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Telle paire… tel fils. – Chapitre 3

Telle paire... tel fils. - Chapitre 3



Après un moment de silence, le temps que mon père finisse d’éjaculer, il reprit la parole.

–  Qu’est-ce que vous foutez là ?

–  Ben et toi ?

–  J’suis revenu … j’avais oublié mon portable.

Il s’approcha de moi pour checker puis il le fit avec papa comme nous en avions l’habitude.

–  Putain, on a bien vu qu’elle était pleine de sperme ! C’est toi qui es passé dans son cul avant nous petit coquin ?

–  Ouais… elle en avait plein et en plus elle sentait grave le sperme, hein p’pa ?

–  Maintenant que tu le dis, c’est vrai que quand j’lai embrassée avant que t’arrive, j’ai trouvé qu’elle avait l’haleine qui puait un peu le foutre.

–  Ben.. oui… c’est vrai, elle en avait aussi dans la bouche j’suis sûr….

–  Coquine…si je t’avais roulé une pelle, tu m’aurais graisser les gencives…

–  Excusez-moi, dit-elle. Je me rendais pas compte.

Je fus surpris de la sincérité de la réponse et du naturel avec lequel elle avait été prononcée. Il est vrai que nous avions progressé en intimité… mais à ce point là. Papa reprit :

–  Alors c’est toi ! Tu lui a juté dans le cul ou dans la gueule ? Vous étiez deux ?

La question s’adressait à Arnaud… car c’était lui qui venait de faire irruption dans la piaule.

Il répondit, légèrement penaud :

–  Ben…les deux en fait… enfin, j’ai joui dans son cul et elle m’a rincé le zob avec sa langue comme si il avait été dans un lavomatic…. Un truc de dingue… j’pouvais pas savoir qu’elle t’embrasserait après…

–  Y’ a pas de honte mon grand… C’est pas la première fois que j’ai affaire à une femme qui aime la jute.

–  Mais qu’est-ce que tu foutais-là ? Y’a longtemps que vous êtes ensemble ? demandai-je en m’adressant à ma prof et à lui…

–  Non, non, c’est a première fois aujourd’hui répondirent-ils quasiment en chur.

Et Arnaud s’expliqua :

–  Comme tu es resté très longtemps chez le sous-dirlo. J’ai essayé de me renseigner. J’ai traîné à l’accueil du bahut. Les secrétaires disaient que t’avais fait un truc sûrement très grave et que tu allais être viré alors j’ai déci…

A ce moment son portable sonna…

–  C’est papa. Il m’attend, faut que j’y aille.

–  Il sait que tu es ici ?

–  Oui, il est en bas. Il m’attend dans la voiture.

–  Il sait ce que vous avez fait tous les deux ?

–  Ben non, je lui ai pas dit… pas eu le temps…pas l’idée…

–  Il sait quoi ?

–  Que je suis passé voir ma prof de SVT… et que j’ai oublié mon portable…

Elle confirma. Arnaud venait juste de partir quand nous étions arrivés et elle se demandait comment il se faisait que nous ne nous fussions pas croisés dans l’escalier.

–  Dis à ton père de monter… que ta prof a un truc super important à lui dire.

–  C’est fait !

Et, le temps que Mathieu se gare et vienne nous rejoindre, Arnaud essaya de terminer son histoire.

Craignant de me voir virer, il était venu chez la prof pour expliquer ce qu’il s’était passé. Elle l’avait fait entrer, bien qu’elle fût en déshabillé,et il lui avait dit que tous les mecs du lycée s’emballaient pour ses formes généreuses et qu’elle était un peu provocante.

Elle avait répondu, visiblement très outrée, presque hystérique :

–  Tout de même… votre copain se masturbait en cours… vous vous rendez compte. Personne ne fait ça !

–  Si M’dame.

–  Quoi, comment,, que… qui … ? Qui d’autre ?

–  J’peux pas balancer M’dame.

–  Oui évidemment… comme par hasard…

–  Mais moi, par exemple….

–  Vous aussi ? Mais je n’ai rien vu !

–  Ben non, j’ai pas osé sortir ma… ma bite… de mon froc… comme Jules, mais j’peux vous dire…

–  Enfin vous regardiez un film porno….

–  Oui, mais c’est vous qui nous faisiez… bander… j’vous jure que c’est vrai.

