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Une drôle de paroisienne… – Chapitre 3

Une drôle de paroisienne... - Chapitre 3



Une fois la porte à battant passée, Nicole fut assaillie par la lourdeur de l’atmosphère, envahie de fumée d’encens. L’abbé Mairain avait la main lourde en ce qui concernait les offrandes au Seigneur. L’église était vide comme il se doit… seuls les rayons solaires venaient illuminer les scènes bibliques, représentées sur les vitraux.

Ici, Nicole se sentait bien, en paix… enfin délivrée des démons qui la pourchassaient, à toute heure du jour ou de la nuit.

Elle faisait confiance à Jean, mais il fallait dire que ses méthodes pour lui faire recouvrer la Voie de Dieu étaient particulièrement singulières ! Pourtant en y réfléchissant, cela partait d’une logique irréprochable. Elle s’était tellement détournée de sa nature humaine, de sa fonction de femme, de son humanité, qu’elle devait mettre les bouchées doubles pour les retrouver… sinon elle connaîtrait la perte de son âme et de son Salut ! Certes, mais tout ce que lui faisait faire Jean étant dérangeant ! Se promener nue sous ses vêtements était pour le moins déroutant… et l’Église le permettait-elle ?

Présentement, Jean lui avait ordonné de se rendre à l’église, entièrement nue sous son pardessus beige… et là, Nicole se demandait si tout cela était bien séant, conforme aux dogmes de la Sainte Église !

Mais au moins ici, elle allait avoir l’avis éclairé et neutre d’un véritable homme d’église !

L’abbé Mairain, saint homme s’il en fut, était occupé à remplacer les cierges sur leurs chandeliers. Quand il vit apparaître cette brune aux cheveux bouclés, mince et élancée, engoncée dans son pardessus beige, les mains dans les poches, le regard douloureux et le visage fermé, il se dit qu’un truc clochait !

A 63 ans, après presque 40 ans à officier dans différentes églises de France et de Navarre, il en avait rencontré de drôles de paroissiennes… il s’en était tapé un paquet aussi.

Il avait remarqué l’attirance de pas mal de femmes pour les ministres du culte… et pour certains comme lui, "du cul" aussi !

Certainement la fameuse tendance des femmes à aller vers l’interdit, l’impossible… vouloir conquérir des forteresses imprenables… en apparence ?!

Quoi qu’il en soit, l’abbé avait remarqué que les plus salopes, étaient au départ les plus pieuses et chiantes de ses paroissiennes, après une petite manipulation psychologique néanmoins. Comme si on avait créé une faille dans un barrage, ayant retenu trop longtemps une grande quantité de désir inassouvi et de perversité, et qu’une fois la faille s’élargissant, tout venait d’un coup !

Bref, la brune coincée d’une quarantaine d’années… il la sentait bien.

Bonjour, mon père, vous changez les cierges ?

Non abrutie, c’est pour te le carrer bien profond dans ta petite chatte de grenouille de bénitier, avait-il eu envie de répondre ! Au lieu de quoi :

Que puis-je faire pour vous mon enfant ? Quel chemin de la Providence vous amène à moi, de si bon matin ?

Et bien justement, j’ai un gros cas de conscience mon père… et peut être des choses à me reprocher !

Venez donc dans mon bureau.

Elle le suivit et il la fit asseoir dans un fauteuil, en face de lui, assis derrière son bureau. Il avait une minicaméra disposée pour avoir la vision sur l’entrejambe de ces dames… dont il pouvait se régaler les yeux, grâce au petit moniteur sur son bureau. Malheureusement, la godiche gardait les jambes serrées. Pas de bas en tout cas, les jambes étaient nues… il l’aurait pourtant bien imaginée nue, en porte-jarretelles sous son imper… il fallait en avoir confirmation. Il se leva, lui proposant un cordial, et déjà une main sur son épaule, lui proposa de la débarrasser de son manteau.

La femme se raidit, et s’entoura frileusement les bras comme pour se protéger… pari gagné ! Il était maintenant sûr qu’elle était complètement nue sous l’imperméable. Il lui donna le cordial, qu’elle avala rapidement, et, lui en reversant un autre, lui conseilla de se laisser aller et de se relaxer… elle était ici entre de bonnes mains !

Comme il avait poussé le chauffage à fond, et que l’alcool commençait un peu à la chauffer, la femme dut desserrer la ceinture de son pardessus, et déboutonner le haut, laissant entrevoir le haut de sa poitrine ! L’abbé Maurain commençait à s’exciter et à bander dur !

