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A la villa – Chapitre 1

Natalie - Chapitre 4



’Soyez la bienvenue Aurore, nous sommes heureux de vous accueillir ici’ L’endroit était très luxueux, une grande maison dans un grand jardin, le tout décoré de manière somptueuse. Le soleil brillait et quelques nuages venaient cacher de tant à autre sa lumière. J’avais presque oublié ce que je venais faire ici. Mon copain m’avait proposé un voyage organisé dans une villa avec quelques-unes de ses connaissances, nous étions partis chacun de notre côté puisqu’il n’a pas pu se libérer, boulot oblige. Je remerciais le majordome de son accueil et le suivais pour me montrer notre chambre. Celle-ci était semblable à la maison, grande, luxueuse et chaleureuse. Le majordome posa ma valise près du

lit, me montra où se trouvait quoi dans la chambre et m’invita à descendre prendre le souper à 20h. Il me restait suffisamment de temps que pour visiter la chambre et prendre un bain. Le trajet avait, en effet, été fatigant. La chambre était encore plus grande qu’à première vue, il s’agissait d’une chambre en trois pièces. La chambre avec le lit, la salle de bains et un salon/bar. Je fus surprise par contre par l’armoire… remplie de tenue assez légères. J’ai cru un moment que quelqu’un avait oublié ses affaires mais tant d’affaires et toutes du même style affriolant, cela semblait peu probable. Je pensais interroger le majordome à ce sujet par après. Je fis couler un bain dans la baignoire et laissa filer une bonne quantité de bain moussant.

Je me déshabillais et me laissais glisser dans la baignoire, celle-ci était très agréable, le fond était recouvert de petites bulles qui semblait rouler sous mes fesses. Cela faisait une sensation bizarre mais agréable et je ne pus m’empêcher d’avoir quelques idées perverses. Je passais mes mains sur ces petites bulles qui gigotaient sous moi et les caressaient discrètement, mes mains s’égaraient et glissèrent le long de ma jambe. La tête me tournait, l’eau était trop chaude. Mes mains remontèrent le long de mes jambes alors que les bulles continuaient de me faire penser à des choses bien plus obscènes qu’une simple baignoire et puis ce fût comme si je reprenais mes esprits. Je me levais d’un bond, sorti de la baignoire et m’enroulait dans un essuie avant de retourner dans la chambre. Le majordome était là, je fûs surprise et du rattraper mon essuie… un tout petit peu trop tard, et j’étais sûr qu’il avait profité de cette seconde pour profiter du spectacle. Je lui demandais ce qu’il faisait là. ’Je suis venu vous prévenir qu’une tenue était exigée pour cette soirée.’ La soirée allait donc être chic. Il ouvrit l’armoire qui contenait les tenues affriolantes. ’Il s’agit d’une soirée exotique, vous trouverez ici quelques habits de rigueur’ Je m’approchais de lui, l’air surprise en serrant mon essuie contre moi et lui demandais quel genre de soirée c’était pour porter de telles affaires. ’Ne vous inquiétez pas, cela fait partie des activités prévues’ Je finis par accepter, il devait y avoir dans cette armoire quelque chose de portable. ’Au fait, votre petit ami a téléphoné, il aura plus de retard que prévu’ Le majordome quitta la chambre et me laissa seule face à cette armoire. Je laissais tomber essuie et commençais à regarder ce qu’il pouvait y avoir de bien là dedans. Je sortais quelques affaires et comprenais bien vite que j’aurais mieux fait de descendre en soutien-gorge et petite culotte, j’aurais eu l’air aussi habillée. Il me fallu un long moment pour trouver quelque chose d’intéressant qui ne me révélerait pas trop. Il avait du penser à quels vêtements placer là car la seule chose qui pouvait accompagner le chemisier fin que j’avais trouvé était une culotte attachée par des ficelles, plus un cache-sexe qu’autre chose. Le temps me manquait, je devais descendre et j’avais froid à traîner nue dans ma chambre. Je mis donc le chemisier et la petite culotte et sortit, un peu honteuse. Je fûs plus rassurée lorsque je vis une autre fille sortir d’une chambre voisine, l’air aussi gênée que moi en portant une robe transparente qui laissait voir ses seins et sa petite culotte. Elle se rassura également en me voyant et me fis un sourire.

