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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 12

Les métamorphoses de Sylvie - Chapitre 12



12 – Chez Nadine et Charles.

Heureusement que le trajet est court et que je connais bien la route, car je crois que si ça avait été plus long il m’aurait littéralement « plantée » sur sa verge… et que j’aurais accepté avec un grand bonheur !

Mon filleul m’a accueilli:

Marraine, tu es en retard! Je croyais que j’allais manger sans toi! Tu sais, Christophe dort parce que maman lui a donné son biberon.

Je lui ai répliqué:

Mon petit chéri, tu sais bien que je ne t’aurais raté pour rien au monde. Nous avons beaucoup parlé avec ton cousin Marc et nous nous sommes endormis très tard.

Ah bon! admit-il.

Ses parents, pas dupes du tout de mon explication, se sont mis à sourire. Nadine ajouté:

A voir vos mines fatiguées, je comprends que la discussion a dû être passionnante. Je suis sûre que chacun y a mis du sien. C’est ça, ma chérie?

Oui, Nadine, c’est ça!

Elle me prit par le cou et me força à me baisser pour me dire à l’oreille:

J’espère que tu as bien joui. C’est incroyable, tous les deux, vous avez l’air d’être illuminés de l’intérieur. Je te jure que ça se voit et, s’il était un peu plus vieux, Alain aurait deviné ce que vous avez fait. C’était si bon que ça?

Je lui ai répondu à l’oreille, moi aussi:

Mieux que tout ce que je pouvais imaginer. Je te raconterai.

Pour finir, nous nous sommes faits notre petit baiser habituel sur les lèvres. Charles s’est mis à rire et a dit:

Je vois que ça n’a pas changé vos habitudes… oh pardon!

En fait, sans s’en rendre compte, il venait de trahir le fait que Nadine et lui n’avaient pas été un instant dupes de la raison de notre retard. Pour dissiper toute gêne éventuelle, il a ajouté:

Je ne sais pas, vous, mais moi je crève de faim. Un petit apéritif?

Comme nous étions tous les quatre amateurs de porto, il n’ouvrit qu’une seule bouteille et il remplit nos verres. Mon filleul, lui, a eu droit à un peu de menthe avec beaucoup d’eau, il était très fier de trinquer avec nous.

Justement, lorsque nous trinquâmes, je vis les lèvres de Nadine dessiner un « sois heureuse » qu’elle me destinait, suivi par l’envoi d’un petit baiser de loin. Je lui ai répondu par un sourire épanoui.

Le repas, très animé, fut l’occasion d’évoquer de nombreux souvenirs communs, en fait communs surtout à Nadine et à moi.

Pendant tout le repas, Marc n’a perdu aucune occasion de me toucher les mains, sous les yeux soudain attendris de Charles et de Nadine.

Après, Nadine m’a dit:

Sylvie, j’ai quelque chose à te montrer. Un truc de femme. Vous nous excusez-Messieurs.

Nous les avons plantés là. Heureusement, ils étaient plongés dans une discussion passionnante – apparemment – pour eux.

Elle m’a entraînée dans la chambre que j’avais occupée pendant quelques jours et m’a dit, en s’asseyant sur le lit et en me faisant asseoir près d’elle :

Alors?

Alors, rien, ma chérie!

Rien? Tu te moques de moi, ça se voit comme le nez au milieu de la figure que votre « conversation », comme tu l’as dit, n’a pas nécessité beaucoup de mots, mais plutôt des actes, non?

Oui, c’est vrai, nous avons fait l’amour.

Ah ! Alors?

Alors quoi?

Écoute, il y a encore deux ou trois jours, tu étais déprimée comme tout, presque. Tu vois Marc, vous partez tous les deux. J’imagine que vous avez dû inaugurer ton beau lit. Alors, dis-moi !

Bon, et bien oui, tu as raison nous avons fait l’amour. Et quand je te parles de faire l’amour, c’est plus que ça. Figures-toi que Marc a un instrument que je qualifierai de « hors norme ».

