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Une mère seule et triste – Chapitre 5

Une mère seule et triste - Chapitre 5



Après notre repas, ma mère mavoua quelle avait déjà tout dit à sa sur à propos de notre relation. Elle voulait participer à nos jeux et je donnai lautorisation à ma tante de nous rejoindre lors de notre prochaine nuit de folie avec Karine, et elle sempressa daller lui communiquer la bonne nouvelle.

Tout laprès-midi fut assez calme pour selon que je redoutais cette soirée comme si jallais mourir, et que jétais aussi très excité de coucher avec ma mère et ma tante en même temps. Lorsque le repas du soir arriva, on sinstalla tous à table, et je me dépêchais dengloutir mon plat pour diminuer le temps dattente de ce qui mattendais. Après quelques minutes dattente, ma mère me lança :

— Mais cest que tu es impatient ma parole !

— Ca se voit tant que ça ?

— Ohhh Oui, et pas quun peu.

— Cest vrai, il faut dire quavec daussi belles créatures, il est dur de résister longtemps.

— Arrête, tes pas obligé de faire des coups de dragues à deux francs pour me séduire, tu es un beau jeune homme et il parait que tu baises comme un dieu, si ce que ta mère me dit est vrai

— Pas comme un dieu non plus, mais je my prends plutôt pas mal je dirais

Et soudain, je commençais à bander, ma mère me dit de monter prendre un bon bain, puis de les attendre dans le salon. Au but dune heure, jentendis une voix me dire de monter dans la chambre de Karine, et quand jentrais, jeus une vision divinement belle, érotique, jouissante. Karine et Alicia étaient enlacées, joue contre joue, en me regardant, à genoux sur le lit. Chacune portait une nuisette sexy en dentelle, ma mère une en noire à bordure violette, et ma tante une rouge à bordure noire. Ma mère me fit un geste du doigt comme pour me dire de mapprocher delles. Je marchais à pas de loup en direction de mes deux conquêtes. Je mallongeais sur le lit, couvert dun drap de satin noir dessus et vert dessous, et elles sassirent chacune, une à gauche et une à droite, et elles commencèrent à me caresser le torse, à membrasser langoureusement, à me branler. Au bout de quelques minutes dexcitations, Alicia commença par prendre mon sexe entre ses douces mains, et à me donner quelques va-et-vient, puis elle prit linitiative de commencer une fellation, et là, je dois lavouer, ma tante Alicia est une vraiment meilleure suceuse que Karine, elle a des lèvres et une bouche très très douces, autant que si je frottais ma queue contre du velours. Pendant ce temps, ma mère membrassait, et glissa ma tête entre ses cuisses pour que je puisse lui faire un cunni et lui titiller le clito. Et au bout de 10 minutes, ma mère jouit dans ma bouche, elle lâcha un jet de cyprine, qui coula dans ma gorge, et elle sen alla auprès de ma tante pour lui rouler une pelle digne dune lesbienne. Ma tante me suçait la queue en me lançant un regard de chienne, qui me fit monter la sève le long du sexe, mais elle la sentait venir, et cest pour ça quelle senleva dautour de mon sexe, pour le prendre en main et le faire pointer en direction de son entrejambe pour le coller à ses lèvres, et à le frotter lentement. Puis après quelques minutes, elle décida de se lenfoncer au fond de son vagin et commença à appuyer dessus pour écarter ses lèvres et à le faire pénétrer. Je me mis aussi au travail en donnant moi aussi quelques coups de reins vers le haut pour ainsi accélérer la pénétration et je fus vite au fond de sa caverne, jusquà toucher son utérus. Ma mère, elle, pendant ce temps, avait glissé un doigt dans lanus de sa sur, et dune autre main, elle me caressait les bourses. Après quelques minutes de va-et-vient dans ma tante, je sentais la jouissance arriver :

— Ohhhhhh oui, tata, je jouis, JE JOUIIIIIIIS !

