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Une amie peu conventionnelle – Chapitre 1

Une amie peu conventionnelle - Chapitre 1



À chaque fois que mes parents quittent la maison, j’ai pris l’habitude de me branler. Ils se préparent, me donnent quelques consignes surtout ma mère et descendent les escaliers menant vers la cour arrière, là où est garée la voiture familiale. Dès que le moteur démarre, je monte les escaliers. Dès qu’elle est sur la route, j’active la navigation privée. Il y a quelques mois, j’ai découvert les webcams coquines. Quand on navigue sur certains sites pornographiques, des publicités s’affichent dans un nouvel onglet ou une nouvelle fenêtre. C’est grâce à cela que j’ai découvert ce plaisir. Il faut dire que cela faisait un certain moment que je me branlais dans des vidéos présentant acteurs et actrices plus ou moins connues et je n’en tirais plus le plaisir d’antan. Je tendais à regarder des vidéos amateurs. Des homemade, comme on dit dans le jargon. Cela me donnait plus de satisfaction mais quand j’ai découvert ces webcams libidineuses, j’avais trouvé ce qui me correspondait. Depuis lors, à chaque fois que mes parents partaient, j’allais sur un site, proposant plusieurs modèles : féminins, masculins, couples Il suffisait de choisir.

  

 Mes parents partaient toute la journée. Il était encore tôt dans la matinée, j’avais enfilé mon petit-déjeuner et je me rendis dans ma chambre, m’asseyant sur ma chaise de bureau, le short déjà baissé. Je tapais l’adresse du site en question dans la barre de recherche et me retrouvais devant toute une série de vignettes, présentant différents modèles. Je filtrais d’abord les couples. Cela m’excitait grandement. Surtout s’ils étaient en pleine action. Surtout s’ils étaient plus de deux. Tout en me caressant, j’ouvrais plusieurs profils dans des onglets différents. C’est ce que je faisais toujours. Choisir quelques webcams qui m’avaient l’air pimentées et me branler, passant d’une à l’autre. J’avais la queue dressée.                 Ce matin était un bon matin. Parfois, il m’était dur de trouver de bons modèles et je me rabattais sur du porno en bonne et due forme. Ce matin, j’avais trouvé une femme accompagnée d’un trio de bites latines ainsi que deux couples d’amis. 

  

 Je regardais quelques minutes ces ébats encore peu intenses à l’heure actuelle, admirant la chatte et le cul épilé de notre modèle d’Amérique du Sud et les baisers français french kisses de nos amies. Je cliquais sur le filtre pour n’afficher que les webcams des modèles féminins et là, je pris mon temps. Les plus connues n’étaient pas connectées. Je n’avais que des femmes solitaires. Deux pages à regarder. Pour une fois, je me suis dit que j’allais faire attention à chaque webcam. Je ne sais pas pourquoi. Une coïncidence ? Un pressentiment ? Un sixième sens ? J’avais repéré une petite blonde, jambes écartées, assise face à sa caméra, rien de très folichon jusqu’à présent mais quelque chose m’appelait et je cliquais directement sur ce modèle, sans ouvrir de nouvel onglet. J’avais l’impression de reconnaître cette femme. De mon âge. Même pas encore âgée de vingt ans. Cette jeune blonde qui était dans ma classe, une petite perle d’un mètre soixante, qui faisait retourner la tête de bon nombre de mecs, dont la mienne. 

  

 Je me frottais les yeux. Je ne pouvais y croire. Je n’osais y croire. Était-ce possible ? Cela ne pouvait pas être elle. Je devais trouver un élément qui me ferait rire de cet incident et de mon envie envers elle. Je regardais le décor arrière avant de crier intérieurement de joie. J’allais pouvoir déterminer que ce n’était pas elle. Je pris mon portable et allais directement sur Facebook. Je tapais son nom dans la barre de recherche et fouilla dans ses photos. Je les avais déjà regardées un bon nombre de fois même si les meilleures étaient sur son compte Instagram. Je me figeais en découvrant une dans sa chambre. Un papier peint ligné. Je regardais de nouveau mon écran d’ordinateur. Un papier peint ligné. Je regardais l’ordre de couleurs des lignes et là, encore, le doute n’était plus permis. Je descendis doucement la page pour avoir plus d’informations sur ce modèle. C’était bien elle. Je n’en revenais pas. Je remontais et regardais. Ses cuisses dénudées. Ses seins encore serrés dans son soutien-gorge. Ma queue reprit instantanément vigueur. Cette bombe qui s’affichait ainsi, cette fille sage qui était, en fait, une vraie coquine. Les autres modèles trouvés n’étaient pas à la hauteur et ne pouvaient me donner un plaisir égalant celui que j’éprouvais en la regardant. Je me branlais avec force et dus rapidement ralentir le rythme, au risque de jouir trop rapidement. Je suivais ces gestes tel un bijoutier sur un marché lors d’une grande affluence. Je ne voulais pas perdre le moindre détail. Je voulais savourer chacun de ses gestes. 

