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baiser avec ma mère – Chapitre 2

baiser avec ma mère - Chapitre 2



Maman s’assoit sur le canapé pour me souhaiter la bonne journée. Je me réveille doucement avant de courir aux toilettes et prendre une douche. Je ne porte qu’un teeshirt au sortir de la salle de bain. Maman me sourit et accepte de bon gré mon câlin avant que je ne m’installe pour petit-déjeuner. Elle n’attend pas plus longtemps pour lâcher la question qui la travaille : « ça fait longtemps que tu… t’amuses avec le chien ? » Je me sens rougir jusqu’au bout des oreilles. Je lui explique alors comment j’ai découvert les compétences de Pez sans entrer dans les détails ni parler de Cyril. Elle voit mon embarras, ça la fait sourire mais elle me rassure. Elle comprend mes pulsions de jeunes filles et, tant que je fais attention à ne pas me faire mal, trouve normal que je découvre tous les moyens pour les satisfaire.

Je suis contente de ne plus avoir à lui mentir, du moins en ce qui concerne le chien. Je suis aussi un peu soulagée que cette conversation se termine même si c’est parce qu’elle va s’habiller pour aller faire quatre courses. Pendant ce temps je fais tout le ménage que je peux et m’occupe du linge. Dehors un orage éclate et maman est trempée lorsqu’elle rentre. Je récupère les courses et retourne dans l’entrée avec une serviette pour l’aider à se sécher. Sans vraiment réfléchir, j’agis comme avec mon frère et l’aide à retirer sa jupe après le manteau, puis son pull et son chemisier. Maman me remercie tout en suivant le mouvement. Ce n’est que lorsqu’elle se retrouve en soutif culotte que j’ai une première hésitation.

Maman aussi marque une pause mais nous sommes allés déjà assez loin pour ne pas s’arrêter maintenant. Je me décide et dégrafe l’attache de son soutif avant de finir de la déshabiller complètement en faisant glisser sa culotte le long de ses jambes. Maman me laisse la frotter de partout et me remercie à nouveau en acceptant de ne pas bouger le temps j’emporte ses vêtements mouillés et lui amène de quoi se couvrir. Elle ne dit rien alors que je lui tends un tee-shirt long, seul vêtement que je lui apporte. Je l’observe un instant puis avant qu’elle n’enfile le tee-shirt, je me jette contre elle. « T’es trop belle maman ». Je ne suis pas sûre qu’elle comprenne pourquoi je lui dis ça tout d’un coup, mais elle me serre dans ses bras en retour avec un « moi aussi je t’aime » qui me fait fondre.

Cette fois, ce n’est pas maman qui me caresse les fesses mais moi qui lui masse les siennes. Elle glousse et tente de fuir mais je la suis de près. En riant elle tente de m’échapper mais je la coince dans le salon et à nouveau me plaque contre elle. J’aime l’odeur de sa peau nue, la douceur de ses seins et sa toison qui frotte contre mon ventre. Je la pousse un peu en arrière et maman perd l’équilibre. Elle tombe assise sur le canapé et je me retrouve à genou entre ses jambes. Depuis le temps que j’attends cet instant, je ne lui laisse pas le temps de s’esquiver et embrasse de suite ses cuisses. « Hooo ma puce… » Maman tente mollement de me repousser mais j’insiste et la force à ouvrir les cuisses pour m’avancer entre elles.

Quelques baisers plus tard, je presse mon nez contre sa fente et inspire profondément ses fragrances suaves. Elle ne cherche plus à fuir quand ma langue remonte entre ses grandes lèvres pour goûter son nectar et dénicher son clitoris. Elle se laisse aller en arrière et écarte les cuisses. Elle gémit dès que mon majeur la pénètre. Je suce son bouton d’amour et va et vient en elle avec deux puis trois doigts. Son antre dégouline sur mes doigts mais comme hier, j’en veux plus et à l’entendre, elle aussi. J’appelle Pez qui arrive dare-dare. Maman me regarde faire, l’il pétillant d’excitation. Elle remonte les pieds sur le canapé, ses jambes repliées comme un magnifique papillon. Le chien force sa truffe contre la fente de maman qui l’encourage par un « oui » guttural. Mes doigts restent dans sa chatte pendant que Pez empoisse toute sa toison de bave.

Maman se laisse complètement aller à son plaisir et pousse des cris de plaisir rauques pendant que je plante mes doigts sans retenue dans sa chatte. Maman glisse peu à peu sur le bord du canapé et j’en profite pour titiller de ma main libre ses fesses et son trou du cul. A l’entendre crier « oui » de sa voix grave chargée d’excitation, je n’hésite pas plus longtemps et enfile mon majeur dans ses fesses. Rapidement j’y joins mon index et maman fait des petits bonds s’empalant sur mes doigts. Ses cris deviennent de plus en plus aigus et se transforment en une litanie incessante de « oui » et de « ho » et de « ha ». Il me faut la pénétrer pendant plusieurs minutes encore avant qu’elle ne se recroqueville et roule de côté sur le canapé, terrassée par son orgasme.