Elle s’appelait Aurèlie. Nous faisions ainsi connaissance en descendant vers le salon. Le salon, tout aussi luxueux que le reste de la maison si pas plus, n’était pas très grand, ou plutôt pas trop grand. Quelques filles toutes aussi peu vêtues Aurèlie et moi et quelques garçons un brin plus vêtus discutaient sans aucune gêne. Aurèlie et moi nous fîmes et l’ambiance et nous avons vite oublié que nous étions presque nues. Un buffet froid était servis et nous pouvions aller manger librement. Bien des filles étaient encore moins vêtues que nous, certaines étaient même seins nus, portant juste une petite culotte, d’autres avaient des soutiens-gorges trop petits pour elles, ce qui faisaient dépasser leurs seins. Les garçons quant à eux étaient plus habillés, portant presque tous un pantalon ou un short à la rigueur. Certains étaient torses nus d’autres en chemise ouverte. J’attendais toujours de voir apparaître mon petit ami à la porte mais il ne se montrait toujours pas. Et l’organisateur de cette soirée finit par monter sur un petite scène montée dans le salon. Il nous fît un petit speech de bienvenue et nous annonça quelques activités prévues pour ces 15 jours comme une balade en forêt, une fête costumée, et l’attraction de la soirée, un concours de strip-tease! Aurèlie et moi semblions choquées, ainsi que quelques autres personnes dans la pièce alors que d’autres semblaient trouver ça très amusants. L’organisateur fît monter une fille sur la scène et je me demandais bien ce qu’elle aurait pu retirer pour son strip-tease, elle ne portait qu’une culotte et un ruban autour de la poitrine. La musique commença et la fille commença à danser, elle faisait ça très bien et il semblait se dégager d’elle une espèce d’aura. Une aura de plaisir, elle avait vraiment l’air d’aimer ce qu’elle faisait, j’en étais admirative. Et en rien de temps, c’était mon tour de monter sur scène! Je ne m’attendais vraiment pas à monter sur scène, je ne voulais pas, il était hors de question que je me montre ainsi devant tout ce monde. Mais tout le monde me motivait, Aurèlie, elle-même, me poussa à essayer. Je me rappelais la danse de la première des filles et me disait que moi aussi je prendrais peut-être du plaisir à me montrer sans honte. Je fûs un peu poussée sur scène et me retrouva devant tout ce monde, le regard rivé vers moi. Je pouvais voir certains garçons me regarder avec un regard des plus désagréables, je pouvais presque voir ce qu’ils imaginaient de moi ou ce qu’ils espéraient voir. La musique commença et portée par celle-ci, je me mis à danser. Je ne savais trop où regarder, je ne voulais pas voir le regard de ces personnes sur moi, je tournais les yeux dans tout les sens, en cherchant à ne pas voir ces gens. Du coup, la tête me tournait je dansais presque nue devant une vingtaine de personnes et je n’y pensais même plus. Je repris un peu conscience et je vis Aurèlie qui était toute souriante en train de me regarder danser. Apparemment je faisais bien ça, je regardais alors un peu plus les gens autour de moi, … ils appréciaient. Même la première danseuse me regardait intensément. Je ne me sentais plus sur terre et je commençais véritablement à me déshabiller.

J’avais fait glisser mon épaule hors de mon chemisier et en me regardant, je remarquais qu’à la lumière, on pouvait aisément voir à travers! Ils me voyaient donc nue depuis un moment déjà, je n’avais plus rien à perdre. Je fis glisser mon autre épaule hors du chemisier. Je tenais celui-ci contre moi, en cachant ma poitrine de mes bras et le fis descendre le long de mon ventre et il tomba à mes pieds. Je le soulevais d’une enjambée et l’envoya dans le public qui sembla apprécier cela. Torse nu devant mon public, je passais mes mains sur mes seins, je me touchais devant toutes ces personnes et j’appréciais ça. Tout en dansant, une de mes mains glissa au niveau de ma culotte et j’y passais deux doigts et me remuait, faisant bouger mes seins de gauche à droite. Le public applaudit et fière de moi, je baissais ma culotte, montrant mes fesses et cachant mon sexe. Je continuais à danser et finit par me laisser glisser bas de la scène dans le public alors que la musique s’estompait. Je récupérais mes vêtements et quelques garçons laissèrent glisser leurs mains près de mon corps. J’étais trop excitée que pour le leur reprocher et je me rhabillais tranquillement alors que l’on me félicitait. La soirée se poursuivit sur le strip-tease et même Aurélie monta sur scène, elle avait vraiment apprécié mon passage et voulait en faire autant. Je remontais finalement dans ma chambre. La nuit était tombée et j’étais vraiment trop fatiguée que pour faire quoi que ce soit d’autre. Je ne pensais même plus à mon petit ami, j’avais oublié son retard, j’avais même presque oublié qu’il devait venir. Je me couchais donc seule dans le grand lit. Les draps étaient doux et le matelas moelleux. J’étais très excitée par mon expérience de ce soir. Je m’étais exhibées devant tant de monde et je n’en éprouvais aucune honte. Je repensais à mon moment de ’gloire’ et cela m’excitait de plus en plus. Mes mains glissèrent le long de mon corps, elles passèrent le long de mes cuisses et s’attardèrent sur mes fesses au travers de mon pyjama. J’ouvris les yeux et regardait la pièce… personne. Je retirais mon pyjama et me laissait caresser par les draps soyeux. Mes mains retournèrent sur mes fesses et l’une d’elles remonta le long de mon flanc pour s’arrêter sur ma poitrine. Je me caressais avec grand plaisir en repensant à mon excitation devant mon public, mon autre main passa devant et s’attarda sur mon sexe. Elle se frottait juste contre afin de profiter plus encore de l’excitation alors que je me pinçais le bout des seins avec l’autre main. Je passais un bon moment à me toucher, me caresser avant de finir par me résoudre à m’endormir. Le lendemain, le majordome m’apporta une lettre de mon petit ami. Il allait être vraiment retardé à cause d’une urgence à son travail.

