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Un stage pas comme les autres – Chapitre 2

Un stage pas comme les autres - Chapitre 2



Les jours qui ont suivi, je nai pas arrêté de regarder ma boite mail, espérant sans arrêt un signe de Sophie mais je savais que jallais devoir attendre le cours dinformatique pour avoir à nouveau contact avec Sophie, et cela me stressait énormément.

Ca y est on est mercredi, cest aujourdhui quon a informatique, je crois que je nai jamais été aussi stressé. Après une semaine de silence je vais enfin revoir Sophie, jespère que je vais avoir quelques explications.

Après que Sophie ai ouvert la porte de la salle je minstalle comme dhabitude devant mon ordinateur et jessaye de suivre le cours malgré que mes yeux narrivent pas à se détacher du professeur. A un moment, elle passe derrière chaque élève pour voir comment lexercice avance, tout en aidant certains qui ont des difficultés, et bien sûr, je suis lun dentre eux. Elle arrive derrière moi et prend en main la souris afin de me venir en aide, mon cur bat plus fort que jamais, je sentirais presque mes joues devenir rouge. Elle a réussi à régler mon problème qui nen était en fait pas vraiment un, et au moment de partir elle me glisse a loreille un petit :

— Regarde tes mails.

A ces mots jai presque un sursaut. Au milieu de tous mes camarades jessaye de garder mon calme et je nai quune hâte : pouvoir regarder mes mails ce midi.

Le reste du cours se passe normalement, et au moment de partir jessaye détablir un contact visuel avec Sophie mais toujours rien. A ce moment je me dis que cest fini, que ça nira pas plus loin entre nous et que plus rien ne se passera.

Je mange donc avec mes amis dans notre salle principale et jessaye discrètement de regarder mes mails, je vois donc un message de Sophie, au premier coup dil je vois quil est assez court et automatiquement je me dis que ce nest pas bon signe. Je louvre donc et met fin à une semaine de doute, dans son message elle me dit : « Je suis désolé de lattitude que jai eu, mais je ne peux pas te lexpliquer par mail, essaye de venir dans mon bureau quand tu le pourras ».

Je pense quon peut presque lire lexcitation sur mon visage, mais en même temps je suis stressé. Je fini de manger en quatrième vitesse pour aller dans son bureau. Sur le chemin je me pose un million de questions, je me demande ce quelle va me dire, si on va reprendre là où on en était.

Je me présente devant sa porte avec la boule au ventre, mais je trouve le courage de toquer.

— Entrez !

— Bonjour.

— Ah cest toi, vas-y installe toi, me dit-elle en désignant un fauteuil devant son bureau.

— Alors, dites-moi pourquoi je suis là.

— Déjà je voulais mexcuser pour lattitude que jai eue et pour ne pas tavoir recontacté après ce quil sest passé entre nous. Mais il faut que tu comprennes, cétait la première fois que je faisais lamour avec un autre homme que mon mari. Et je dois tavouer que une fois lexcitation du moment passé jai eu honte de moi. Et je me suis posé des tas de questions, je me suis demandé si je devais continuer et si jarriverais à regarder mon mari dans les yeux en sachant que je le trompe avec un de mes élèves.

— Oui je comprends Mais vous mavez presque mit à la porte la dernière fois, même après ce quon a vécu. Je me suis posé des questions moi aussi.

— Jen suis vraiment désolé. Cette semaine jai réfléchis à propos de ce quil sest passé entre nous.

— Et ?

— Et jai envie de continuer.

— Cest vrai ?

— Oui. Je ne pourrais pas retourner à mon train-train quotidien après ce quon a fait. Tu mas fait redevenir la femme que je nétais plus, lorsque tu me regarde jai limpression dêtre une femme séduisante, mon mari ne me regarde plus comme ça. Jaime mon mari mais je dois avouer que je commence à avoir des sentiments pour toi, cette semaine je nai pas arrêté de penser à toi, aux moments que lon pourrait vivre ensemble.

— Jen espérais pas tant. Savoir que vous avez des sentiments pour moi, je ne sais pas quoi dire à part que je suis heureux.

— Moi aussi, et jaimerais que tu acceptes le stage que je tai proposé, on pourra alors être pendant 3 mois ensemble.

— Evidemment que jaccepte.

— Génial, on a quelques papiers à signer et ce sera bon. Mais avant quon aille plus loin, jaimerais que lon pose quelques règles.

— Ouais bien sûr.

— Alors déjà pour le moment on va se voir juste dans mon bureau, on verra par la suite si on a dautres occasions de se voir en dehors. Ensuite, je ne veux pas que tu mappelle chez moi ou sur le numéro de portable que je tai donné, je vais me prendre un autre numéro avec lequel on pourra sappeler et senvoyer des messages en toute tranquillité.

