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Un couple libertin – Chapitre 1

Un couple libertin - Chapitre 1



En préambule, je dois vous préciser que ma compagne, Bénédicte, est une ravissante petite brune sensuelle et coquine, court vêtue, joliment décolletée, très exhibitionniste, et que la base de notre entente est de conserver une certaine liberté, mais de ne rien cacher à l’autre. L’hiver dernier, nous nous sommes rendus à une soirée donnée par un ami qui souhaitait réunir tous les copains d’adolescence et de fac. Marié tardivement, bon vivant, il vit dans une grande maison à la campagne, héritée de ses parents, et avait réservé l’hôtel du village afin que nous puissions tous – une trentaine de couples – passer tout le week-end ensemble et digérer un lendemain de fête peut être un peu difficile. Je voulais ma compagne, Bénédicte, plus jolie et sexy que jamais, si cela était possible. Elle est au naturel très exhibitionniste, jupes courtes et décolletés généreux, chaude, sensuelle et très nature. Nous avions acheté pour elle un corset de résille noir, bas et mini-slip assortis, une petite jupe à damier noir et blanc et un gilet de cachemire blanc, assez largement ouvert sur ses superbes seins légèrement comprimés par la guêpière ; Un véritable appel au viol, presque un peu pute mais si joliment porté. Avec son sourire charmeur et son visage innocent qui contraste tant avec ses décolletés et déroute ses admirateurs, égale à elle-même, elle était une fois de plus à croquer. Dans l’ensemble les jeunes femmes étaient plutôt sexy, mais Béné avait à son habitude ce petit plus indescriptible qui rend tous mes copains un peu amoureux d’elle. Seuls six ou sept couples nous étaient inconnus, et grâce à un ’ punch maison ’, l’ambiance avait démarré très vite. Je reconnaissais bien là le talent de notre hôte, c’est une technique dont nous usions pour mettre dans le bain nos amies lors de nos soirées de célibataires et les débarrasser de leurs inhibitions. Bien qu’habituée à la formule, Bénédicte avait commencé très fort et me semblait un peu ivre, ne cessant de passer en riant des bras d’un cavalier à ceux d’un autre. Ses amis qui la connaissaient bien ne se privaient pas, sans insistance ni vulgarité, de lui caresser furtivement, et comme malencontreusement, les fesses et les seins, voire même d’écarter discrètement un pan de son gilet qu’elle refermait avec un air faussement réprobateur. Elle est sans doute une des seules qui accepte, et provoque ce genre de privautés, et tous, m’enviant d’être l’élu, savent qu’ils peuvent pousser un peu ce jeu, mais que jamais elle n’accepte d’attouchements autres que sur ses seins et ses fesses, et ne tolérerait en aucun cas de se laisser entraîner au lit. Quant à moi il est de notoriété publique que ces situations m’amusent- savent ils même qu’elles me procurent beaucoup de plaisir- que je ne suis pas jaloux et profiterais de l’état d’excitation dans laquelle ils me la rendront. J’ai parfois laissé entendre à certains, sans qu’ils sachent si je plaisantais ou non, que je ne pourrais que les féliciter d’arriver à attirer Bénédicte dans leur lit. Tout cela fait de nous un couple considéré comme très libéré, et aussi très énigmatique, car aucun ne peut se vanter d’avoir pu entrer dans notre véritable intimité, et Béné qui ne cache pas notre entente, son appétit et le mien, joue le jeu en laissant planer le doute quant à d’éventuelles aventures. Elle est en un mot considérée comme chaude, sensuelle et libérée, sans tabous et très nature, mais désespérément fidèle et satisfaite ( au goût de mes copains?) et chacun d’essayer de la faire craquer. Ce soir ils ne s’en privaient pas. Après avoir fait danser ma compagne, je fleurtais gentiment avec Nathalie dont je venais de faire la connaissance, et dont le