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Une excue inattendue – Chapitre 1

L'espionne captive - Chapitre 4



Bonjour, je m’appelle Éva, j’ai 38 ans, marié à Luc depuis 5 ans, deux enfants. Blonde aux yeux verts, 1m65 pour 62 kilos, 90 C, j’ai de belles formes. Épouse modèle, fidèle jusqu’à il y a une semaine, avec un bon boulot de commerciale qui m’oblige à m’absenter quelques fois loin de chez moi. Mon mari, fonctionnaire, a des horaires de travail plutôt cool et finit généralement vers 16 h 30 et va chercher les enfants à l’école. La routine s’est installée dans le couple sans que ni l’un ni l’autre s’en soit aperçu. Nous faisons l’amour généralement le dimanche matin… un point c’est tout. Sauf que moi, depuis quelques temps, j’en ai marre de la routine. J’ai bien essayé d’en parler à mon mari mais à chaque fois, il se braque, et remets le sujet à plus tard. Sous le conseil de mes trois amies, j’ai préparé, il y a trois semaines une soirée coquine. J’avais mis les enfants chez ma mère, cuisiné un repas dit aphrodisiaque avec gingembre et compagnie…mis un déshabillé sexy… Tout ce qu’il a réussi à me dire en rentrant c’est :

— J’ai oublié notre anniversaire de mariage…(anniversaire de mariage qui a lieu au mois de Mai…)

— non… j’avais seulement envie de me faire belle pour toi…et passer une soirée en tête à tête à faire des câlins…

et là même pas un compliment mais il me demande si j’ai quelque chose à me faire pardonner ! Le comble ! Je passe là dessus, apéro, dîner, je commence à me frotter à lui… et lui me sort un désolé chérie, ce n’est pas le bon jour, je suis fatigué. J’étais devenue transparente à ses yeux, seulement la mère de ses enfants. Il est parti se coucher et moi j’ai regardé la télévision et zappé en râlant dans mon coin. Le lendemain, nous avons repris notre train train quotidien, aucune question. Le surlendemain, dimanche, même position, presque même heure….marre, marre. Le dimanche après midi, une de mes amies, Viviane vient me chercher pour aller marcher. Je sens qu’elle a quelque chose à me dire. CA tombe bien moi aussi, je cherche quelqu’un avec qui je puisse me confier. Durant la promenade, Je lui fais part de ma lassitude, de mon couple et du manque de fantaisie dans mon couple. Et là, elle me lâche d’un seul coup, qu’elle trompe son mari avec son prof de tennis et qu’elle se sent revivre. Elle soupçonne son mari d’en faire autant. Et étayant son récit, elle me montre des photos de son amant sur son portable… elle n’a pas peur ! Je vois un homme plutôt sexy, en boxer….et bandant comme un âne !

Le fait que mon amie, que je trouvais très réservée, puisse franchir la barrière de ladultère aussi facilement et visiblement sans remords… commençait à faire son effet. Je me dis alors, que finalement, la solution était peut être là. Pas de divorce, donc pas de problème avec les enfants, mais de petites fantaisies de temps en temps. En lui racontant ma soirée avec mon mari, elle me convint d’en faire de même si l’occasion se présente. N’ayant jamais songé à tromper mon mari, je n’ai jamais regardé les hommes sous cette angle là. Après réflexion, je pense à quelques rencontres lors de mes déplacements auraient pu finir au lit mais mon indifférence les avait fait fuir.

