Le 31 décembre est arrivé…
J’ai envie de faire la fête pour oublier la déception de la rupture avec Mickaël il y a deux mois.
Je me prépare pour la soirée à laquelle j’ai été invitée par Coralie, une bonne copine perdue de vue depuis plusieurs années et retrouvée il y a peu !
Même si elle ne m’a pas donné de consignes particulières, il ne fait aucun doute qu’elle compte sur moi pour m’habiller sexy !
Nous nous connaissons assez pour cela !
J’aime le noir qui met en valeur ma peau hâlée de métisse (café au lait très clair) et qui allonge ma silhouette.
Je choisis donc dans ma garde-robe une jupe longue descendant à mi-mollet et fendue jusqu’à la hanche droite et un bustier en dentelle à fines bretelles.
En dessous, pas de soutien-gorge ! J’ai envie que l’on devine mes petits seins en forme de demi-citron et leur pointe saillante.
Un string minimaliste en dentelle lui aussi complète ma tenue…
Pas de porte-jarretelles mais comme j’adore, des bas autofixants et des escarpins à fines lanières avec des talons hauts… mais pas trop !
Un léger maquillage…
Et quand je me regarde dans la glace… depuis longtemps, je me sens bien !
Quand j’arrive à proximité de la maison que Coralie et son copain Ludovic partagent avec un autre couple, la musique semble indiquer que la fête bat son plein…
C’est vrai que je me suis quelque peu perdue en cherchant l’adresse de cette maison isolée dans la garrigue !
Je n’ai qu’une demi-heure de retard !
Je suis accueillie avec effusion par Coralie qui m’enlace et m’embrasse directement sur la bouche…
Wow… ça commence bien…
Je retrouve immédiatement le souvenir de certaines scènes lesbiennes que nous avons partagées lors de nos années d’internat…
Puis nous faisons le tour de l’assistance pour les présentations :
— Voici Amélia… Amy pour tout le monde… cela ne te gêne pas ?
— NON… D’ailleurs tu n’es pas la seule à m’appeler ainsi.
Nous sommes une bonne quinzaine.
Les boisons coulent à flots : Punch créole et Sangria, en attendant que le barbecue préparé à l’extérieur par Ludovic, Gilles et Armando soit prêt !
22 heures 30… Il fait très doux et le ciel, illuminé par la pleine lune, est constellé d’étoiles…
En dehors de Coralie et de son copain, je ne connais personne aussi cela ne me gêne pas de rester à l’extérieur où je bavarde avec les trois hommes qui s’affairent autour du barbecue !
Les effluves qui montent des viandes en train de griller sont faits pour ouvrir l’appétit…
A l’intérieur la musique incite à la danse… mais ce soir, ce n’est pas mon truc…
A minuit, tout le monde se retrouve pour se souhaiter les vux pour la nouvelle année… puis c’est le repas autour du buffet de crudités, de viandes froides ou chaudes.
Armando, à qui j’ai semble-t-il tapé dans l’il, ne me quitte plus…
Avec son accent chantant d’Italie, il me fait rire avec ses histoires : je me sens bien…
Soudain, il me demande :
— Amy… Tu es seule ?
— Oui… Je suis une amie de Coralie, elle n’a pas voulu que je reste seule le soir du réveillon !
— C’est comme moi… Ludovic, sachant que j’étais de passage dans le secteur m’a invité lui aussi !
— Viens allons prendre l’air !
— Tu as raison… C’est trop bruyant ici !
Nous sortons et au clair de lune, nous marchons bras dessus bras dessous dans les vignes qui entourent la maison…
Et Armando entreprend une cour pressante et directe comme jamais encore on me l’a faite !
— Amy, je te trouve très belle… Tu affoles mes sens avec tes tétons qui pointent au travers de la dentelle… J’ai envie de les caresser… Sens comme ma bite est raide !
— Waouh… Tu n’y vas pas par quatre chemins !
— Pourquoi hésiter ? Tu me plais, je ne te suis pas insensible… Alors ?
— Oui…
Et pas besoin de me hisser sur la pointe des pieds…
La bouche d’Armando est à la bonne hauteur… Il prend mes lèvres dans un baiser torride pendant qu’une de ses mains tourmente un de mes seins et l’autre passée sous mes fesses me plaque contre lui !
Il n’avait pas menti : je sens son sexe au travers des tissus !
J’arrive à balbutier à son oreille :
— Humm ! Pas mal du tout !
