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une femelle bien soumise – Chapitre 1

une femelle bien soumise - Chapitre 1



Jai toujours aimé les fiottes, les demies portions efféminées, les petites folles qui trémoussent du cul en voyant un actif.

Jétais sur un forum gay de rencontres bien connu, mon profil fait apparaître un A sur fonds rouge qui indique aux passifs (P sur fonds bleu) que je suis un de ceux qui peut les féconder.

Je repère le profil dun jeune éphèbe, il est extraordinairement mince, il annonce sa passivité comme extrême, il adore se sentir soumis, dans une autre vie, en Grèce, il ses prostitué, connaissant depuis toujours son attirance pour les hommes.

La discussion va vite, comme toujours, on échange les tels, un appel très vite. Quest-ce quil va me faire mouiller pendant cet appel, le petit salaud a une vraie voie de tapette, une voix chaude et un peu aiguë en même temps, et il parle comme une gonzesse.

Voilà ma conquête qui me promet de venir me retrouver à la fin du weekend suivant.

Inutile que je me suis rasé les couilles de près en attendant sa venue, trop envie de profiter de la douceur de ses caresses pendant que je prendrai mon plaisir en lui.

Le dimanche soir suivant, je suis sur le quai de la gare St Charles, je vois entrer son trainet puis je vois mon joli petit mignon qui descend et qui marche à ma rencontre. Putain quil est beau et excitant. Il est hyper menu, frêle, il est assez petit, 1m70 maxi, il doit pas dépasser les 47 kg, son jean slim le rend vraiment désirable. Il me cherche, un peu paumé, il tourne sur lui même, cherche son téléphone. Pendant ce temps je mate son petit cul en cerise, tout haut perché, tout mince, je vois ses jambes remonter haut, et je devine quil a une cambrure de reins de déesse.

Je me fais remarquer de lui, il range son téléphone en rougissant de plaisir, il avait eu peur dun plan foireux.

Dans ma voiture, je le regarde enfin de près, il a, comme tous les méditerranéens des yeux noirs très profonds, un visage mince, entouré par une chevelure longue et ondulée très féminine.

Je ne résiste pas, nos bouches se soudent, je plonge avec délice ma langue en lui, je lenlace de mes bras, puis jai du mal à me décider à lâcher ma proie, mais si je veux passer aux choses sérieuses, faudrait pas tarder à se mettre en route. Sur le chemin, il me carresse larrière de la tête, le cou, il a des mains de fille, je le lui dis, il est heureux de cette rencontre, il a compris quil ma mis en rut.

Arrivés chez moi, je le prends tout de suite contre moi, je le plaque sans résistance contre un mur, jenroule une de ses jambes autour de ma taille en lui maintenant les deux poignets prisonniers dune de mes mains dans son dos. Il est là, offert,sous sa veste ses vêtements se révèlent féminins, il porte un pull et un tee shirt bolero qui découvrent son nombril et son ventre plat. Je ne me contrôle plus, je le porte jusquau lit, il ne pèse rien, il rit un peu, de sa voix de femelle : « Ben dis, tavais envie toi ! »

« oui, jen peux plus de tes ptites pattes de crevette et de ton ptit cul de pute ! »

Je jette le petit paquet sur le lit, me rue sur ses vêtements, le dénude entièrement, alors, moi encore entièrement habillé je me couche sur lui. Jaime le dominer complètement, je lembrasse à pleine bouche, il se donne sans aucune résistance, plaquant ses mains autour de mon visage.

Alors je me dénude à mon tour. Jai la chance dêtre franchement viril de corps, et jai des traits fins et les yeux bleus. Enfin, maman ma gâté, je plais, ça marche à peu près tout le temps.

Je me couche sur Morphé qui me manifeste son excitation par les ondulations de son bassin.

Son joli sexe fin et assez petit fait une petite virgule en bas de son ventre entièrement épilé. Je regarde ce petit bout lisse perdu dans les poils de mon bon gros sexe en érection. Putain que cest saisissant, le contratse entre deux bites : celle de lactif, prête à bondir pour défoncer le premier trou venu, et celle de mon joli petit passif, toute lisse et nue, qui commence à durcir et à sarrêter à des dimensions vraiment mini mini. Cest surtout le fait quelle fasse ses 12 cms sur 2cm de diamètre, quelle soit entièrement épilée qui rend ce mec si féminin.