— Oui cest une bonne idée. De toute façon, vous avez, je pense, un emploi du temps plus chargé que le mien alors dès que vous me solliciterez je vous répondrais.

— Cest encore à confirmer mais pour les besoins du stage on devra peut-être aller plusieurs jours de suite sur le terrain pour faire des prélèvements et des mesures. Je ne suis pas encore sûr que ça se passera mais ce sera loccasion dêtre ensemble loin de chez nous.

— Super ! Jespère que ça se fera. Bon je vais y aller maintenant, jai cours à 14h.

Jallais ouvrir la porte quand Sophie m’interpella.

— Tu comptes vraiment tenfuir comme ça ?

Elle mattrape le bras et me fait masseoir sur le fauteuil devant son bureau. Elle ferme la porte à clef et se retourne vers moi et elle commence à déboutonner son chemisier, une érection se fait sentir dans mon pantalon. Elle ne sait pas tellement sy prendre mais lattention est là, elle se retourne et défait le dernier bouton avant de faire tomber son pantalon, en un instant elle se retrouve devant moi en sous vêtement. Ses sous vêtement sont un peu moche mais Sophie est tellement belle que jarrive à passer outre, je nai dailleurs pas le temps de mhabituer à cette vue puisquelle défait sous soutien-gorge et fait tomber sa culotte a terre très rapidement.

— Alors, comment tu me trouve ?

— Magnifique, je navais pas fait vraiment attention la dernière fois mais vous êtes plus belle encore que ce que javais imaginé.

Les formes que javais imaginé au travers de ces vêtements étaient bien loin de la réalité, elle avait en fait une poitrine bien volumineuse, un peu tombante mais vraiment bien conservé pour son âge, et son cul, je ne pourrais pas trouver dadjectif pour le décrire tellement il est parfait, pas de cellulite mais une peau douce à souhait et des formes bien rebondies. Tout ce que je ne pouvais espérer dune fille de mon âge. Je remarquais toute fois un pubis laissé un peu à labandon, pas rasé, mais je nallais pas men plaindre.

Sur ces mots je la vis presque rougir.

— Cest vrai ? tu nimagines pas à quel point ce que tu me dis me fait plaisir.

Elle savance alors vers moi, toute nue, je me demande ce quelle va faire tellement le regard quelle porte sur moi est insistant. Elle saccroupie devant moi, enlève mon pantalon et mon caleçon et libère, avec un regard désireux, mon sexe vigoureux. Cette fois elle ne sattarde pas et lengloutie dun seul coup, je suis légèrement surpris et essaye de me contenir sous ce flot de plaisir. Soudain elle sarrête et se lève, elle me regarde dans les yeux et vient sasseoir sur ma queue, je suis tellement surpris par ce quelle vient de faire que je me retrouve presque à la limite déjaculer. Elle mimpose un rythme que jai du mal à suivre mais pendant ce temps jai le plaisir de lembrasser sans arrêt et de pouvoir toucher ses merveilleuses fesses. On change les rôles et cest à moi dimprimer mon rythme mais je nai pas loccasion de le faire très longtemps car bientôt je ne peux plus me retenir et jéjacule sans retenu dans Sophie, à ce moment-là je peux lire lextase sur son visage. Elle se retire et du sperme coule le long de sa jambe mais ce nest pas ce qui la préoccupe le plus puisquavant de nettoyer cela elle vient sucer à nouveau ma bite, prétextant que la dernière fois elle avait aimé le goût de mon sperme, je ne peux que me laisser faire à ce moment-là.

— Cétait incroyable, mais regarde-moi tout ce bazar, jai intérêt a tout nettoyer avant daccueillir qui que ce soit dans mon bureau.

— Cétait encore mieux que la première fois et jespère que la prochaine sera encore mieux.

— Tu peux en être sûr. Bon maintenant tu ferais mieux dy aller, avant déveiller les soupçons. Je tenverrai peut être un mail et je te tiens au courant pour le portable que je vais me procurer, je fais ça le plus vite possible, je ne pourrais pas tenir longtemps sans avoir un contact avec toi.

— Oui moi aussi. Je suis désolé de vous laisser nettoyer tout ça mais je dois vraiment aller en cours.

— Oui oui vas-y ne ten fait pas, je vais me débrouiller.

Et alors que je me dirige vers la porte Sophie marrête et membrasse passionnément, jen profite bien sûr pour toucher un peu ses fesses avant de partir. Je la quitte donc avec le sourire aux lèvres et me dirige vers ma salle de cours.

