pas, mais je m’en fiche. Je kiffe bouffer la chatte de ma meilleure amie et je le fais avec plaisir.

Tal est au bord de l’orgasme. Quand par moments elle tourne sa tête pour me regarder, elle est rouge, son regard est vaporeux et ses lèvres sont presque ensanglantées tellement elle se les mord pour ne pas hurler. Je suis fière de lui donner autant de plaisir.

En la léchant, je fais un faux mouvement et ma langue touche son anus. Contrairement à ce à quoi je m’attendais, son bassin se soulève, ses mains se crispent dans les draps, elle jette sa tête en arrière et crie de bonheur. Ce contact la fait jouir une première fois. Puis une deuxième. Je suis intriguée…étonnée… Le temps qu’elle reprenne un peu ses esprits, une idée me vient et m’en vais chercher quelque chose dont je ne pensais jamais me servir.

Lorsque je reviens, Tal est toujours sur le ventre, un peu dans les vapes, la tête tournée vers la fenêtre. Je lui fais un bisou en prenant bien soin de ne pas trop l’approcher, pour ne pas gâcher la surprise.

Alors comme ça, on est sensible de son petit trou de derrière ?

Je le savais pas non plus, mais dès que tu l’as touché, j’ai senti une décharge électrique me prendre du plus profond de ma chatte… ooh c’était si bon Caramel. J’aimerais tellement que tu aies une bite là, pour me défoncer tellement tu m’as excitée…

Tes désirs sont des ordres ma belle…

Hein ? Mais comment ça… OMG ! dit-elle en se retournant pour me regarder.

Tal est surprise par le gode ceinture que je porte autour de mes reins. Elle demande d’où je tiens ça, mais c’est une trop longue histoire dont le récit donnerait à notre excitation le temps de redescendre. Ce qui n’est pas mon but. Je lui dis alors que je lui raconterai plus tard.

Le moment de surprise passé, Tal se jette sur le faux pénis pour le sucer. Ce gode ayant sur sa partie intérieure un autre pénis un peu plus petit, ses mouvements le font aller et venir dans ma chatte également. Tal devait le savoir, et suçait le gode de façon à me faire jouir aussi. Elle allait y parvenir, mais je l’arrête, ce n’est pas moi qui dois prendre mon pied maintenant, mais elle.

Je l’allonge et recommence à l’embrasser. J’aime décidément beaucoup le goût de sa bouche. Je refais tout le chemin menant à sa chatte et la lui bouffe encore. Quand je la sens bien chaude et mouillée, je présente le pénis à l’entrée de son vagin. J’ai peur que la bonne grosseur de l’engin ne lui fasse mal, j’y entre doucement.

Aaaah oui Caramel… oui doucement comme ça… oh tu me remplis bien là… j’ai jamais été prise par une bite aussi grosse que la tienne… han !

Je sais que ce pénis qui la pénètre n’est pas vraiment le mien, mais je me sens hyperfière d’être à l’origine de son plaisir. Après un moment d’immobilité pour qu’elle s’habitue à ce gros sexe, elle me lâche "Vas-y bébé".

Je commence alors de petits mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Voir ce pénis guidé par mes seuls mouvements de bassin, alors que je ne suis pas censée avoir de bite, m’excite tellement que je commence à augmenter le rythme. Je saisis Tal par les hanches pour bien pouvoir la pénétrer. Je veux qu’elle sente bien comment elle fait monter le désir en moi et combien elle m’excite.

La chaleur monte encore et encore, et j’arrive de moins en moins à me contrôler. J’ai envie de prendre mon temps, de la faire languir encore un peu plus, mais l’envie de la prendre plus fort est trop grande. De plus, ses encouragements sont si sexy que j’ai du mal à ne pas craquer.

Vas-y plus vite, Caramel stp.

Hum non ma chérie… patiente encore.

Mmh non… vas-y stp j’ai envie que tu me baises fort…

Putain tu me fais de l’effet à parler comme une catin comme ça.

Ah ouais ? Dans ce cas, baise-moi Caramel, je suis ta catin. Je suis ta belle petite salope qui veut que tu lui défonces la chatte… oui c’est ça, défonce-moi.