mari semblait essayer d’être celui qui ferai le plus danser Bénédicte. Je sentais ma jolie cavalière un peu ivre et je m’appliquais à la faire rire, quand soudain elle me demanda : ? Ca ne te gène pas que mon mari drague ta femme avec autant de discrétion ? ? Pas du tout ! Cela me permet de danser avec toi? Mais si tu veux, je demande à Bénédicte de l’envoyer promener ! ? Non ! Moi ca ne me gène pas? Vous êtes assez libres tous les deux ? ? Je ne suis pas jaloux et j’aime la voir s’amuser ! Ca te choque ? ? Je ne sais pas ! Mais est-ce qu’elle te trompe ? ? Je ne crois pas ! Et de ce coté là nous sommes plutôt complices? ? Tu veux dire que vous faites des échanges ou des partouses ? Me demanda-t-elle d’une voix hésitante. ? Je la serrais un peu plus fort, et sentant qu’elle ne se dérobait pas, lui murmurais : ? Ne trouves tu pas que la vie soit un peu courte pour ne pas tenter quelques petits plaisirs comme celui de danser avec toi, par exemple ? ? Tu ne m’as pas répondu? ? Peut être que je n’ai pas trop envie de parler de ça pour l’instant? ? Je ne suis pas une oie blanche, et je ne suis pas si prude que tu as l’air de le penser ! Me répondit elle en se raidissant légèrement. Je la ramenais contre moi et sentis ses seins s’écraser sur mon torse. Ce contact me troublait. ? Je suis capable de garder un secret ! Murmura-t-elle. Elle semblait un peu hésitante et troublée. Je décidais de pousser un peu plus avant. ? Il nous arrive parfois d’admettre un partenaire dans nos jeux, mais très discrètement et toujours éloigné de nos amis ou relations. Je la sentis frémir légèrement et ajoutais : ? Je n’aurai pas du t’en parler ! J’ai peur de t’avoir choqué et je serai désolé que tu me considère comme infréquentable ! ? Je t’ai promis de garder le secret et je ne suis pas choquée, ou plutôt beaucoup moins que je ne l’aurai imaginé ! Je trouve que vous avez de la chance de vous entendre aussi bien ! Ma vie à moi me semble moins excitante ! Je saisis la perche. La brèche me semblait bien ouverte. Il fallait vraiment que le punch aie fait tomber nos inhibitions pour que nous puissions tenir une telle conversation. ? Tu n’as jamais trompé ton mari ? ? Je n’ai jamais osé ! Pourtant je sais qu’à lui, c’est déjà arrivé ! ? Et bien tentes une fois ! Tu verras ce que tu en penses? ? Et toi, tu l’as déjà trompée ? ? Rarement, mais c’est arrivé ! Je préfère quand ça se passe avec elle? J’aime bien la voir comblée, la voir se donner devant moi à un homme qui lui plaît? Je dois te paraître totalement dévoyé ? Non ! Je ne sais pas pourquoi, mais je t’ai dis que ce soir ça ne me choquait pas, et c’est vrai? C’est plutôt moi qui dois te sembler anormale en te posant ces questions? Ca doit être le punch, mais j’ai envie que tu me parles encore ?Si tu veux bien? Me dit elle en pesant un peu plus dans mes bras, tandis qu’une musique lente nous berçait et que nous dansions pratiquement sur place. ? Je n’en ai jamais parlé à personne, mais je trouve assez excitant de la faire avec toi, alors que la logique voudrai que je cherche plutôt à t’embrasser? Ce que j’ai très envie de faire? Lui murmurais je en déposant un discret baiser derrière son oreille. Je l’ai sentie se cambrer contre moi, son pubis est venu s’écraser contre ma cuisse. Elle devait sentir contre la sienne qu’elle ne m’était pas indifférente du tout. Heureusement que nous étions dans une relative obscurité, mais le morceau de musique finissant, j’ai choisi de me séparer – provisoirement- d’elle et l’ai entraînée prendre un verre. Bénédicte et François étaient invisibles, mais il y avait quatre pièces au rez-de-chaussée, en plus du jardin d’hiver et de la cuisine. La plupart de nos amis présents fleurtaient, en couples légitimes ou pas, et tout le monde semblait assez ivre, heureux et détendu. ? Tu crois