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Un cadeau surprenant – Chapitre 4

Un cadeau surprenant - Chapitre 4



Marie sest levée, a déposé un baiser sur mes lèvres, et sest diriger vers la coiffeuse. Elle en a sorti deux godes ceinture double de belle taille, et men a tendu un.

— Je pense quelle va apprécier dit elle avec un sourire complice.

— Ca tu peux en être sure!

Marie me regardait, sest approchée de moi et ma étreinte tendrement.

— Il va falloir que lon passe un moment ensemble, tu me manques, me chuchota telle.

— Oui jen ai envie aussi.

Nos lèvres se sont jointes et nos mains parcouraient nos corps dans une caresse sensuelle.

— Il y en a un peu pour moi! sexclama Emilie qui sétait assise sur le bord du lit.

Elle avait gardé le bandeau sur ses yeux jouant le jeu.

— Bien sur quil y en a pour toi, répondit Marie, en se dirigeant vers le lit.

Elle sest penchée, ses mains entourèrent son visage, attirant sa bouche pour lembrasser. Elle la allongé, emprisonnant ses seins, quelle sest mise à embrasser, sa langue faisant le tour de ses tétons. Emilie posa ses mains sur les hanches de Marie et ont fait le tour de sa taille. Quand elles sont entrées en contact avec le phallus, elle en a éprouvé les contours en connaisseuse. Ses mains palpaient et serraient cette queue en poussant des « Oh! Ah » de contentement. Elle la attiré vers elle pour quil entre en contact avec sa chatte trempée, elle le frottait tout le long sattardant sur son clito, son corps sarqueboutait pour quil puisse atteindre sa rondelle. Marie la laissait faire, se prêtant à son jeu, continuant à lui caresser la poitrine.

— Tu aimes ça! Hein ma belle, tu voudrais bien que je te la mette!

— Oui! Répondit elle, prend moi, jen ai trop envie! Baises moi, défonces moi!

Marie a commencé à la pénétrer lentement, faisant durer le plaisir. Les mains dEmilie étaient passées derrière les cuisses de Marie lattirant en elle, impatiente de la sentir bien au fond. Elle avait les cuisses écartées au maximum, et son bassin se tendait pour faciliter la pénétration. Ses râles sintensifiaient au fur et à mesure, et commençaient à emplir la pièce.

Je me suis allongée à coté dEmilie, jai pris sa bouche, enfonçant ma langue à la rencontre de la sienne. Mes mains caressaient ses seins gonflés denvie, mes doigts titillaient ses tétons tendus et durs. Marie avait entamé de lent mouvement soutenant les jambes dEmilie, et celle-ci laccompagnait du bassin. Les mouvements de Marie samplifiaient, sarrêtant chaque fois quelle était au fond, arrachant un cri de bien être, et de contentement. Le corps dEmilie était secoué, sa tête dodelinait de gauche à droite, et ses mains se crispaient sur les fesses de Marie. Javais repris ses mamelons entre mes lèvres excitant les tétons du bout de la langue, lui triturant les seins dune main, alors que lautre était descendue entre ses cuisses, faisant rouler son clito gonflé de plaisir, entre mes doigts. Son plaisir nétait pas feint, et son orgasme se déclencha, secouant son corps, remplissant la pièce de ses cris. Marie continuait à la pénétrer au même rythme, ne tenant pas compte de son état, bien décidée à lemmener au paroxysme du plaisir. Jai glissé ma main sur les fesses dEmilie, cherchant sa rosette, détrempée par la jouissance, et jai fait pénétrer mon doigt. Il est entré aisément, jai commencé un mouvement de va et vient calqué sur Marie. Je sentais à travers la fine cloison le sexe dur, et sa grotte souvrait sensiblement me permettant de coulisser aisément. Marie resta plantée au fond de sa chatte, alors que je continuais à la défoncer avec mon doigt. Le corps dEmilie a été pris de tremblements, sa bouche souvrait, cherchant de lair. Un deuxième orgasme lenvahi, la terrassant, et son cri sest terminé dans un râle. Elle retomba sur le lit, anéantie par le plaisir et resta un long moment sans bouger, essayant de reprendre son souffle.

Bien quétant habituée à la voir prendre du plaisir, et jouir, cétait la première fois que je lentendais sexprimer aussi librement et ne pas retenir ses cris de plaisir. Marie sest retirée lentement, son pieu luisant de mouille, je me suis précipitée pour le nettoyer et récupérer le maximum de jus de la chatte de ma petite chérie. Marie me caressait la tête, glissant les doigts entre les cuises dEmilie, les portant à ses lèvres pour se délecter du nectar.

