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Les chroniques de Sophia – Chapitre 1

Les chroniques de Sophia - Chapitre 1



Une faible bruine frappe la région parisienne, alors que dans un appartement, la température est bien plus chaude.

La belle Sophia est actuellement dans son lit, à regarder une émission quelconque de cuisine, pendant que son esprit part dans un tout autre monde.

Elle est rousse, les yeux verts, une poitrine assez imposante, et elle fait un bon mètre quatre-vingt, pour moins de soixante-dix kilos. Elle a vingt-et-un ans. Pour elle, elle n’est pas spécialement jolie, ni même désirable. En effet, elle a de nombreux complexes à propos de son corps, malgré le fait que les hommes sont souvent accros à elle.

La belle rousse déverrouille son portable, pour découvrir plusieurs nouveaux messages. Le premier est de sa mère, qui lui indique qu’elle viendra la voir demain. Le second vient de son frère, qui lui parle une nouvelle fois de ses problèmes de couple. Le dernier vient… De Jordan.

C’est un homme d’une vingtaine d’années, brun aux yeux noirs, qui n’est autre que son voisin. Selon Sophia, il aurait des vues sur elle, mais il est un peu trop timide pour lui dire clairement ce dont il a envie. Ce qui est dommage, vu qu’elle a très envie d’aller plus loin avec lui… Mais elle stoppe ses pensées lubriques, pour se pencher sur le message en lui-même :

— Bonsoir Sophia, comment vas-tu ? Je voulais juste savoir si tu avais quelque chose de prévu, ce soir. Je suis seul, et j’ai un nouveau jeu, que j’aimerai tester avec toi.

Elle rougit légèrement : le petit Jordan serait-il en train de lui proposer un rancard ? C’est la première fois qu’il l’invite à passer la soirée chez lui. D’habitude, ils vont prendre un verre dans le petit bar, à l’angle de la rue. Mais ce soir, il a l’air de vouloir passer à la vitesse supérieure, pour son plus grand plaisir. Et elle en profite pour lui répondre :

— Bonjour Jordan. Je vais bien, et toi ? Je ne fais rien ce soir, et je veux bien venir tester ton nouveau jeu. Il s’agit duquel ?

En effet, les deux jeunes gens sont ce que l’on pourrait appeler… Des geeks. Ils peuvent passer des journées entières à jouer en ligne, sur différents types de jeux. Et ce, malgré le fait qu’ils ont tous les deux un travail.

Elle n’attend pas sa réponse, partant tout de suite vers sa douche. Il n’est que dix-sept heures, en ce samedi pluvieux, mais elle prend toujours son temps, pour se faire belle. Même pour aller tester un simple jeu vidéo avec son voisin.

Une fois sous le jet d’eau chaude, elle repense à la dernière fois où un homme l’a touché. C’était il y a un peu plus de trois ans. Il était beau, fort, et il en avait ramé pour qu’elle s’offre à lui… Ils ont couché ensemble une seule et unique fois, pour son plus grand bonheur – à lui. Sophia n’en avait pas tiré beaucoup de plaisir, car il ne voulait que se faire du bien, et non partager ce moment avec sa douce partenaire.

Ses mains partent à l’assaut de son corps, caressant ses formes, rendues glissantes par l’eau. Elle plaque son dos contre le carrelage frais, tandis que sa main droite saisit l’un de ses seins, l’autre descendant toujours plein sud, s’arrêtant juste après avoir touché le début de sa toison pubienne. Elle hésite, n’ayant pas pour habitude de se toucher ainsi, mais il y a maintenant plusieurs années que son corps n’a pas été malmené par un homme, et elle est frustrée sexuellement. Elle a honte, jusqu’à ce que son désir ne se montre dans toute sa brutalité : elle glisse délicatement un doigt le long de ses lèvres intimes, jusqu’à ce que son pouce ne se presse contre son entrée. Elle gémit, puis ferme les yeux…

Pour le faire entrer dans son ventre, lentement, en douceur, comme si elle avait peur de se faire mal, alors que c’est tout le contraire. Son corps se tord, un gémissement lui échappe, alors que son jus intime coule le long de sa cuisse, allant se mélanger à l’eau tiède. Ses jambes tremblent, alors qu’elle redresse sa tête, gémissant un prénom :