C’est trop pour moi, j’en ai trop entendu pour ne pas me laisser aller à des pénétrations plus rapides. Je la saisis plus fort par les hanches et la baise. Ses seins se balancent de haut en bas, elle passe ses mains dans ses cheveux en se mordant la lèvre inférieure… qu’est-ce que c’est sexy ! J’y vais vite, de plus en plus vite. Je me pénètre en même temps aussi, ça me chauffe au plus haut point. Je tape maintenant le fond de son vagin, contre son utérus, et elle halète comme si elle manquait vraiment d’air. Plus je la baise fort, plus elle crie et m’excite. Au bout d’un moment, je ferme les yeux en ahanant, tellement c’est bon… je vais bientôt jouir et essaie de me retenir encore, le plus longtemps possible. Je lui attrape les seins et m’y agrippe, je lui tire ses tétons. Tal elle non plus n’en est pas plus loin. Elle se tortille dans tous les sens, respire très fort, saisis mes mains pour que je lui presse plus fort les seins.

Ses narines ne cessent de se dilater à la recherche d’un peu d’air pour alimenter ses poumons.

Han han han ! Caramel ouuuuiii oui oui !!! Haaaaann putain tu baises trop bien… ooh vas-y je vais bientôt jouiiiir…

Tal t’es trop bonne… Tu me chauffes trop putain, ça m’excite de te défoncer ta petite chatte… oh j’aime comment tu gémis… tu m’excites avec ta voix de pute !

Oui oui j’suis ta pute bébé… Plus fort !… OH OUI JE VAIS… JE VAIS… OUIIII PUTAIINN !!!!!

HAAAAANNNNNN !!!!!

Tout est au ralenti, tout est flou, je ne suis plus que secousses. Nous jouissons toutes les deux dans un concert de gémissements. Je m’effondre sur elle, repue par une jouissance aussi forte. Nous sommes essoufflées, encore secouées par quelques spasmes.

Nous sommes sonnées. Inertes, toutes les deux. Dans un état second, de plaisir intense. Très intense. Je suis effondrée sur son corps, je sens son cur battre hyper-vite. Elle a vraiment eu du plaisir…ça m’émeut.

On refait surface après une bonne demi-heure, Tal la première. Elle me caresse les cheveux, ça me fait du bien.

Eh belle au bois dormant, on a du mal à digérer ?

Un peu, j’avoue, lui dis-je en souriant.

Elle rigole en me peignant les cheveux avec ses doigts. Après plusieurs minutes de ce traitement, je reprends mes esprits et me laisse bichonner par ma meilleure amie. Tal se lève et va dans la salle de bain. Je reste allongée sur le lit en attendant son retour.

Il pleut toujours dehors. J’aime beaucoup ce climat, c’est apaisant. J’avais toujours intérieurement fantasmé de faire l’amour sous la pluie et je venais de le réaliser. Je souris en pensant à cela.

Allez, viens, on va prendre un bain, dit-elle en revenant briser silence.

Aujourd’hui, c’est dimanche, alors on a tout notre temps. Je me débarrasse du sex-toy que j’avais encore sur moi et me laisse entraîner dans la salle de bain. La baignoire est remplie d’eau savonneuse, on s’y installe face à face. Je m’introduis en premier dans le bain et regarde le corps magnifique de Tal disparaître peu à peu sous l’eau. Une fois toutes les deux installées, nous nous regardons. En silence. Pas mal à l’aise du tout, mais on a juste pas besoin de parler. Son regard est magnifique. Je l’admire comme toujours.

Mais j’ai besoin de savoir quelque chose. J’ai peur de gâcher le moment, mais je lui demande tout de même :

On est quoi maintenant ?

Comment ça ?

Bah à la base t’es ma meilleure amie, mais… on a fait l’amour cette nuit et encore ce matin… et c’était ma première fois…

… Bah t’es toujours ma meilleure amie Caramel.

Donc ce qu’on a fait n’importe pas ?

Bah si. Bien sûr que si ! T’es la première fille avec qui je fais l’amour et tu me l’as bien rendu, dit-elle en me faisant un clin d’il. Je veux bien rester ta meilleure amie et plus si tu le veux…

Hum… je veux bien aussi Tal. Je pourrais plus me passer de tes lèvres et de ton joli p’tit cul.

Oh t’es si sexy quand tu me dis ça…

Elle se rapproche de moi dans la baignoire à hauteur de mes lèvres. J’essaie de l’embrasser, mais elle recule en me disant qu’elle doit m’avouer quelque chose d’abord. En fait, cela fait plusieurs semaines qu’elle avait déjà envie de moi, mais elle ne savait pas comment m’attirer vers elle. Alors l’autre soir, quand elle a senti que j’avais été troublée par sa danse, elle s’est jetée à l’eau au risque de se retrouver face à un mur. Elle m’a séduite autant qu’elle a pu, jusqu’à me faire craquer pour elle. Je lui reproche de m’avoir manipulée, sur un ton faussement réprobation.