— Et tu n’as pas tout vu !
— Eh bien… puisque c’est parti ainsi, je ne demande qu’à voir !
À ce moment, nous arrivons à la hauteur d’un « baracou », un de ces abris que les vignerons ont construit dans les vignes pour s’abriter d’éventuelles intempéries.
Armando pousse la porte qui grince et nous entrons…
Eclairant les lieux avec nos portables, nous découvrons une table et deux chaises branlantes ainsi qu’une lampe à pétrole que mon compagnon s’empresse d’allumer…
Puis je vois ce qui va nous servir de couche : des bottes de paille recouvertes d’un drap de couleurs.
— Voilà notre nid amour, ce sera parfait !
— Coquin… Tu savais ce que tu faisais en m’entraînant dans cette promenade !
— Non… mais cette cabane est là… juste au bon endroit ! Je ne me voyais pas te baiser à la hussarde contre un arbre…
Nous sommes enlacés et nos baisers sont de plus en plus chauds…
Nos langues se livrent une sorte de combat dans nos bouches pendant que je sens la main d’Armando remonter le long de ma cuisse droite et glisser par la fente de ma jupe jusqu’à la fourche de mes jambes…
Je m’ouvre… et d’un léger recul, je laisse cette main s’aventurer jusque sur mon string.
— Dis donc jolie coquine ! Tu es inondée !
— Et toi… Tu n’as rien à revendre d’après ce barreau de chair que je sens contre moi !
— Oh oui… Tu me fais bander comme rarement une femme l’a fait !
— Alors je sens que nous allons bien nous amuser… Je suis en manque de sexe depuis deux mois !
— Tu connais les latins… Ils ne sont jamais à court d’idées pour faire jouir une femme !
— Et moi, j’ai le sang chaud d’une fille des Iles !
Ce court dialogue dure à peine une minute et cela suffit à Armando pour ôter mon string et commencer à masser mon pubis…
Waouh… C’est chaud…
Deux doigts ancrés dans ma chatte, mon amant me fait basculer sur le lit improvisé, remonte ma jupe et se penche sur ma fourche…
Je sens son souffle chaud pendant que ses mains font rouler mes tétons qui percent au travers de la dentelle…
Sa langue cherche à débusquer mon clito et je sens ma cyprine commencer à sourdre entre mes lèvres…
Mes mains cherchent la ceinture du pantalon que je fais descendre sur les cuisses de mon amant qui me dit :
— Déshabillons-nous, il fait assez chaud ici et nous serons plus à l’aise !
— Tu as raison ! Allez ! À poil tous les deux !
En moins de temps qu’il le faut pour l’écrire nous sommes nus tous les deux… J’admire le corps d’Armando… Des muscles déliés, à peine apparents, le torse légèrement velu et une paire… je ne vous dis pas… J’en bave d’avance !
Toujours allongée sur les ballots de paille, j’ouvre ma fourche pour qu’Armando vienne reprendre le cunni qu’il a commencé…
Waouh… Quelle langue… Je le sens qui fouille entre mes lèvres intimes, lapant la cyprine qui continue de s’écouler puis descendre un peu plus bas et entrer dans mon sexe… qu’elle fouille le plus profondément possible…
Les mains plaquées sur sa tête pour la pousser encore plus dans ma fourche, je m’ouvre comme un fruit mûr…
Armando triture les pointes de mes seins, ultrasensibles après avoir été pris dans la dentelle depuis de longues heures… et cela me fait du bien…
Mais cette langue qui fouille mon sexe me fait ruisseler… Je sens le plaisir monter dans mon ventre… monter encore… jusqu’à ce que la jouissance m’emporte dans un rugissement de fauve !
— Oh que c’est boooooooon !
— Tu vas voir… maintenant ça va encore être meilleur… Et je ne me vante pas… Il paraît que je suis un bon amant !
Alors que je suis alanguie après cette première jouissance, Armando fouille dans la poche de son pantalon roulé en boule sur le sol et en sort un chapelet de préservatifs.
— Eh bien dis donc, tu avais tout prévu…
— Je ne sors jamais sans en avoir un certain nombre avec moi…
— Tu as raison… C’est plus prudent !