qu’ils sont partis faire l’amour ? Me glissa Nathalie. ? Je ne sais pas ! Peut être mais je ne crois pas ! ? Pourquoi ? ? Parce qu’a ma connaissance elle ne m’a jamais trompé, mais après tout, je n’en suis pas sur et cela m’est un peu égal? Ca t’ennuierai que ton mari? ? Non ! Ce soir je m’en fous ! Fais moi danser encore ! J’avais très envie d’elle mais décidais de ne pas brusquer les choses. Cette situation était très excitante. A nouveau je l’ai prise dans mes bras, et j’ai senti ses seins et son pubis s’appuyer contre moi. Elle était ferme, chaude, douce et son parfum m’enivrait. Elle ne pouvait plus ignorer qu’elle me faisait bander et je ne faisais rien pour cacher mon état. Je voulais faire durer cet instant. D’une toute petite voix, elle me demanda : ? Vous avez déjà fait ça avec un autre couple ? ? Une seule fois? ? Et avec une autre femme ? ? Non parce qu’elle préfère les hommes? Tu n’aimerais pas avoir deux hommes dans ton lit pour s’occuper de toi ? Te faire jouir sans interruptions ? ? Elle a frémi, et j’ai repris d’une voix douce, glissant une main entre nos deux corps pour empaumer délicatement un sein rond et ferme : ? Ca n’est pas un de tes fantasmes ? ? Peut être, mais ca n’est pas celui auquel je pense le plus souvent? ? Racontes moi?Murmurais je en accentuant la pression de ma main sur son sein, dont je sentais saillir le bout, sans qu’elle se dérobe. ? Il m’arrive de rêver qu’un homme plus âgé, qui m’impressionne, m’ordonne de me déshabiller devant lui, debout dans son bureau, et me caresse? ? Sa voix était rauque, son corps pesait dans mes bras, sa bouche contre mon oreille, et sans cesser de lui caresser la poitrine, j’ai glissé mon autre main sur ses fesses, et tenté avec elle ce jeu que j’aime, celui des mots. ? Je voudrais être celui qui te demande de te déshabiller ! J’ai très envie de te retirer ta robe et de continuer à danser en te caressant ! ? Je la sentais réagir à mes mots et elle me semblait prendre le même plaisir que moi. Je continuais ? Mon plus grand bonheur serait de découvrir ton corps, de sentir monter ton plaisir. J’ai très envie de te faire l’amour et je voudrai te faire jouir? ? Continues ! Me dit elle la tète sur mon épaule. ? Je voudrai faire glisser ta robe et sucer tes seins?Sentir sous mes lèvres ta jolie petite chatte mouillée et boire ta liqueur d’amour? ? A l’abri de la pénombre, nous étions totalement imbriqués l’un dans l’autre, son sexe collé à ma jambe, ma queue écrasée sur sa cuisse, et je la sentais parcourue de frissons. Dans la paume de ma main, la pointe de son sein crevait le tissu. ? J’aimerai ouvrir tes jambes et passer la langue dans ton sillon?Sucer tes lèvres et ton clito? Caresser l’entrée de ton vagin et sentir ton foutre couler dans ma bouche? Ses fesses se contractaient sous ma main et elle se frottait imperceptiblement contre ma cuisse. ? J’aime quand tu te caresses sur moi? Je voudrai te faire mouiller? ? C’est déjà fait ! Me dit elle d’une voix rauque. ? Si nous étions seuls, je ne te laisserai que ton slip jusqu’à ce qu’il soit complètement trempé? ? Il est trempé? ? Tu imagines ma langue dans ta fente et ton clito entre mes lèvres? ? Tu m’excites? Si tu me parles encore je vais jouir? Je la sentais se masturber franchement contre moi et je commençais à perdre les pédales. ? Tu me fais bander, jolie petite salope. J’ai envie de passer la main sous ta robe pour branler ta petite chatte? Je veux ton foutre sur mes doigts et sur ma langue avant de m’enfoncer dans ton ventre. Elle était comme parcourue par un courant électrique. Heureusement que l’obscurité nous enveloppait, car elle se frottait sur moi, les fesses contractées sous ma main, ondulant du bassin sans aucune retenue. Je la sentais au bord de l’orgasme, respirant par saccades. Moi-même au bord du plaisir, je