Pez n’insiste pas à mon grand étonnement. Je comprends pourquoi quand mon attention est attirée par un mouvement dans le couloir. Cyril nous regarde, les bras pendant, la bouche bée, le regard fixe et éberlué. Mon pauvre frangin est sur le cul de m’avoir vu faire jouir notre mère. Il me faut agir vite et je lui fais signe de s’approcher sans faire de bruit. Il hésite, s’approche d’un pas, puis s’arrête, s’avance à nouveau. Maman a le visage enfouis contre le dossier du canapé, savourant le plaisir qui se fane déjà peu à peu. Je veux la mettre devant le fait accompli, ne pas lui laisser le pouvoir de dire non avant que tout ne commence. Quand mon benêt de frangin arrive enfin à côté de moi, je dézipe sa braguette et lui retire son jean puis son caleçon. Il se retrouve en pull, tee-shirt et chaussettes ce qui n’arrange pas son air crétin.

Maman tente de se retourner à nouveau vers moi mais je presse mes mains dans son dos pour l’en empêcher. Elle grogne un peu mais accepte de rester sur le ventre, visage enfouis dans les coussins alors que nous nous plaçons derrière elle. Elle se contracte un peu quand je lui écarte les fesses mais rapidement ma langue a raison de ses préjugés. Elle relève son derrière et replie ses jambes sous elle pour me laisser lui laver l’intimité de tout son jus. Je ne laisse pas non plus le choix à mon frère et lui ordonne de monter sur le canapé. Maman, certaine qu’il s’agit du chien, glisse ses mains en arrière pour bien écarter ses fesses. « Alors j’avais raison, tu m’as espionnée l’autre nuit avec le chien… ». Je ne la contredis pas et prenant sa bite dans ma main, je guide mon frère contre son trou du cul.

Maman pousse un long « oui » rauque en sentant le gland de Cyril contre sa rosette et un autre plus grave encore quand lentement il s’enfonce en elle. Et puis mon idiot de frère la saisit par les hanches. Maman ouvre des grands yeux et pousse un cri qui n’a plus rien à voir avec le plaisir. C’est de la stupéfaction et une certaine peur aussi mais déjà Cyril entame un lent va et vient dans ses fesses et lui arrache un gémissement. Elle tente tout de même de s’esquiver mais je prends son visage tourné de côté entre mes mains et l’embrasse à pleine bouche. Maman est si surprise qu’elle ne bouge plus et, avec un petit feulement étouffé par ma bouche, se laisse aller et répond à mon baiser.

Cyril nous observe. Il doit la sentir se détendre et n’attends pas pour reprendre ses va et vient plus fermes maintenant. Je pensais que maman avait cédé mais elle rompt notre baiser et se dégage de son fils pour se retourner sur le canapé. Ni Cyril ni moi n’osons plus bouger et maman sourit en nous voyant si inquiet d’un coup. Elle tend la main pour caresser la bite de Cyril et l’attirer à elle. Mon frère obéit sagement et suit le mouvement. Il répond à son baiser puis, reprenant confiance, s’enfonce en elle quand la main de maman presse sa queue contre l’entrée de sa chatte. D’une main sur ses fesses maman invite son fils à la prendre de plus en plus vite, de plus en plus fort. Leurs bouches restent collées l’une à l’autre mais s’en est trop pour Cyril qui, trop rapidement pour satisfaire maman, il se plante un dernier coup en elle et déverse sa semence juvénile dans son ventre.

Comme le ferait une mère tendre et prévenante, maman l’attire contre son sein. Un câlin tout ce qui a de normal si ce n’est que la bite de Cyril est encore fichée en elle. Maman ne m’oublie pas et me prend la main pour m’inviter à me rapprocher. Nous faisons un gros câlin à trois durant lequel nous nous embrassons tous à tour de rôle.

Aucun de nous ne va s’habiller du weekend. Même si maman pose certaines règles pour l’avenir, elle accepte ce changement dans nos relations. Après le déjeuner et nos devoirs, maman nous demande de lui montrer ce que nous savons faire. Je lui montre mes talents de suceuse et Cyril ceux d’enculeur. Pendant la soirée, dans le lit de maman, Cyril fait l’amour à maman. Il ne la baise pas simplement, cette fois il tient le temps qu’il faut pour la faire crier de plaisir même si je l’aide un peu en m’occupant de ses tétons et son clito de la bouche.

J’ai perdu ma virginité le lendemain matin. Aidé de maman, Cyril fait de moi une femme. Maman m’a accompagnée chez le gynéco en début de semaine suivante. Cyril a été mon seul et unique amant. Je pense que j’étais sa seule maîtresse aussi. Nous avons rencontrés nos conjoints actuels au lycée. Nous avons de suite su que c’était les bons. Des faux jumeaux, un garçon et une fille. Ils étaient dans nos classes respectives mais nous avons réellement fait leur connaissance quand nous les avons rencontrés en ville, faire du shopping en se tenant par la main. Nous avons pris un pot à un café. Je sentais quelque chose et malgré l’inquiétude de Cyril, toujours un peu frileux, j’ai pris sa main dans la mienne sur la table. Cléo a souri, m’a imitée et sans dire un mot nous nous sommes compris tous les quatre.

Maman n’était pas tout à fait à l’aise avec cette drôle de relation à quatre. Il faut dire que les parents de Cléo et Thoomas ne savent toujours pas à quel point nous pouvons être proches. Elle n’a jamais trouvé à redire cependant, ni quand elle se retrouve en sandwich entre les garçons, ni quand Cléo et moi l’emmenons jusqu’au septième ciel. Rapidement nous nous sommes rendu compte qu’eux aussi aimaient les chiens. A dire vrai, je ne sais pas si le garçon que j’attends est de mon mari ou de Cyril. Tout ce que je sais, c’est qu’il s’entendra très bien avec sa cousine.

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