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Vicieux et fier de l'être – Chapitre 1

Vicieux et fier de l'être - Chapitre 1



Vicieux et fier de lêtre

A 14 h 00, comme prévu, la belle Mme P. sest pointée à la réception de lhôtel de la Licorne et le concierge, un vieux « chibani » aussi sec que tordu, vicelard, amateur de jolies femmes sur papier glacé et de branlettes, en a pris plein les mirettes.

Jai assisté à la scène grâce à la petite caméra posée discrètement à cette intention, un peu grâce à lui. La « belle dame » était là, juste devant le vieux con, superbe dans un tailleur blanc. Ses talons mettaient ses jambes en valeur. Le vieux vicieux a reluqué la poupée en prenant son temps. Il a maté les bas à couture qui complétaient l’ensemble sexy de la cliente. En se penchant un peu, il a essayé de mieux voir la dentelle du soutien-gorge quelle portait sous son corsage puis il lui a parlé de son ton mielleux et chevrotant de pervers frustré. « Vous êtes attendue à la 307, madame. » Il a fait passer sa langue sur sa lèvre supérieure. Un type parfaitement écurant, un lascar fascinant dont il faudra exploiter tout le potentiel, côté perversité.

La jeune femme a monté lescalier sous lil égrillard de ce vieux bougre qui déjà se tripotait la bite par-dessus son pantalon duniforme.

« Chambre 307 ! Voilà, troisième étage, en bout de couloir. » a telle pu se dire en allant vers la chambre où elle était attendue.

Pendant quelle monte lescalier et arpente le couloir, moi, jimagine ce quelle peut bien penser, et jessaie dme mettre à sa place. « Putain, cest trop bon ! » Jai rigolé en voyant ça sur le petit écran ; elle a vérifié son maquillage et sa coiffure dans un petit miroir de poche. La petite caméra installée dans la coursive fonctionne bien. Elle a rajusté son ensemble une dernière fois avant de frapper à la porte. Elle doit avoir une putain de trouille ! Super ! Cest tout bon, ça !

« Entrez !» Elle a ouvert, est entrée, a refermé la lourde puis est venue vers moi, magnifique, une belle gonzesse. La beauté se rend au vice. Cest trop bon, super bandant et on va bien samuser avec elle!

« Combien? » a-t-elle sorti, là, devant moi.

Je lai regardée quelques secondes avant de répondre. « Mande pardon, jvous ai pas entendu mdire bonjour ! » Pan, sur le bec ! « En plus, sauf erreur, jai pas parlé pognon. Cest vous contre les photos. Pigé? »

Elle essayait peut-être de deviner qui se cachait derrière la cagoule de bourreau sortie dune boutique de carnaval que je portais et qui me tenait chaud.

Un petit rire nerveux a secoué les belles épaules de la pouliche de concours. « Je suppose que je n’ai pas le choix ? »

« Ben non et pis jattends que vous disiez bonjour ! »

Elle a frémi. La situation devenait de plus en plus excitante. Elle a incliné la tête en signe de défaite. « Et bien soit, bonjour!»

Jai rigolé aux éclats puis tapé fort sur laccoudoir dmon fauteuil et elle a sursauté: « Eh ! Oh ! Faut faire mieux que ça, sinon ça va pas lfaire! »

Elle a baissé la tête et dit sur un autre ton : « Bonjour monsieur ! »

Elle avait baissé les yeux mais je lisais, gros comme dans un bouquin, ce quelle pensait, cette femme intelligente, (les meilleurs coups, des vraies salopes) :« Ce connard vicieux est capable de mhumilier en quelques mots. »

Elle avait honte. Jai ricané. Il fallait que jlui rabattre le caquet si je voulais lavoir bien à ma main. Jai sorti le bout de papier sur lequel javais noté un ptit discours et jai lu : « Madame P, on nest pas dans un bordel de bas de gamme et pis jai tout mon temps, alors je men vais prendre les choses en main et vous poser des questions. Faut bien répondre, sinon ! Allez, dites moi qui vous êtes. Comment vous vous êtes habillée ? Ce que vous faites-vous au plumard, si vous êtes une salope ? Ce que vous aimez, tout quoi ! » Jai reposé le papelard.