Alors mon enfant, ce problème de conscience ?

Après avoir relaté l’épisode de la bible qui brûla dans ses doigts, de sa prise en main par son directeur de conscience, elle butait à expliquer en quoi consistaient les "travaux pratiques". L’abbé sentit bien qu’elle cachait quelque chose de pas très catholique.

N’insistant pas, il lui proposa le confessionnal, où la belle pourrait s’épancher sur les plaies de son âme. Chacun, séparer par la cloison de bois, avec le petit treillis, l’abbé pouvait néanmoins voir tout ce qui se passait grâce aux deux caméras dissimulées, en haut et en bas… il s’en était passé des trucs dans ce confessionnal !

" Parlez mon enfant, c’est Dieu qui vous écoute par mes oreilles. Donc ce jeune homme vous aide à retrouver la Voie du Salut. Bien, mais comment s’y prend-il ?

Il m’explique que je m’étais éloignée de l’Humanité par une conduite vaniteuse, et que pour retrouver mon âme, je devais replonger dans certains aspects de l’Humanité.

Comme quoi ?

J’ai un peu honte… je crois que j’ai fait de grosses bêtises. Sur le coup, après une certaine angoisse, j’ai aimé cela, mais à présent, dans cette église en présence de vous, mon père, en présence de Dieu, j’ai l’impression d’avoir commis une terrible erreur de jugement !

Bon ma fille, vous avez fait quoi exactement ? dit l’abbé, qui commençait à s’énerver, du peu de communication de la femme.

Je ne peux me résoudre à vous en parler… j’ai trop honte !

Écoutez, je crois que je comprends votre problème. Ce que vous avez fait n’est rien, par rapport à ce que je vois sur votre Sentier de vie personnelle.

Ah bon, et que voyez-vous mon père ?

L’Enfer sous vos pieds, ma pauvre fille ! Vous êtes à confesse, vous ne me faites pas confiance, et donc vous n’avez aucun sentiment de rédemption. Le Seigneur vous en tiendra rigueur. Je commence à comprendre ce que cherche à faire votre directeur de pensée. Vous êtes tellement hautaine, sûre de vous, individualiste et bornée, que plus aucun sentiment seulement chrétien ne passe par votre âme. L’orgueil est peut-être le plus grand péché capital, qui pousse l’homme à se hisser au rang de Dieu.

La vulgaire créature tente de se mettre au niveau de son Créateur. Comprenez-vous bien mes paroles ? Si vous vous obstinez dans ce manque de dialogue et d’ouverture, vous êtes condamnée à la Perdition ! Allez-vous maintenant me décrire les travaux pratiques, que vous a conseillés votre directeur de conscience, pour vous ramener à ce que vous êtes vraiment : une pauvre créature, enlisée dans une arrogance coupable !

Le sermon avait été tellement violent, et il reprenait tellement bien les arguments de Jean, que Nicole se laissa anéantir par le bien fondé des déclarations du prêtre. Oui, effectivement, elle s’enlisait dans son Erreur. Et elle avait l’impression de s’enfoncer peu à peu dans les fanges de l’Enfer ! Essuyant quelques sanglots, elle se refit une contenance, et décida de tout avouer à l’abbé, dans le moindre détail.

Mon père, Jean, mon directeur de conscience m’impose de recouvrer mon humanité, et pour cela il se livre à des jeux érotiques avec moi.

Ah ! On y vient. Alors qu’avez-vous fait avec lui, dit l’abbé, qui commençait à s’échauffer… une fois de plus son instinct ne l’avait pas trompé ! Le poisson était ferré, et il sentait que la grenouille de bénitier allait bientôt lui ouvrir ses cuisses !

Il m’a demandé de me déshabiller, m’a installée sur ses cuisses et m’a caressé les seins. J’en ai éprouvé une grande honte, mais aussi un sentiment ambigu de plaisir.

Il m’a ordonné de me promener nue sous mes vêtements, et d’écarter les cuisses pour lui montrer mon sexe, lorsque nous mangions en famille, sous la table.

Et hier, après m’avoir rasé le sexe, il m’a éjaculé dessus, après m’avoir demandé de le masturber, pour ensuite me prendre sous la douche.

Alors ? dit l’abbé, qui avait sorti son sexe, et commençait à se caresser, vous avez éprouvé du plaisir ?

Heu, oui mon père. Beaucoup, bien que cela soit tout nouveau pour moi !

Parfait vous redevenez humaine. Mais à présent vous allez quitter votre pardessus…

Mais je ne puis !