C’est-à-dire ?

Il m’a avoué et je n’ai aucun mal à le croire, qu’il mesurait vingt-huit centimètres de longueur pour quatorze centimètres de diamètre.

Nadine m’a interrompue en mettant sa main devant sa bouche avant de me demander:

 Et tu l’a eu en entier dans toi?

J’ai fermé les yeux, j’ai posé une main sur mon ventre puis je lui ai murmuré:

Oui!

 Dis donc, Charles n’est pourtant pas diminué de ce côté là, mais il ne mesure que vingt-trois centimètres, il fait figure de nain à côté.

Attends, ma chérie, ce n’est pas un nain avec ces dimensions là. Tu ne te souviens pas qu’on avait lu qu’un homme « normal » mesure entre quinze et dix-huit centimètres?

Et il t’a tout mis. Mon dieu! J’ignorais qu’il était aussi… comment dire … dimensionné. Tu n’a pas eu mal au moins?

Non, parce qu’il est très délicat. Au début, je me suis demandé si j’allais accepter son monstre dans moi mais quand je me suis rendu compte qu’il était complètement dans mon sexe, c’est devenu du délire. Je l’ai provoqué tant que j’ai pu en ondulant des reins jusqu’à ce qu’il m’arrose de sa semence. J’ai joui comme je ne pensais même pas que c’était possible. Mais le pire.

Le pire?

Oui, enfin le meilleur, plutôt, c’est que nous nous sommes endormis l’un dans l’autre et que nous nous sommes réveillés en étant toujours unis.

Dis donc, c’est un signe, ça!

Oui.. et nous avons recommencés dès notre réveil. Ça a été encore meilleur, mais j’aime autant te dire que les draps sont dans un état… enfin tu vois. Et après, nous nous sommes douchés ensemble et ça a été très bon et très doux. Heureusement que nous avions une petite idée de l’heure, parce que nous aurions recommencé, aussi bien lui que moi.

Et maintenant?

Maintenant? Je vais m’en aller, tu penseras à moi parce que jusqu’à demain matin je veux être entièrement à lui. Je veux qu’il n’arrête pas d’être à moi, dans moi, autour de moi, partout.

Ben dis donc! Tu es amoureuse, ma chérie? C’est formidable. Mais je n’en reviens pas que tu aies pu absorber un tel enfin.

Tu sais, n’oublie pas que tu as deux enfants qui pesaient chacun quatre kilos!

C’est vrai, tu as raison. Mais tout de même.

Je commençais à avoir une envie folle de me faire faire l’amour de nouveau par Marc, mon sexe qui s’impatientait me le disait. J’ai dit à mon amie:

Nadine, j’ai envie de lui, je ne peux plus tenir. Je ne veux pas que tu te vexes, nous sommes amies depuis trop longtemps, mais je veux qu’il me fasse sentir femme encore davantage.

Elle m’a souri, m’a caressé le visage comme elle sait si bien le faire, avec douceur, puis elle m’a dit:

Je te comprends, ma chérie. Moi, lorsque par hasard je suis loin de mon Charles, je deviens comme folle tellement j’attends qu’il revienne pour me faire l’amour. Mais tu es comme moi, on dirait une droguée en manque !

Elle me sourit de nouveau puis ajouta:

 Va le rejoindre. Je vais aller les voir avec toi pour que nous nous disions au-revoir et tu iras dans votre nid d’amour.

Je lui ai répondu :

Merci, Nadine, d’être aussi compréhensive.

Ma chérie, à quoi ça servirait d’être amies depuis si longtemps?

C’est vrai! Allez, viens!

Nous sommes allés retrouver « nos hommes », ainsi que me l’a dit Nadine.

La cérémonie des adieux a été très écourtée, tellement Mac et moi étions impatients de nous retrouver.

(à suivre)

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