Viviane, voyant que je suis alors sur la même longueur d’onde me décrit avec détail tout ce qu’elle fait avec son amant : exhibition, photos…. tout ce qui m’anime en secret, me fait fantasmer. Quelle chance elle a ! Si elle le fait pourquoi pas moi me dis-je. Durant les jours suivants, je regarde sur internet des histoires vécues par des nanas… Petit à petit, j’affine ma recherche et je me dirige vers des histoires entre une femme et plusieurs hommes…..à chaque fois, je termine massant le clito et pour la première fois, j’atteins un orgasme d’une intensité inconnu jusqu’alors ! Surprise, je me prends au jeu et les trois semaines suivantes ça devient une drogue, dès que je suis seule… je lis une histoire . L’idée de tromper mon mari devient peu à peu évidente. La crise de la quarantaine qui approche…. un tas de scénarios trotte dans ma tête, tous plus osés les uns que les autres ! Avec certains clients, une rencontre à l’hôtel avec un autre commercial…. et pourquoi pas un routier…je m’aperçois que j’aurais pu franchir le pas plusieurs fois si mon esprit avait été celui d’aujourd’hui. En effet, plusieurs fois, j’ai vécu les mêmes scènes du début… sans aller plus loin… les occasions, finalement j’en ai eu plusieurs, mais n’étant pas préparée, il n’y a eu qu’un regard… je revois alors ces regards et j’imagine dans ma tête, ce qui se serait passée…. Le dimanche précédent ma première aventure (et quelle aventure ! Je dirais même l’initiation aux plaisirs défendus….) je fais l’amour avec mon mari en pensant à d’autres hommes. Je culpabilise un peu. J’ai déjà l’impression de le tromper. Mais bien vite mes fantasmes prennent le dessus. Je lui ai tellement tendu la perche que cela me paraît normal, j’ai tellement fait des efforts….que là, trop c’est trop, la coupe est pleine.

Lundi 11 mars, je rencontre dans l’après midi, un de mes clients au sud de Paris. Il est près de 16 heures, lorsque je le quitte et mon objectif est de passer la soirée chez des amis à Lille. Finalement il est près de 8 h 30, il neige de plus en plus. Je n’ai pas fait attention aux alertes météo…je ne sais plus quelle heure il est lorsque sur l’ autoroute A1, je décide de m’arrêter à la prochaine aire, l’aire Aissevillers. J’ai déjà appelé mes amis à 19 h en leur disant de ne pas m’attendre. Il fait froid, la route est devenue trop dangereuse et je me dis que je vais finir la nuit sur cette aire d’autoroute ! En temps normal, j’aurais dû déjà être chez mes amis. Mais la fatigue aidant, cette neige qui n’arrête pas de tomber…. je n’ai qu’une idée, boire un café chaud. Le parking est rempli de camions, de voitures dans la même situation que moi. Lorsque je rentre dans la station, il y a plein de monde, des hommes surtout. J’appelle à nouveau mon mari et lui dit de ne pas s’inquiéter… je suis au chaud. Je me dirige vers la machine à café. Ma tenue n’est pas de circonstances, je porte des bottes noires à hauts talons, et le sol est glissant. Je manque de tomber…. un bras me rattrape juste à temps. Je me retourne…un homme la cinquantaine, grand, cheveux bruns, dégarni sur le devant, un regard bleu pénétrant, un rustique comme je les appelle, me sourit et me dit :

— Attention ma petit’dame, c’est pas un temps pour ce genre de chaussures….

— Merci Monsieur, c’est vrai ce matin, je n’ai pas fait attention plus que ça à la météo en pensant qu’ils exagéraient une de fois de plus…

— Et voilà maintenant, on se retrouve coincée sur une aire d’autoroute.

— Exactement !

Sur ce, je me dirige vers la machine à café. La première ne marche pas, je m’apprête à me servir à la seconde lorsque l’homme m’invite à boire le café avec lui. J’accepte volontiers, les heures passées dans ma voiture m’ont épuisées et si je veux rester éveiller jusqu’à de meilleures conditions de circulation, autant que je le passe à discuter. Un deuxième se joint à nous, plus petit, plus jeune, mais aussi imposant par sa carrure. Ils sont routiers tous les deux et sont attendus à Lille le lendemain. Ils habitent Marseille. Je ne sais pas pourquoi mais je ne leur dis pas où j’habite et je leur dis simplement que je suis commerciale attendue le soir même à Lille chez des amis, juste mariée, avec enfants… La conversation s’engage sur les relations mari femme, lorsque l’un des deux est obligé de s’absenter loin de chez eux. Je comprends à demi mots qu’ils ne sont pas fidèles et que de temps en temps, ils font des écarts. Je me dis alors que c’est sûrement une ouverture mais n’étant pas habituée, je ne continue pas dans cette direction. Les histoires que j’ai lues sur internet, me trottent dans la tête…. malgré le temps qu’il fait dehors…je dois être folle de penser çà mais c’est comme si le temps était suspendu. Les conditions sont exceptionnelles et le fait que ces deux hommes soient là en face de moi, près à assouvir mes fantasmes me fait tourner la tête. Ça fait maintenant, une heure que nous discutons. Entre temps j’ai pris un sandwich et un gâteau au chocolat. Je suis gourmande, et tout en dégustant mon gâteau je me suis exclamée :

— heum . c’est trop bon…

— Elle a l’air d’être gourmande….