Bon, vous vous retrouverez à poil ! Et alors, n’est-ce pas la nudité originelle d’Adam et D’Eve ? De toute façon, je ne vous vois pas !

Comment savez-vous ?

Je vois au travers des consciences, ma fille. A présent, disposez-vous à genoux sur le sol, face à la paroi, écartez vos cuisses et saisissez le petit loquet devant votre visage !

Nicole s’était effectivement dévêtue, malgré la température assez froide de l’église. Elle se sentait à la fois honteuse, mais excitée. Après tout, son abbé ne pouvait que vouloir le Salut de son âme. Elle tira sur le loquet qui ouvrit un trou de dix centimètres sur dix, et y apparut le phallus de l’abbé dans toute sa gloire. Ayant compris ce que l’abbé voulait d’elle, et profitant de la leçon d’hier dans la salle de bain, elle se saisit de la hampe de chair, et commença à la caresser et à la manipuler d’avant en arrière. Un long gémissement répondit à son geste :

A présent, prenez-le dans votre bouche, ma fille, et servez-vous de vos lèvres dans un réflexe de succion, comme si vous mangiez un esquimau, amusez le gland avec votre langue, et continuez ce délicieux mouvement de vos doigts sur mon pénis. Et continuez jusqu’à ce que je vous dise d’arrêter ! Pas avant !

Nicole obtempéra, elle faisait glisser ses doigts sur le pénis du prêtre, et même si elle devait le faire de façon malhabile, du moins celui-ci semblait satisfait. Quant à prendre son phallus dans sa bouche, cela elle ne l’avait jamais fait, mais comme elle se sentait en confiance, et qu’après tout l’argumentation du prêtre collait mots à mots avec celle de Jean, elle ne se fit pas prier… et puis se disait-elle :

Mais quelle impression cela fait-il d’avoir le sexe d’un homme dans sa bouche… et quand il éjacule ? Comme Jean me le fit hier, sur mes seins et mon visage, pensa-t-elle.

Elle se disait qu’elle faisait de gros progrès pour récupérer le chemin de son Âme ! Et également, elle ressentait comme une boule qui s’alourdissait dans son estomac, ainsi qu’une tension au niveau de ses nymphes, qu’elle commençait à bien connaître depuis deux jours !

Nom de Dieu, mais quelle bonne suceuse cette Nicole ! Je ne m’étais pas trompé… cette petite grenouille de bénitier est facilement malléable, et présente des compétences de salope professionnelle ! Mais n’allons pas trop vite. Il ne faudrait pas effaroucher la proie. A ce rythme, je ne vais pas tarder à lâcher la purée ! pensa l’abbé Mairain.

Et effectivement, Nicole, qui se caressait le sexe d’une main, tandis que l’autre voyageait de façon plus précise sur le sexe de l’abbé, se vit envahir la bouche par une belle décharge de sperme ! Sur le coup, cela la fit tousser et elle eut un petit haut-le-cur, mais très vite elle put ressentir le contact agréable de cette verge, qui pulsait dans sa bouche, des jets de moins en moins puissants !

Cela la mit dans une espèce de transe érotique, et elle se branla carrément la moule, astiquant son petit bouton qui avait bien grossi, ainsi que ses grandes lèvres. Elle gémissait doucement, les yeux fermés, la bouche dégoulinante de sperme, toute son attention fixée sur les sensations agréables de son sexe en chaleur !

L’abbé, lui, récupérait de sa jouissance extrême, en se concentrant sur le petit moniteur, sis de son côté du confessionnal, qui lui montrait une vue pleine et entière de l’entrecuisse de Nicole ; une Nicole à genoux, cuisses bien écartées, son sexe largement ouvert, sa fente dégoulinante de cyprine, tandis que ses doigts prenaient possession de son petit trésor !

Enfin vint l’Extase tant attendue : Nicole jouit comme cela ne lui était jamais arrivé, elle poussa un cri strident et s’écroulant sur le sol du confessionnal, elle gémit de façon continue tandis que des plaintes rauques se formaient dans sa gorge.

L’abbé en fut ébahi : jamais gourgandine en manque de sexe et de foi ne connut telle jouissance… et pourtant il en avait fait passer des salopes en voie de formation !

Il fallait un final à ce petit exercice, et surtout voir le degré d’obéissance de l’apprentie putain. Il lui ordonna alors de sortir du confessionnal :

Et toute nue, mon enfant !