Cela me désolait mais dans un sens j’étais contente qu’il ne m’ai pas vue le jour précédent. Je m’approchais de l’armoire où je retrouvais les mêmes vêtements osés. Je n’allais quand même pas remettre ces habits aussi j’ouvris ma valise et une drôle d’impression me vînt sur le moment. Je trouvais tout ce que j’avais emmené drôlement austère, rien à voir avec l’excitation que j’avais eu la veille. Je m’arrangeais donc pour associer mes vêtements avec ceux de l’armoire afin de ne pas voir l’air trop exposée et ne pas avoir l’air trop prude, ce qui clocherait avec mon comportement d’avant. Je mis donc une espèce de petit top jusqu’au bas des seins transparent avec un effet grillagé, ce qui laissait voir au travers mais cachait les lignes de mon corps, et une jupe courte noire. Je sortis de ma chambre pour aller prendre mon petit déjeuner et je pus voir que de nombreuses filles avaient gardé des tenues aussi courtes que la veille. Si l’organisateur voulait que les filles se montrent sexy avec son strip-tease, il avait assurément réussi. Je retrouvais Aurèlie qui elle aussi avait mis des vêtements assez courts, nous avons ris toutes les deux en nous voyant et avons pris le petit déjeuner ensembles. La journée se poursuivi sans fait particulier si ce n’est en début d’après-midi. Nous venions de prendre le déjeuner et je me promenais dans le jardin. Je passais près d’un petit pont en pierre qui enjambait un mignon petit ruisseau et je descendis en dessous du pont voir ce qu’il pouvait cacher. Il faisait frais là-bas contrairement au jardin en plein soleil, aussi je m’assis un moment pour regarder couler le ruisseau. C’est à ce moment que quelqu’un passa sur le pont, il s’agissait d’un couple. Je pouvais les entendre murmurer et s’embrasser et je pensais au moment au mon petit ami arriverait enfin. Mais au bout d’un moment, je me demandais s’ils étaient vraiment encore en train de s’embrasser, leurs souffles étaient plus graves et j’entendais quelques bruits continus. Je compris ce qui se passait en voyant la jupe de la fille passer par-dessus le pont et se faire emporter par le ruisseau. Le couple était en train de faire l’amour juste au-dessus de ma tête et je pouvais entendre le moindre de leurs soupirs. Après un certain temps, la fille commença à pousser quelques petits gémissements. Je pensais alors à mes moments d’amour avec mon petit ami, je devais sans doute faire les mêmes petits cris, avoir le même souffle grave. Je ne pouvais pas partir, au risque d’être vue et de passer pour une vicieuse et puis l’excitation montait en moi. Les cris de la jeune fille me traversait comme des flèches de glaces, j’avais des frissons et je sentais le désir monter en moi. Une de mes mains s’égara près de ma poitrine et glissa sous le top. Je me mordais un peu l’autre main en me caressant les seins alors que les gémissements au-dessus de moi se faisaient plus forts encore. Empêtrée dans mon top, je retirais celui-ci en prenant bien garde qu’il n’y eu personne dans les parages. Je me couchais sur le sol et des deux mains, je me touchais les seins, les tirant vers ma bouche pour les lécher. Une de mes mains descendit le long de mon ventre et glissa derrière ma jupe pour passer sous ma culotte.

La jeune fille ne gémissait plus, elle commençait à pousser des cris, ce qui m’excita de plus en plus. Je ne me posais même plus de question, je retirais ma jupe, ma culotte et commença à me doigter bel et bien. Je fermais les yeux, tournant la tête en tout sens alors que mes doigts entraient en moi. Je continuais de mon autre main de me caresser les seins et de les mener à ma bouche, ma poitrine était trempées tant je la léchais. Je m’assimilais au cris de la fille, je n’étais plus seule couchée sous un pont à me doigter, j’étais elle, en train de faire l’amour. Mais ce qui m’effraya un instant c’était que dans ma tête, je n’étais pas en train de faire l’amour avec mon petit ami, mais avec ce garçon que je ne connaissais pas et que je ne voyais même pas. Je finis par jouir en mordant mon chemisier pour ne pas crier alors que le fille jouissait elle, avec beaucoup moins de discrétion. Je me blottis dans un coin sous le petit pont alors que le couple s’en allait, laissant la jupe de la fille se faire emporter par le ruisseau. J’étais surprise, comment se faisait-il que j’ai fini par être excitée au point de me doigter en écoutant un couple faire l’amour? La soirée d’hier m’avait changé, ça ne faisait aucun doute. Je rentrais me coucher et me convaincs de ne plus me toucher cette nuit bien que l’envie soit bien présente. Le lendemain matin, Aurèlie discutait avec moi au petit- déjeuner. Mon petit ami avait de nouveau téléphoné pour dire qu’il serait encore en retard, qu’il était désolé mais qu’il ne pouvait faire autrement. Il s’inquiétait pour moi, s’excusant de me laisser seule. Nous déjeunions donc tranquillement et la discussion avec Aurélie finit par embrayer sur un sujet qui cadrait bien avec l’atmosphère, le sexe. Je me surpris à discuter librement et à parler sans honte de ce que mon ami et moi faisions. Aurélie faisait de même et après quelque instant, elle me dit avec un sourire qu’elle l’avait d’ailleurs fait il y a peu. Elle m’expliqua qu’elle avait rencontré un garçon craquant qui lui proposa d’aller se promener dans le parc et que de fil en aiguille, ils avaient fini par s’embrasser. Et avant même qu’elle ne s’en rende compte, elle était nue, couchée sur un petit pont de pierre! J’étais sûre qu’elle avait du remarquer que j’étais surprise mais elle a du croire que c’était par ce qu’elle avait fait et non par quel hasard de circonstances avait mené à cette situation. Elle me racontait comment le garçon lui avait fait l’amour, comment elle avait réagi, comment elle avait aimé ça… et je la comprenais. Je le savais qu’elle avait aimé, et son discours me fît un effet aphrodisiaque. La veille, je me doigtais en écoutant un couple faire l’amour et aujourd’hui, on m’expliquait ce qu’ils avaient fait alors que je me voyais à la place d’Aurélie.