— Ça fait plaisir à voir… c’est partout pareil ?

— Ça se pourrait !…

Les sous entendus se font de plus en plus nombreux. A un moment donné, un des deux, tout en me parlant, me touche ma cuisse de sa main, la caressant furtivement. Je n’ai pas bougé, et ça a eu l’air de lui plaire car à plusieurs reprises il a recommencé son manège. Son collègue a fait de même, et voyant mon inaction il m’a dit :

— Vous avez de belles cuisses . j’aimerais bien voir ce qu’il y a plus haut.

Je ne dis pas un mot mais lui sourit, lui donnant par la même la permission de laisser sa main s’aventurer vers mon minou. Par leurs caresses répétés, leurs regards lubriques je suis excitée : mon ventre se crispe à plusieurs reprises, je bouge les jambes, je ne tiens pas en place. A chaque mouvement de leur main remontant de plus en plus, je sursaute, je sens que je mouille. Si mon mari me voyait… !!!! Tant pis pour lui…la machine est enclenchée….je m’accorde une parenthèse.

Le petit devient un peu plus entreprenant. Comme nous sommes placés, personne apparemment ne peut nous voir.

A ce moment, j’ai les deux hommes qui me caressent les cuisses tout en continuant à parler . L’un deux ose même à remonter jusqu’à mon string. Car aussi fou que cela puisse paraître, j’ai sous ma jupe des dim ups et pas de collant.

— Je parie qu’elle mouille comme une folle… dit le petit.

Sans aucun doute…lui répond l’autre.

Je ris ne sachant pas quoi dire en de telles circonstances. Je ne sais pas leur prénom… anonymat c’est mieux ainsi. Ils savent que je suis commerciale….que j’habite Lyon….c’est plutôt vaste et tant mieux pour ce qui va suivre.

Le petit écarte le string et glisse un doigt…

— mouillée, trempée….

je retiens ma respiration, le moment est fort . mon ventre se crispe, mes jambes tremblent, je suis au bord d’un premier orgasme…. la situation sans doute, ces deux inconnus….

— Doucement ma jolie, tu as tout ton temps…. ne vient pas aussi vite….et puis nous sommes dans un lieu public…. nous allons aller dans un endroit plus discret.

— On se tente la cabine il doit encore faire chaud à l’arrière… Il fait toujours plus chaud dans la mienne….lui dit le plus grand.

— Allez, c’est parti lui répond l’autre sans me demander mon avis.

Je suis ces hommes sans me soucier des regards de certains personnes. Je suis loin de chez moi…. et je me moque de ce qu’on va dire sur moi. Ce soir, je n’ai pas de nom, je suis simplement une femme en manque de sexe et de sensations fortes. En passant, devant le distributeur de préservatifs je m’arrête mais le petit me murmure à l’oreille qu’ils en ont…. Avant de sortir, j’envoie un sms à mon mari, lui disant que je suis à l’aire d’autoroute et que je prends un café au chaud. Je l’appellerais le lendemain…. une bonne chose de faite !

Dehors, il neige encore. Le camion est garé pas trop loin, sur le côté. Le grand monte, je le suis. En montant l’autre me pousse en prenant mes fesses à pleines mains. C’est pas grand, une cabine ! Et pourtant quand on est excité .. Les rideaux sont déjà fermés. Effectivement, malgré le froid dehors, je n’ai pas froid… ils m’enlèvent vite la jupe mon string, ouvre mon chemisier. Je ne porte jamais de soutien gorge. Le petit me pince les mamelons :

t’as de beaux nichons…. me dit-il… il se penche et en prend un dans sa bouche, me mordillant le bout…

Pendant ce temps, l’autre me demande :

— écartes les cuisses, j’allume je veux voir ta chatte

j’écarte les cuisses mais pas assez à son goût… il me demande de les écarter un maximum. Je suis là, la chatte à l’air sous le regard lubrique de ce mec. Mes lèvres se sont entrouvertes, ma mouille coule un peu tellement que je suis excitée. Il passe sa langue sur ses lèvres.

