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Week-end triolisme zoo – Chapitre 4

Week-end triolisme zoo - Chapitre 4



Pendant mon viol en voiture, je n’avais pu voir quoique ce soit de l’extérieur, mon intense plaisir ayant fait place à la douleur, puis à la peur.

Patrick pour éviter d’éjaculer, se retira de mon anus. Il m’ordonna juste de le nettoyer en le léchant avant de le rentrer dans son slip, je m’exécutais et pu voir ainsi son sexe : plus court, mais plus épais que celui de Cédric.

Cédric, ralentit et se gara devant ce qui me sembla un grand domaine campagnard, car je n’étais pas en pleine possession de mes moyens, ressentant toujours la douleur au niveau de mes seins, mon dos et surtout mon sexe.

Il me bandèrent les yeux, mes poignets toujours liés, me firent sortir de la voiture, sans mon string, et me dirigèrent je ne sais où. Je titubais. J’entendis des aboiements de plusieurs chiens, certains me semblaient puis intenses que d’autres et je sentis une forte odeur très désagréable de pisse et d’excréments. J’avais de plus en plus peur et plus aucune envie de baiser.

Quelqu’un nous ouvrit une porte, une voix d’homme très grave : "alors c’est elle votre nouvelle pute, elle fera l’affaire, commençons de suite, vu qu’elle a été préparée."

Le nouveau qui s’appelait Jean-Pierre, me dirigea à travers plusieurs passages extérieurs et intérieurs, pour finalement arriver dans un lieu pleins de courants d’air avec des aboiements de chiens très stridents. J’avais toujours le bandeau sur les yeux, mais je me doutais bien de mon triste sort à venir. Sans enlever mon bandeau et mes liens, Jean-Pierre me dit directement : "je t’ai louée à Cédric, pour l’après-midi, donc tu m’appartiens et tu vas m’obéir, sans cela, je te dresserai comme mes animaux". Il m’enleva mes liens, mais pas le bandeau : "Mets-toi à quatre et ne touche surtout pas au bandeau". Je m’exécutais aussitôt par peur, il releva ma jupe et fit claquer ce qui me sembla être un fouet sur mes fesses. Quelle douleur intense !!!!! Une brûlure intense !!!!!! "Si tu désobéis, tu auras 10 coups de fouets sur tes seins et tes fesses, mes chiens n’ont pas baisé depuis une semaine, ils sont très excités, tu vas leur servir de décharge à foutre".

Les chiens devaient être attachés, car j’entendais aussi des bruits de chaine, Jean-Pierre, me demanda de me relever, et il me dirigea à travers la pièce, puis arrivés à l’endroit qu’il avait choisi, il me déshabilla entièrement, il fit basculer mon torse vers quelque chose de froid qui n’était pas très haut, et encercla mes chevilles et mes poignets dans du métal froid également. J’étais courbée en deux, mon torse reposait sur un truc froid, mais pas trop dur, mon bandeau toujours sur les yeux et surtout mes membres prisonniers d’un truc dur et très froid en fer me semble-t-il. Aucun moyen de m’’échapper, je ne pouvais qu’obéir. Et j’attendis, j’entendis aussi Jean-Pierre dire à Cédric et Patrick : "c’est bon les garçons, on commence, elle est en position". Je tremblais de froid et de peur, puis Jean-Pierre me dit : "ouvres la bouche salope", les chiens aboyaient de plus en plus, ils semblaient de plus en plus excités, mais je m’exécutais, je sentis un sexe qui semblait humain s’enfonçait au fond de ma gorge. C’était Jean-Pierre : "ah tu aimes la queue, alors suce," il semblait debout devant moi et faisait aller et venir son énorme queue, en poussant fortement avec son bassin dans ma bouche. Il ordonna en même temps à Cédric de libérer Rocky. J’avais de plus en plus peur, cette énorme queue au fond de ma gorge, qui m’étouffait et maintenant je savais que j’allais me faire prendre, sans le vouloir, par un chien, dont je n’avais aucune idée de la taille. Je sentis quelque chose derrière moi qui m’agrippait en me griffant, puis un truc dur et gros battant l’air, deux mains écartant encore les lobes de mes fesses et puis, OH DOULEUR !!!!!!! Un sexe plus gros que celui de Gypsis, me sodomiser d’un coup. Mon anus était endolori par le viol de Patrick, je ne pouvais hurler de douleur, ma bouche étant prise par le sexe de Jean-Pierre, alors j’essayais de me débattre en bougeant au maximum, le chien grogna et me prit à la nuque. Je m’immobilisais aussitôt. Les coups de butoirs étaient encore plus violents et rapides que la seconde fois avec Gypsis, mais tellement plus douloureux aussi. Je sentis cette fois-ci le nud commençait à se former et j’eu encore plus peur. Comment vais-je supporter une telle pression dans mon anus et quand je serai bloquée, est ce que les hommes vont aussi donner l’ordre à Rocky d’essayer de se libérer en tirant, car là je ne peux pas bouger.