Comment ?! S’écria Nicole, terrifiée de quitter le sanctuaire secret, où elle pensait ne pas être observée, et qui lui conférait une certaine impunité pour recouvrir son voile de honte :

Oui, vous m’avez bien compris …

N… non, pitié !

Bon, alors ma poulette, tu sors ou je viens te chercher par la pointe des seins !! Tu as compris que tu t’adresses à un représentant de Dieu sur Terre ! Il t’a donné forte jouissance, à présent tu dois le remercier !

Pétrifiée, Nicole sortit donc dans le plus simple appareil, dans la nef de cette église. Elle sentait la pierre glaciale sous ses pieds nus, ainsi qu’un courant d’air vicieux qui venait lui effleurer le haut de ses jambes, et refroidir l’astre incandescent qui brillait encore entre ses cuisses ! L’abbé se régalait de reluquer sans vergogne cette pécheresse, et il apprécia à leurs justes valeurs les seins lourds aux tétons tendus, le ventre plat, les hanches larges, le pubis avec son ticket de métro de poils noirs, et les lèvres très rouge carmin du sexe.

" Un beau petit lot", pensa le curé !

Alors vicieusement, il lui fit faire le périple des 12 stations de la Passion du Christ. Et arrivée devant chacune, elle devait s’agenouiller, réciter un Pater noster, tout en se signant, avant de se coucher ventre et seins contre le sol bien froid de l’église, en signe de pénitence. Elle ne regimba pas, et l’abbé remarqua même qu’après les premiers grelottements dus au froid, et la honte justifiée d’être nue dans une église, elle semblait flotter dans une transe mystique et sexuelle. Elle semblait s’alanguir devant chaque image du Christ, voire de s’identifier à lui !

Alors le prêtre la fit venir devant l’Autel, et là, il la fit allonger dessus, cuisses toutes grandes ouvertes, en direction du l’Est, vers Jérusalem ! Il présenta l’encensoir, qui dégageait les vapeurs ensorcelantes de l’encens, le passa quasi sur la peau de Nicole, pour que celle-ci soit sanctifiée et un peu chauffée par l’engin ! Puis, il le laissa tout contre le sexe de la femme. Celle-ci commença à ressentir une chaleur intense contre sa vulve, et elle se mit à gémir de jouissance et de souffrance. Le père, dressant les bras au ciel, face à la dévote nue devant lui, s’écria :

Oh Seigneur notre Dieu, je te dédie cette créature qui retrouve possession du Temple de son corps. Elle jouira de tous les pores de sa peau en l’honneur de ton Nom… et dans ses orgasmes, elle pourra saisir le début du commencement de ta Toute Puissance, et générosité à l’égard de tes créatures, pauvres hommes et femmes de chair et de sang, que nous sommes. Loué soit ton nom, Éternel !

Il saisit alors l’encensoir, qui commençait à devenir très gênant pour la pauvre Nicole, dernière pénitence pour la pécheresse en devenir ! Et saisissant la cruche de vin de messe, en versa généreusement le contenu dans la bouche, sur les seins, le ventre et le sexe de Nicole. Puis il en prit également une bonne rasade !

Ceci est le Sang du Christ, accueille-le dans ta bouche et dans ton sexe !

Puis saisissant une hostie, il l’enfonça dans la fente de Nicole, la sortit enduite de Cyprine et de vin, la coupa en deux, et en déposa une moitié dans la bouche de la nouvelle impétrante, et le reste dans la sienne :

" Et ceci est le corps du Christ, régénéré par la source de Vie de la Femme !

Amen !

Amen, répéta Nicole.

Sur le chemin du retour à la maison de sa belle-sur, Nicole se sentait légère. Tous ses doutes étaient envolés, elle ressentait à nouveau l’extase de marcher sur les pas du Christ ! Une feuille de papier dans la poche, avec toutes les instructions de l’abbé, pour sa prochaine séance d’initiation à la Religion Chrétienne Régénérée !

Le lendemain, pressée par sa belle-sur Clara et son mari Édouard, Nicole invita sa nièce Céline à poser nue, ou " assimiler", dans le petit cabinet dartiste où Clara s’était essayée à quelques esquisses. Jean, qui était caché dans la pièce contiguë, et qui surveillait tout ce qui s’y passait, grâce à une fente discrète dans une moulure, avait tanné sa soumise Nicole, pour qu’elle exhorte sa femme à poser nue devant elle.

Les deux furent un peu déçus, quand Céline, ouvrant son peignoir, sous les spots de lumière, apparut en maillot de bain blanc fort sage… elle s’assit sur le matelas nonchalamment, les mains sur le drap. Nicole commença à la peindre.