— Jordaaaaaan…

La douceur de sa masturbation est presque magique : elle accélère le mouvement, allant de plus en plus rapidement, jusqu’à ce qu’elle gémit à nouveau, se faisant terrasser par son orgasme. Il est dévastateur, fulgurant, la laissant à genoux dans le bac à douche. Elle laisse son cur reprendre un rythme normal, avant de se redresser, pour ensuite terminer de prendre sa douche…

La sonnerie de la porte la fait sursauter, et elle dépose sa tablette sur sa table basse, avant de rejoindre son entrée. Après avoir vérifié l’identité de son visiteur, la belle rousse ouvre la porte sur un Jordan habillé d’une chemise, et tenant un bouquet de fleurs à la main. Ils se font la bise :

— Jordan ! Tu n’aurais pas dû !

Mais elle lui lance un grand sourire, prenant son bouquet, et partant en direction de sa cuisine, à la recherche d’un vase :

— Fais comme chez toi !

En effet, il n’avait pas besoin d’une visite guidée pour savoir où se trouvaient les toilettes, ou même la chambre de son hôtesse : son appartement est identique au sien. Mais ce n’est pas ce qui l’intéresse : il suit la demoiselle, pour la découvrir penchée devant un placard, lui permettant d’avoir une vue bien dégagée sur sa chute de rein, et de voir que la robe noire de la demoiselle est vraiment magnifique.

Il détourne le regard quand elle se redresse, le fameux vase à la main. Elle pose le bouquet sur le plan de travail, le temps de remplir le vase, puis elle place le bouquet sur sa table basse, avant qu’il ne prenne la parole :

— Tu veux que nous allions manger un morceau quelque part, avant d’aller jouer ?

Sophia avait bien vu que Jordan regardait sa cambrure, lorsqu’elle avait la tête dans le placard. Elle avait fait exprès, et maintenant, elle n’avait qu’une seule envie : se retrouver seule avec lui, et enfin pouvoir se défouler sur son corps. Son désir est en train de la consumer, et elle a besoin qu’il la souille…

— Non, j’aimerai que l’on ne se prenne pas la tête, et que l’on mange à notre rythme, devant la télé. Tu as toujours Netflix ?

— Oui ?

— Regardons tranquillement une série, pendant que l’on mange, s’il te plaît.

— Tout ce que tu veux, ma belle.

Ils rougissent tous les deux, un peu gênés, mais elle ne dit rien, se contentant de remuer sensuellement, pour prendre la direction de l’entrée. Il comprend tout de suite le message, passant devant elle pour ouvrir la porte, avant de sortir sur le palier, et s’ouvrir la porte juste en face : eh oui, ils sont vraiment voisins à ce point.

Quelque vingt minutes plus tard, ils sont installés sur le canapé du jeune homme, qui a mis Netflix en route, lançant l’une des séries les plus populaires du moment. Mais ce qui intéresse la belle, ce n’est absolument pas les intrigues à la télévision, mais le jeune homme qui mange un burger fait maison à ses côtés. Elle donne un croc dans le sien, avant de tenter de se concentrer sur autre chose que son désir. Mais bien entendu, c’est peine perdue : son corps lui lance des signaux qu’elle ne peut pas négliger.

Après avoir fini de manger, et nettoyer la table basse, son hôte sort deux manettes de PlayStation 4 de sous la table, et lance la console, pour ensuite arriver sur l’écran d’un jeu de tir. Le dernier sortit, celui sur lequel elle rêvait de mettre les mains…

Après plus d’une heure de jeu, ils reposent leurs contrôleurs, se lançant un petit sourire. Comme d’habitude, ils sont complémentaires : elle est plutôt bourrine, armée d’un énorme fusil à pompe, allant au contact ; tandis qu’il préfère rester à l’arrière, tirer au fusil de précision, protégeant la jeune femme, qui est beaucoup plus tête brûlée.

La pause est parfaite pour que le juge-homme puisse aller chercher le dessert : une glace au caramel, venant d’un restaurant rapide, qui n’est qu’à quelques pas de là :

— Tu as même pensé à ma glace préférée ?!

— Eh oui : je suis le parfait voisin !