— Je vais d’abord te doigter, et m’occuper de ton bouton…. pas besoin de lubrifiant . tu mouilles joignant le geste à paroles, il trempe à son tour son doigt dans ma chatte béante…. regardez moi ça…. tu dois être une sacré salope… contrairement à ce que tu as dit je suis sûre que ton mari est cocu trente six mille fois !

— Mais non, je vous jure c’est la première fois….

— Première fois ! Et tu le trompes et avec deux hommes en même temps ! Si c’est vrai, tu es une chienne en devenir ! Je vais te montrer, tu en veux de la bite… tu vas en avoir… mais d’abord je vais te chauffer au maximum….pour faire ensuite ce que je voudrais !

Il me caresse alors avec une lenteur diabolique mon bouton avec un rythme régulier… le salaud, il connaît son affaire. La douceur du geste contraste avec la vulgarité de ses paroles…

— Écartes les cuisses, je t’ai dit…. voilà, comme tu es bandante comme ça…. tu vas voir après je vais te lécher . pendant que tu suceras mon pote. Quelle chatte de salope…. tu aimes que je te traite de salope ? Dis moi…

— heum, ouiiiiii,

— Comment je n’ai pas bien compris… dis moi le clairement.

— J’aime qu’on me traite de salope lui dis-je…. dans un murmure…. et timidement….

Pendant ce temps, l’autre a cessé de me mordiller le mamelon, il m’embrasse et enfonce sa langue profondément……tout en sortant sa queue de son pantalon…. il me la présente, elle est plutôt large et de bonne taille :

— Tiens ta sucette… il me prend mes cheveux et dirige sa queue à ma bouche,

Je suce cette queue inconnue plus large que celle de mon mari…avec l’excitation de faire quelque chose d’interdit, loin de culpabiliser, je prends un plaisir fou à jouer avec ma langue pendant que j’effectue des va et viens, je malaxe ses couilles en même temps… je joue avec son gland, son prépuce….pendant ce temps, l’autre continue lui aussi ses va et viens sur mon clito, je sens que je suis sur le bord d’avoir un orgasme… mais plusieurs fois, j’ai été à deux doigts… et me suis retenue ; mes jambes tremblent, ma respiration s’accélère…

— Elle suce bien la salope…. elle paraît bien mouillée…. j’ai hâte de lui bourrer la chatte

A ces mots, je n’en peux plus, j’explose, je ne suce plus l’autre et je crie mon excitation

— Aaahhh, putain que c’est bon, la vache…..

— Oui prends ton pied ma salope, je pense que je vais remplacer mon collègue tu vas me sucer et lui va te défoncer…. regardes tes lèvres, impressionnant comme elles ont doublé de volume…

Le petit me déplace, et me fais placer en levrette sur le siège. Il écarte mes cuisses et d’un seul coup me pénètre violemment… je crie de plus belle…. l’autre attend un peu avant de me présenter sa queue mais il continue à me parler :

— C’est bon de se faire baiser  chienne

— Que tu es bonne, tiens prends ça…. il me laboure son rythme accéléré me laisse aucun répit, je continue à crier.

— Tiens suce moi, tu vas ameuter tous les camions du parking….en criant comme ça !

Je le suce à son tour. Je m’applique à ne pas le mordre car les coups de butoir de l’autre ne me facilite pas la tâche.

— T’en prends pour ton compte…. hein….

— Continuez, c’est trop bon…. j’en veux encore….

— Gourmande, si tu en veux encore, on va arranger ça…. salope tu vas en prendre. Tiens un doigt dans ton cul, tu aimes ça qu’on t’encule….

Je ne dis rien, je suce la queue de plus belle :

— Elle me suce de plus en plus voracement . ça veut dire oui….

— Alors comme ça tu en veux aussi par là

Ces mots me font un effet dingue. J’ai un orgasme vaginal et là je suis déchaîné. Je réponds au coup de bite, remuant mon bassin, je sens qu’il va jouir à son tour.

— Chatte de salope tu me fais jouir….aaahhh  trop bonne. Il se retire, enlève sa capote usagée. Je te laisse la place. Elle veut de la bite… je vais lui en fournir. Il y a les polonais…. je vais aller les faire venir les uns après les autres.