J’avais l’impression d’entendre Aurélie me raconter ce que j’avais fait la veille, je l’entendais me dire comment elle avait été pénétrée et c’était moi que je voyais, nue sur le pont de pierre en train de faire l’amour. Jamais je n’avais été si excitée, j’aurais pu me jeter dans les bras de n’importe quel garçon mais je me forçais à ne pas le montrer et prétextant un mal de tête je laissais là Aurélie et montais dans ma chambre. Avant de partir, Aurélie me montra quand même le garçon qui m’avait… qui lui avait fait l’amour… Et je me dis que j’avais bon goûts. J’avais de nouveau mis une tenue légère, un short court et un t-shirt un peu court, il aurait été facile pour les personnes qui m’avait croisé de se rendre compte que je ne pensais pas à quelque chose de très prude. Je regagnais ma chambre bien vite, et tombais sur mon lit. J’étais trempée tant l’excitation était forte, je ne parvenais à chasser les images de ma tête où je me voyais jouir sur le pont en pierre. Et c’est là que fouillant dans ma valise après des mouchoirs, je tombais sur quelque chose qui n’avait certainement rien à faire là… un gode! avec un petit mot autour signé de mon petit ami (’En m’attendant ;)’) Je trouvais la blague de mauvais goût mais elle tombait à pic. Trop excitée que pour attendre, je me déshabillais et me glissais sous les draps soyeux, accompagnée de l’objet en question. Et fermant les yeux, serrant l’objet dans mes mains, je revivais ce qu’Aurélie m’avait raconté. J’étais nue sur le pont de pierre face à ce garçon craquant. J’étais couchée face à lui et il approchait son sexe de moi pour le frotter contre mon ventre. Je passais alors le gode sur mon ventre et le fit glisser vers mon sexe où je le laissais entrer lentement. Me touchant la poitrine ou les fesses, je continuais un mouvement de va-et- vient avec l’objet. Celui-ci n’était pas gros mais assez long et je trouvais qu’il me convenait bien. J’accélérais peu à peu les mouvements, poussant quelque gémissements sous les draps. Je voulais me servir de mes deux mains pour me caresser, ne pouvant en utiliser qu’une je n’étais pas encore assez dans mon rêve sur le pont, aussi je m’arrangeait pour coincer le gode en verticale sur le sol. J’écartais les jambes et me laissait descendre sur l’objet, mes deux mains libres, je pouvais me toucher à loisir. Mes mains s’égaraient ou sur mes fesses, ou sur ma poitrine, ou encore sur mon ventre. Je m’entourais de mes bras et me caressait les flancs alors que j’accélérais les mouvements vers le sol. Le gode entrait presque entièrement en moi et je criais, me mordant le bout des seins pour étouffer mes cris, ce qui augmentait d’avantage mon excitation. Je n’en pouvais plus, je me laissais aller et tombais en arrière. J’attrapais le gode et le fit s’accélérer en moi. Je n’essayais même plus de retenir mes cris et poussait presque des hurlements de plaisir. Après quelques instants, je jouis en criant jusqu’à perdre mon souffle. On avait du m’entendre et je m’en moquais, je venais de refaire l’amour sur le pont de pierre, cela suffisait à mon plaisir.

