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Une amazone au milieu des fées. – Chapitre 1

Une amazone au milieu des fées. - Chapitre 1



Et voilà, me revoici comme chaque année à l’arrière de la banquette de la voiture de mes parents, le regard perdu dans le paysage verdoyant d’une route de campagne. Une infinité d’arbres semble passer devant mes yeux de l’autre côté de la vitre tandis que je rumine piteusement ma frustration de devoir encore me plier à ce genre de contrainte. A 17 ans je pensait pouvoir jouir librement de mes vacances estivales et de mes amis restés à Lyon ; seulement voilà, comme chaque année mon père a annoncé le lieu du séjour et je n’ai pas osé lui signifier mon désir de rester à la maison par peur de le blesser et sans doute par lâcheté aussi. Toujours est il que je maudit ma couardise et regrette de ne pas lui avoir parlé. Au bout de plusieurs heures nous arrivons enfin à Reilly-la-Charlotte, le véritable trou du cul du monde à plus de quinze bornes de n’importe quel point d’accès réseau internet et téléphone. Pour un habitant civilisé de métropole comme moi cela va encore être un vrai supplice !

Notre lieu de résidence pour les deux mois à venir sera une ferme abandonnée à un kilomètre du village composé d’une épicerie, d’une pharmacie et d’une dizaine de maisons. Je ne comprendrait jamais pourquoi mes parents préfèrent investir des bâtisses désertés plutôt que de loger dans un gîte.

  On installe donc notre campement à l’abri du toi de taules et, fatigués de la route nous endormons après avoir ingurgité un généreux sandwich. Le lendemain matin, un rayon de soleil inquisiteur introduit dans l’habitation par une large fente dans un mur vient éclairer mon visage et me sortir de cette délicieuse torpeur qu’est le sommeil. Je me lève donc sans grande motivation les yeux entrouverts, je lance un « bonjour » , mais personne ne me répond, je jette un coup dil aux alentours et trouve à côté d’un pain au chocolat sur une petite table un mot expliquant qu’ils étaient partis en excursion dans les forêts voisines et qu’ils m’avaient laissés de l’argent ne sachant pas s’ils

renteraient le soir même. J’avale mon petit déjeuner, m’habille et mets l’argent dans ma poche. Il me faut quelques minutes avant de réaliser l’ennui qui semble m’attendre, je serais seul au milieu de nul part pour je ne sais combien de temps, mon esprit est énervé ; étai-ce bien la peine de m’emmener si loin pour me laisser seul ? Il me faut une bonne demie heure pour ravaler ma frustration et de décider d’aller voir dehors si les environs ont quelque chose à proposer pour guérir mon ennui ce qui me semble peut probable.

  Je pars donc en direction d’un sous bois, les mains dans les poches et pas vraiment convaincu. J’emprunte un petit chemin de terre semblant mener à une clairière un peu reculée. En dix minutes je déboule dans le dit lieu et entend des voix, comme des glapissements aigus et mélodieux venant de l’est. Il y a d’ailleurs dans cette direction une percée faite à travers les branchages des arbres bordant la clairière ; je m’approche et distingue plusieurs traces de pieds nus. Ces détails inattendus piquent vivement ma curiosité et je décide de voir de quoi il en retourne. Les traces étant peu profondes et d’une superficie modeste j’en déduit que des jeunes femmes assez sveltes sont les propriétaires de ces pieds. Ainsi, mon ennui effacé, je compte une vingtaine de pas sur la droite et marche parallèlement aux traces dans le sous bois pour ne pas qu’en revenant les mystérieuses amazones de cette forêt ne notent ma présence. Je chemine ainsi silencieusement pendant une quinzaine de minutes et au fur et à mesure que j’approche le niveau des vois augmente jusqu’à en devenir impressionnant. C’est alors qu’une puissante lumière traverse la verdure me signalant d’une divine apparition que je touche au but ; je me dissimule derrière un buisson et jette un premier coup dil de l’autre côté de mur végétal. Et quelle surprise ! Au fond de cette forêt se trouve en fait un point d’eau comme un minuscule fleuve abreuvés des alluvions claires d’un ruisseau plus en aval. Le lieu est paradisiaque et verdoyant, un Éden mystérieux et chatoyant, inondé de lumière dans l’enceinte protectrice de la mère nature. Mais le paysage certes magnifiques n’est rien comparé à ce que je vis ensuite. Une dizaine de jeune femmes d’une vingtaines d’années batifolaient dans l’eau pure, toutes aussi nues les unes que les autres. Certaines brunes et à la large poitrine elles s’éclaboussaient d’eau gaiement et poussait de petits cris mélodieux. Quelle surprise de trouver ici un tel tableau.

  Cependant alors que je profitait de la situation en jouissant su plaisir de voir sans être vu mon regard délaisse ces nymphes pour aller à la rencontre du corps d’une jeune fille plus en retrait assise nonchalamment sur un rocher. Contrairement à ses camarades dotées d’atouts féminins splendides et obusiers, elle, était pourvu d’une poitrine mince, son corps entier était d’ailleurs svelte. Mais elle avait quelque chose de particulier, métisse, sa peau brune la distinguait des autres et on pouvait sans peine imaginer le goût sucré de sa peau. Une chevelure abondante et sauvage se dressait au dessus de son magnifique visage et elle était là, les yeux clos à caresser la partie la plus intime de son corps . Oui, sa main allait et venait frottant lentement ses longs doigts entre les cuisses entrouvertes. On pouvait lire sur son visage les affres du plaisir et l’on pouvait ressentir chacun de ses soupirs. Je sentait comme une gêne dans mon pantalon, jétais littéralement bouillant et seul une étrange fascination me retenait de franchir la pourtant faible frontière que représentait ce buisson. La douce amazone semble maintenant tressaillir. Elle ferme les yeux et l’on comprend maintenant quelle atteint le nirvana sans rendre de compte qu’à elle même. Soudain elle a mouvement de recul et senfuie dans la forêt, c’est comme si on arrachait quelque chose de vivant en moi, je me sens perdu par sa fuite et j’aurais presque envie de pleurer, mais sans m’y je sens quelque chose me saisir le bras dans mon dos.

Ceci est ma première histoire alors n’hésitez pas à donner votre point de vue, de plus mon but n’est aucunement de faire dans le "hard" et je souhaite donner un caractère sensuel et poétique au récit, soyez indulgent et jespère que vous apprécierez 🙂 PS:la suite bientôt

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