repris : ? J’aime sentir ta chatte s’écraser sur ma cuisse? Ca m’excite d’imaginer ta petite cramouille ruisselante de foutre, tes jolies lèvres gonflées et ton clito dressé? ? Oh oui ! Je suis trempée et je bande? Je vais jouir?Continue?Murmura t elle la voix chavirée. ? Je veux sentir ton odeur et boire ton jus? Enlève ton slip et donne le moi ! Je l’ai sentie jouir alors que j’avais bien du mal à ne pas exploser, lorsque je lui ai dis : ? Je veux te respirer avant de te sucer? Je vais te montrer ce qu’on appelle se faire bouffer la chatte avant de te baiser? Elle a jouit longuement, tremblante, tétanisée, la tète sur mon épaule, les cuisses serrées autour de ma jambe, tandis que je la soutenais, une main plaquée sur ses fesses. Je l’ai laissée se calmer, collée à moi, m’assurant d’un coup d’?il que personne ne nous prêtait attention. Mais les quelques couples présents étaient eux-mêmes plus occupés à se caresser en dansant. Toujours au bord du plaisir, je lui ai dis : ? J’aime te sentir jouir dans mes bras, mais maintenant j’ai envie de goutter à ta liqueur d’amour? Viens ! ? Oh oui, mais pas ici?Ils peuvent nous surprendre?Ou sont ils ? ? Peut être en train de faire l’amour là haut ? ? Attend moi ! Murmura-t-elle à mon oreille. Je reviens? Je suis allé prendre un verre. Elle a réapparu une dizaine de minutes plus tard, me disant : ? Je ne les ai pas vus, mais pourtant toutes les chambres sont occupées? Une véritable orgie?Et dans le noir, je ne suis pas sur que j’aurai pu les distinguer? ? Ca t’ennuie de savoir qu’ils sont peut être en train de faire l’amour ? ? Non ! Ce soir je m’en fou? Je suis bien avec toi? Mais j’aurai bien aimé être sure que lui aussi?Tu m’as demandé quelque chose tout à l’heure? Elle m’a glissé dans la main une petite boule de tissu noire et douce que j’ai aussitôt porté à mon visage ; Son slip, minuscule et humide, sentait la noisette, le foutre, la fille chaude? ? Tu sens bon ma petite salope, j’ai de plus en plus envie de boire ton jus d’amour directement à sa source Elle s’est à nouveau écrasé contre moi. ? Tu es toute nue maintenant sous ta jupe ? ? Oui ! ? Tu mouilles encore ? ? Oh oui ! Tu me fais toujours autant d’effet? ? Je t’ai vraiment fais jouir ? ? Oui beaucoup ! Mais ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte? ? J’aime te l’entendre dire ! ? Salaud ! Tu m’as fais jouir très fort, et je crois que je n’avais pas joui comme ca, debout, dans les bras d’un garçon, depuis bien longtemps? ? Maintenant je veux que tu décharges dans ma bouche? Viens ! Je l’ai entraînée dehors, le long du jardin d’hiver, malgré la température un peu fraîche. Je l’ai plaquée le long du mur, l’embrassant pour la première fois à pleine bouche. Elle répondait à mon baiser avec fougue. J’ai glissé la main sous sa jupe pour découvrir son coquillage nu et humide qui s’est ouvert sous mes doigts lorsqu’elle à écarté une jambe. Je me suis accroupi devant elle, le visage à la hauteur de son ventre. J’ai relevé sa jupe pour découvrir ses cuisses, le haut de ses bas et son ventre nu, sa toison brune plutôt fournie. J’ai soulevé sa cuisse pour la poser sur mon épaule. N’importe qui pouvait nous surprendre et à la faible lumière que dispensait le jardin d’hiver, j’ai vu son coquillage s’ouvrir, sa fourrure s’écarter et me révéler un sillon clair et luisant. Des perles de cyprine brillaient dans ses poils. Du bout de la langue, j’ai déniché son clito, tendu, long et fin et l’ai délicatement pris entre mes lèvres et aspiré. Elle s’est mise à feuler en s’arqueboutant, tendant son pubis vers ma bouche. J’ai glissé la langue dans son sillon en embrassant ses lèvres gonflées, avant de l’enfoncer dans l’entrée de son vagin déjà ouvert et ruisselant. Elle me coulait dans la bouche en agitant son bassin, les mains posées sur ma tète.