Je me relevais et me dépêchais de prendre un bain. De nouveau, les petits bulles sur le sol de la baignoire réveillèrent mon excitation. Etais-je en train de perdre la raison? Je ne me lavais plus, je me touchais et me caressais. Sortant de la baignoire, je repris le gode et pris la résolution d’en profiter le plus possible. Mais aujourd’hui, nous devions faire une promenade dans le bois voisin. Et dans un délire lubrique, je me mis en tête de me le mettre entre les fesses. Je le posais sur le sol et m’empala véritablement sur l’objet, l’enfonçant le plus loin possible en moi. Cela me procurait un certain plaisir et je le remuais un peu avant de le laisser là et de me changer. Je mis une mini-jupe et une sorte de pull très court s’arrêtant juste à la moitié de mes seins, en découvrant la partie inférieure et descendis pour partir à la ballade. Le gode remuait en moi à chacun de mes pas, il m’étais tout à fait impossible de l’ignorer, il ne cessait de gigoter de gauche à droite en moi et cela m’excitait drôlement. Je suivis le groupe pour la ballade et continuait de discuter avec Aurélie qui ne me parlait plus de ses ébats, bien que je sache qu’elle avait recommencé. Elle l’avait laissé sous-entendre mais pensait sans doute que ces histoires me gênaient. Auparavant oui, mais maintenant, ô combien se trompait-elle. La ballade dura un certain moment et je n’étais guère concentrée sur la discussion avec Aurélie, ma tête était ailleurs. Ma tête était bien plus bas… concentrée sur l’objet qui bougeait en moi. Je prenais un grand plaisir à m’asseoir à chaque pause afin de renfoncer le gode plus profondément. J’exagérais chacun de mes mouvements de hanche afin de faire plus remuer la chose et je devais certainement avoir l’air drôlement excessive dans mes mouvements, comme ces actrices qui joue des dames de la cour de Louis XIV. Nous finîmes par nous arrêter à un point-repos pour déjeuner et je sortais mon petit pique-nique de mon sac. Je m’assis près d’Aurélie au bord d’un fossé dans la forêt dans lequel poussait de nombreux arbres et je mangeais en discutant avec Aurélie. Le garçon craquant finit par nous rejoindre et j’étais trop gênée de mes pensées de ce matin que pour le regarder dans les yeux. Un peu tremblante, je fis tomber ma pomme dans le fossé et me levais pour aller la chercher, ce qui fît remuer fortement le gode. Je poussais un petit cri et trébuchais dans les bras du garçon. Il se proposa donc de m’aider à descendre chercher ma pomme. Nous descendîmes en bas du fossé, zigzaguant entre les arbres. Le fossé était profond, presque cent mètres de long avant de rejoindre ma pomme tout dans le bas. Le garçon m’aidait à descendre, j’avais du mal à faire de grande enjambées à cause de l’objet en moi qui remuait et m’excitait à chaque mouvement. Je prétextais d’avoir mal aux jambes pour excuser mes mouvements désordonnés et mes mouvements de hanches toujours aussi amples. En effet, bien que ce ne fût vraiment pas le moment, je continuais de remuer mon fessier pour faire bouger le gode et profiter de sa présence. J’arrivais près de ma pomme et me baisais pour la ramasser, ce qui fît un peu sortir le gode et me fit de nouveau poussa un petit cri et lâcher ma pomme. Je me mis à quatre pattes pour aller la chercher et la pris en tendant ma main.

Et c’est là que je fût surpris par mon compagnon. Il venait de mettre sa main sous ma mini-jupe et l’avait fait traîner sur mes fesses, effleurant le gode au passage. Je tournais la tête, l’air choquée mais j’oubliais bien vite cette impression en le voyant. Il avait glissé sa main sous ma culotte et avait attrapé le gode, je le regardais d’un air suppliant. Suppliant quoi, je ne le savais même pas moi-même. Il me sourit et tira sur l’objet, ce qui fît monter le plaisir en moi et me fît pousser un cri. Puis il le renfonça au plus loin qu’il puisse. J’étais toujours à quatre pattes à pousser des cris alors qu’un inconnu m’enfonçait un objet entre les fesses. J’essayais de le faire cesser, en essayant d’attraper ses bras. Du moins faisais-je croire que j’essayais de l’arrêter, si je l’avais vraiment voulu, il m’aurait suffit de glisser sur le côté ou de me relever mais le plaisir était tel qu’il n’était pas question que je le laisse passer. Bientôt, mes mains ne me portaient plus et je me retrouvais tête contre le sol, les fesses en l’air alors que le garçon poursuivait d’enfoncer et de retirer l’objet en moi. Je poussais des cris de plaisir de plus en plus fort et je me moquais bien qu’on l’on m’entende. Il avait tiré ma jupe et ma culotte qui me tombaient dans le creux des genoux et d’une main m’enfonçait l’objet et de l’autre me caressait les fesses. Je ne pensais plus à rien, juste à ce qui entrait en moi et à ces caresses et peu après, je jouis. Je m’affalais encore plus sur le sol, laissant bien contre moi mes fesses en l’air, le gode était à terre à côté de moi. Le garçon passa ses bras autour de ma taille et me releva. ’ Bien, je supposes que tu n’a pas trop envie que qui que ce soit, ton petit ami en particulier, soit au courant de cette histoire. ’ J’étais consternée, il venait de me faire jouir et il s’apprêtait à me faire du chantage ! ’ Je t’attend demain soir dans ma chambre. ’, me dit-il en souriant. Et il remonta le fossé pour rejoindre les autres. Je me relevais tant bien que mal et me rhabillait comme je le pouvais. Je remontais moi aussi, laissant le gode et la pomme dans le fond du ravin. Une fois les autres rejoint, Aurélie me fît un sourire et me charria en imaginant ce qui avait pu se passer. Je ne lui dis évidemment rien. Nous sommes rentrés à la villa, Aurélie s’inquiétait de mon air morose mais je la rassurais, je disais être juste fatiguée. Le lendemain, je suis resté de nouveau dans ma chambre et mon petit ami me téléphona. J’étais presque honteuse de lui parler et je tentais de le lui cacher. Il semblait y croire et ne s’inquiétait pas, il se contentait de s’excuser de ne pouvoir encore venir et j’en étais presque contente. Je passa ma journée à ruminer sur mon comportement et à m’inquiéter de ce que le garçon allait me demander ce soir. Jamais, je ne fus aussi anxieuse. Il avait pour ainsi dire les pleins pouvoirs et je ne pouvais rien faire contre, je n’avais qu’à voir ce qu’il voulait.