— Vas-y mon chéri, jouis en moi, jouis dans ta tante Alicia. Hhhhhhhhhhum, moi aussi je jouis, tu vas me faire jouir mon chéri, vas-y continue, CONTINUUUUUUUUEEEEE, OH OUIIIIIIIIIIIIIIII !

Après avoir joui dans ma tante, elle me retirait delle, et je me glissais sous les draps, tout en reprenant ma respiration. Karine et Alicia me rejoignirent peu de temps après. Quelques instants après, elles se collèrent à moi et elles menlacèrent tendrement, chacune la tête sur une de mes épaules, et lon sendormi quelques minutes après.

Le lendemain matin, je me levais vers 9h 30 pour prendre mon petit déjeuner. Quand jarrivais dans les escaliers, jentendis des bruits venir du salon, plus je men approchais, plus les bruits étaient audibles, et quand jarrivais au salon, je vis ma mère et ma tante dans un 69 endiablé, sur la table à manger, et en voulant mapprocher, jheurtais dans une chaise et elles sursautèrent en même temps lorsquelles mavaient entendu. Et attrapèrent leurs peignoirs et elles se rhabillèrent vite et elles sexcusèrent de les avoir trouvées comme ça, mais daprès Karine, cela faisait longtemps quelles ne lavaient pas fait toutes les deux. Elles mexpliquèrent ensuite que depuis leur adolescence, elles se faisaient jouir entre elles très souvent.

Au bout de quelques jours de baise intense, il était tant quAlicia reparte chez elle, mais pris dun tel remord de la laisser partir ainsi, je lui attrapais le bras, et lattirais contre moi, et les larmes aux yeux je lui proposais de bien vouloir vivre ici, avec moi et Karine. Je lui avouais que ses 4 derniers jours avaient été les meilleurs de ma vie, et quavec elle je me sentais bien, et quelle faisait lamour divinement bien et que je ne voulais plus me séparer delle, et là, elle membrassa amoureusement pendant quelques minutes et elle accepta assez facilement (cest fou le pouvoir que jai sur les femmes de ma famille). En entendant cela, Karine partit dans sa chambre en pleurant, tandis que je roulais des pelles à ma tante. Je maperçus de sa disparition alors quAlicia se recula pour déposer ses valises. Je montais dans la chambre de Karine et je sentais que quelque chose de mal sétait produit. En entrant, je lui demandais ce qui nallait pas :

— Ce qui ne va pas ? Tu oses me demander ça à moi alors que je me suis offerte à toi, amoureusement, et tu préfères coucher avec ma sur ?!? Tu es vraiment une belle ordure ! Sors dici, tu me dégoûtes !

— Chérie, excuse-moi, je suis désolé, je ne savais pas que cela allait te blesser tant que ça, je suis profondément désolé, excuse-moi ma chérie.

— Non, je ne peux pas faire ça, tu mas vraiment choquée, je ne peux pas te pardonner pour linstant, donc pour quelques jours tu vas habiter chez ta tante vu que tu laimes tant que ça, puis si je te pardonne, je te contacterai, pendant ce temps, je ne peux pas.

Et je quittais la pièce et je rejoins ma tante au salon en lui annonçant la nouvelle, et nous partions direction Paris, et nous ne nous sommes pas parlé de tout le trajet, mais le lendemain, moi et Alicia navions fait que baiser toute la journée et de toutes les façons, et il est vrai quelle baisait mieux que Karine mais au fond de moi, je savais que je faisais quelque chose mal. Mais quelques jours avec ma tante mont fait réaliser quavec elle, jétais ravi et que la jouissance était quotidienne voire 3 ou 4 fois par jour. Je décidais que maintenant jallais vivre avec ma tante et que rien ny changerait, et quelle deviendra ma femme

(Fin du 1er volume, la suite dans une autre histoire : Un amour de tante)

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