Pendant ce temps l’autre a pris sa place dans ma chatte. Il se remue, mais pas de la même manière, plus lentement, comme s’il savourait encore plus. Du coup, j’ai l’impression que sa queue est deux fois plus grosse… Il me mets un doigt dans mon cul. Il effectue un geste circulaire de façon à m’élargir mon trou…

— Je vais t’enculer maintenant comme un chienne que tu es…tu la veux, dis moi, tu la veux dans ton cul ?

— Oui, viens mets moi la….mais doucement j’ai pas trop l’habitude…

— T’en fais pas, tu mouille même de là…. je vais y rentrer comme dans du beurre.

Il présente sa queue à ma rondelle : il s’enfonce doucement au début et voyant qu’il peut rentrer sans trop forcer, il accélère le mouvement.

Il lime mon cul maintenant avec ardeur. Jamais je n’avais été sodomisée avec une telle intensité. Je ne me reconnais plus. J’aime me faire enculer par cet inconnu que je ne reverrai jamais plus. J’entends deux voix au dehors. La porte s’ouvre, le petit me dit tiens en voilà deux autres. Les deux hommes montent . Un se place à côté, l’autre se glisse derrière les sièges sur la couchette.

Ils parlent un français hésitant mais assez pour se faire comprendre :

— Bon cul. Toi tu es salope…. il m’attrape un sein et me le pince. Le mec dans mon cul me dit :

— Tu les excites, ils n’ont pas trop l’occasion de se faire une nana…. tu vas te faire prendre par les deux en même temps, un dans ta bouche, et l’autre dans ton cul. A ces mots, il se retire, enlève la capote et gicle sur mes fesses… ils se parlent dans leur langue et je ne comprends pas ce qu’ils disent mais ils rient. Un me prend en photo avec son portable sans doute pour immortaliser l’instant !

— Regardez son trou béant…. je pense qu’elle en veut encore. Il me donne une fessée, écartes mes fesses et leur présente mon cul telle une marchandise

Je suis à nouveau offerte. Le jeu m’excite encore et je tends mon cul afin de recevoir ce pieu qui me pénètre à nouveau de façon violente…. pendant que l’autre me présente sa queue. Je le suce goulûment, et sous le manège de ma langue autour de sa queue, il tremble un peu…. je ralentie ma cadence et le fait ainsi tenir… car j’ai encore envie d’une queue dans ma chatte….Le grand, comme je l’appelle, me caresse ma chatte et me doigte habilement. Un doigt, deux doigts, puis trois…. j’ai l’impression qu’il y a une troisième bite… dans ma chatte.

— Tu aimes ça… trois mecs qui s’occupe de toi…. je te l’ai dit une salope en devenir… on va se souvenir longtemps de cet épisode neigeux ! Elle rentre bien cette bite dans ton trou…. c’est bon, et l’autre tu le suces bien…

— ah salope me dit l’homme qui m’encule… il jouit à son tour… l’autre n’attendait que ça pour me pénétrer… moi aussi

Les deux autres me prennent chacun à mes côtés, les cuisses et les écartent, les ramenant au niveau de mes épaules… largement ouvertes par les deux trous . l’autre présente son pieu à l’entrée de ma chatte….. sa queue me semble assez longue…. il me laboure violemment et d’un seul coup se retire pour me prendre lui aussi le cul. . je n’en peux plus… je jouis à nouveau  sous le regard étonné de ces hommes…. Le fait d’être écartelée ainsi, je me sens soumise et j’aime ça ; La queue a repris sa place dans ma chatte. Dans cette position, je la sens entrer au plus profond de moi…. je crie et jouis encore une fois…

Les deux polonais sont partis… moi je me suis endormie dans la cabine épuisée sous les couvertures. Le lendemain, un autre inconnu est venu se glisser dans la cabine à la place du grand qui avait dormi lui aussi et m’avait tenu au chaud toute la nuit. Il m’a pénétré sans ménagement…. j’ai eu un peu mal au début mais sa bouche collée à la mienne, sa langue douce a commencé à faire ses effets….je me suis fait encore labourée longuement…. par ma chatte, par mon cul…. et j’ai encore aimé ça….

Bien plus tard, j’ai appelé mon mari inquiet en lui disant que j’avais plus de batterie !

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