Le soir tomba et j’arrivais à la porte de sa chambre. Je n’avais pas remis les vêtements affriolants qui m’attiraient, je m’étais habillée assez austère avec un pantalon et un pull assez épais. Il m’ouvrit et me fît entrer. ’ Ne t’inquiètes pas, il s’agit juste de se mettre à l’aise ’, dit-il en souriant. ’ J’ai pu me rendre compte que tu appréciais les choses comme celles d’hier. C’est plutôt intéressant ’. Je paniquais un peu, ou peut-être était-ce de l’excitation. Le garçon du pont de pierre sur lequel j’avais pour ainsi dire fantasmer me proposait de faire l’amour avec lui. Cela devait être de l’excitation. ’ Il fait chaud ici, n’est-ce pas ?’ J’avais bien compris ce qu’il voulais dire par-là et je ne pouvais lui désobéir. Je retirais alors mes vêtements, me retrouvant en soutien-gorge et petite culotte. ’ Seulement ? ’ Je retirais alors ma culotte et dégrafais mon soutien- gorge. Cachant mon sexe et ma poitrine de mes bras, je me tenais debout face à lui, ne pouvant le regarder dans les yeux. ’ Oui, c’est bien ainsi. Maintenant, tu sais bien ce qui me ferais plaisir ’, me dit-il en éteignant la lumière. Il me prit la main et me coucha sur le lit, tout aussi soyeux que le mien, et s’approcha de moi. J’étais pétrifiée, incapable de l’empêcher d’agir. Il m’embrassa et passa sa main sur ma poitrine. Je fermais les yeux et sentais ses caresses descendre plus bas sur mon ventre alors qu’il m’embrassait dans le cou. Il se coucha sur moi et se redressa pour se mettre sur les genoux et me montra son pantalon. Sans plus vraiment réfléchir à autre chose qu’à mes désirs, j’attrapais sa ceinture et la détachais. Puis j’ouvris son pantalon et vis son sexe derrière son slip, déjà raide, pointer en ma direction. Il approcha son sexe de mon visage et je sortis la langue pour lécher son sexe derrière son slip. J’approchais mes mains de lui et fis passer l’une d’entre elles sur son sexe. Je remuais celle-ci dessus, le sentant monter et descendre selon les mouvements de ma main. Je finis par glisser ma main sous son slip et attrapait la chose en question à pleine main. Le garçon se redressa un peu et retira son slip pour poser son sexe sur ma poitrine. J’enserrais celui-ci entre mes seins et commençait à le masser. Je pouvais l’entendre apprécier ce que je faisais, aussi je remuais mes seins de plus belle, tirant la tête vers l’avant pour poser ma langue sur le bout de son sexe. Sentant celle-ci se poser par moment sur lui, il s’avança vers moi et m’enfonça son sexe dans la bouche. Je remuais la tête frénétiquement et aspirais son sexe pour en tirer tout ce qu’il pourrait peut-être donner. Le garçon se pencha en arrière, ce qui enfonça son sexe plus profondément dans ma bouche, il posa ses mains sur mes jambes.

