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Un coucou dans la Suite Nuptiale – Chapitre 1

Un coucou dans la Suite Nuptiale - Chapitre 1



Auteur : Alix Publié en janvier 2018.

Après avoir beaucoup réfléchi au moyen d’utiliser le pécule que m’avait laissé mon père, je me décidais pour un club de vacances sur une île tropicale. L’investissement était conséquent, mais les résultats satisfaisants. J’étais le propriétaire d’un bel ensemble de bungalows élégants, bien équipés, avec chacun un jardin privé qui l’isolait des autres.

À notre époque, l’espionnage est un jeu d’enfant pour peu que l’on y mette le prix. Sur la vingtaine de bungalows, trois étaient spécialement équipés pour satisfaire mon vice.

Plusieurs mois auparavant, l’échec de mes deux mariages m’avait incité à l’analyse et à l’introspection.

Les premières semaines de mariage étaient délicieuses. La jeune épouse se montrait enthousiaste, impudique et parfois même, inventive. Nous faisions l’amour n’importe où et n’importe quand. Hélas, six mois après les bouches étaient moins gourmandes et les surprises, plus rares.

Après des débuts magiques venaient la routine et l’ennui. Le désir fuyait.

J’aurais pu me marier une troisième, voire une quatrième fois, mais j’étais convaincu que ce serait, une fois de plus, une fois de trop, un autre feu de paille.

J’avais confusément envie d’autre chose.

La chance m’aida. Nous étions une dizaine de copains à fêter le mariage de l’un d’entre nous. Après quelques verres, ce dernier, un peu poussé par nous, s’était laissé aller à vanter complaisamment les charmes de sa jeune femme. Par jeu, les copains remplissaient son verre pour obtenir des révélations toujours plus croustillantes.

Complètement ivre, il finit par nous confier, en bafouillant, ce qui faisait jouir sa ravissante épouse.

— C’est entre nous, hein, les gars ! Si elle savait que je vous l’ai dit, elle m’arracherait les yeux !

Etant son plus proche copain, je le ramenais chez lui. Il était dans un tel état que j’ai dû le soutenir et prendre ses clés dans sa poche. J’ai refermé doucement la porte et couché mon ami sur le canapé. Il m’avait bien chauffé avec ses confidences d’autant que cela faisait six mois que je n’avais pas baisé et que, moi aussi, j’avais bu.

Je connaissais sa femme, une belle fille de 22 ans, pleine de santé, intelligente et sage. Elle me plaisait bien mais c’était sans espoir. Elle était amoureuse et pas du genre à batifoler. En l’imaginant, nue dans son lit, juste derrière la porte de sa chambre, une idée folle me traversa l’esprit.

Je bandais comme un âne quand j’ai ouvert, nu, la porte de la chambre conjugale. Le souffle régulier de la jeune mariée m’encouragea. Je me suis glissé dans le grand lit et me suis collé contre le petit corps tout chaud avec l’idée complètement folle de lui caresser les seins pendant son sommeil.

Je n’avais pas prévu qu’elle se réveillerait. C’était une situation extraordinaire d’autant qu’elle ne se déroba pas à mes caresses, au contraire, elle frotta ses fesses contre ma queue dure puis se retourna pour se blottir contre moi.

— Tu sens l’alcool, murmura t-elle d’une voix endormie.

Je pris soudainement conscience de l’idiotie de ma conduite et de ses probables conséquences. Elle allait immanquablement me démasquer, crier, ameuter l’immeuble et m’attirer les pires ennuis. Pris de panique, j’allais m’enfuir lorsqu’elle se hissa d’un coup de reins sur mon ventre et colla ses lèvres sur les miennes. Je restais immobile, tétanisé.

Elle glissa sa main sur mon ventre et empoigna ma bite en érection.

— Je vais devoir te prendre comme une pute, voyou !

— Humm.. Grommelais-je pour éviter de me trahir.

Elle s’accroupit, fit glisser ma queue dure sur sa fente humide puis la fourra dans son vagin et s’empala doucement.

Je crus mourir de saisissement tellement s’était inattendu et magnifique. Elle me baisait avec tendresse. Son fourreau intime était étroit et trempé de mouille. Ma queue glissait, serrée dans ses chairs douces et chaude.

Rassuré par son entrain, je me détendais et allais jusqu’à empoigner ses seins fermes à pleines mains. Elle accéléra le rythme, gémit et s’effondra sur ma poitrine en poussant un couinement animal.

Au moment où j’allais jouir, elle serra la base de ma verge avec ses doigts. Ce fut radical pour couper court. J’en bandais plus fort.