On sétait transmis nos résultats négatifs de dépistage, mes doigts eurent donc vite fait de lui lubrifier lanneau juste après ma tige.

Dun mouvement sec je le chope par un bras et le retourne comme une crèpe, le voilà à plat ventre.

Ce passif est intégralement lisse : pas lombre dun poil, pas lombre dun muscle, fin, des épaules fines, des bras de fille se terminant par des mains élégantes aux ongles au vernis incolore. Je regarde son dos cambré, ses deux petites pommes quil écarte maintenant pour me dévoiler ce trou quil désigne comme son vrai sexe, puisque cest par là quil vit toute sa vie sexuelle, et que sa petite bite ne participe jamais aux débats.

Je le regarde, soumis, attendant la sodomie, je vois ce petit trou qui me fait signe de venir le prendre, je vois ses petites couilles molles et lisses écrasées sous lui.

Nen pouvant plus, je pose mon bon gros gland dont la vue me paraît dune vulgarité stupéfiante comparée au corps mince et raffiné qui soffre à moi. Je regarde mon gland violacé entrer dun mouvement continu dans ce corps Son sphincter souvre sans aucune difficulté, il épouse la forme de mon gland, il senfonce un peu quand la collerette arrivé à son niveau, puis englobe la collerette de mon gland pour finir de le faire disparaître en lui. Ça y est, cest linstant magique où mon passif a un spasme de tout le corps, lorsquenfin il sent la présence virile de mon gland en lui, il lâche un râle, un « Aaaaaahhhh » qui meurt dans loreiller. Morphé est sous moi, je regarde mon sexe planté en lui, je regarde tout ce corps de jeune passif complètement dominé par ma virilité, il attend que je lui donne du plaisir, il me tend sa croupe pour que jen prenne.

Je me retire et regarde la peau de sons sphincter qui colle à mon gland, il a le cul déjà pas mal défoncé le petit pédé : je retire ma queue, et je vois son sphincter qui suit le mouvement, puis, qui laisse passer la collerette dun côté. Je mimmobilise, et je regarde cet anneau qui va spontanément laisser toute ma collerette ressortir de ce corps soumis. Le reste de mon gland est encore en lui, je me laisse retomber, son cul mengloutit complètement.

Je lécrase sous moi, jai ma bouche contre son oreille :

« tu la sens bien salope ? »

« aaaaaaahhh, putaiiiin ouiiii, cest bon ! putaiiin défonce moi ! »

« tiens pédé, prends ça ! » Un bon coup bien méchant de bite de tout mon long

« aaaaaaahhhhh, putaiiiiin ! vas-y recommence ! casse moi le trou ! »

je me redresse vers larrière, je suis à genoux derrière lui, et je chope cette pute par les deux poignets que je maintiens prisonniers de ma main gauche dans son dos, je le plaque contre mon pieu avec ma main droite en lui écrasant le buste. En bon enculé, il redresse la tête pour me faire entendre son râle de plaisir, je le ramone, je le remue autour de ma queue, je le fourre comme sil nétait quun trou, sans aucun respect pour lui en tant que mec, il est juste un bon morceau de chair à enculer. Tout ce mec ne vit que pour se faire prendre, il ne palpite jamais autant que quand un sexe masculin le déflore.

Jimagine mon gland qui écarte ses muqueuses au fonds de son ventre, jimagine la paroi interne douce et humide que mon gris zob frotte et racle avec mes poils, je lentends gémir du plaisir de ressentir la friction de mon sexe dans son trou humide. Quand je le secoue violemment, son cul fait un floc floc floc de poufiasse soumise, ça me fait redoubler de coups de bite.

Il part complètement, sa tête semble désarticulée, il a la bouche à moitié ouverte, le visage posé sur le matelas sur le côté. Quand je menfonce en lui, tout son corps bouge en suivant le mouvement, et sa tête bascule vers ses épaules en rythme. Il na plus aucune tenue, plus aucune dignité, il est mon enculé qui aime ma bite, qui a besoin de ma bite pour vivre sa vie de femelle.