Il était prêt à se mettre en danger pour me sauver.

–  Vous vous rendez compte de ce que vous dites…. on ne peut pas légitimer cela… Vous voulez couvrir votre camarade, c’est louable  à vous…mais si vous aviez eu…. une érection… je m’en serai rendu compte tout de même…. à moins que vous ne soyez pas aussi bien doté par la nature que votre ami…

Il comprit la provocation. Souhaitait-elle l’humilier ou le pousser à la faute. Peu importe. Au point où il en était, il avait résolu d’être solidaire jusqu’au bout et lui, pourtant assez timide, n’hésita pas à baisser son froc devant elle; Il faut dire que le déshabillé méritait de plus en plus son nom. Il s’entrouvrait à mesure qu’elle s’agitait et les seins devenaient très visibles.

–  Ah si M’dame. J’suis bien monté aussi… regardez…

Et il baissa son survêt, libérant sa grosse bite poilue qui commença son ascension.

–  Si vous avez rien vu, c’est que j’la coinçais entre mes cuisses. Vous en avez déjà vu une aussi grosse ?

–  OH ! Vous dépassez les bornes…Rangez-moi… ça… vous êtes encore plus…. plus….ignoble… dépravé…

–  C’est vous qui me faites cet effet là. Alors, aussi gros ?

–  Taisez-vous vous ne savez pas ce que vous dites! Dehors ! Foutez-moi le camp ! J’vais porter plainte pour agression si cela continue. Je suis en droit de le faire.

Et elle s’était approché de lui pour le saisir par le bras et le mettre à la porte mais elle s’était pris les pieds dans le tapis et était tombée devant Arnaud. Il avait essayé de la retenir mais elle l’avait entrainé dans sa chute; le déshabillé s’était du coup carrément ouvert et Arnaud s’était retrouvé sur elle. Il y avait eu un moment de silence. Ils avaient éclaté de rire. Puis un autre moment de silence… alors, il avait osé… sans doute parce que son attitude l’y invitait. Sa bouche s’était ouverte sur une sein, il avait pompé fougueusement. Le reste avait suivi.

Mais avant qu’il finisse de nous raconter tout cela, son père avait sonné à l’entrée.

–  Entre papa ! Par ici.

Et quelques secondes après, Mathieu apparut dans l’encadrement de la porte.

Madame Légoustane-Coronesse était allongée au milieu du lit, jambes écartées, chatte humide, lèvres gonflées et rouges, le clito en ordre de marche, les seins luisant et ruisselant encore du sperme paternel qu’elle venait de recevoir. J’étais allongé à côté. Elle jouait de sa main droite avec mon sexe. Elle s’amusait à me décalotter et me recalotter doucement. C’était agréable. Papa, lui, était appuyé contre la tête de lit, légèrement tourné vers la tête de la femme qui, à sa hauteur, n’avait qu’à tourner la tête pour sucer le nud qui commençait une lente descente.

–  Ben, qu’est-ce que vous foutez là tous les trois ? C’est quoi cette partouze ? J’croyais que tu étais chez ta prof Arnaud.

–  Mais on est chez ma prof.

–  Ah ?… A première vue, on dirait pas ! Bonjour Madame.

–  C’est qui çui-là, répondit-elle ?

–  C’est mon papa M’dame.

Et, tout en procédant à cet échange de mondanités, Mathieu s’était appuyé contre le mur pour trouver l’équilibre nécessaire à la position qu’exigeait le retrait de sa godasse de droite… puis ce fut celle de gauche, après quoi il tomba la veste, défit les crans de sa ceinture et baissa son froc.

C’est toujours un agréable spectacle de voir cette belle queue. C’est la moins longue des quatre, avec quand même 17 à 18 cm, mais elle est très épaisse. Le gland, moins large que la hampe, lui donne une forme d’obus tout droit.

La meuf s’était redressée et, en apercevant la bite se balancer lorsque Mathieu retira son boxer brusquement, elle poussa un sifflement de connaisseuse. Puis elle commenta :

–  ça a l’air aussi d’être de la bonne queue. Amène -là moi, gros porc !