Elle reprit son souffle, se redressa et recommença à baiser sans me lâcher. Cette fois, elle tira son coup avec des petits cris excités. Elle s’effondra de nouveau et recommença.

Je n’en pouvais plus. J’allais exploser. Elle me libéra.

— Vas-y, mon chéri ! Remplis-moi !

Elle fourra un doigt dans mon anus et le remua habilement.

C’était à la fois surprenant et délicieux ! J’avais l’impression que ma bite gonflait encore. Jamais une femme ne m’avait caressé ainsi !

Sa chatte palpitait sur ma bite. Mes couilles se vidèrent délicieusement au fond de son ventre. J’étais au paradis !

Elle feula et se ratatina sur mon ventre en tremblant de tout son corps.

Essoufflée, elle déconna, s’allongea contre moi et mordilla mon lobe d’oreille avant de murmurer, amoureusement.

— C’était merveilleux ! J’adore que tu me défonces ma petite chatte comme ça !

— Humm..

— Tu bandes encore, petite pute ! Tu aimes que ta salope te prenne comme ça ! Dommage mais je dois me lever tôt. J’ai une réunion. Bonne nuit, chéri. Conclut-elle.

Elle se retourna et se rendormit rapidement. J’attendis un peu puis me glissais hors du lit, regagnais le salon et me rhabillais. Le cur battant, je filais comme un voleur. J’espérais que mon ami allait se réveiller dans la nuit et rejoindre sa fidèle épouse dans le lit conjugal.

Il avait su gardé au moins un secret pour lui : sa femme était une extraordinaire amante !

Dans les jours qui suivirent, je téléphonais à mon ami, l’air de rien. Comme il ne me remercia pas de l’avoir raccompagné et qu’il était bien éduqué, j’en conclus qu’il ne se souvenait de rien.

Lorsque je revis sa ravissante femme, deux mois plus tard, à l’occasion du mariage d’un ami commun, je fus définitivement rassuré. 

Qui pourrait deviner quelle fabuleuse amoureuse elle était, en contemplant son sage visage d’ange ! Comme quoi !

L’émotion me prit au ventre au souvenir de l’extraordinaire moment qu’elle m’avait fait vivre. Ce fut une vraie folie mais quelle révélation !

Ils annoncèrent fièrement qu’ils allaient avoir un bébé. La naissance était prévu pour mi-septembre. Je calculais mentalement. Houps !

Les "Suites Nuptiales", c’est ainsi que je nommais les bungalows que j’avais équipé pour tenter de retrouver un peu de la magie de ce moment fantastique.

Je n’y logeais que des jeunes mariés que j’attirais par des prix très intéressants, pour les lunes de miel, mes préférées, et les voyages de noces.

Je sélectionnais sévèrement les élues. Dès leur arrivée, je repérais la jeune femme à l’air timide, en retrait, dont les joues rosissaient en entendant les mots « Suite Nuptiale ». Il fallait qu’elle ait un beau corps, pas beaucoup plus de 20 ans, avec ces petits quelques choses dans le regard et dans les hanches qui révélaient une nature sensuelle, encore refoulée sans doute, mais qui n’attendait que le moment de s’exprimer. Les salopes assumées et les vulgaires ne m’intéressaient pas.

Les maris comptaient aussi. L’époux fatigué, à l’air fanfaron, visiblement incapable physiquement de satisfaire les appétits sensuels de leur jeune femme, était mon préféré.

Il n’était pas question que je cours le moindre risque de me faire prendre. Je mettais donc toutes les chances de mon côté. Je fis plusieurs essais avec des drogues usuelles, sans danger et faciles à se procurer. Lorsque les résultats obtenus furent satisfaisants, je préparais des petits en-cas goûteux accompagnés d’une liqueur bleue, soporifique, pour les maris et une rose, aphrodisiaque et hallucinante, pour les épouses.

Le service soigné et personnalisé, était compris dans le forfait. Le troisième soir, j’apportais moi-même le plateau sur leur terrasse où ils m’attendaient dans leur fauteuil en osier.

Une fois qu’ils avaient la coupe colorée à la main, je leur adressais tous mes vux de bonheur et les laissais seuls avec les petits en-cas fait maison.

J’avais retardé au troisième soir l’apéritif de bienvenue officiellement pour qu’ils se reposent du voyage, mais en réalité pour avoir le temps de faire plus ample connaissance.

C’est là que les caméras remplissaient leurs rôles. J’apprenais ce que j’avais besoin de savoir. S’ils étaient vraiment amoureux, si le mari était silencieux ou bavard en faisant l’amour, quel côté du lit il prenait, si elle suçait, quelle position elle préférait et si, après, elle s’endormait vite ou réclamait d’autres câlins.

