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Une belle black prête a dépanner… naturellement – Chapitre 1

Une belle black prête a dépanner... naturellement - Chapitre 1



Bonjour à toutes et tous, l’histoire que je mapprête à vous raconter, bien qu’un peu romancée, m’ait véritablement arrivée.

    Je m’appelles Louis et à l’instant où j’écris ces lignes, il me faut parcourir neuf ans en arrière, pour arriver jusqu’à l’été de mes 21 ans. Je n’ai jamais été un tombeur, n’étant pas particulièrement beau ni bien bâtit, j’avais depuis la fin de mon adolescence fais le deuil de toute conquête féminine facile et presque même de toute conquête féminine tout court. En effet, je n’avais jamais été capable d’aborder une fille et de lui parler. Mon manque de confiance en moi m’avait poussé a préserver mon pucelage bien plus que ce que je l’aurais souhaité.

    Cet été là, j’avais été embauché par un restaurant sur la côte, en Vendée, pour occuper un poste de saisonnier. Mes tâches variaient entre plonge et autres ménages, ce qui n’était finalement pas pour me déplaire car cela m’évitais d’avoir à croiser trop souvent mes collègues. Isolé en salle de plonge, je ne parlais à personne, je faisait mon travail. Cette satisfaction à être mis à l’écart venait du fait que je nourrissais un gros complexe dinfériorité vis à vis de mes collègues masculins pleins d’assurance, des tombeurs qui m’avaient plusieurs fois invité a partager leur soirées de bringue où ils sortaient pour draguer. J’avais refusé, poliment, à chaque fois, puis ils avaient fini par laisser tomber. Et mes collègues féminines me direz vous! J’y viens. Elles n’étaient pas très nombreuses, il y avait Cécile, une petite blonde plutôt mignonne qui vivait sur le même rythme que les garçons (travail / beuverie) elle semblait très libérée mais aussi très inaccessible. Il y avait aussi Lucie, une grande brune aux airs très masculins et pas spécialement jolie mais qui avait le mérite d’échanger au moins avec moi les quelques formules de politesse élémentaires au contraire de de Cécile qui m’ignorait copieusement.

    Enfin, Il y avait Julie, une jeune black d’origine Africaine, toujours souriante et très jolie. Mon austérité de façade ne lui permis pas de se comporter avec moi comme elle le faisait avec tout le monde au restaurant. Elle parlait à chacun, riait plus qu’à son tour et était toujours partante pour un petit brin de causette. Moi, je travaillais comme un forçat… Je me contentais de l’observer, sa fraîcheur et sa spontanéité ayant éveillé en moi un vif intérêt. Cependant, affligé par la certitude que rien en moi ne pourrait lui plaire, je rangeais ma silhouette malingre, mes cheveux filasses et mon acné devant mon évier, m’interdisant même de fantasmer sur elle. Pourtant son énorme poitrine et son fessier rebondit ne me laissaient pas indifférent, intérieurement j’aurais tout donné pour pouvoir avoir accès à son corps.

    Au restaurant, nous vivions des semaines d’enfer, le travail ne manquais pas. De ce fait, nous avions le droit à deux jours de repos par semaine. Je passais les premiers d’entre eux à m’ennuyer, ne connaissant pas l’endroit, je ne savais pas trop quoi faire. Après quelques jours de repos passés enfermés à lire ou a surfer sur internet, j’en eu assez et me décida a faire une longue balade le long de la côte sauvage. Je dois dire que cela me fit tout de suite beaucoup de bien. Le soleil brillait fort et ravivait les odeurs de monoï et autres crèmes solaires au senteurs des iles qui émanaient des corps étendus ça et la sur les plages. Et Le bruit des vagues offrait une récréation bien mérité a mes oreilles, lasses des bruits du petit centre ville où je vivais. Je profitais à fond, de chemins en chemins, je m’avançais toujours plus loin le long de la côte quand la chaleur devint difficilement supportable. Il était deux heures de laprès-midi et le soleil cognait fort. Je décidais alors que c’était le moment opportun pour une petite baignade et justement j’arrivais à la hauteur d’une petite crique déserte qui semblait toute indiquée.