Mathieu ne parut pas s’offusquer de cette remarque qu’on était en droit de trouver choquante dans la bouche d’une enseignante. Mais, compte tenu du contexte un peu particulier dans lequel se présentait cette réunion parent-professeur, il eut même plutôt l’air de trouver cela normal, voire de le prendre comme un compliment. Il s’approcha donc du lit sans barguigner et, sans même prendre le temps d’enlever sa chemise, la queue bien en avant comme le rostre d’un navire parti pour fendre la mer, il se glissa entre les jambes de la prof et la pénétra immédiatement.

–  Ouh. Elle est bonne. Quelle chatte mes amis, quelle chatte ! Je suis bien content de faire votre connaissance.

–  Et moi donc ! Grosse bite bien dure là… hmmmm, répondit-elle.

Et il se mit à aller et venir  mais, comme sa chemise le gênait, il releva le cul de la fille pour se mettre à genoux et, tout en restant dans la chatte, il se déboutonna; Avisant mon père il remarqua.

–  C’est dingue, tu recommences à bander ! Dis-moi comment tu fais ! J’suis sûr qu’il n’y a pas cinq minutes que tu as jouis.

–  T"as raison, je venais juste de finir quand tu es arrivé. J’sais pas comment ça s’explique, j’ai toujours la gaule.

Et il présenta son zob à la fille pour se faire sucer. Les deux vieux sont résistants et la fille commença à déguster.

–  Mets-toi en levrette que je pelote tes nichons tout en te montant.

Dans cette position, papa ne cessait pas de se faire sucer. Il y a dix minutes que je regardai, la verge toujours désespérément molle. Par contre, Arnaud recommençait à triquer et déjà il sortait son zob en se pignolant.

–  Eh Mathieu, tu pourrais avoir pitié de ton fils, t’as vu comme il bande.

–  Oui.. c’est vrai… c’est la première fois qu’on baise ensemble nous, c’est pas comme vous…

–  Y’a un début à tout. Aller Arnaud, montre-nous ce que tu sais faire.

Et mon pote prit la place de son père dans la chatte.

–  J’sais pas si j’vais pouvoir éjaculer encore… y’a pas longtemps.

–  T’inquiète fiston, le temps qu’elle s’occupe de nos deux queues…

Et alternativement, elle pompait les deux aînés.

Je ne bandais toujours pas.

–  Tu viens lui bouffer la chatte ? me demanda Arnaud.

J’y allais sans hésiter. Elle était dégoulinante.

–  Jules, lubrifie bien la rondelle, j"ai envie de l’enculer.

–  Pas de problème Mat.

Mais, malgré cette séance de léchage, ma bite ne voulut rien savoir. Elle restait désespérément pendante.

Mathieu vint donc se placer en bouledogue et planta son braquemart. La fille chanta une sorte de tyrolienne en sentant le calibre du morceau. Le fils avait pris la place du père et, papa et lui se faisaient toujours pomper avec délice.

–  Qui pour une double avec moi ?

–  Comme t’as jamais fait avec ton fils, allez-y !

–  Ok, Tu viens Arnaud, je me mets dessous.

Mathieu s’allongea et La prof de SVT vint s’empaler le cul en se couchant sur le dos, de sorte qu’Arnaud put lui limer la chatte en ayant les seins à sucer.

Dans cette configuration, c’est celui qui est dessus qui fait le travail et mon ami se démenait comme un beau diable. Enfin, je sentis le sang affluer dans ma verge qui se redressa lentement jusqu’à atteindre une érection bien dure.

–  ça y est, je rebande enfin ! dis-je triomphalement. Regardez ma teub !

–  Cool, tu veux ma place ?

–  OK.

Et j’enfonçais donc mon pieu tout dur dans la chatte.

Papa et Arnaud pouvaient triturer les seins et, en se mettant bien sur le côté, se faire sucer quand elle tournait la tête.

On était quatre sur la fille qui émettait des bruits sourds, des gémissements étouffées par la bave dont le coulissement des queues ne cessait de lui emplir la bouche.

On en était la quand nous entendîmes la porte claquer . Un courant d’air ? Avant que nous puissions réaliser, un grand type black, jeune, très costaud, apparut devant la porte.

–  Putain… toujours à te faire sauter ! T’es vraiment qu’une immonde truie ! Quatre d’un coup ! Tu vas t’arrêter où ? C’est qui ceux-là ?

Le mec n’avait pas l’air commode. Nous nous arrêtâmes sur le champ, regardant tous vers lui.

A suivre.

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