Elle lui saute dessus, sans vraiment se retenir. Elle lui enlève les glaces des mains, le faisant s’allonger sur le canapé, puis elle pose ses lèvres sur les siennes, le rendant fébrile contre elle.

Son baiser est vorace, alors que son poing serre la chemise de son futur amant. Elle a un petit sourire satisfait, lorsqu’elle se redresse juste assez pour pouvoir le regarder dans les yeux :

— Ça fait quelques mois que je rêvais de faire ça…

— Sophia ?

Pour seule réponse, elle l’embrasse à nouveau. Il reste totalement immobile quelques secondes, avant de lui répondre avec la même ardeur. Il l’écarte un peu de lui :

— Je ne comprends pas ?

— Tu ne comprends pas quoi ?

— Tu voulais vraiment m’embrasser depuis plusieurs mois ?

Elle s’assoit sur ses genoux, déboutonnant sa chemise tout en lui parlant :

— Depuis que tu m’as aidé à faire mon emménagement, je rêve de toi, la nuit… Pas plus tard que cet après-midi, je me suis touchée en pensant à toi, sous ma douche… Et je me suis fait venir en gémissant ton prénom…

Elle vient de lui enlever son dernier bouton, le forçant à se contorsionner pour qu’elle puisse lui enlever le vêtement, reposant tout de suite ses mains sur ses abdos, avec un petit air de convoitise sur le visage :

— J’ai envie que l’on joue à un tout autre jeu, tous les deux.

— Lequel ?

Le jeune homme est totalement désarmé, lorsque la jolie rouquine passe ses mains dans son dos, pour commencer à défaire l’attache de sa robe :

— Tu vas me tirer. Jusqu’à ce que je n’en puisse plus, et je peux déjà te dire que je suis endurante. J’encaisse comme personne. Tu vas pouvoir y aller franchement, je ne suis pas en sucre, tu ne me feras pas mal.

Il rougit, alors qu’elle finit de libérer le haut de sa robe, lui laissant la vue sur son soutien-gorge. Sa poitrine imposante est bientôt à sa portée, tandis qu’elle s’attaque à son sous-vêtement :

— J’ai attendu quasiment six mois… Je n’ai pas fait l’amour depuis trois ans… Je suis plus qu’en manque. Alors j’espère que tu n’es pas précoce.

Il ne dit rien, ne se rendant pas compte qu’il allait enfin pouvoir réaliser son fantasme : détruire sa voisine de palier, qui n’attend plus que cela. Que doit-il faire dans ce cas ? C’est son instinct qui prend le relais, lorsqu’elle jette son soutien-gorge au travers de la pièce, et qu’elle lui lance un sourire pervers qui le fait durcir d’un coup : elle est vraiment magnifique :

— Tu es…

— Je suis… ?

Il en perd ses mots, mais ses mains savent parfaitement où aller : il les pose sur sa poitrine, caressant doucement ses pointes, la faisant gémir au passage. Elle se frotte contre lui, massant son sexe au travers de leurs vêtements. C’est à son tour de soupirer de plaisir, jusqu’à ce qu’il descende ses mains le long du corps de sa belle. Cette dernière lui lance un petit regard pervers, puis tape sur ses mains, le forçant à la lâcher :

— Je suis quoi, alors ?

— Détache tes cheveux.

Elle le fait sans poser la moindre question, laissant sa crinière de feu tombée sur ses épaules, puis sur ses seins :

— Tu es la plus belle femme que je n’ai jamais rencontrée. Et je vais te faire l’amour comme si tu étais ma reine, et que je devais honorer notre nuit de noces.

Elle gémit :

— Détruis-moi… Je veux que tu me tues en me prenant…

Il lui lance un petit sourire, la forçant à se lever. Elle comprend ce qu’il veut faire, alors elle se met debout, faisant tomber le bas de sa robe, lui montrant son absence de culotte. Il ne dit rien, se levant à son tour, pour l’allonger presque délicatement sur le canapé. Une fois son dos en contact du cuir frais, il s’allonge sur elle, ayant toujours son pantalon, mais ce qu’il compte lui faire ne l’oblige pas encore à être aussi dévêtu que sa partenaire.

