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Une caissière très attirante. – Chapitre 1

Une caissière très attirante. - Chapitre 1



Chapitre 1 : Au premier regard.

Je me prénomme Olivier, j’ai 30 ans, je mesure 1m80 pour 70 kg, brun, des yeux bleus, musclé et plutôt beau gosse. Je suis marié à Héloïse, une jeune femme de 27 ans, blonde au yeux bleus, 1m70 pour 60 kg, elle est très coquette et s’habille souvent très sexy pour mettre en valeur son très beau 85C. 

Héloïse est aide-soignante dans une maison de retraite, et ayant des horaires très compliqués, c’est souvent à moi de m’occuper du foyer, de faire les courses etc, car je suis au chômage.

13 Avril : Justement, aujourd’hui c’est le jour des courses. J’y vais aux alentours de 17 heures. Après avoir écumé les rayons pendant une petite heure je file vers une caisse au hasard quand soudain mes yeux se posent sur une nouvelle caissière. Je suis subjugué par sa beauté, elle est brune, des yeux verts magnifiques, un visage d’ange. Elle doit avoir 18-20 ans. Je n’en vois pas plus étant donné qu’elle est assise derrière sa caisse. 

Je décide de faire demi-tour et de passer à sa caisse. Il y a 3 clients devant moi, 2 femmes et 1 homme. Les femmes sont assez jolies mais je n’ai d’yeux que pour elle. La jeune femme a mis 5 grosses minutes à encaisser les clients devant moi, 5 minutes durant lesquelles je ne l’ai pas quittée des yeux. Arrive mon tour : 

"- Bonjour, me dit-elle en souriant, je lui découvre un très bel accent du sud.

— Bonjour, vous êtes nouvelle ? Je ne vous ai jamais vu auparavant.

— Oui c’est mon premier jour."

Elle m’encaisse.

"- Au revoir monsieur, bonne soirée.

— Merci. A vous aussi Stéphanie."

Stéphanie, c’est le prénom que j’avais lu sur son badge en regardant ses seins dissimulés sous un tailleur noir. Ils semblaient être aussi gros que ceux de ma femme.

Après 10 minutes de trajet en voiture je rentre chez moi. J’habite dans un appartement de 85 m2 au 3ème étage d’un immeuble qui en compte 5. Mon logement est décoré assez simplement, en entrant nous tombons directement sur le salon/salle à manger. Un canapé d’angle noir, une table basse blanche, une télévision en face du canapé, quelques tableaux et des bibelots côté salon. Côté salle à manger, une grande table en chêne, six chaises et un buffet. Un couloir débouche du salon. Sur la droite deux chambres. La première, la mienne, est assez spacieuse, un lit au milieu, une armoire a droite et des étagères sur lesquelles sont entreposés les livres de ma femme. La seconde est vide, Heloïse et moi voulons un enfant. Sur la gauche, les toilettes et la salle de bain. Si on prend a droite en entrant on découvre la cuisine. Je range les courses puis prends une bière en attendant le retour d’Heloïse qui devrait rentrer sur les coups de 19 heures.

19h10, ma femme rentre du travail, elle m’embrasse et me raconte sa journée. Je fais semblant d’être intéressé par les ragots de la maison de retraite mais en réalité je suis complètement ailleurs, hanté par le visage de cette jeune caissière, par son parfum, par sa voix… Nous passons à table et allons nous coucher.

Elle n’enfile qu’une petite nuisette rouge transparente en guise de pyjama et ouvre un bouquin a l’eau de rose. Après 4 ans de mariage et 6 ans de vie commune nos rapports sexuels sont devenus plus que banals, la plupart du temps même planifiés : deux fois par semaine missionnaire, de temps en temps levrette et dodo. 

Elle est donc très surprise quand, en rentrant dans la chambre je prends son livre, le pose délicatement sur la table de chevet et commence à l’embrasser passionnément en pelotant son sein gauche avec ma main gauche pendant que mon autre main descend lentement vers sa chatte. Ma bouche descend lentement sur son cou ; elle frémit, cette zone est très érogène chez Héloïse. Je ne m’attarde pas et me dirige vers ses seins. Je les lèche, les mordille, et les pelote pendant que ma main droite s’active toujours sur sa chatte. Je descends un peu plus tout en embrassant son ventre et ma langue se pose sur sa vulve. Je m’attarde sur son clito car je sais qu’elle adore ça ; elle gémit. Je remonte et lui susurre :

"- À moi maintenant…"

Elle me répond par un sourire. Je m’allonge sur le dos a côté d’elle. Elle se lève, se place au pied du lit et vient jusqu’à mon pénis, à quatre pattes. Elle reste dans cette position, m’embrasse le bout du gland et fait glisser sa langue de haut en bas, gobe mon sexe entièrement et me suce frénétiquement. Elle s’arrête au bout de quelques minutes et me dit avec ce regard coquin que je ne lui avais pas vu depuis longtemps :

"- Prends moi !

— Reste a quatre pattes."

Je me place derrière elle, mets mon gland à l’entrée de sa chatte et la pénètre doucement. Elle lâche un petit gémissement fort agréable. J’augmente les va-et-vient, ses gémissements se transforment en cris, rythmés par les claquements de nos peaux, et ces cris en un violent orgasme. Je m’arrête, m’allonge à côté d’elle et lui dit en lui faisant un clin d’oeil :

"- Chevauche-moi ma belle."

Elle se place sur ma bite, c’est elle qui donne le rythme, un rythme lent, nos soupirs s’entremêlent. Elle est douce, délicate, mes mains parcourent son corps. Après quelques minutes je ne tiens plus, j’éjacule au plus profond d’elle. Héloïse s’écroule sur moi et nous restons sans bouger, sans parler, juste à nous caresser, elle mon torse et moi son dos. Après 5 minutes elle s’allonge à côté de moi et me demande :

"- Pourquoi étais-tu si excité ce soir ?"

Que puis-je lui répondre ? Que je n’étais pas réellement avec elle ? Que je n’ai cessé de penser à cette Stéphanie que j’ai rencontrée cet après-midi ? Je ne sais quoi lui répondre. Je lui dis simplement "je t’aime, mon amour" avant de l’embrasser, puis je me retourne pour m’endormir, toujours hanté par cette jeune femme.

Je dois la revoir… par tous les moyens.

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