« Tiens salope, tiens enculé, prends ma queue pédé ! Taimesça hein avoir une bite dans le cul ? »

« ouiiiiii, vas-yyyy, continue, casse moi le cul ! »

Maintenant je le ravage, je sors de temps à autres de son cul, le trou reste ouvert et relâche lair que ma bite fait entre en lui à chaque va et vient. Il est humilié des pets quil lâche, dautant quil est évident entre nous que ce sont les pets dun enculé qui a le trou trop ramolli par les milliers denculades annuelles quil se prend.

Comme un dément, je lui remonte le bassin, je le pivote. Dune main je lui maintiens le bassin vers le haut, de lautre je lui tire sa petite bite totalement flasque, en faisant un anneau avec mes doigts à la base de sa petite tige et de ses petites couilles. Je lui plaque une épaule au lit en posant mon pieds dessus. Il est dans une posture encore plus humiliante, ça le fait partir de plaisir. Un long fil de sperme sort de son prépuce : il a joui sans bander !

Putain quelle femelle : ma bite dans sa chatte a suffi à le faire jouir sans se toucher, sans bander ! Quel passif, mais quel enculé génial ! Je plonge et replonge mon zob poilu dans ce cul délicat et lisse ; Puis, ça monte en moi, je le traite de pute, de pouffe, denculé, de trou à bite, de pédé, de fiotte, de salope, je me plaque en lui au plus profond, et puis ça y est, ça sort de mon gland en saccades. Il lâche un râle grave en sentant mon spasme.

Je reste longtemps en lui, en lui demandant combien de fois par semaine il se fait casser le cul en général. Comme une vraie prostituée il raconte dune voix neutre quil se fait démolir le sphincter en moyenne 6 jours par semaine, et que son cul a du mal à refermer étanche. Il a toujours des coulures en journée, il me dit que ça lhumilie de se sentir à ce point avoir besoin de sexes de mecs. Il se rend compte quil nest quun tas de chair qui a besoin dêtre enculée pour se sentir bien.

Ça fait un petit moment que jai déculé, je regarde les premiers grumeaux de sperme qui sortent de son cul. « Putain, ça y est ton cul relâche mon sperme, ça me fait bander ! »

« oh nooon, déjà ? je voulais le garder en moi ».

« Attends, je vais arranger ça, et je le piote sur le dos, lui replie ses petites cuisses toutes fines sur le torse, et je lencule dun coup. Il a un sourire, et son cul tout ramolli engouffre ma queue dun coup. Il a un sursaut, et sa petite bite qui rétércit en se ramollissant.

Je le secoue comme une serpillière autour de mon membre. Il ne bande plus du tout et je vois son tout petit sexe qui dans dans tous les sens »

Je décule, il a un sursaut, comme une déception. Je le rencule hyper violent : il gémit doucement en ondulant de son bassin de tarlouze. Je ne me retiens pas, je me concentre sur mon gland trop stimulé, et je cherche le point déquilibre. Petit à petit, mon gland a comme des saccades en mollissant, puis ça me picote un peu, et enfin, jarrive à lui pisser dans le cul. Je remplis ma petite pute avec ma pisse. Il me regarde fixement en se mordillant la lèvre inférieure toute tuméfiée.

« prends ma pisse enculé, tu iras la larguer à ma place aux chiottes ! »

« Fais gaffe je vais sortir ! » Je retire ma ueue, il se met le majeur contre le trou pour tenter de retenir mon liquide, il se roule sur le côté du lit, en se bouchant le trou, il est tout sauf digne dans ce moemnt là, ça me plait. Je le suis jusuqau chiotte, il sassoit dessus et se met à libérer ma pisse dans la cuvette. Il pisse à ma place comme le ferait une gonzesse.

« ça va, tu te sens pas trop humiliée poufiasse ? »

« Si, cest vachement humiliant pour moi de te servir de pissotière, je me sens vachement rabaissée, mais quest ce que cest bon de te servir de femelle ! »

Je me rapproche de lui je lui pose mon gland sur la poitrine, je regarde mon sexe débandé, je me concentre, et je commence à lui pisser dessus, ça fait un bruit de cascade qui vient succéder à celui qui séchappe de son trou. Il a ma pisse qui lui coule partout dessus et dedans, et il a aussi des petits pets que son cul lâche de temps à autres.

Alors, il relève son visage vers moi, il me fait un petit sourire honteux : « jy peux rien, cest que tu mas défoncé comme un furieux, cest tout lair que tu mas fait rentrer dedans qui ressort.putain ça aussi cest bien humiliant ! »

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