Il dépose un doux baiser sur ses lèvres, puis descend sur son menton, suit la ligne de sa mâchoire, puis reprend sa descente, avant de se stopper une première fois au niveau de sa poitrine opulente. Il caresse d’une main habile l’une de ses pointes, prenant la seconde dans sa bouche, la faisant geindre de plaisir. Elle pose une main sur sa nuque, tandis que la seconde part dans sa propre chevelure, son corps parcouru de frissons.

Il inverse sa main et sa bouche, avant de continuer la descente, ainsi que l’exploration du corps de sa demoiselle. Elle est bouillante, presque brûlante, et continue de chauffer, lorsqu’il s’arrête à la lisière de son entrée. Elle a la bouche pâteuse, se demandant sil allait aller jusqu’au bout, ou la laisser en plan, à deux doigts de la plus magique des parties de jambes en l’air. Mais elle avait oublié à quel point c’est un gentleman, alors qu’elle sent sa langue sur sa peau soyeuse. Elle préfère fermer les yeux, resserrerait sa poigne sur les cheveux courts de son amant, alors que ce dernier commence à laper ses parties intimes, tournant autour de son clitoris comme sil cherchait à la mettre à bout.

Finalement, il compatit à son désarroi, faisant partir sa langue sur son organe du plaisir. La belle Sophia retient un gémissement, alors qu’il l’aspire entre ses lèvres, le massant avec ces dernières. Elle se cambre, rejette la tête en arrière, expirant par la bouche, d’une façon tremblante. Elle en veut plus. Beaucoup et horriblement plus…

Un de ses doigts se glisse dans son antre humide, alors qu’il descend encore la tête, mordillant cette fois-ci les lèvres de la jeune femme, qui gémit un peu plus fort. Elle ne lâche pas un mot, et c’est l’objectif du jeune homme qui se dévoile :

— Je veux que tu gémisses mon prénom.

— Je ne suis pas une fille facile.

Il a un petit rire typiquement masculin, juste avant d’insérer un second doigt en elle :

— Je ne te prendrai pas tant que tu ne m’auras pas supplié, en couinant mon prénom…

Une bouffée de chaleur prend son visage en otage, alors qu’elle a la bouche aussi sèche que le désert. Cet homme va la torturer, en lui faisant le meilleur cunnilingus de sa vie. En fait, c’était le premier : ses autres partenaires n’avaient jamais voulu lui en faire. Elle comprend désormais qu’elle avait vraiment loupé quelque chose…

Plusieurs minutes plus tard, il relâche enfin la pression sur son sexe, lui permettant d’à nouveau pouvoir respirer normalement. Elle est rougie pivoine, tandis qu’il se redresse :

— Tu es magnifique, quand tu es à deux doigts de jouir…

Sophia se redresse sur ses avant-bras, pour regarder son amant dans les yeux :

— Je crois que je vais devoir te rendre la pareille, mon beau… Viens, approches-toi…

Il s’approche donc lentement de sa maîtresse, qui n’a qu’une seule cible : le sexe tendu de son partenaire, qu’elle libère en enlevant rapidement son pantalon et son boxer, puis qu’elle prend en main, avant de le faire monter au niveau de son visage. Jordan n’en mène pas large, mais il se laisse faire, alors qu’elle pose presque délicatement ses lèvres sur le bout de son gland. Il est dur, imposant, et c’est cet état qu’elle aime provoquer chez ses amants, bien qu’elle n’en est pas eu énormément.

Elle finit par le prendre en bouche, le faisant glisser entre ses lèvres, sa langue jouant autour de son pieu de chaire. Elle y va doucement, désireuse de lui faire ressentir le maximum de sensations. Il grogne son prénom, passe une main dans sa chevelure de feu, et lui imprime un geste de va-et-vient de plus en plus rapide. Ses grognements excitent sa maîtresse, qui en profite pour ajouter des bruits de gorge, alors qu’elle enchaine quelques gorges profondes, pour son plus grand plaisir. Elle doit se retenir, lorsqu’il lui murmure un « je vais venir »…

Toujours allongée sur le canapé, son regard ancré dans le sien, elle lui soupire presque :

— Prends-moi… Fais-moi tienne…

Il ne se fait pas prié, prenant un préservatif qu’il avait caché sous les coussins, pour le mettre rapidement, avant de presque délicatement se perdre en elle, centimètre après centimètre. Elle couine, avant de lui indiquer :