Elle n’en revenait pas, elle avait la bouche entrouverte de surprise, à entendre ça .

Elle pensait ptet que je mjeter sur elle, tirer mon coup, mais là, elle pigeait plus rien. Elle a baissé la tête et avalé sa salive et, comme elle navait pas lchoix, elle a commencé dune voix hésitante, du moins au début: « Je mappelle Christelle P, avocate, 34 ans, 2 enfants. Je suis l’épouse de M. René P., 63 ans, gros industriel, que tout le monde connais. Il est physiquement repoussant, obèse, nul au lit, et sinon, je pèse 58 kgs pour 1 m 70 et je porte un 85 C, voilà. »

Elle a esquissé une moue avant de baisser la tête. Elle avait sorti ça et bien défoncé son bonhomme alors que jlui avais pas dmandé ça et jeté le reste, en vrac, dessus le tapis. A moi de faire le tri. Elle avait lair de trembler, de paniquer, maintnant.

« Bon, zavez entendu mes questions ? Faut pas répondre de travers. Il faut mdire cque vous faites au lit, dans le détail, si vous voyez cque je veux dire !… »

Elle a juste répondu, en relevant la tête : « Et bien, comme les autres… »

« Allons, faut être plus précise, ma jolie. Tenez, jvais vous aider ! Y a combien de mecs qui vous ont baisé ?»

Elle a baissé la tête avant de répondre : « Quatre en tout dont mon mari! » Jai éclaté de rire : « Cest tout ? Y a pas de quoi se vanter ! Dvez pas être un bon coup, alors ! »»

Jai décidé de mamuser un peu plus: « Vous sucez ? »

Elle était devant moi, tête basse. « Oui !»

Voyons voir plus loin comment qua va réagir! « Vous aimez ça? »

« Pas toujours ! » Jétais tranquille. Ca y est, elle y vnait, elle était à ma pogne.

« Vous avalez? »

Elle ma regardé dun air courroucé. « Jamais, ce nest pas mon truc. »

Jai bien rigolé, ccoup là : « Ca va vnir ! Quand est-ce que avez-vous baisé, pour la dernière fois? »

Elle était choquée par ma petite question. Elle a sursauté mais a répondu avec honnêteté, je dois ladmettre, vu sa réponse: » Je ne sais plus, il y a longtemps, peut-être six mois. »

Jai souri en tapotant de la main sur laccoudoir du fauteuil et en pensant quelle doit être en manque, autant en profiter un peu : « Eh ben, cest minable. Faut voir à faire des efforts, ma ptite dame. Tnez, ce soir, eh bien, vous allez rattraper lretard et sucer vot bonhomme bien à fond et tout avaler. Il va adorer, jsuis sûr. On est daccord ?»

Elle était consternée. Sucer son bonhomme devait déjà être une putain de corvée pour elle mais avaler, en plus. Jai décidé den rajouter une couche. « Comprenez moi bien, maintnant, faut qupépère soit content dvous. Y doit se douter de rien sauf si vous tnez à ce que je lui balance vos ptites photos. Tenez, rien qupour mfaire plaisir, prenez donc vot téléphone et applez le maintnant. Dites y bien que vous allez lpomper ce soir, quvous en avez envie! Allez, prenez vot téléphone ! Et vite ! On va pas y passer laprès-midi, bordel !» Jai tapé sur laccoudoir. A chaque fois que jfais ça, elle fait un bond. Marrant !

Elle ma regardé, les yeux écarquillés. Elle a bien compris que jrigolais pas sur ce coup là puis elle a pris son sac à main, a sorti son téléphone et a appelé son mari. Jétais écroulé : « René, non, rien de grave, rassurez-vous, simplement, je vous appelle pour vous dire que jai très envie de vous et que ce soir je tiens absolument à vous sucer et à avaler. Oui ! Cest bien cela ! Cela vous surprend ? Agréablement ? Cela vous fait plaisir, vraiment ? Tant mieux ! Oui, vers 19h, ce sera parfait, les enfants sont chez leurs amis, ce soir, nous serons tranquilles. Je vous attends ! » Elle a raccroché et fermé son portable, du beau matos, y a pas.