Je le suçais avec toute mes capacités, je n’existais plus qu’en tant que bouche pour sucer un sexe. Le garçon semblait l’avoir compris et retira son sexe de là. Inconsciemment, je me penchais vers l’avant pour le suivre, ouvrant grand la bouche pour pouvoir le récupérer en moi. Il se coucha sur le lit et je me mettais à genoux sur le matelas pour poursuivre mon travail. J’attrapais son sexe à pleine main et l’enfonçais le plus loin possible. J’aspirais de plus en plus, faisant de temps en temps glisser ma langue sur le flanc, mordillant le bout et remuant ma tête pour parfaire le mouvement de va-et-vient. Quelques instants plus tard, le garçon finit par jouir dans ma bouche. Je tournais la tête, sortant le sexe de ma bouche alors qu’il continuait de renverser sur moi son liquide. Le garçon prit son sexe en main et l’agita pour en faire sortir le plus possible quant à moi, j’étais les yeux fermés, la bouche grande ouverte, la langue sortie afin d’en goûter le plus possible. Quelques secondes plus tard, j’étais couverte de sperme et je me tenais les seins pour y lécher ce qui restait. Trop concentrée sur mes seins, je ne vis pas le garçon passer derrière moi et m’attraper les bras. Il les tira vers l’arrière et me fit glisser son sexe dans le dos. Je le voulais, je le voulais en moi maintenant mais il n’était plus à niveau. Je passais mes mains dans le dos et remuais tant bien que mal ce que j’avais dans les mains. Je me redressais un peu et frottais mon sexe contre le sien et peu de temps après, je pouvais le sentir prêt. J’étais aux anges, il allait enfin entrer en moi. Il me prit aux hanches et m’enfonça son sexe dans le mien, je poussais un cri et levais la tête au ciel. Le plaisir montait en moi, je posais mes mains sur ses cuisses alors qu’il me tirait les hanches vers lui. Je gardais la tête en l’air, me penchant vers l’arrière pour le voir. Ses mouvements accélérèrent et je sentais son sexe entrer en moi et y remuer. J’aimais ça, je faisais l’amour avec un inconnu, trompant mon petit ami, et j’aimais ça ! Il posa ses mains sur mes fesses et les massa alors que je poursuivais seule à m’empaler sur son sexe. Je pris mes seins en mains et je pensais à mon expérience avec le gode dans ma chambre. J’étais dans la même position, mais le plaisir n’était pas le même. Je prenais vraiment mon pied cette fois-ci, sentir un sexe chaud n’est pas pareil à un objet sans vie. Et cette pensée me fît jouir. Je tombais vers l’avant et il retira son sexe de moi avant de nous couvrir des draps. Nous avons passer la nuit ensemble. Je me réveillais le lendemain, seule. Le garçon n’était plus là, j’étais seule dans la chambre. Je me fis couler un bain et me laissa glisser dans la baignoire. La baignoire de cette chambre-ci comportait aussi des bulles, et leur contact me rappela ma nuit de tromperie. Je pensais un instant à mon petit ami mais je ne m’inquiétais plus vraiment, il ne venait pas et j’espérais presque qu’il ne vint pas. L’armoire de la chambre du garçon comportait aussi des vêtements pour fille assez osés. Je ne fis ni une ni deux et m’habilla avec ceux-ci, de toute manière, je n’avais pas mes affaires ici.

Et puis je crois que je prenais plaisir à me montrer, j’avais l’impression d’être une autre, de ne plus penser pareil et d’agir différemment. Quelque chose en moi changeait et je ne savais ni quoi, ni pourquoi. Je mis une simple bande de quelques centimètres de large autour de ma poitrine, juste de quoi cacher ce qui devait l’être et un short si court qu’il se rapprochait plus d’une culotte. J’attachais mes cheveux derrière et les laissait pendre dans mon dos puis je sortis de la chambre et descendis prendre le petit déjeuner. Je passais presque inaperçue, même avec ces vêtements. De nombreuses filles s’habillaient de manière encore plus osée. L’une d’elles portait un corset, un porte-jarretelles, un soutien-gorge et un string sans rien par-dessus, je ne m’inquiétais donc pas pour mes habits presque longs pour la moyenne. Je rejoignais Aurélie qui m’attendait en souriant. ’ Alors ? ça t’a plu ? ’ J’étais choquée ! De quoi pouvait-elle parler ? Elle n’était quand même pas au courant de cette nuit ! Quand même pas ! ’ Ne t’inquiète pas, je ne t’en veux pas. Cela me fait même plaisir ’ Elle savait ! J’étais rouge de honte, je ne savais où me mettre. Non seulement je trompais mon petit ami mais en plus je couchais avec l’ami d’une amie. Je bafouillais quelques excuses, ne pouvant la regarder dans les yeux. ’ Mais ne t’en fais donc pas ’, insista-t-elle. ’ Cela va nous permettre d’encore plus nous amuser. ’ Je la regardais, stupéfaite. Qu’est-ce qu’elle entendait par-là. Le garçon nous rejoint à ce moment là. ’ Bonjour Aurélie, bonjour Aurore. ’ Il nous embrassa toute les deux mais je tournais la tête pour éviter de rencontrer sa langue. ’ Au fait, je me présente. Je m’appelle Mickael. ’ Enfin, je connaissais son nom. Il me souriait et avait passé sa main sous la table pour me caresser la cuisse. J’attrapais sa main et la repoussais plus loin. ’ Allons Aurore, tu ne voudrais pas que ton ami apprenne ce qu’il s’est passé ici, n’est-ce pas ? ’ J’étais piégée et il passa sa main le long de ma cuisse, entre mes jambes. Et contrairement à ce que je pensais, cela me faisait du bien. Il se leva. ’ Bien, on se voit ce soir n’est-ce pas ? Vous venez dans ma chambre ? ’ Aurélie acquiesça aussitôt avec un grand sourire. Et je me sentais obligée d’accepter moi aussi, mais au fond de moi, cette idée me plaisait. Je questionnais Aurélie sur ce qui se passait mais elle refusa d’en parler, éludant la conversation avec son sourire habituel. La journée se passa bien normalement, si normal était vraiment le mot le plus adapté à ce qui se passait ici. J’avais pu remarquer que de moins en moins de personnes restaient ici et pourtant tout le monde me confirmait le contraire. Quelques retardataires arrivaient et se prêtaient aussi aux jeux toujours très particulier de l’organisateur. Et le soir tomba enfin. Enfin, c’était le mot, je n’avais pensé à rien d’autre qu’à ce soir durant toute la journée. Aurélie m’accompagna à la porte de la chambre de Mickael et après que nous ayons frappé, il nous demanda d’entrer. Je n’avais guère eu le temps de me rendre compte de quoi que ce soit qu’Aurélie se déshabillait déjà et que Mickael m’embrassait.