En son for intérieur, mue par une nouvelle envie d’explorer les pans inconnus de son érotisme, elle avait espéré voir sa jeune nièce nue. Ce rôle de voyeur, nouveau pour elle, aurait embrasé sa nouvelle sensualité… mais tant pis. Son mari Édouard, malgré toutes ses récriminations, n’avait pas été accepté dans la pièce, lui qui se disait fervent amateur d’art.

Jean s’amusait du fait qu’il devait ronger son frein de ne pouvoir assister à la séance !

Après 20 minutes d’une pose qui se révéla vite inconfortable et pénible, Céline, demanda une pause. Maudissant sa mère et son mari, qui l’avaient quasi obligée à se livrer à cet exercice dégradant pour elle, elle se couvrit du peignoir et alla se faire un thé dans la cuisine. Sur la table, elle remarqua un portable, c’était celui de son oncle. Il se mit à biper bruyamment… une, puis deux et trois fois. Cédant à la curiosité et à la tentation, elle se rendit compte qu’il n’était nullement protégé par un code, alors elle ouvrit les messages.

Ce qu’elle vit ne la mit pas du tout de bonne humeur.

Il s’agissait d’une conversation SMS entre Édouard et son propre mari, étalée sur plusieurs jours :

Alors, vous allez me l’envoyer cette photo prise sous la table ? Je veux savoir si vous avez réussi notre petit pari !

Un peu mon n’veu ! La voilà la photo de la chatte de ta femme. Tu vois, grâce à moi, elle se balade la chatte et les nibards à l’air sous sa jupe et son chemisier ! (En pièce jointe un très beau visuel sur le sexe encore bien touffu de sa tante.)

Ah oui, bravo jeune homme ! Et la suite ? Vous n’allez pas vous dégonfler au moins !

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Pas mal ! Vous m’avez bien excité. Vous filmerez la scène du rasage ce soir ! Et si vous parvenez à l’enculer, je veux venir dans son cul juste après vous… continuez !

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Tiens, voilà le petit film de ce qu’on a fait dans la salle de bain, hier soir. Putain, je lui ai rasé la chatte… tu vas voir, tu vas adorer le ticket de métro ! Je lui ai éjaculé dessus, et pour finir je l’ai prise par-derrière dans la douche ! (En PJ, le fameux film de la salle de bain.)

Pas mal, pas mal, mais vous ne l’avez toujours pas enculée !

Tu me cherches Édouard ! En moins de 48 heures, je trouve que c’est déjà énorme. J’ai fait là ce que tu n’as pas fait en 20 ans avec ta femme. A propos "grande bouche"… et la mienne, quand est-ce que tu la baises ? Hein, espèce de bâtard ?!

Bientôt, bientôt, jeune homme… j’ai mon petit plan !

Je te crois pas, tu n’y arriveras jamais !

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Tiens Édouard, voici ses exploits d’hier matin dans l’église, avec l’abbé Mairain ! Un vrai petit vicieux celui-là ! J’attends toujours le film où tu baises ma femme ! Déjà, si tu arrives à lui faire mettre un porte-jarretelle ! (En PJ, le film de Nicole à poil dans l’église, faisant les stations devant le Christ, toute nue… et la célébration païenne sur l’Autel ! )

J’attends Édouard !

J’attends toujours, petite bite !

Horrifiée, Céline n’avait pu s’empêcher de boire le calice jusqu’à la lie, en visionnant les films. Humiliée, mortifiée par les vices de son mari, son infidélité avec sa propre tante, et l’odieux pari qui faisait d’elle un trophée à partager entre les deux hommes, un sanglot lui secoua la poitrine. Puis une froide détermination s’empara d’elle. Elle courut littéralement dans leur chambre à coucher, farfouilla dans un tiroir et redescendit à peine 8 minutes plus tard. Lorsqu’elle retourna dans l’atelier de peintre, en peignoir, elle demanda à sa tante si elle pouvait aller quérir son mari, qui semblait vouloir assister à la séance de peinture. Elle lui demanda aussi de prendre son matériel d’enregistrement audiovisuel, ainsi que le petit Polaroid, avec lequel il se régalait de faire de petites photos pour son plaisir. En précisant qu’il n’aurait pas à le regretter.

Perplexe, Nicole alla chercher son mari. Pendant ce temps, Céline se posa devant la table au miroir, et déballant sa trousse à maquillage, se mit à composer le visage qui accompagnerait parfaitement sa future performance !

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