Elle avait un goût de miel chaud, et je me suis mis à la laper à grands coups de langue, alternant baisers, succions et aspirations. Elle gémissait, agitée de soubresauts, et je l’ai sucée longtemps, comme j’aime, buvant son jus qui coulait sur mon menton et le long de ses cuisses. Elle mouillait comme une fontaine? ? Oh oui, c’est bon ! Tu suces bien ! Je vais jouir? Continue? Oui ! Je jouis?Je jouis? Elle m’a déchargé une impressionnante quantité de foutre dans la bouche. N’y tenant plus, je me suis relevé, déboutonné, et l’ai embrochée d’une seule poussée, la soulevant sous les fesses. Elle a noué ses jambes dans mon dos et je me suis senti aspiré jusqu’au fond de son vagin brûlant. Je la sentais ouverte, distendue, chaude et gluante, agitée de contractions, et je suis resté un moment sans bouger, planté en elle, lui parlant à l’oreille : ? Oh putain ! Tu es chaude et profonde ma salope ! ? Je te sens bien? Ne bouge plus? C’est bon? ? Tu aime te faire remplir et en avoir plein ta jolie cramouille ? ? Oh oui ! Tu es un salaud et un dégueulasse, mais j’aime quand tu me parles comme ça ! J’aime que tu me parles comme à une pute? Ca m’excite? ? Oui tu es ma petite pute et je vais te défoncer ta jolie chatte et me vider les couilles dans ton petit con baveux ! J’ai glissé le doigt dans sa raie trempée de foutre pour le poser à l’entrée de son petit trou dans lequel je me suis un peu enfoncé. Elle n’a manifesté aucune répulsion. ? Tu as déjà été prise par là ? Lui ai-je demandé à l’oreille. ? Oui? Quelques fois mais pas souvent? ? Tu as déjà été baisée en sandwich par deux hommes ? ? Non, jamais? ? Je suis sur que tu aimerais ça? ? Avec toi, peut être? Tu es vraiment un beau salaud et j’aime ça ! ? Je veux que tu sois très obéissante avec moi? ? Oui ? ? Si tu as envie de me revoir ce sera sans slip ni soutien-gorge? Seulement des bas ! ? Oh oui ! ? Je t’obligerais à sortir comme ça et je te montrerai ce que c’est que de se faire baiser par deux mecs pendant toute une nuit? ? Salaud ? Tu veux faire de moi une pute? ? Ma petite pute ? ? Oh oui ? baise-moi fort? je vais jouir? Je ferais ce que tu veux? baise-moi comme une pute? Je ne savais si elle était véritablement sincère et prête à accepter mes délires ou seulement suffisamment excitée pour répondre n’importe quoi, mais je sentais la pression de ses jambes autour de ma taille et les contractions de son vagin sur ma queue. Tout son bassin ondulait, et la soulevant littéralement par les fesses je me suis mis à la pistonner comme un fou, arrachant presque mon sexe de sa cramouille béante pour la ré enconner au plus profond. Je me suis senti soudain immobilisé dans l’étau des ses jambes, avec l’impression de m’enfoncer plus encore dans son ventre. Je sentais son souffle chaud et sa respiration saccadée contre mon oreille. Elle s’est mise à feuler, et nous avons joui ensemble. J’ai déchargé dans son vagin par longues saccades, avec un extraordinaire sentiment de tomber dans le vide? J’ai du longtemps rester planté en elle, et lorsque nous nous sommes séparés, nous sommes restés enlacés, accrochés l’un à l’autre pour ne pas tomber, sa tète sur mon épaule. Elle a murmuré tout doucement à mon oreille, et j’ai cru qu’elle allait pleurer : ? C’est la première fois? Tout à fait dégrisé, j’ai pris son visage dans mes mains après m’être rajusté, j’ai déposé un baiser sur ses lèvres en lui disant un peu brusquement : – Cela fait partie des bonnes choses de