Jétais mort de rire. « Faut bien penser à lui dégorger lpoireau de temps en temps. Ca va vous plaire, vous verrez ! Le tout, cest de sy mettre. Après, on shabitue. »

Elle était effondrée. La perspective davoir à pomper le nud à pépère lui disait trop rien.

« Bon on continue, on a assez rigolé ! Vous vous branlez devant vot bonhomme ? »

« Non. »

Un petit coup sur laccoudoir, pour maintenir lambiance : « C’est nul. Vous allez faire ça devant lui ce soir, et jveux des photos. Démerdez-vous comme vous voulez. Pigé ?»

« Oui ! »

« Oui qui ?! » Oh là, faut la tnir rênes courtes celle-là .

Elle a baissé la tête avant de murmurer : « Oui, monsieur ! »

« Cest mieux ! On continue, comment quça se passe quand vous baisez avec pépère? »

Elle était blême car elle voyait que la petite caméra sur pied, posée derrière moi, fonctionnait. Jai recopié ce quelle a dit de mon mieux en me repassant le film, même si je suis pas trop fort en écriture : « Cela va vite, il me sollicite et si jaccepte, ce qui est rare, nous allons dans notre chambre, je mallonge sur notre lit, généralement nue ou en nuisette, jécarte mes jambes et il vient sur moi. Il métouffe, car il est lourd, et me pénètre. Trois ou quatre coups de rein et il jouit puis il se relève. Cela a toujours été comme cela ! »

La misère de misère, putain, cest pas possible. « Pourquoi vous vous êtes mariés, alors ? »

Elle a expiré et a agité une main avant davouer : » Jétais jeune, belle, étudiante, sans le sou. Il fallait bien que je men sorte, alors lui, un autre ? »

« Bien, vous aimez ça vous faire enculer ? »

Là, jai été fort et elle a sursauté.

« Mais non, voyons ! »

Sa réponse ma bien fait rire. « Pourquoi donc ? »

« Cela doit faire mal! »

Ecroulé le mec : « Ah tittittit ! Avec un cul comme le vôtre, vous en faites pas, bientôt, vousallez en rdemander! Mais je vous coupe. Ah oui ! Vos vêtements, comment vous les avez choisis pour venir à crendez-vous ? »

Elle sest reprise un peu. Parler chiffon, ça, ça leur botte un max. Jai noté ce quelle a dit en repassant le film parce que sur lcoup, jai pas tout capté: «J’ai un tailleur blanc cassé avec une jupe droite, un chemisier de soie, un carré Hermès, un soutien-gorge, un string et un porte-jarretelle blancs. Jai mis des bas gris fumés à coutures et chaussé des escarpins vernis, blancs en cuir, taille 38. Voila ! »

« Ok, on continue. Vous vous branlez, dtemps en temps ? » ? »

Elle savait plus où elle était. Elle avait perdu les pédales. Elle a bégayé un peu : « Oui, parfois ! Lorsque jen ai besoin, pour me détendre ! » Elle a soufflé et repris sa respiration.

« Cest quoi vos fantasmes ? Jveux savoir. Les plus cochons, surtout ! »

Elle a soupiré. « Je nai pas beaucoup de fantasmes »

Et allez donc ! Elles disent toutes ça, les salopes, mais fouillez donc voir un peu !

« Souvent, je rêve dun beau garçon très amoureux, très doux, sur une belle plage de sable fin, dune mer turquoise »

Mort de rire. « Nimporte quoi ! La série rose, les violons, stop on arrête tout, cest pas bon, vous vous foutez de ma gueule et ça faut pas ! ! » Jlui ai fait lcoup de la grosse colère. Jai tapé laccoudoir et fait mine de mlever. Elle a eu la trouille de sa vie.

« Cest nul ! Ecoutez-moi bien, jvais vous aider mais faut plus mraconter dconneries, pigé ?! »

Je me suis penché vers elle. « Vous allez me répondre correctement daccord et pas mprendre pour un con ; Pigé? »

Elle a hoché la tête.

