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Ma soeur Julie : starlette en devenir – Chapitre 1

Ma soeur Julie : starlette en devenir - Chapitre 1



Note : Suite à des complications avec le deuxième chapitre initialement prévu (qui a été refusé), le récit s’écarte maintenant totalement de l’histoire originale. Ceci est donc une suite directe de « Ma sur Julie » que je vous invite à lire pour comprendre ceci. Nous reprenons le récit au moment où notre protagoniste, après avoir été obligé de se masturber devant sa sur de dix-huit ans, cède aux caprices de cette dernière et accepte qu’elle essaye à son tour de le polluer.

Je me ravisai et m’allongeai sur mon lit, cul nul, ma petite sur à genoux sur le matelas à ma droite. La curiosité se lisait dans ses yeux légèrement en amande. En effet notre père est breton et notre mère est marocaine. Ma sur paraissait avoir pris le meilleur des deux mondes : un teint un peu hâlé, de longs cheveux noirs, de petites mains fines Cependant elle hérita de mon père des yeux d’un vert pétillant. De mon côté, je ne ressemblais quasiment qu’à mon géniteur. Julie toisa la colonne de chaire, comme une chatte découvrant un nouveau jouet. Elle approcha alors sa main de ma verge de manière un peu hésitante.

-« Je la prends et la secoue? » me demanda-t-elle.

-« Euh ouais »

Au contact de ses doigts, j’eus un mouvement de recul. Ma bite redevenait raide malgré mon orgasme récent. Elle l’empoigna comme un manche et entama des vas-et-viens maladroits, mon sperme agissant comme lubrifiant.

-« Tu me dis si je te fais mal hein ? »

J’acquiesçais, me concentrant sur la caresse que me prodiguait ma frangine. Celle-ci avait approché son visage de l’action comme si elle effectuait un travail de haute précision. J’avais du mal à réaliser la situation : le même soir, je m’étais masturbé devant une fille et me faisait branler aussi par ma propre sur! J’étais conscient du tabou de la chose mais, au fond de moi, mes désirs primitifs m’avaient empêché d’imposer trop de résistance à Julie. En fin de compte, c’était le premier contact sexuel de ma vie. Sa petite main vernie de blanc coulissait de plus en plus aisément sur ma hampe, son index m’envoyant une petite décharge électrique en chaque fin de course lorsqu’il frottait la couronne de mon gland. Nous étions tous les deux absorbés par l’acte : les petits bruits visqueux, mon gland maintenant totalement découvert, mon méat béant, sa main gauche posée sur mes abdos pour prendre appui, l’autre maintenant luisante

Julie se redressa alors soudainement et, gardant ma tige à la main, s’empara de son smartphone. Il faut préciser que ma sur est totalement obsédée par les réseaux sociaux, se prenant en photo plusieurs dizaines de fois par jour et documentant ses moindres faits et gestes sur instagram et facebook : elle est jolie et elle le sait. Elle positionna alors son portable de manière à prendre un selfie.

-« Wow attends Julie ! T’es malade ?! »

-« Calme toi t’es pas dessus. »

-« Si c’est pour ce que je pense tu pourras jamais poster ce genre de photos »

Elle resta pensive un instant, continuant sa branlette.

-« Peut être, mais faut bien que j’ai une preuve pour mes copines sinon elles me croiront jamais ! »

-« Mais bordel Julie, personne doit savoir ce qu’on fait là sinon on sera dans une merde noire ! » me lamentai-je.

-« Mais tu crois qu’elles vont reconnaître ta bite ? Sois pas con je vais pas leur dire à qui elle appartient. »

A moitié convaincu, je la laissai se prendre en photo me tapant une queue. Elle faisait des moues ridicules, penchant la tête, tirant la langue, tous les filtres y passant Elle posa alors son menton sur ma cuisse et tint son portable à bout de bras de sorte que sur l’écran on ne vit que ses yeux de part et d’autre de ma teub, fit alors une grimace en louchant et pris un selfie. Ma petite sur examina ses « créations », visiblement satisfaite, rigola et me les montra. J’étais alors transpirant d’angoisse et de plaisir. Je pris un faux air approbateur et hochai de la tête. Julie posa son smartphone et accéléra le tempo. Durant deux trois minutes la curieuse expérimenta plusieurs techniques, variant ses mouvements, frottant mon gland et joua même avec mes bourses. Le plaisir devenait intense et ceci devait se voir sur mon visage : ma partenaire était si innocente et joueuse. Ma sur, des étincelles dans les yeux, me lança alors :