  

 Sur cette vidéo, ses lèvres semblaient plus charnelles et l’envie de me fondre dans sa bouche s’ancra rapidement dans ma tête. Ses yeux cerclés par ses lunettes rondes prirent un air plus sensuel. Mon regard prit le temps de descendre sur son corps. Sa poitrine encore cachée par son soutien en dentelle noire. J’avais chaud. Un ventre plat. Je pouvais découvrir son bronzage de l’été. Elle se savait belle et elle ne se trompait pas. Elle faisait tourner la tête de tous les mecs. Et rien que sa peau hâlée par le soleil estival m’emportait dans un désir des plus grands. Je voyais les commentaires de quelques autres branleurs s’afficher dans la petite fenêtre de discussion à droite. Certains en anglais, moins en français. Quelques envois de jetons ou tips et voilà ses mains qui glissent dans son dos. Son sous-vêtement du haut tombant, délivrant des seins que j’avais pu imaginer une ou deux fois durant l’année. Je les savais plus gros que leur apparence sous ses vêtements larges mais les voir faillit me faire défaillir. Je n’avais jamais été aussi dur sous les assauts de ma main. Ses seins étaient ronds. Sa peau plus blanche que celle de son ventre. Des petits mamelons roses au centre desquels un téton tout aussi rosé était dressé. Elle se les caressa, glissant ses mains sur le contour de sa poitrine avant que ses doigts ne se posent sur la pointe de ses seins, les titillant sous la pression. J’avais l’impression d’être vraiment là, de regarder à moins d’un mètre. J’avais l’impression de pouvoir sentir la chaleur de son corps et de sa chatte. Elle se mordillait la lèvre alors que ses mains s’animaient avec un peu plus de vivacité. Je fermais les autres onglets et activais le son. Juste entendre un de ses gémissements me fit me ployer sous le désir. Ma main lâcha mon sexe et je dus me retenir de jouir. Pas encore. 

  

 Mon sexe était gonflé, dur au point de me faire mal mais le désir de voir cette amie se faire du bien sans qu’elle le sache était plus fort. Elle inclina l’objectif de la caméra. Elle ne portait aucun sous-vêtement. Elle écarta ses cuisses et je me mordis violemment la lèvre. Quelques petits poils blonds formaient un duvet au-dessus de ses lèvres. J’enlevais mon t-shirt. Ses grandes lèvres laissaient entrevoir le rosé des petites. Un sexe rosé. Charnel. « Ouvert » sans trop l’être. Je ne devais plus me toucher tellement le plaisir était intense. J’étais presque jaloux que d’autres puissent la voir de la sorte. Je l’étais. Je l’étais encore plus vis-à-vis de son copain qui devait bien s’amuser à la baiser de temps en temps. Mais sur le moment, j’étais tétanisé. Je n’en revenais pas. Je sentis mon gland s’humidifier lorsque je vis ses doigts aux ongles manucurés et vernis d’un rouge sensuel caresser le bouton de son désir, son clitoris. J’étais obnubilé par ce sexe, entendant à peine le son de ses petits gémissements. Un de ses doigts glissa sur son intimité avant d’être porté à sa bouche et revenir humidifié, glissant en elle avec une facilité déconcertante. Ma main se porta à nouveau sur mon sexe, dans de légers mouvements. Elle commençait à se doigter avec force. Les jetons ne cessaient d’être envoyés face à la magnificence de ce spectacle et si j’en avais, j’en aurais sûrement envoyé. Un second doigt rejoignit le premier. Avec le reflet de la lumière de son plafonnier, je pouvais observer la cyprine sur ses doigts et le désir de les lécher apparut. Les sucer. La goûter. 

  

 Je ne sais pas si je l’ai regardé durant une minute, dix ou encore trente. Je sais qu’à un moment donné, alors que ses cuisses étaient bien maculées de sa mouille, elle se mit à quatre pattes. La première chose qui me frappa ne fut pas son petit anus fermé dans lequel je voulais me fondre mais son grain de beauté sous la fesse droite. Ses doigts retrouvèrent rapidement l’accueil chaleur de son sexe. Les cuisses écartées. Les seins pendant en arrière-plan. Mes mouvements se montrèrent plus anarchiques. Ma queue tendue était douloureuse. Je sentais son plaisir proche. Ses gémissements avaient changé, devenant plus vrais, plus profonds, plus sensuels. Ses fesses étaient aussi blanches que sa poitrine, contrastant avec ses cuisses. Ses doigts se mouvaient avec rapidité et force. Je voyais ses doigts brillants à la lumière feutrée de sa chambre aux tentures tirées. Mes mouvements suivaient le rythme des siens et je jouis à l’instant où son corps se contractant, annonçant son propre orgasme. Les cuisses souillées, je la regardais se tourner vers l’il de la webcam, embrasser son public invisible avant de couper la connexion. 

  

 Je pris une longue douche chaude. À cet instant, je ne savais pas que cela serait la première séance de bien d’autres encore plus charnelles. Lorsque je reçus un message de sa part durant l’après-midi, je restais encore un long moment, me remémorant son corps nu, avant de lui répondre, une douce chaleur dans le bas-ventre.

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