la vie? rien ne nous empêche de nous revoir si tu le veux bien? Mais nous ne pouvons, ni toi ni moi, nous permettre de tomber amoureux? Et je suis sincère? tout ce que je t’ai dit est vrai. – Tu aimerais que nous continuions à nous voir ? ? Oui? Mais seulement si ça ne te pose aucun problème? Avant qu’elle ai pu répondre, je l’ai entraînée à l’intérieur. Nous avons pris un verre et à nouveau dansé, sans voir Bénédicte ni François. Nathalie se détendait et riait à mes bêtises, et ce n’est que plus tard que nous avons vu arriver son mari, l’air un peu perdu et hésitant. Il a tressailli en nous apercevant, et sans doute rassuré par mon sourire, s’est approché de nous. J’ai délicatement poussé ma cavalière dans les bras de son mari en leur disant : ’ à tout à l’heure ’ J’ai trouvé Bene dans la pièce à coté au milieu d’un petit groupe et l’ai entraînée sur la piste dans un slow calme. ? Ou étais tu passé ? M’a t elle doucereusement demandé. ? Et toi donc ? Il me semble ne pas t’avoir vue depuis un moment?ai je répondu en riant. Je l’ai sentie se troubler l’espace d’un instant, mais elle s’est reprise : ? Ce soir je n’ai pas eu une minute à moi? ? François m’a eu l’air de te trouver à son goût? ? Il m’a semblé que tu t’entendais bien avec sa femme? ? Tu as fait l’amour avec lui ? Malgré cette question directe grâce à laquelle je pensais prendre l’avantage, elle m’a surpris en répondant sans hésiter et en riant : ? Pas vraiment l’amour, mais il a quand même réussi à me faire jouir? Et toi tu as fais l’amour avec elle ? ? Oui? ? Si tu veux, on en reste là, me dit elle doucement. Je crois qu’on est tous un peu ivres et qu’il vaut mieux ne pas essayer d’aller plus loin?. ? N’empêche que j’aimerai bien savoir comment il t’a fait jouir? François et Nathalie sont arrivés à ce moment et se sont mis à danser comme nous, restant à l’autre bout de la pièce, semblant ne pas nous voir. Béné, la tête nichée au creux de mon cou, m’a murmuré : ? Si tu veux tout savoir, il m’a emmenée dans une chambre, là haut, et après m’avoir caressée, il m’a sucée?Mais je n’ai pas voulu qu’il me baise, et il n’a pas insisté?et je l’ai sucé aussi pour le calmer? Cet aveu m’a électrisé, elle a du sentir mon sexe durcir et a écrasé son pubis sur ma cuisse en murmurant : ? J’ai envie que tu me prennes? ? Tu as remis ton slip ? ? Non ! Je crois qu’il l’a gardé ! Nous sommes montés, mais toutes les chambres étaient occupées. Nous avons même aperçu dans la pénombre deux couples sur un lit? La soirée tournait à l’orgie, et faute d’un endroit pour nous isoler, nous sommes redescendus avec l’intention de regagner sagement l’hôtel. François et Nathalie dansaient encore, au coté de nos hôtes qui nous ont adressé un sourire complice et entendu. Nous avons parlé un peu avec eux et leur avons annoncé notre intention de nous retirer, ce que faisaient la plupart des ménages encore présents. François nous a appris qu’ils logeaient eux aussi à l’hôtel, et nous avons décidé de rentrer ensemble, prenant rendez-vous avec nos amis pour le lendemain matin. Nous avons regagné notre base, et sagement, avec toutefois une certaine gène et timidité, chacun a sagement regagné sa chambre. Aucun de nous ne savait que cette soirée n’était en réalité pas terminée, mais ceci est une autre histoire? Si cette histoire vous a plue, n’hésitez pas à m’envoyer un petit mot, cela me fera plaisir et je vous répondrais

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