-« Oh putain je sais ! Je vais te filmer en train de « spermer » ! Hihi »

-« Euh Julie c’est peut être pas »

Trop tard, Julie avait déjà commencé à s’enregistrer, cherchant le bon angle pour avoir l’air le plus attirante possible.

-« Coucou ! Alors là, je « branle » une bite et le mec va bientôt cracher ! C’est trop cool, vous allez voir c’est comme si de la crème sortait ! » Elle me regarda et m’ordonna « allez vas-y lâche la sauce « Bob » ! Hihihi ! »

La petite me prodigua alors, malgré son très peu d’expérience, une magistrale pollution, s’acharnant sur mon asperge, déterminée à m’en extraire le venin. Celui ci monta finalement le long de ma verge, exerçant une pression insoutenable à la base de mon gland.

-« Ouais là je viens ! Putain t’en voulais ? Tu vas en avoir ! » J’annonçai entre deux gémissements euphoriques.

Mon deuxième orgasme fut tout aussi impressionnant que le premier, le plaisir étant si fort que ma vision devint trouble un instant. Mon visage devint rouge pivoine, je me redressai un peu et expulsai mon foutre par saccades violentes. Les deux premières rafales atterrirent plus loin sur le lit mais la troisième atteint ma soeurette au coin de la joue. Elle couina tout en gloussant, son appareil toujours braqué sur l’action. Elle zooma alors sur mon chibre parcouru de spasmes, tout en prenant soin de ne pas filmer mon visage, du sperme coulant encore un peu. Elle recadra alors l’image sur son minois angélique et porta son annulaire tâché de sperme à sa bouche.

-« Oh non « Bob », t’en as mis partout, haha ! Humm Ca a un drôle de goût. Mais je kiffe trop « branler » ! Bon allez à plus’ tout le monde ! » Et souffla un baiser à l’objectif.

Elle se plongea dans son téléphone comme si rien de tout ceci ne s’était passé. De mon côté, j’avais l’impression de m’être réveillé d’un rêve : allongé, défroqué, tremblant, mon lit maculé de semence.

-« Julie, je sais pas si tu réalises ce qu’on vient de »

-« Ouais, ouais cool. » Les yeux toujours rivés sur son écran, elle prit un air dépité. « C’est trop nul que je puisse pas mettre ça sur insta !»

Elle se leva et me laissa dans mon état, sans même me regarder.

Le reste de la soirée se déroula « normalement ». Mes parents rentrèrent et nous dinâmes en famille. Julie était guillerette comme d’habitude, racontant sa journée à mes parents comme si de rien n’était alors que je n’arrivais à rien avaler. Elle parlait de tout et de rien riant avec ma mère. Cette dernière nous demanda :

-« C’était pas trop long pendant notre absence ? »

-« Pas du tout maman. Max m’a montré des trucs »

-« C’est bien que vous fassiez des choses ensemble. » Soliloqua mon père. « C’est important de bien s’entendre entre frère et sur. »

-« Ouaip, on s’entend trop bien papa ! Hihi. » Et de me lancer un clin d’il.