« Bien ! Un trio gourmand, vous et deux hommes, un dvant, un derrière ? »

« Oui, cela marrive de rêver de cela mais ce nest quun fantasme ! »

« Evidemment ! A trois, avec une gonzesse avec partie de broutte minou? »

« Oui, pareil ! »

« Bien, avec une bonne femme, zavez déjà fait ça? »

« Une fois rapidement, il ya longtemps, en fac, un soir de fiesta, trop arrosée. »

« Jouer à faire la pute ? »

« Oui, je lavoue! »

« Et au pieu avec un vieux cochon ? »

Elle a sursauté : « Non, jai déjà mon mari, il ne me fait pas fantasmer, celui-là! »

Elle a encore dlhumour, tant mieux ! Cest encore meilleur. Les chiffes molles font pas bander. Jai souri.

« Et le sado maso? »

« La lecture de quelques livres érotiques ma excitée mais je naimerais pas être maltraitée ou battue, peur de la douleur, sans doute ! »

« Vous exhiber, montrer votcul, jouer les salopes ? »

« Parfois, comme toute femme, jimagine que je livre ma nudité aux regards dinconnus »

« La zoophilie, un gros chien bien membré ? »

« Non, quelle horreur ? »

Jai éclaté de rire.

« Une dernière : daprès vous, jvais vous faire quoi ? »

Elle a soupiré: « Je suppose que je vais devoir faire un striptease, me caresser avant de vous sucer, avaler, me faire baiser, et me faire « enculer » comme vous dites…et, de toute façon, je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir dautre!… »

Jai ri en relevant la tête.

« Dans l’ensemble, cest ça. Zavez raison, c’est bien lidée générale mais jai dautres idées en tête. Avec vous, cest facile, zètes canon et jsuis sûr que vous avez le vice dans la peau. On va bien sentendre, pas vrai ?»

Je lui ai souri.

Elle savait plus quoi répondre. Qu’est ce que je pourrai bien lui dmander de plus ? Là, elle voyait pas !

Elle a fermé les yeux et répondu. « Je suis à vous, je nai pas le choix ! Je le vois bien.»

« Ah ça, cest bien vrai, zêtes à moi, zavez bien raison ! Allez donc vous passer un coup deau sur la figure. Zétes nerveuse ! Moi, pendant ctemps, jvais m’installer mieux q uça. »

Tête basse, elle est allée faire un tour salle deau et jai entendu leau couler puis elle est rvenue dvant moi. Confortablement installé dans lfauteuil et jlai rgardaé. Elle était belle, très belle et complètement à ma pogne. « Alors, zallez mieux ? »

Elle a répondu, dun ton sans ressort : « Oui, monsieur ! »

« Parfait ! Très bien….Rtournez-vous, qujvois votre dos. »

Elle sest retournée, lentement.

« Ouais, comme ça ! Voilà ! Vous êtes canon ! Pouvez pas imaginer à quel point zêtes bandante Bon ! Par quoi on va commencer ? Ah oui! Rtirez vot foulard et pis vot veste. »

Elle sest retournée vers moi et, les yeux baissés, elle a retiré son foulard et déboutonné sa veste puis la retirée avant de la poser sur une petite chaise, juste à côté delle.

« Voilà,cest bien maintnant, le corsage, faut le défaire! »

Devant moi, pâle, elle a déboutonné, un à un, les petits boutons de son chmisier.

« Alors, zaimez faireça  ? Faut mrépondre franchment, sinon panpan cucul! » Jai rigolé un bon coup ?

Elle smordait la lèvre inférieure. « Non monsieur, jai peur ! » Jai ricané. « Cest bie de pas dire des mentries mais on sen fout. Continuez, posez votre chmisier sur la chaise! »

Elle semblait hésiter. Jai tapé laccoudoir. « Oh, faut que jsorte lceinturon ? Jai pourtant été très clair! Faut pas jouer à ça avec moi, bordel de merde ! »

Elle a sursauté quand jai gueulé un bon coup sur elle « Rtirez moi ça, vite fait ! Vite ! Ensuite, cest la jupe que vous rtirez et vous vous caressez là devant moi, debout, jusqu’à prendvot pied. J’ai tout mon temps et jveux vous entendre gémir ! Alors ? On fait quoi ! »

Elle a répondu . « Oui, monsieur ! » A va pas chialer tout même. Nimporte quoi, ces gonzesses de la haute. Jamais un mec avait du lui parler de la sorte. Là, jcomprends pas !