Une fois que j’avais goûté à tes lèvres, même si tu m’avais repoussée en allant te doucher, j’étais déterminée à t’avoir. Par n’importe quel moyen.

Je suis à toi maintenant, profites-en… embrasse-moi.

On s’embrasse très longtemps. Tellement longtemps que nos sens se réveillent encore.

Au fait, tu m’as toujours pas dit où est-ce que t’as eu ce gode ceinture.

En fait, c’est Sébastien, un des mecs qui me harcelaient pour que je sorte avec lui. Un jour, il me l’avait envoyé pour que "je me masturbe en pensant à lui", et il m’avait dit qu’il avait choisi ce sex-toy en particulier parce que selon lui, c’est seul qui avait la grosseur de sa bite, mdrr. Évidemment, je ne l’avais jamais utilisé. Et j’avais trop honte d’aller le jeter de peur de croiser quelqu’un alors que je l’avais en main.

Eh ben, rigole-t-elle, tu lui diras merci à Seb. Grâce à lui, tu m’as fait prendre mon pied comme aucun mec ne me l’avait jamais fait.

On se caresse doucement, pendant que je sens Tal positionner ses jambes entre les miennes et m’attirer un peu. Nos sexes se rapprochent et :

Mmmmhhh oh… eh ben t’en connais beaucoup de choses pour une novice en rapports saphiques.

Bah tu penses quand même pas que j’allais te faire l’amour sans chercher à savoir comment on fait, bébé rigole-t-elle.

On se marre un peu, puis elle commence de petits mouvements. Je me découvre un grand appétit sexuel, j’ai encore envie d’elle. Elle frotte sa vulve contre la mienne, c’est hyperexcitant de la voir faire ces mouvements-là. Ses seins rentrent et sortent de l’eau devant moi. Je les regarde et me mords les lèvres d’envie. Je les prends en mains et les triture comme elle a l’air d’aimer. Elle gémit.

Son clitoris appuie sur le mien, qu’est-ce que c’est bon. On se regarde dans les yeux, on voit le plaisir monter l’une chez l’autre. Je balance mon bassin vers elle. Je la sens mouiller abondamment et croyez-moi, ce n’est pas l’eau du bain. Le plaisir monte assez rapidement en elle et elle a du mal à contrôler ses mouvements. Je décide alors de prendre le relais.

Je saisis le cul de Tal et la fais aller et venir à mon rythme. Elle se laisse totalement faire, jouissant seulement, la bouche ouverte et la tête en arrière. Je la couvre de baisers. Nous baisons à un rythme effréné. Je prends mon pied. Je vais jouir bientôt, je le sens. Dans le feu de l’action, j’ai l’idée de mettre un doigt dans son trou de derrière.

Oh oui putaaiiin mon amour oh… mon petit trou t’adooooore !

Je m’active de tous les côtés pour nous faire jouir jusqu’à ce que nos corps se tendent, tremblent et soient secoués de plaisir. Tal me mort la lèvre et je râle tellement elle m’excite. On s’embrasse de partout. On se caresse. On est folles de nos corps, l’une de l’autre.

Qu’est-ce que t’es bonne, putain ! T’es une vraie bête de sexe. Tu arrives à me faire jouir comme jamais.

J’apprends très vite, j’ai eu une bonne prof…

Hahaha je crois que j’ai créé un monstre.

On finit de se laver et on essuie toute l’eau qu’on a versée sur le sol.

Le reste de la journée se passe très bien. Il pleut toujours dehors et on se retrouve très souvent à nous câliner, pour "nous réchauffer".

Depuis cette première expérience avec Tal, mon comportement a changé quasi radicalement. Je ne suis plus timide, je m’assume, je suis plus ouverte, plus libre, et je sais me faire respecter désormais. Les mecs sont encore plus à mes pieds qu’avant, j’adore les aguicher, me rendre inaccessible auprès d’eux, pour m’amuser. Parce que pour le moment, Tal me convient bien et sait me faire jouir. On est jamais à court d’idées, au contraire. On prend toujours notre pied quand on fait l’amour, je ne ressens pas l’envie d’avoir un mec. Mais bien évidemment, on s’aime aussi. Ça fait 8mois que nous sommes folles amoureuses l’une de l’autre. Et ça aussi, ça excite les mecs.

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