Dès qu’il est couvert, Armando revient sur moi et me prend dans ses bras puissants…
Je sens son sceptre de chair battre entre mes cuisses… puis lentement pénétrer mon sexe qui palpite en l’attendant…
Que cet amant est doux… Il aurait pu être impatient et m’éperonner violemment… NON… Il me laisse prendre la mesure de son vit qui est logé en moi… Plus de 20 centimètres de chair et de sang, raidis par le désir…
Il me lime avec constance… Il entre… il sort… il va et vient en moi… me laisse me ressaisir puis reprend son va-et-vient…
Il se redresse sur ses avant-bras et son regard se pose sur moi…
Il prend mes jambes qu’il redresse le long de son buste…
Nos regards ne se quittent plus pendant qu’il me baise, cherchant à discerner la montée de ma jouissance !
Quel amant ! Cela ne doit pas prendre fin…
Je m’ouvre encore plus.
Pour mieux le retenir en moi, je noue mes jambes derrière ses reins… et participe activement à ce coït à la fois doux et viril !
Nous sommes deux à la poursuite de la jouissance, unis par notre désir de nous confondre, de ne faire plus qu’un, sexe dans sexe jusqu’à l’extase finale qui éclate soudain dans mon ventre et me tétanise !
Armando n’a pas joui !
Nous basculons sur le côté et malgré l’étroitesse de la couche, nous trouvons une position dans laquelle mon amant relève ma jambe droite et dégage ma fourche sexuelle pour voir son sexe pénétrer le mien dans un mouvement de piston de plus en plus rapide !
Quelle bite il a ! Quelle endurance !
Mais soudain je sens le sexe qui est en moi grossir encore plus et dans un râle puissant Armando jouit à son tour…
Et je sens les jets de sa semence s’écouler au fond de la capote !
Mon amant me reprend dans ses bras au plus près de lui et nous retrouvons notre calme…
Je me love dans ses bras en lui tournant le dos…
Une main est posée sur mon sein gauche et entre mes fesses, je sens son sexe encore à moitié bandé.
Je suis bien ! Je pense en moi-même qu’après un peu plus de deux mois de jeûne sexuel… je suis bien tombée…
La main qui est posée sur mon sein glisse tout doucement vers ma fourche et des doigts massent mon clitoris, s’insinuent dans ma chatte pendant que derrière moi, le Priape qui m’a déjà si bien fait jouir retrouve de sa splendeur…
— Non… Tu n’y penses pas… Tu es bien trop gros… Je n’ai pas trop l’habitude.
— Ne crains rien ! Loin de moi cette pensée quoique ton petit cul me fasse très envie… Je vais te prendre ainsi… Laisse-moi me couvrir à nouveau.
— Oh oui… J’en encore envie !
Et pour faciliter l’intromission, j’écarte une de mes fesses…
La queue d’Armando tâtonne un peu puis trouve son chemin entre mes lèvres vaginales…
À nouveau je me sens pleine de ce membre… qui me donne chaud…
Armando me lime doucement puis il accélère le mouvement…
Je sens le tissu quelque peu rêche irriter ma peau mais je n’en ai que faire : Ce que j’éprouve par ailleurs est si bon…
Une main emprisonne un de mes seins, faisant rouler le téton au creux…
J’ai chaud… J’ai froid… mais je suis si bien et Armando baise comme un Dieu…
Il fait monter mon plaisir, il le laisse refluer avant de le faire monter à nouveau…
Ma chatte ruisselle littéralement et ce pieu qui me pénètre va encore m’envoyer en l’air !
Ce qui d’ailleurs ne tarde pas… Dans un grand cri je me libère et Armando jouit à son tour !
Le bougre… Qu’est-ce qu’il m’a mis ! Dommage, je l’aurais encore plus apprécié sans cette foutue capote… Mais dans les amours de rencontre, il faut rester prudent !
Après un retour au calme appréciable, nous nous rhabillons…
Pendant que nous regagnons la maison où la fête bat son plein, Armando me dit soudain :
— Je suis sans voiture… C’est Ludovic qui est venu me chercher à mon hôtel… Allons terminer la nuit dans ma chambre… Je sens que tu as encore envie de jouir !
— Oh oui… Plus de deux mois sans baiser, je commençais à dépérir !
— Alors… allons-y ! J’ai encore des réserves !
J’envoie un SMS à Coralie pour qu’elle sache que nous quittons la fête sans rien dire…
Moins de 30 minutes plus tard, nous entrons dans cette chambre d’un bel hôtel en périphérie de la ville…
En fait, ce n’est pas une chambre mais une suite avec un coin salon-bureau près de la fenêtre et un lit immense près de la porte donnant sur la salle de bains.