Elle a rtiré son corsage pour mmontrer ses nichons et son soutif en dentelle. Joli, tout ça ! Du nichon qui tient bien dans la main dun honnête homme.

Elle a dégrafé sa jupe, fait glisser la fermeture éclair en tremblant un peu. A lavait les chocottes ; cest bon ça, ça les excite et ça les fait mouiller. Ca ma bien plu dla voir dans ctétat. A ma dmande, elle a commencé à bougé son cul pour la faire tomber au sol. Elle a levé une jambe pis lautre pour la dégager et elle la posé par-dessus ses autres vêtements. Jai pris le temps de mater ses jambes, son ptit ventre bien plat, ses bas, le ptit porte jarretelle tout mignon et surtout le string avec la ptite fente par en dssous. De la chatte épilée, bonne à lécher. « Jvas donner ma langue au chat. »

Je savourais mon boulot, du bon boulot. « Alors, zètes à qui donc, maintnant? »

Ca y est, a va chialer. Mais non, elle a répondu : « Je suis à vous, monsieur ! »

« Bien, faut vous caresser un peu, maintnant, qujvois ça, comment quvous faites! »

Elle a glissé sa jolie ptite main entre ses jambes quelle a légèrement écartées. Une belle femme à ma pogne avec un joli ptit cul. Elle bouge comme une qua fait dla danse. On va voir ça quand on va lui faire écarter ses guibolles.

Elle sentait quça montait en elle, jle voyais bien ; ses yeux se troublaient un peu. Elle a du scaler le bas du dos sur la commode. « Mon cul sur la commode, cest commode, et ça rentre et ça coulisse dans ton trou qui est si lisse et ça mva bien! On a la nuit dvant nous ! On va pas sennuyer ! » Je pensais à une vieille chanson de cul et à tout cque jallais lui faire faire, à la pouliche de concours.

Elle écartait pour plonger sa main entre ses cuisses. Elle a jamais fait ça devant un mec, ai-je pensé, mais ça a pas lair lui déplaire. Jmen doutais !

Elle y est allée de plus en plus fort, avec ses doigts sur sa fente puis elle a senti quelle allait jouir. « Change pas dmain, Lucien, jsens quça vient ! ». Elle a gémi et rfermé ses jambes sur sa main. ! Elle a aimé, faut pas qua nous dise lcontraire. On va pas la croire.

Elle se mordait les lèvres pour pas gémir. Elle a joui comme pas possible. Jai brisé le silence, après lui avoir laissé ltemps de récupérer un coup. On est pas des bêtes !

« Bon ! Pour un début, c’est pas mal ! Zavez joui, pas vrai ? A mon tour, mainnant ! Mettez-vous à gnoux pour vnir sucer ma bite. »

Elle a obéi sans moufter et est vnue smettre en position pour mjoeur un morceau de flûte baveuse.

« R gardez moi! Ca vous a plu ou pas ? »

Elle ma rgardée droit dans les yeux, msortir des conneries servait à rien.

Elle le savait. « Oui, monsieur, cela ma excitée, je le reconnais.»

« Et pourquoi donc ? » Faut pousser lbouchon, toujours plus loin, avec ce genre de gonzesse. Cest ça qui leur botte.

« A cause de lambiance, monsieur, du moins je le suppose. »

Suppose tant qutu veux, ma jolie moi, jvas tmettre un sacré suppositoire tout à lheure, et avant quy soit longtemps !

Elle a baissé les yeux. Mon froc en vlours côtelé présentait maintenant une belle bosse côté braguette.

« Bon, pisque zêtes dans lambiance, comme vous ldites, faut pas mollir ! Sucez-moi ! » Jai ricané puis jlai regardée faire. Elle a défait mon ceinturon de gros cuir, du genre à bien rpeindre le cul des récalcitrantes, baissé mon pantalon. Jai tortillé des reins pour laider un bon coup puis elle a baissé mon caleçon et a rgardé le service trois pièces en insistant sur ma queue.