Nous lui avons fait lamour, toute la nuit, alternant entre Marie et moi, elle connu la double pénétration avec deux godes et y a pris un immense plaisir. Elle nétait pas avare de caresses et a su nous contenter, au-delà de mes espérances.

A mon réveil, tard dans la matinée, Marie était déjà levée, Emilie dormait encore, allongée sur le ventre, les jambes légèrement écartées, donnant une vue des plus érotique de son corps fin et de son magnifique petit cul, qui nous avait donné tant de plaisir. Jai posé ma main sur son dos, lui caressant tendrement les épaules. Je suis descendue sur ses fesses et jai posé mes lèvres sur ses reins. La caresse devait être agréable car ses jambes se sont écartées un peu plus et un léger râle sest échappé de ses lèvres, son bassin sest légèrement soulevé plusieurs fois. Je me suis faite violence pour ne pas lui sauter dessus, mon envie de café passant au dessus. Je me suis levée, laissant Emilie à son rêve, et me suis dirigée vers la cuisine ou Marie préparait le petit déjeuner. Elle avait les yeux brillant de bonheur, un large sourire sur les lèvres, et lattitude de la femme comblée après une nuit de débauche. Nous nous sommes étreinte, ses lèvres étaient tendres et douces, nos langues se sont mêlées, ses mains me caressaient le dos, le bas des reins, pour finir sur mes fesses et mattirer contre elle. Nous nous sommes séparées et elle ma proposé de minstaller autour de la table.

— Ca faisait longtemps que je navais pas passée une nuit comme celle là, me dit elle, en prenant place en face de moi.

— Ah bon! Tes conquêtes ne te satisfont pas?

— Oh si! Je nai pas à me plaindre, mais ça faisait longtemps que je navais pas désiré autant une femme. Merci de me lavoir présenté.

— Je savais que tu aimerais, je ne tavais pas menti au téléphone.

— Tu étais en dessous de la vérité, elle a de la chance dêtre avec toi.

— Je nétais pas sûre de sa réaction, elle est très discrète, et tu lui as vraiment plu. Elle ta désiré de suite, mais je ne suis pas étonnée, te connaissant!

— Il ne faut pas la laisser partir, cest un trésor cette femme, belle, intelligente, soumise. Son mari nest pas trop jaloux?

— Non je ne pense pas, il laime vraiment et la voit heureuse. Et puis il en profite aussi, elle adore quon le fasse tous les trois.

— Cest rare un homme qui partage sa femme avec une autre, ça ne dure pas, il faut quelle en profite. Immanquablement lun prendra le pas sur lautre, surtout si cest souvent.

— Elle ne tient pas à quitter son mari, elle laime trop, et cest aussi bien comme cela. Cest déjà lui qui la convaincue de passer à lacte, au départ elle nétait pas chaude, mais les choses changent, la preuve.

— Tu as de la chance, profites en, et donnes lui tout le plaisir quelle voudra, elle en vaut la peine.

— Tu es la seule personne avec qui je voulais la partager, et je ne le regrette pas.

— Merci ma chérie, je tadore, tu mas fait un magnifique cadeau, à charge de revanche.

— Jai déjà ma petite idée, on verra la prochaine fois.

Nous avons éclaté de rire, consciente de la personne en question. Le petit déjeuner cest déroulé dans la bonne humeur, et nous avons échangé des banalités sur nos vies et quelques anecdotes très croustillantes.

— Je te prie de mexcuser, je vais la réveiller en douceur, elle aime ça. Déclarai je après avoir fini mon café.

— Va! Tu sais ou sont les choses, me répondit elle un large sourire sur les lèvres.

Je suis retournée dans la chambre ou Emilie navait pas bougée, et de la voir ainsi offerte, a fait monter en moi une brusque poussée de désir. Jai récupéré le sex toy, que Marie avait nettoyé et lai remis autour de ma taille. Je suis montée sur le lit, à quatre pattes, les mains caressant ses cuisses, et la gratifiant de baisers de la pliure du genou aux fesses. Ses jambes se sont écartées, permettant un passage plus aisé jusqu’à sa raie. Jai écarté les deux globes et posé ma langue sur sa rosette, essayant de la pénétrer. La caresse à eu de leffet, son bassin sest soulevé, moffrant une vue sur sa chatte humide et son petit trou palpitant. Un ronronnement de plaisir est sorti de sa gorge, en guise de consentement. Son bassin a entamé un lent va et vient, alors que ma langue senfonçait dans son petit trou. Je lui ai léché et défoncé sa rosette pour bien lhumidifier et la préparer à la suite des événements. Jai enfoncé un puis deux doigts bien profond, jusquà ce quils coulissent aisément. Elle mouillait de plus en plus, ses mouvements saccéléraient et son ronronnement cest intensifié.