    En arrivant sur la plage je remarquais qu’elle était totalement vide, pas un chat! Ce manque de fréquentation devait être du à labsence de surveillance à un endroit ou les courants étaient visiblement très forts. De grosses vagues se brisaient sur les rochers de chaque cotés de la plage d’une manière anarchique ce qui ne présageait rien de bon en matière de sécurité. Conscient du danger, je me résolu à simplement me tremper vers le bord histoire de me rafraichir un peu. Seulement voila, cette baignade n’étant pas prévue, je n’avais pas apporté le moindre maillot de bain. Au vue de la situation reculée de la plage, je m’étais finalement convaincu d’entrer dans l’eau nu, comme ça je pourrais remettre des vêtements secs et ainsi m’épargner de marcher au retour avec le caleçon plein de sable et d’eau de mer. Je déposais alors un à un mes vêtements sur le sable à quelques mètres de l’eau, et me dirigeais donc vers le rivage.

    L’eau était fraiche mais bonne et je neus aucun mal à m’accroupir dedans afin de me recouvrir jusqu’aux épaules. Les vagues me charriaient un peu mais je gardais le contrôle, un vrai bonheur. Après quelques minutes passées ainsi, j’étais totalement déconnecté du monde extérieur, de la plage… En effet, absorbé par les bienfaits de ma baignades et de la caresse de l’eau sur mon corps nu je ne remarquais pas que quelqu’un d’autre était arrivé sur la plage. J’eus un instant d’hésitation en essayant de fixer mon regard sur cette silhouette qui s’approchait, ils me semblait reconnaitre cette démarche, c’était une femme, et lorsqu’elle arriva plus près, je remarquais sa peau noire… serait-ce seulement possible?… Quelle était la probabilité pour que se fut… Julie! C’était bien elle et elle se dirigeait vers moi. J’étais pétrifié, je ne savais pas quoi faire, j’étais entièrement nu encore à labri dans l’eau . Lorsqu’elle le remarquera cela risque d’être gênant, jappréhende. Mon visage devient écarlate alors qu’elle se rapproche encore et lorsque japerçois qu’elle me fait un signe de la main, je crois mourir de honte, je suis démasqué, elle m’a reconnu…

"- Eh! Louis, c’est ça?

– oui, répondis-je timidement, Julie c’est ça?

– tout à fait, lança-elle fièrement, elle est bonne?

– excellente, ça fait du bien avec cette chaleur!

– tu sais j’habite juste au dessus et cette plage n’est pas du tout sûre pour la baignade, les courants sont hyper violents, tu devrais te méfier, en plus elle descend, c’est dangereux, tu peux te faire emporter au large". Alors qu’elle prononçait ses mots elle se tenait à une distance raisonnable de l’eau, une chaise pliante entre les mains, et sapprêtait a la déplier.

  A ces mots, et en la voyant s’installer je senti le moment gênant approcher.

"- personne ne se baigne jamais ici?

  – non, c’est vraiment dangereux, dailleurs regarde autour de toi, il n’y à que nous ici, tout le monde est sur la grande plage.

  – bien observé,dis-je en souriant, mais disons que je préférerais que tu te tournes pour que je puisse sortir.

  Elle éclatât alors de rire, littéralement, et je la comprenais, je venais de me comporter comme un enfant, je devais vraiment avoir l’air ridicule.

    – Allez sort, ne fais pas l’idiot, j’ai déjà vu des bites tu sais, la tienne ne va pas me choquer!"

    Je ne savais plus où me mettre, je devais agir, j’étais fait mais quelle honte! Je me relevais alors hors de l’eau, par réflexe, mes mains protégeaient mon sexe de sa vue, je ne devais franchement pas avoir l’air de grand chose. Elle, assise dans sa chaise, m’observait en riant de plus en plus à mesure que je me rapprochais. Elle avait vraiment un joli sourire, et son corps était parfait. Elle était là, assise dans sa chaise de plage, à se moquer de moi, mais à lintérieur de mes mains, ma gène se transforma en excitation, je bandais.

" – Allez enlèves tes mains, tu ne vas pas rester comme ça, on dirait un enfant! Ahahahah S’exclama-t-elle alors que je lui faisait maintenant face.

    -… " Je ne savais pas quoi répondre, elle semblait attendre de ma part un peu plus de maturité, elle s’en amusait. Poussé par mon excitation et aussi quelque part par ma fierté, je me décidais à retirer mes mains…

  "- AHAHAHAHAHAH, il n’y a pas que ton attitude qui est celle d’un enfant, ta bite aussi! AHAHAHAHAH!