« Alors, comment quvous la trouvez ? Cest pas le même calibre que celle à pépère, pas vrai ? Alors, a vous plaît ou pas ? Tâtez là ! Lessayer, cest ladopter ! Vous allez voir ! »

Elle a pris ma queue avec sa jolie main aux ongles rouges. « Mieux quça ! A va pas vous manger ! » Jai rigolé un coup. « Cest plutôt vous quallez la manger ! »

Elle a entouré la tige de manière un peu plus ferme et son autre main est allée plus haut, sur le bout du nud. Elle rgardait ça.

« Bon assez rgardé, montrez-moi cque vous savez faire ! Et avec la bouche et vot ptit langue, pigé ! Faut bien faire lboulot sinon pan pan ! »

Cest après avoir hoché la tête qu’elle a pris la sucette dans sa bouche bien chaude. Je l regardais faire, javais tout mon temps, jétais pas aux pièces.

A la fait de son mieux. Les lèvres, la langue rien à dire ! Mais au bout dquelques minutes, jmsuis dit qu’il était temps dlessayer sur un aut terrain.

« Bon cest bon, arrêtez ! On va passer à autchose ! »

Elle a lvé les yeux : « On va passer à autchose …Je vas m’installer dssus le lit, et vous allez vnir, à poil ! Gardez juste le porte jarretelles et vos bas.»

Je me suis levé pour minstallé sur llit après avoir viré mon froc et le calçon.

«Allez-y, rtirez vos sous-vêtements et vnez mmontrer cque vous savez faire au plumard! »

Pour la maintnir dans lambiance, comme elle dit, jai exigé qua smett à quatre pattes, juste à côté de moi. Elle a du montrer son cul après avoir écarté ses fesses des deux mains. « Fait ta salope ! Faut prendre le coup ! Mieux quça ! Fait pas la chochotte ! Voilà ! Tu y es ! Tu fras ça avec pépère, à la maison, ce soir, et je veux des photos ! On est daccord ?»

Elle ma regardé pour répondre piteusement : « Oui, monsieur ! »

Elle était maintenant en porte-jarretelles, à quatre pattes devant le mec qu’elle avait djà sucé et qui allait maintnant la baiser par tous les trous.

« Venez par là ! » lui ai-je dit.

« Vous avez envie de moi? » Ma main est passée entre ses jambes pout tâter le terrain. Elle a gémi! « Oui, monsieur ! »

Elle était bien mouillée. « Jvois ça! » Elle a encore gémi un coup. A ma demande, elle est vnue s’empaler sur ma bite. Je dois ladmettre, de ccôté-là, la nature a été généreuse et en plus, jpeux bander une heure de temps, sans mforcer. Cest le « Bonheur des dames ».

Elle est monté dssus facilement. Elle a jute gémi un peu en avalant le morceau. Moi, jai pas bougé. Faut les laiser vnir avant dles ferrer. Ca a marché pasque c’est elle qua bougé desreins.

« Faut vraiment être pervers ; tes un beau fumier, copain », me suis-je dit ! « Mais cest trop bon ! Tas bien raison dfaire ça !»

Jlai vu rougir, faut dire quça a clapoté en ddans dsa chatte. A lavait honte de ça. Jla quittais pas des yeux. « Bouge mieux quça ! » Jai claqué son cul deux ou trois fois, histoire de lencourager un peu. « Allez ! Bouge ! Ca va pas sfaire tout seul ! »

Queques temps plus tard, jai senti qu’elle allait plus tarder à jouir, parce quelle scontractait. Ca a pas raté elle a joui en couinant, et la souris s’est effondrée sur moi en gémissant. Elle a posé sa tête sur mon épaule.

A lavait pris son pied, jétais certain. Jai rien dit, rien fait, jai juste attendu. MA bite était toujours aussi tendue.

Comme jen avais marre et que cétait pas lmoment droupiller, je lai fait basculer sur ldos et jai glissé mon doigt dans sa fente pour le rssortir trempé.