— Trois ans sans sexe… Je ne me rappelai même plus que c’était si bon d’avoir quelqu’un en soi…

Il ne fait aucune remarque, se contentant de coulisser en elle, explorant les profondeurs de la féminité de sa partenaire. La douce Sophia est tout simplement sublime, lorsqu’elle est empalée jusqu’à la garde. Il prend soin de tout ressentir, de ne pas aller trop vite. Ils veulent profiter au maximum de ce moment de grâce…

La pression de la jeune femme monte rapidement, tout comme sa chaleur interne : elle n’est plus qu’à quelques coups de reins de la délivrance, et elle ne se gêne pas pour l’indiquer à son amant :

— Encore un peu, et tu me feras jouir sur le bout de ta queue… C’est trop bon, ce que tu me mets…

Elle encaisse comme une reine, mais elle n’est qu’une humaine, et lorsque l’orgasme la frappe de plein fouet, elle perd toute cohérence, se contenant de jouir à gorge déployée, lançant même un petit « frappe-moi le fond », ou encore un très joli « trappes dans le fond, je ne suis pas ta mère ». Mais il ne s’en familiarise pas, continuant à procurer du plaisir à sa partenaire, qui finit toute essoufflée dans ses bras, repue pour le moment, mais pas comblée.

Il se retire lentement de ses entrailles, sans avoir joui, et il décide de mener un peu plus la danse :

— Mets-toi à quatre pattes.

Il ne savait pas si elle allait se laisser faire, mais c’était sans compter sur sa personnalité bouillante :

— Tu veux me faire du sale, hein ?

Elle se positionne, avant qu’il n’entre d’un geste souple directement dans son fourreau humide, la faisant gémir, tout en se cambrant. Il attrape ses cheveux, les lui tirant un peu en arrière, tout en la chevauchant. Elle gémit de plus en plus fort, encaissant encore, mais elle n’est toujours pas une déesse, et un autre orgasme titanesque se profile. Celui-ci, Sophia en est sûre, la finira. Elle ne sera plus bonne à rien après cela… Elle a un petit sourire de bonheur : il ne l’aura pas déçu…

Mais il faut du plaisir pour eux deux, et elle compte bien que son amant ait sa dose de jouissance :

— Finis-moi… Je vais jouir… Encore un tout petit peu : je sens que ça vient…

Et bien entendu, le beau Jordan donne tout ce qu’il a, la soulevant à moitié du canapé à chaque coup de reins, ses bourses pleines frappant avec énergie l’entrée de l’antre de sa partenaire, qui se contracte autour de son membre : le début de son nouvel orgasme, qu’il décide de prolonger à grand renfort de coups de reins destructeurs :

— Putain, ce que c’est bon de se faire démolir ! Vas-y encore. Encore… J’en peux plus, c’est vraiment trop bon, de se faire prendre comme une chienne !

Il ne répond rien, se concentrant sur sa respiration, afin de ne pas se finir dans la protection de latex. La demoiselle semble le comprendre :

— Tu veux jouir où, mon beau ?

— Sur tes seins et dans ta bouche…

— Ne sois pas timide : tu viens de me faire atteindre deux fois de suite le septième ciel. Viens ici, mon beau… Souille-moi avec ton jus…

Il se retrouve à nouveau avec le sexe dans la bouche de la demoiselle, qui s’applique à le faire venir dans sa gorge. Ce qui met moins de cinq minutes, quand il gémit le prénom de sa maîtresse, et qu’elle reçoit quelques gouttes du précieux nectar sur sa langue.

Elle le sort rapidement, le masturbant juste au-dessus de sa poitrine, pour que le reste de son éjaculation atterrisse sur ses seins imposants. Elle arrête seulement une fois qu’elle est sûre qu’il lui a bien tout donné. Elle embrasse ensuite son gland, puis le regarde avec un petit sourire coquin :

— J’ai le droit à un bisou, pour la peine ?

Il ne réfléchit pas plus de deux secondes, l’embrassant langoureusement, sentant par la même occasion le goût de sa jouissance. Il finit par lui tendre la main, et une fois tous deux debout, il la conduit à sa salle de bain, dans laquelle ils prennent une longue douche, avant qu’ils n’aillent directement dans la chambre du jeune homme, pour s’endormir dans les bras l’un de l’autre…

À suivre…

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