J’étais horrifié! Jamais personne ne s’était jamais moqué de moi de la sorte. Je restais là, les bras ballants, en érection devant cette fille que je trouvais attirante et qui se payait ma tête. J’étais incapable de prononcer un mot. Entre deux éclats de rire, elle reprit:

  "- Non mais excuse moi mais tu avoueras que c’est pas bien gros. Je voulais pas te vexer, se repris-t-elle, mais ça m’a surprise.

    – J’y peux rien, je suis fais comme ça!" Lançais-je vexé, la gorge nouée.

Délicatement elle tendit sa jambe, son pied à la hauteur de mon sexe et appuya sur mon gland avec son gros orteil, elle arborait sur son visage un large sourire, comme par défiance. Cela ne fit que mexciter davantage.

  "- Putain mais en plus tu bandes! AHAHAHAHAH, c’est pas plus gros que mon gros orteil AHAHAHAHAH! Et ça fonctionne avec les filles, elles sentent quelque chose? Demanda-t-elle curieuse.

    -… "Je restais encore interdit, son ton joviale commençait à transformer sa moquerie en curiosité, je le voyait aussi à ses yeux. Sa bouche riait mais ses yeux débordaient de curiosité.

    – Tu es toujours puceau? Me demanda-elle avec un naturel désarmant.

    – Oui, avouais-je penaud. De toute façon au point ou j’en étais…

    – OOOh je suis désolé de m’être moqué alors, le but n’étais pas de te mettre mal à l’aise, pour tout te dire, je trouve même ça plutôt mignon, ne dit on pas que tout ce qui est petit est mignon? Elle releva alors la deuxième jambe et entrepris de me caresser avec la plante toute blanche de ses pieds. Mon pénis commença alors à se lubrifier, cette caresse, la douceur de ses orteils sur mes bourses et mon gland, c’était merveilleux. En un instant je passait de la colère au plaisir.

  "- Écoute, reprit-elle, nous sommes à labri des regards ici, si tu veux je veux bien te dépanner, il faut bien que quelqu’un le fasse, et faire de toi un homme. Tu m’intrigue, j’ai envie d’essayer!

Toujours incapable de parler, je ne pu rien répondre à sa proposition mais cela ne fut pas utile, en un tourne main, elle rabattit ses jambes et m’attira vers elle. Elle m’embrassa d’abord le ventre. Un frisson me parcouru léchine mais ce n’était rien comparé au moment ou elle positionna sa bouche autour de mon sexe. Je lâchais un râle de contentement, sa langue décrivait des cercles autour de mon gland, sa bouche était chaude et humide et sa main malaxait gentiment mes testicules.

  "-Alors, ça te plais?

    -Oui beaucoup!

    – Je vais marrêter la avec ma bouche, je ne veux pas que tu jouisse maintenant."

Elle jeta un dernier coup de langue sur mes bourses bien pleines et se leva. Lentement elle ôta son débardeur, laissant exploser sa généreuse poitrine ferme et droite surmontée de deux sublimes tétons noirs dressés.

  "- Ils sont à ton gout?

    – Oui" Fige timidement en portant mes mains à leur rencontre.

J’avais dans les mains ces deux énormes seins magnifiques, je les pétrissais, les malaxais, les léchais comme un dingue. Et elle, pendant ce temps là elle me regardait avec un sourire bienveillant.

  "- Attends. Fit-elle en me repoussant. Elle fit glisser le bas de son maillot jusquà ces chevilles puis s’asseyant sur la chaise les cuisses grandes ouvertes elle reprit: Comme tu n’en as jamais vu en vrai, laisse moi te montrer. Elle saisit alors ma main après m’avoir accroupis entre ses cuisses. " Il faut que tu caresses doucement, d’abord autour en prenant ton temps." Après avoir caressé puis embrassé ses cuisses et son sexe fermé, elle s’enfonça un peu plus dans sa chaise et écarta ses lèvres noires pour laisser apparaitre une peau de couleur rose et très humide. " En haut le petit bouton c’est mon clito, tu dois le caresser doucement d’abord, et tu dois bien mouiller ton doigt. Pour le mouiller tu peux descendre un peu et l’enfoncer ici, c’est mon vagin. Tu sens comme c’est chaud à lintérieur? Maintenant, ajouta-t-elle, lèches délicatement mes deux petites lèvres, voila comme ça. Tu te débrouille plutôt bien!"