Elle ma rgardé et laissé faire. Elle a rien dit. Jai attrapé sa main pour la poser sur ma queue. « Faut ptet penser à lu dire merci ? Pas vrai ! Une ptite léchouille va faire laffaire, tu crois pas ? » Elle sest penchée pour lécher ma bite et la sucer encore un coup. « Elle y prend goût, y a pas ! »

« Alors, taimes ça ljus dcouilles ? »

Tout en lui posant cette question jai entrepris de chercher son bouton. Elle était a bien ouvert ses jambes, sans que je llui demande, pour mlaisser faire. « A laime ça, boudiou ! »

« Ecarte mieux quça ! Montre moi qutaime ça ! »

Elle a écarté du mieux quelle a pu. « Voilà ! dis donc tas pas répondu tout à lheure. Je sais qucest pas beau de parler la bouche pleine mais dis moi, taimes ça le jus dcouilles ? »

Elle a relévé la tête pour répondre : « oui, monsieur ! »

Sentant qu’elle était à point, jlui ai dit : « Bon, lconcierge a dû ttrouver à son goût, ce vieux vicelard, alors habille-toi vite et vas lsucer pour bien lui dégorger le poireau, y sra content. Tu lui dit qutu viens dma part ! Allez, vite ! Jtattends ici, bien au chaud, tu mraconteras ça plus tard et au rtour, tu vas jouir autant qutu veux. »

Jai pincé un peu la peau de sa cuisse et elle a gémi. Elle avait pas lchoix, alors a sest rhabillée et est sortie dla chambre pour revnir dix minutes après, le chignon de travers. Il avait dû lui coller la tête sur lbas ventre, celui-là pour quelle avale le popaul à fond. Y me doit 10 euros, le montant du pari, ce vieux con.

« Allez, rtirez vos vêtements et rvenez sur le lit en position. Chose promise, chose due ! Après vous mraconterez vos exploits! »

Elle sest déshabillée et est rvenue sallonger à côté de moi avant douvrir ses jambes aussi largement que possible pour me laisser faire. Javais rien dmandé. Jlai encore fait jouir, en lui pilonnant la chatte à fond. Elle gémissait à chaque coup de bite. Je tapais au fond du trou à chaque coup. Elle a joui en criant un bon coup.

Jai paisiblement attendu que madame émerge. Moi, jen avais pas fini, javais pas encore joui. Voilà cque ça donne dêtre trop gentil.

Je me suis un peu occupé de ses nibards, à ma façon, et sa ptite main est vnue en douce à la recherche de ma bite pour constater puis la branler un peu. Elle y vient, elle aime ça ; elle en rdemande. Jlai mise sur ldos et sans qu’elle réagisse, jai passé mes bras sous ses guiboles pour les disposer de part et d’autres de mes épaules, et là, je lai pénétrée, à fond, encore un coup, sans rencontrer de résistance.

C’était super bon ! Sa chatte mappelait et moi, je pilonnais la chatte dune très jolie femme, avocate de son état, et la baisais jusqu’au fond de sa fente, à grands coups de queue. Ses mains accompagnaient ma besogne et elle vnait au devant dmes coups de bite en bougeant ses reins.

« Alors, ça ta plu avec le vieux à laccueil, » Elle a hoché la tête.

« Tas avalé ? »

Un nouveau hochement de tête, lèvres serrées.

« Tu veux y rtourner? » Elle a gémi.

Jai souri intérieurement. « Bien sûr que tu vas y rtourner ! tinquiètes, on va quand même pas tpriver dça ! »

Après plusieurs minutes de ce régime de banane, jai accéléré et elle a encore joui en criant et en me mordant un peu lépaule. Je métais rtenu parce que javais une autre idée derrière la tête si vous voyez ce que jveux dire. Lui percuter la rondelle ! Javais envie dça !

Pas différente des autres, elle sest laissée enculer sans moufter. Suffit dassurer lambiance et de suivre le topo. Chaque chose en son temps.

Je lavais pas vraiment préparée, juste un, puis deux doigts pendant que je la baisais à fond et elle avait rien dit. Un peu dmouille et cétait entré sans problème, bien à fond. Jai pointé le bout dma bite sur la rondelle. Jai poussé et cest entré doucement. Là, les gars, faut savoir faire doucement.la preuve, elle qui disait ne pas aimer ça, a avalé le chibre sans problème. Bon, elle a gémi un coup mais cest normal, vu le calibre.