Je devin livide mais mes parents ne semblèrent pas avoir remarquer quoique ce soit d’anormal. Le repas terminé, ils s’installèrent devant la télé et ma sur dans le canapé du coin, chipotant sur son téléphone. Quant à moi, je remontai dans ma chambre, bien décidé à me vider la tête avec un petit porno suivit d’une série ou d’un film. Je fermai ma chambre (à clef !) et me rendit sur mon site préféré, parcourant les nouveautés en matière de cul. Ce soir là, je jetai mon dévolu sur Jill Kassidy, une petite teen « next door » aux cheveux châtains-dorés et aux yeux bleus qui jouait souvent le rôle de la baby-sitter coquine ou de la demi-sur dévergondée. Mais cette fois, la jolie Jill assumait pleinement son image de salope, juchée sur des talons de stripteaseuse blancs, son sacré cul moulé dans un shorty vert et portant un tee-shirt arborant « popular slut club ». La jeunette, après avoir dansé brièvement, se fit, disons le clairement, défoncer sans pitié par un acteur qui bandait sec. La fille avait voulu jouer la petite princesse-pornstar et en payait le prix cher, à quatre pattes, la langue pendante, le viandard la tringlant comme si sa vie en dépendait.

D’habitude ce genre de scène m’aurait fait repeindre le mur de ma chambre en hurlant ma jouissance mais à chaque fois que j’empoignai ma lance le visage de Julie m’apparu et un sentiment de dégout m’envahit. Je n’arrêtais pas de ressasser les évènements : et si j’avais dit non ? Et si je m’étais montré plus ferme ? Et si j’avais fermé la porte à clef ? Pendant que Jill Kassidy se prenait une véritable leçon de sexe sur l’écran de mon ordi, la honte et la peur m’envahissaient. La honte d’avoir laissé ma sur me tripoter et d’avoir adoré. La peur que toute cette histoire ne s’enflamme et que je sois vu comme un pervers ou pire encore. J’en étais persuadé : rien de ceci ne pouvait bien se terminer pour moi !

Je fus pris de nausée et couru dans la salle de bain ou je vomis d’angoisse. Je pris alors un somnifère de ma mère et passai une nuit mouvementée.

Je me dépêchai le lendemain matin afin de ne pas croiser Julie et passai une journée peu productive, mon esprit étant ailleurs. Le soir, alors que j’essayais tant bien que mal de travailler, j’entendis ma sur rentrer, grimper les escaliers quatre à quatre et débouler dans ma chambre. Elle avait décidé de prendre un look un peu rock ce jour-là, les cheveux relâchés, un peu en bataille, vêtue d’un minishort noir, d’un haut ample « Metallica », de guêtres en laine grise et chaussée de Doc Marten’s blanches, un gros bracelet noir au poignet gauche. Elle portait encore son sac et brandissait son portable devant elle.

-« Max ! Devine quoi ! »

Je ne répondis rien, m’attendant au pire.

-« Déjà, toutes mes copines sont trop jalouses que j’ai pu branler un mec et elles étaient d’accord que je devais trop le mettre sur un réseau social ! Et hier soir, Carla m’a dit que son père allait sur un site « PornCentral » où on pouvait mettre des vidéos de soi en train de faire des trucs du genre »

Je connaissais PornCentral, je connaissais même très bien. Ce site pornographique était connu pour mettre l’accent sur le contenu amateur et pour avoir développé une grande communauté. Je n’aimais pas du tout le début de cette annonce. Elle reprit.

-« Alors hier soir, je me suis fait un compte et regarde ça ! »

Mes craintes se confirmèrent. Sur l’écran de son smartphone, je vis la page de profil d’une certaine « Happy_Julie » avec en photo de profil un selfie qu’elle avait du prendre le soir même, un grand sourire et en couettes. Elle avait mis en ligne les photos qu’elle avait prises hier ainsi que la vidéo. Cette dernière était intitulée « First branlette :p ». Mais la chose la plus incroyable était le nombre de vues de la vidéo : 30000 en moins d’une journée et plus de 2000 « like ». Je pris le téléphone en main et lançai la « sextape », vérifiant que l’on ne me voyait pas dedans. Je parcouru aussi les commentaires, tous graveleux : « elle est bonne cette petite », « putain j’en veux plus de cette garce », « eh bien, il se tape une sacré bonnasse ce Bob ». Elle se tenait droite, les pieds joints, comme un petit soldat au garde-à-vous, me souriait de toutes ses dents, comme une gamine attendant une surprise.

-« Bon en fait, ya pas mal de comm’ que je comprends pas mais tu m’expliqueras, hein ? » Je ne répondis rien, réellement abasourdi. « Alors ? T’es fier de moi frérot ? »

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