J’admirais leurs corps de jeunes déesses, la forme de leurs seins, leurs fesses, leur chatte, tout ce que je ne pourrai pas voir dans l’obscurité.

Lorsque tous les critères du succès étaient réunis, je suivais un strict protocole dont le premier acte était la coupe de bienvenue. J’attendais que l’homme tombe dans un sommeil de plomb et que sa femme, excitée et frustrée, rêvasse pour couper la lumière du bungalow et me glisser à l’intérieur.

Comme un coucou, je tirais le mari en bas du lit et le déposais précautionneusement sur l’épais tapis de laine pour pouvoir prendre sa place.

La jeune femme avait à peine vingt ans. C’était une rousse piquante aux yeux verts. Elle était tellement charmante et rosissante que je bandais à moitié en donnant la clé de la « Suite Nuptiale » au mari dont les yeux cernés et l’air las, étaient de bons augures.

Elle somnolait et n’avait rien remarqué. Je me collais contre elle comme j’aimais le faire depuis ma première fois. J’adorais le contact avec son petit corps brûlant. Après avoir sucé ses seins comme je savais qu’elle aimait, je lui écartais les cuisses pour lécher sa vulve parfumée et son bouton d’amour que ma recette au dosage étudié, faisait bander comme une petite bite, tout en chauffant le sang dans ses veines.

Elle leva les genoux en gémissant. C’était le moment que je préférais, celui où la femelle en chaleur offrait son ventre à féconder au mâle. Je me glissais sur elle, ouvris ses cuisses, les maintins avec mes bras et enfonçais doucement ma queue dans son vagin mouillé qui se révéla être l’un des plus étroits que j’ai possédé. J’étais aux anges.

Je savais qu’elle n’avait pas joui les deux nuits précédentes, son jeune mari venant trop vite. Je savourais la douce sensation de ma bite glissant dans ce petit con qui méritait qu’on s’y attarde.

Elle commença à gémir doucement puis comme j’accélérais un peu, elle haleta et poussa de longs petits cris aigus.

— Mon amour.. Mon amour C’était comme une plainte.

Elle se cambra et poussa un profond soupir. Ses bras me serrèrent contre elle avec une force peu commune. Je la laissais savourer ce moment de plaisir puis recommençais à la pistonner. Lorsque le moment arriva, je m’enfonçais bien au fond de son ventre et jouis sans retenue.

Elle m’embrassa sur la bouche.

— Oh ! Comme je t’aime.. C’était fort !..

— Humm..

Je bandais encore lorsque je sortis de sa chatte gluante. Je reprenais discrètement mon souffle, allongée à côté d’elle, quand elle murmura.

— Je vais te faire… Tu sais… Ce que tu voulais et que je ne voulais pas…

Elle se coula sur mon ventre et emboucha ma queue. Elle était si maladroite que je devinais que c’était sa première fois. Ne pouvant prononcer un mot, je la guidais en la tenant par sa chevelure soyeuse. Lorsqu’elle comprit ce que je voulais, je saisis sa main et la portais sur mes couilles. Elle hésita puis les caressa. J’imposais un rythme plus rapide à ses caresses pour m’amener au seuil de la jouissance.

Je giclais dans sa bouche et l’obligeais à avaler en poussant mon gland dans sa gorge. Elle déglutit courageusement.

Je les regardais partir à la fin de la semaine, la main dans la main. Elle, ondulant des hanches, plus femme qu’à son arrivée et lui, plus fatigué. Cette petite ne m’avait pas déçu. C’était vraiment un bon coup.

Cela faisait quelque temps que je me livrais à ces détournements de jeunes mariées. Tout s’était toujours bien passé jusqu’au jour où arriva ce qui devait arriver. Je me suis fait prendre.

Le couple était parfait. Elle, une belle brunette, une fleur prête à s’épanouir, des seins pointus sous sa robe légère, les fesses bombées, l’air à la fois éveillé et contenu. Le jeune époux affichait l’air du gars content d’avoir épousé la plus belle fille du lycée.

La nuit venue, je me glissais dans le lit nuptial et me collais contre ses seins. Je sentais son souffle sur mon visage. Je lui caressais les fesses pour qu’elle comprenne que son mari avec envie de faire l’amour et s’abandonne. Elle répondit à mes baisers, se laissa peloter, caresser et sucer. Quand je me couchais sur elle, elle m’accueillit avec enthousiasme, les cuisses ouvertes. Je l’ai baisée bien profond et ses gémissements montraient que ça lui plaisait. Au moment où j’accélérais, elle me dit d’une petite voix suppliante.

— S’il vous plaît, monsieur, ne jutez pas en moi  !

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