Après jlai besognée de lus en plus for, de plus en plus à fond et ça lu allait bien de sfaire enfiler par là. « A laime ça ! lest du cul, celle-là, jvois bien ! » ai-je pensé. Sa tête roulait sur loreiller.

« Alors taimes ça ? »

Elle a hoché la tête.

Elle gémissait à chaque coup de bite. Elle allait encore jouir un bon coup, par le cul, pour la première fois.

« Cest bon ça, hein ? »

A peine jai dit ça, son anneau sest crispé autour de ma queue et elle a crié comme une bête. Il ny a pas dautre mot. Javais jamais entendu ça, même dans les films de cul!

« Ben mon salaud, tas assuré aujourdhui ! »

Un jouet entre mes mains, la ptite dame. Elle n’était plus bien en état dréaliser ce qui spassait. Moi, cest dans sa bouche que jai finalement joui, u peu plus tard elle a tout bien avalé sans faire dhistoire. A 17h, elle était épuisée et nen pouvait plus. Elle avait eu une bonne dose de jus dcouilles. Elle sest rhabillée devant moi.

« Bon, on est daccord, rendez-vous ici la smaine prochaine, même jour, même heure, pour une deuxième séance ! Vous réservez et payez en descendant. Cest bon ?»

Elle remettait sa veste ; « oui, monsieur, cest bon ! »

« Un peu qucest bon ! » Jai rigolé.

« Bon, ce soir, vous allez rmerciez bien votre guignol et vous lui dites au rvoir. Ct histoire là, cest fini, on en parle plus. On est bien daccord ? »

Elle ma rgardé. « Oui, monsieur ; Jai bien compris ! »

« Cest mieux quand ça rentre ! » Jai ricané et elle a rougi.

« Deuxio, ce soir vous assurez avec pépère et jveux des photos. Je veux des photos. Je suis clair ? »

Elle a hésité avant de demander ça : « Jai bien compris mais comment vais-je faire ? »

Je me suis marré un bon coup. « Tu sors lappareil photo. Tu lui donnes et tu lui dis que tu veux quy te prenne en train de faire la salope. Ca métonne qui refuse ! A toi de jouer ! Je suis sûr que tu vas assurer ! Tas les dispositions quy faut ! Encore aut chose ?»

« Non, monsieur ! »

« Bon, jai ton numéro de tél. Tattends mes instructions. Ah oui, même si jaime pas trop bouquiner, pour la semaine prochaine, jveux une ptite rédaction. Tu vas mraconter tout ce que tas fait avec moi. Y fau bien sappliquer. Et pis une autre encore : le titre de la rédac cest : « Ma soirée de folie avec pépère ». Jy tiens ! Ca te va ? Tes contente ? »

Elle a hoché la tête avant de prendre son sac à main.

« Avant de repartir chez toi, tu vas dire au rvoir au concierge ; Tu passes lui fair un ptit coucou. Faut toujours être poli dans la vie ! Ok ? »

« Oui monsieur ! »

Elle est sortie de la chambre et moi, jai ouvert le portable pour voir comment elle allait se démerder avec le vieux saligaud qui devait lattendre. Deuxième pari en cours.

Elle est allée le voir après avoir traversé le hall et le vieux la fait passer sous le comptoir pour une sucette des familles. Elle est ressortie cinq minutes après montre en main. Un vrai lapin, ce vieux con. Le prochain, y posera 25 balles sur une petite baise Elle sest essuyé la bouche avec un mouchoir en papier puis est sortie de lhôtel de la Licorne et des vicelards réunis.

Quand je suis venu le saluer avant de mettre les bouts, le concierge était très content. « Elle suce bien, la copine ! » Il a posé les deux billets sur la table. Jai empoché et lui ai écrasé la paluche en disant: « Qui a sucé sucera ! » Jlui ai cligné de lil et jsuis parti rejoindre ma camionnette qui sent pas la rose.

(à suivre)

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