— Viens… Allons prendre une douche… Ça nous fera le plus grand bien après notre séance dans la cabane des vignerons !
— Oh oui… Tu as raison !
Dans la salle de bains, nous nous déshabillons mutuellement en nous embrassant, en caressant les parties de corps que nous découvrons…
— Amy, que tu es belle… J’aime beaucoup tes petits seins, la courbe de tes hanches, cette fourche intime à la toison bien disciplinée…
— Oh tu n’es pas en reste, tu es un beau mec qui doit faire chavirer les corps à défaut de le faire avec le cur des minettes…
— Tu as raison, je m’enflamme facilement… Et je n’y peux rien si les filles sont si sensibles à mon charme latin…
Nous entrons tous les deux dans la vaste cabine de douche…
Je ne vous fais pas de dessin… Nous partageons complètement la douche… Ce ne sont que frôlements, caresses à peine esquissées… L’eau mêlée de mousse ruisselle sur nos corps qui se frottent l’un à l’autre…
Le sexe d’Armando est dressé entre nous… à nouveau triomphant…
Là je peux le voir en détail… Près de 20 centimètres de long… un diamètre très conséquent et un gland circoncis gorgé de sang en forme de champignon…
En moi-même, je pense que si j’ai si bien joui… cette bite surdimensionnée n’y est pas étrangère !
Nous nous approchons du lit et Armando me couche en travers, les pieds reposant sur le sol.
D’une main ferme, il ouvre le compas de mes jambes et négligemment ( ? ) il lisse ma touffe puis il descend jusqu’à mon intimité encore humide de la douche et y plonge deux doigts…
Humm… Ça recommence !
Je m’ouvre encore plus lorsqu’il se penche sur mon pubis et d’une langue agile, va débusquer mon clito qui bande déjà !
Mais cela ne dure pas… Armando prend mes jambes et me retourne à plat ventre sur le lit… J’ai les jambes pliées au niveau du bassin…
Je sens son souffle courir le long de mes reins, descendre plus bas pendant qu’une main ouvre mon sillon fessier et qu’un doigt curieux titille mon anneau plissé avant de s’y glisser.
— Humm… Effectivement tu es serrée !
— Oui… Rares sont ceux qui sont passés par là ! Mais j’aime bien la sensation de ton doigt…
— Mets-toi en levrette sur le lit…
— Oh oui… J’adore !
Je prends la position souhaitée et la tête tournée sur le côté, je vois mon amant dérouler un nouveau préservatif sur son bâton d’amour qui est dressé devant son pubis…
Puis il monte sur le lit…
Ses mains caressent à nouveau mon corps qui n’est qu’attente !
Du creux de mon dos, elles passent ensuite le devant en vont faire saillir les bougeons de mes seins (qui ne demandent que cela) avant de revenir saisir la taille…
Le sceptre de chair s’introduit entre mes fesses puis je sens le gland s’approcher de mes lèvres intimes et s’y placer… marquant un léger temps…
Soudain… C’est l’estocade !
D’un seul coup de reins, j’avale toute la longueur de la bite d’Armando et son pubis vient claquer contre mes fesses…
Surprise de temps de violence, je ne peux m’empêcher de crier :
— Aahhhhh ! Oohhhhh ! Oouuuiiiii ! Baise-moi bien comme une chienne !
Mon amant se déchaîne alors…
Les mouvements de piston dans ma chatte débutent lentement puis s’accélèrent jusqu’au moment où, sentant ma jouissance arriver, Armando reste fiché au plus profond de moi…
Le salaud… Il me fait languir alors que j’ai envie de jouir ! OUI… JOUIR !
Mais non… Ce qu’il veut, c’est retarder ma jouissance afin qu’elle soit encore plus forte !
— Alors… Tu attends que je t’envoie en l’air ?
— Oh oui… Vas-y… défonce-moi !
Les mouvements de va-et-vient reprennent sur un rythme soutenu mais constant…
Je sens rapidement dans mon ventre cette boule chaude qui s’y développe quand ma jouissance approche…
Soudain mon amant introduit un doigt dans mon cul et là, je ne vous dis pas quel orgasme déferle en moi en même temps que je sens une nouvelle salve de sperme au fond de mon vagin !
Je m’écroule à plat ventre sur le lit, m’arrachant involontairement à l’emprise du sexe qui bat encore en moi…
Armando bascule et se couche sur le dos, son sexe encore à moitié bandé…
Je le regarde… j’approche mes mains et d’un geste lent, j’ôte la capote qui est encore bien pleine…
Mon amant ne se trompait pas quand il disait avoir des réserves… aussi, je fais une toilette à ce sceptre plongeant ma bouche pour goûter les sucs qui le nappent !