Les journées de cours sans Sophie étaient longues, même après quelle mait donné son nouveau numéro de téléphone. Nous avons continué à nous voir assez régulièrement mais je voyais que ça ne lui suffisait jamais, je ne pensais pas que ça puisse arriver mais elle devenait de plus en plus accro à moi, ce qui nétait évidemment pas pour me déplaire. Plus je passais du temps avec elle plus jétais amoureux, et javais limpression que cétait la même chose pour elle, au début je pensais que notre relation était purement sexuelle mais je voyais bien quil y avait plus que ça. Et cest quand débuta le stage que jai pu réellement le remarquer.

On est le lundi 20 avril et cest aujourdhui que débute mon stage avec Sophie dans le laboratoire à côté de la fac. Jappréhende un peu ce jour car je me demande comment vont se passer les journées en étant presque tout le temps avec Sophie. Il est 9h et je me rends au bureau de Sophie, je toque et essaye spontanément dentrer comme à chaque fois que je venais la voir mais la porte est fermée à clef, ce qui me parait bizarre, je fais donc demi-tour pour aller attendre dans le hall du bâtiment principal de la fac mais un petit bruit minterpelle. Cest le bruit dune porte que lon déverrouille, je rebrousse alors chemin et jouvre la porte tout doucement, et ce que je découvre derrière cette porte me surprend au plus haut point :

Cest Sophie, elle porte un genre de caban, ce qui est inhabituel puisque je ne lai jamais vu porter ce genre de chose, mais ce que cache ce caban est encore plus surprenant. Une fois que jai refermé la porte derrière moi elle enlève son manteau et je découvre avec stupeur quen dessous elle ne porte rien dautre que de la lingerie fine. Elle portait une guêpière en dentelle rouge avec des bas résilles noirs, elle avait des talons hauts vernis noirs qui lui donnait une silhouette incroyable. Elle était superbe mais je me demandais quand même à quel moment elle y avait pensé et surtout quand elle avait pris le temps de se changer pour mattendre dans cette tenue. Quoi quil en soit, je restais sans voix devant elle.

— Alors tu aimes ?

— Euh. Bah ouais carrément, comment est-ce que je ne pourrais pas aimer ce que je vois ? Mais euh. Pourquoi et comment ?

— Bah je me suis dit quil fallait fêter le début de ton stage, alors jai fait quelques achats en espérant que ça te plaise. Et vu ta tête je pense que jai vu juste. Aller, viens, prends moi sans plus attendre.

Je ne tiens plus en place et me rue littéralement sur elle. Je ne réponds plus de moi et je la fais basculer vers lavant, elle se retrouve alors dos à moi, les mains sur son bureau. Je baisse sa culotte et en deux temps trois mouvements ma bite se retrouve à lentrée de son vagin. A peine a-t-elle le temps de sen rendre compte que je suis en train de faire des vas et vient à une vitesse impressionnante, à tel point quelle est obligé de mettre ses mains devant sa bouche pour ne pas faire trop de bruit. Mais je sens quelle ne réagit pas comme dhabitude à mes assauts, jai limpression quau fur et à mesure que je la pénètre elle a de moins en moins de force dans les jambes et je suis obligé de la soutenir. Quand soudain je la sens carrément défaillir, ses jambes commencent vraiment à trembler et malgré quelle ait ses mains devant la bouche je lentends gémir de plaisir, et alors je découvre quelque chose sur elle que je suis sur même elle ne savait pas : cest une femme fontaine. Au moment où elle atteint lorgasme elle expulse de longs jets dun liquide qui mest inconnu. Un peu surpris à ce moment-là, je me retire et relâche donc lemprise que jai sur elle. Encore sous le choc de lorgasme quelle vient davoir elle seffondre à moitié sur le bureau mais tente malgré tout de rester debout mais ses jambes sont encore faibles, je laide donc en lattrapant par la taille. Après lui avoir laissé quelques instants de répits, je continu ce que javais arrêté et reprends donc un va et vient soutenu, je sens Sophie encore sensible suite à son orgasme assez fulgurant mais je ne tarde pas trop éjaculer au fond de son vagin. Sophie a encore du mal à rester debout, alors je porte jusquau fauteuil derrière son bureau. Jai limpression quelle est un peu honteuse de ce quil vient de se passer :

— Désolé pour ce quil vient de se passer, ça métait jamais arrivé et je dois avouer que jai un peu honte.

— Pourquoi ? Je trouve ça terriblement excitant et assez flatteur.

— Ah bon ?

— Bah oui, vous avez quand même eu un orgasme grâce à moi, donc cest un peu flatteur de voir à quel point cétait intense pour vous.

— Ah ça tu peux le dire, cétait incroyable. Je crois que je nai jamais connu quelque chose de semblable. Si ça continu comme ça je vais devenir accro, me dit-elle en me faisant un clin dil.

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