  Flatté par ce compliment, je mappliquais a passer ma langue le plus délicatement possible, partout… son sexe avait un gout délicieux, et alors même que je la léchais, j’avalais de grande gorgées de salives agrémentée de cyprine. J’étais aux anges! Après plusieurs minutes de ce traitements, toujours seuls au monde, elle se leva puis, appuyée sur sa chaise, elle me présenta ses fesse rebondies sublimes.

  "- Il y a quelque chose que j’affectionne particulièrement. Dit elle. J’adore que l’on me lèche les fesses!"

Ma réaction ne se fit pas attendre et je commença a dévorer sa croupe comme un mort de faim, baladant ma langue sur toute son étendue.

  "- Eh non pas comme ça! Fit elle en riant. A lintérieur, je veux que tu me lèche là mon petit puceau!"

Joignant le geste à la parole, elle écarta ses fesse et me proposa son anus a lécher. Je fus tout d’abord surpris et peu attiré, mais sans plus dhésitation je pointais ma langue sur son petit orifice. Elle poussa alors un petit gémissement qui m’encouragea à continuer. Contre toute attente je trouvais aussi ça délicieux. Ma langue simmisçait maintenant dans chaque petit replis de son trou, le sentant se dilater sous l’effet du plaisir j’ insérait ma langue à lintérieur et elle se mit alors à gémir plus fort. Je la pénétrais maintenant de toute la longueur de ma langue. Elle ne tint pas plus longtemps:

  "- Oh oui, comme ça, enfonce ta langue dans mon cul mmmh c’est trop bon! Je jouis! ahhhh!!"

    Elle avait joui! je ne m’était jamais senti aussi viril. Après quelques instant à haleter appuyée sur la chaise elle se leva et me dit:

  "-Wow merci mon puceau, c’était super mais je dois encore faire de toi un homme! assieds toi!"

    Je m’assis alors sur la chaise;

  "- Bon reprit-elle, je vais essayer de m’asseoir sur ton petit machin, ça va pas être facile mais je te promet que je vais te faire rentrer dans ma chatte!"

  Elle me tourna le dos et vint s’asseoir sur moi.

  "- C’est dur, je ressent rien, je sais pas ce que je fais, tu es dedans là?

    -oui je crois." Répondis-je. Une chaleur intense engloba alors mon pénis, tout mon corps fut pris de frissons alors qu’elle tentais un vas et viens sur mon membre. J’étais au comble de lexcitation! Cette vulve noire qui caressait mon pénis, c’était délicieux!

    Elle ne semblait pas plus troublée que ça par ma pénétration et se contentais de bouger un peu, ce qui m’allait amplement, mais elle proposa alors quelque chose qui me tenta beaucoup:

"- Tu veux essayer mon petit trou pour voir? Comme ça tu connaitra tous les trous d’une femme ajouta-t-elle en riant comme à son habitude.

    -Bien sûr! Fis-je du tac au tac."

  Elle se décala alors légèrement et présenta son anus au dessus de mon gland trempé de cyprine. Elle s’abaissa doucement tout en écartant ses fesses avec ses mains. Je pu voir en détail mon petit bout rose pénétrer les premiers plis de son trou, s’y frayer facilement un chemin. Un aller, un retour et … Arrhhg, j’avais joui en elle. Elle se tourna vers moi et d’un air nonchalant me lança:

  "- C’est bien, voila, tu n’est plus puceau maintenant! Et même si je n’ai pas senti grand chose de ta bite, tu as su me faire jouir avec ta langue. Merci, ajouta-elle avec un peu de malice dans la voix. Elle se releva alors, laissant séchapper de ses fesse un peu de mon sperme qui avait giclé abondement. La vision de mon sperme blanc sur son anus noir m’accompagna pour les dernières secondes de mon orgasme, divin!

    Ensuite? Ensuite, elle alla se rincer dans l’océan sans prêter attention à moi. Je pu jouir une dernière fois de la vision de son corps nu, car si nous passâmes une bonne partie de la journée tous les deux silencieux sur la plage, nos rapports reprirent leur plateure habituelle et à la fin de la saison, nous nous séparâmes sans même un au revoir. Je ne cherchais pas l’amour, elle non-plus. Du sexe pour moi, enfin… Et probablement un bon moment pour elle tout de même.

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