Humm… Que c’est bon…
Cette toilette intime se transforme en une fellation rythmée pas la main d’Armande plaquée dans mes cheveux…
Sa queue ne tarde pas à retrouver sa splendeur…
Si bien que je m’empale à nouveau en amazone face à mon amant !
J’entame les mouvements de va-et-vient…
C’est sciemment que je ne me protège pas… J’ai envie de sentir l’éjaculation au fond de moi ! Tant pis… je ferai ce qu’il faut demain ou après !
Pendant que je monte et descends sur la bite d’Armando, ce dernier ne reste pas inactif…
Il a remonté ses mains depuis mes hanches et les presse sur mes seins en faisant rouler le téton au creux de sa paume… C’est une douce caresse…
— Vas-y… Fais-toi plaisir… J’ai compris ce que tu veux !
— Et quoi ? Dis-le !
— Me sentir gicler au fond de ta chatte !
— Oh oui… et j’espère que tu seras aussi généreux que les autres fois !
— T’inquiète ! Il m’est arrivé de jouir six fois la même soirée !
— Ben dis donc…
Je rejette la tête en arrière…
Je ne veux plus voir mon amant, juste le sentir aller et venir en moi… pour mieux savourer cette belle bite qui ramone ma chatte qui n’en peut bientôt plus de ruisseler comme une fontaine…
Mais bientôt, ce n’est plus uniquement ma cyprine qui s’écoule…
Armando envoie une belle salve contre mon utérus… ce qui me fait partir dans un grand cri de délivrance joyeuse !
Repue et essoufflée de cette chevauchée, je me couche sur mon amant et nous nous endormons ainsi… unis par nos deux sexes comme un animal fabuleux…
J’ignore à quelle heure nous nous sommes endormis mais il est près de 11 heures quand nous nous réveillons…
J’ai basculé sur le côté et ma main gauche joue avec le sexe à demi dressé de mon amant…
J’ai encore envie de lui…
Je me relève sur mon coude droit et je commence à titiller le méat qui s’offre ainsi à moi avant de gober le gland plein de sang…
Humm… Je sens que je vais me régaler… J’ai rarement eu un aussi beau sucre d’orge à sucer !
— Humm… Amy… Quel réveil… C’est bon !
— Bonjour mon amour ! Laisse-moi faire !
Et je plonge à nouveau la bouche grande ouverte pour gober la queue d’Armando jusqu’au plus profond de ma gorge…
Je déploie tout mon savoir-faire pour donner un maximum de plaisir à celui qui m’a si bien fait jouir cette nuit…
J’alterne les aspirations profondes avec les léchouilles sur le gland… avant de plonger à nouveau jusqu’à ce que je sente arriver un haut-le-cur et je repars en arrière…
Armando n’a point besoin de me donner le rythme…
De moi-même j’accélère puis ralentis mes mouvements jusqu’au moment où il n’en peut plus et me dit :
— Je viens…
Je laisse le gland entre mes lèvres, je creuse les joues une dernière fois et Armando m’inonde la bouche de son sperme…
Il ne s’est pas trompé en disant qu’il avait des réserves… si bien que je ne peux pas tout absorber en une fois… Plusieurs fois, je déglutis ce mélange salé-sucré qu’il m’a servi…
Quelque temps plus tard, il appelle le room service pour demander « un copieux petit-déjeuner pour deux » et lorsque le serveur arrive dans la chambre, on ne voit que le haut de mon visage dépasser du drap sous lequel je suis nue…
Lorsqu’il a été parti, Armando me rejoint dans le lit où nous partageons ce petit-déjeuner qui se transforme rapidement en jeux coquins : de la confiture étalée sur la pointe de mes seins pour que mon amant vienne les lécher… De la crème maculant sa bite que je suce ensuite…
Bref… Cela s’est à nouveau terminé en partie de jambes en l’air…
Armando ne mentait pas en disant qu’il avait joui six fois la même soirée : avec moi, il a ajouté une unité !
Le 1er janvier au soir quand il m’a déposé chez moi, j’étais moulue mais heureuse…
J’avais rattrapé un peu plus de deux mois de frustration sexuelle…
Dommage… Armando est reparti vers l’Italie quelques jours plus tard…