— Oh oui! Ma chérie, encules moi, défonces moi, jaime ça! Cest bon au réveil, se faire mettre! Jadore.

Je me suis relevée, ai posé le gland à lentrée et poussé lentement, la tenant fermement par les hanches. Son bassin venait à la rencontre de la pénétration, jusquau contact avec mon pubis. Je suis restée plantée au fond, la laissant shabituer, mais elle ne le voyait pas comme cela, et a entamé de lents mouvements. Sa main sest glissée entre ses cuisses, ses doigts ont titillés son clito, alternant avec sa chatte. Elle avait relevé la tête, la bouche ouverte et un son continu sortait de sa gorge. Je me suis activée, la pénétrant sur toute la longueur du gode, que je retirais jusqu’à lentrée de son joli cul. Il coulissait de plus en plus facilement, lubrifié par la mouille quelle produisait. Mes mouvements devinrent de plus en plus profonds et rapides, je la défonçais et je sentais le plaisir monter en moi. Ses doigts pénétraient profondément sa chatte et ressortaient pour finir sur son clitoris. Ses mouvements devenaient de plus en plus désordonnés, on sentait que lissue était proche. Ses cris envahissaient la pièce, et des paroles incompréhensibles sortaient de sa gorge. Le plaisir menvahit, montant du fond de mon ventre, et je me suis plantée au fond de son cul, la retenant, ses fesses collées contre mon ventre. Elle se cabra dun seul coup, son corps pris de frénésie, et ses doigts se figèrent au fond de sa chatte, dégoulinante de jus. Notre orgasme dura une éternité. Je la sentis mollir sous moi, et me séparais delle, pour la voir seffondrer sur le lit. Je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits, couchée sur elle, savourant ce moment divin de la jouissance. Je me suis déplacée, pour la laisser respirer, jai posé mes lèvres sur son dos, la caressant tout le long de la colonne vertébrale. Elle appréciait la caresse et sétait remise à ronronner. Emilie sest relevée sur ses coudes, je pus atteindre sa bouche, cherchant sa langue, et lenroulant autour de la mienne.

— Que cest bon de se faire défoncer au réveil! Me dit elle, jadore vraiment ça. Tu vas me rendre accro, Denis ne va pas pouvoir suivre.

— Mais si ne tinquiète pas, il ne donne pas sa part au chien!

— Quelle nuit vous mavez faite passer! Cétait divin, quel plaisir jai pris. Je ne pensais pas que je pouvais jouir autant, vous êtes des diablesses.

Marie venait de pénétrer dans la chambre et sest allongée à coté dEmilie. Leurs bouches se sont soudées, la main de Marie lui a caressé le ventre, descendant jusqu’à sa chatte détrempée.

— Alors petite cochonne, on se permet des feux dartifice au réveil? lui dit-elle.

— Oh oui! Quel bouquet final, jen ai les jambes encore coupées. Jalouse?

— Non pas du tout! Le prochain est pour moi, si tu en as encore lenvie.

— Avec plaisir, mais pas de suite, laisses moi me remettre, vous allez me tuer toutes les deux.

Nous avons éclaté de rire, et nous sommes embrassées tour à tour, promenant nos mains sur les corps de chacune.

Nous avons passé tout le week-end avec Marie, Emilie sest donnée toute entière, prenant un plaisir sans retenue, offrant son corps et ses caresses pour notre plus grand plaisir.

Marie nous a raconté sa rencontre avec la patronne du restaurant, et jai pu mieux comprendre les qualificatifs quelle lui attribuait.

Jai demandé à Emilie se qui lavait poussée à accepter de faire lamour avec Marie et elle ma répondu quelle ne lavait pas laissée indifférente, que si elle navait pas craqué pour moi, elle aurait surement craqué pour elle, et surtout que jen avais très envie.

Je nai jamais plus eu loccasion de partager Emilie avec une autre femme, bien que nous soyons restées ensemble plus dun an avant son départ. Jai revu Marie de nombreuses fois, elle ma rendue mon « cadeau » avec Sophie, la patronne du restaurant.

Jai souvent des nouvelles dEmilie, qui à repris sa vie hétéro, et qui na jamais refranchi le pas avec une autre femme. Comme elle dit « Ca a été un moment intense de ma vie, je ne regrette rien, et cela restera un de mes plus beaux souvenir ».

Merci de mavoir lue, et à bientôt pour de nouvelles histoires.

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