Rocky éjacula au fur et à mesure et je sentis que son sperme coulait le long de mes jambes. Fort heureusement pour moi, il se libéra de suite, sans me faire trop mal au passage. Jean-Pierre qui n’avait toujours pas éjaculé dans ma bouche, voulu me prendre lui-même. Il passa après Rocky et m’encula d’une traite. Je supportais son sexe, mon anus ayant été bien écarté. Pendant qu’il me sodomisait, il ordonna aux deux autres comparses de baise de détacher le second chien et troisième chien et de venir pour me violer. J’ignorais combien il y avait de chiens. Je sentis à nouveau une autre queue dans ma bouche, humaine, mais également une seconde dans mon anus. Patrick, se branlait dans ma bouche, pendant que Jean-Pierre et Cédric me sodomisait en même temps. Patrick se répandit rapidement en partie sur mon visage et sur ma langue. Jean-Pierre éjacula sur mes fesses toujours en m’insultant, quant à Cédric, il me prit vaginalement finalement, dans le sperme de son chien. Puis éjacula à son tour, sur mon visage. Les deux chiens eux me léchaient le sexe et le visage, puis ils commencèrent à grogner et à se battre, voulant me prendre tous les deux. Jean-Pierre intervint, il enleva enfin mon bandeau, et je pu voir, que j’étais attachée sur une sorte de cheval d’arçon et que nous étions dans une grange et surtout que deux autres chiens étaient encore attachés : un Doberman et un Berger des Pyrénées. J’eu à peine le temps de me faire cette remarque que Jean-Pierre me détacha les poignets, présenta devant moi la queue d’un corniaud en m’ordonnant de la sucer, il alla ensuite détacher les deux autres chiens. Pendant que je suçais la queue du corniaud avec plaisir à nouveau, les trois autres chiens, dont le précédent est un berger allemand, grognèrent à nouveau.

J’étais devenue leur femelle et ces trois beaux mâles voulaient me prendre en même temps. Ce qui me semblait impossible. Jean-Pierre et Cédric les calmèrent à nouveau et pendant que je continuais de sucer le corniaud, je me demandais pourquoi aucun de ces trois chiens n’avaient pris place pour me violer à nouveau.

Le corniaud ne tarda pas à commencer à éjaculer, Jean-Pierre m’ordonna de sortir sa queue de sa bouche et de le faire éjaculer sur mon visage. Après Cédric et Patrick, c’était au tour de ce corniaud de me lancer son sperme sur mon visage.

Jean-Pierre me détacha enfin complètement. Je tenais à peine debout, il m’ordonna de me mettre au milieu de la grange debout. Puis, il amena le Berger allemand, le fit s’allonger sur le dos et m’ordonna de m’empaler sur lui, ce que je fis. Il me fit descendre mon buste vers le chien, relever mes fesses, Cédric les ouvrit à nouveau et le Doberman vint planter sa queue dans mon cul d’un trait. J’étais empalée sur le Berger allemand et le Doberman me sodomisait à fond, encore plus violemment que les autres, mais là je jouissais à nouveau, bien que mes deux orifices soient toujours douloureux. Jean-Pierre, comme je ne pouvais pas bouger, me fit descendre et monter fortement sur le sexe du berger allemand. Fort heureusement pour moi, Cédric empêcha le Doberman de faire rentrer son nud et d’éjaculer en moi. Il dirigea au bon moment sa queue vers mon visage et le chien éjacula puissamment un sperme abondant. J’avais tellement de sperme que je n’y voyais presque plus rien.

J’étais toujours empaler sur le berger et je pus enfin faire les mouvements moi-même. Les trois hommes qui avaient repris de la vigueur se branlèrent devant moi, m’ordonnant de les sucer à tour de rôle. C’était devenu une simple formalité pour moi, les pipes humaines et canines. puis ils éjaculèrent enfin chacun sur mon visage. Le nud du dernier chien commença à se former et Jean-Pierre m’obligea à m’empaler complètement pour être à nouveau bloquée. J’avais peur car le nud était gros et mon vagin était toujours endoloris par les viols précédents. Puis, ce fut au tour du dernier chien d’éjaculer au fur et à mesure, il ne chercha pas à se détacher fort heureusement. J’attendis patiemment.

Jean-Pierre dit à Cédric : "prépare-la pour la suite", quelle suite, les chiens m’avaient violés, les trois hommes aussi. Que me réservaient-ils encore. Je n’en pouvais plus de cette baise intense.

La suite au prochain épisode.

Fantasmant vôtre.

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