Mes forces m’abandonnèrent et je me laissais faire. Aurélie détacha mon short et me le fis descendre bas de mes jambes alors que Mickael retira la bande devant mes seins. Il s’éloigna ensuite et nous regarda, Aurélie et moi, côte à côte. Je cachais ma poitrine et mon sexe avec mes mains, bien qu’il les ait déjà bien vus auparavant, alors qu’Aurélie se tenait droite, les mains derrière le dos, la tête un peu baissée. ’ Aurélie, approche ’ Elle s’avança vers lui et il lui montra son sexe. Aurélie tomba à genoux et avala sans hésiter le sexe de Mickael qui ne cessait de me regarder alors qu’Aurélie le suçait. C’est alors que je repensa au pont de pierre. Mickael et Aurélie devait déjà faire cela alors que je me doigtais, m’imaginant à la place d’Aurélie. Le désir montait en moi et Mickael pouvait le voir. Je n’en pouvais plus, de voir Aurélie mettre tant d’entrain à le sucer, je finissais par vouloir l’assister mais je n’osais bouger. Mickael m’adressa finalement la parole. ’ Aurore, approche ’ Son ordre me libéra, comme si son ordre n’était pas une obligation mais une autorisation. Je m’avançais et rejoignait Aurélie sur le sol. Elle s’était mise presque sur le dos et léchais les testicules de Mickael. J’ouvris la bouche et commençait à sucer le bout du sexe qui se dressait devant moi. Je m’appliquais du mieux que je pouvais, alternant la langue et les mordillements alors qu’Aurélie s’appliquait de la même manière. Elle finit par prendre mes mains dans les siennes et les plaça sur ses seins. Je commençais à la caresser alors que Mickael plaça sa main dans mes cheveux. La sensation était bizarre, toucher des seins lors d’une expérience sexuelle n’était pas une chose que j’avais habitude de faire, je n’avais jamais eu d’expérience avec une fille. Et pourtant, je trouvais cela agréable, un sexe dur en bouche, des seins doux dans les mains et des doigts qui s’égaraient entre mes jambes. Mickael se déplaça et se coucha sur le lit. ’ Approchez ! Aurore ici et Aurélie là ’ Nous obéissions. Aurélie fît entrer son sexe dans le sien et je plaçais le mien au-dessus de la bouche de Mickael. Alors qu’il me léchait, je pouvais voir le dos d’Aurélie et ses épaules et ses hanches monter au rythme du sexe qui entrait en elle. Elle levait la tête, comme je l’avais fait la nuit précédente et elle posa ses mains sur les jambes de Mickael. J’approchais mes mains de sa poitrine et commençais à la caresser. ’ Je ne t’ai pas dit de la toucher Aurore ! ’ Je retirais mes mains aussitôt du corps d’Aurélie et me contentais alors de caresser le mien. Peu de temps après, Aurélie cria, elle venait de jouir et elle se laissa tomber sur Mickael et moi. Je la rattrapais tant bien que mal et la poussait sur le côté. ’ A ton tour Aurore ! ’ Je souris en entendant cette phrase. Je m’avançais et enfonçait sans la moindre hésitation le sexe qui se dressait devant moi. ’ Tourne toi ! ’ Je me fis tourner, laissant bien le sexe en moi et fis face à Mickael. Il m’attrapa les hanches et força pour enfoncer plus encore son sexe dans le mien. Je posais mes mains sur sa poitrine et me mettais à crier de plaisir.

Je fermais les yeux, ne pensant plus qu’au plaisir qui se répandait en moi. Tout à coup, Mickael attrapa mes jambes et me fit basculer sur le dos. Il mit mes jambes sur ses épaules et continua de m’enfoncer son sexe en moi. Il entrait et sortait de plus en plus vite et ma tête commençait à tourner. C’est alors que je vis Aurélie au-dessus de moi. Mickael lui fit signe de se placer au-dessus de moi et c’est ce qu’elle fît, mettant son sexe au-dessus de ma bouche. ’ Lèche Aurore ! ’ J’obéissais, je ne voulais pas que ce plaisir s’arrête, j’étais prête à tout. J’enfonçais ma langue dans le sexe d’Aurélie, entourant ses jambes de mes mains, alors que Mickael poursuivait ses aller et venue dans mon sexe. Peu de temps après, je craquais et jouit violemment. J’avais tellement de plaisir que je n’avais pas senti l’orgasme venir en moi et j’ai crié à plein poumons. Je reprenais mon souffle quand Mickael s’adressa à moi. ’ Ce n’est pas fini, il faut terminer votre travail. ’ Aurélie et moi nous approchâmes de son sexe et commencèrent de nouveau à le lécher et le sucer. Nos langues se touchaient de temps en temps alors que nous nous égarions sur le sexe dressé entre nous. Bientôt, Mickael jouit. Nous étions, Aurélie et moi, à genoux devant lui alors que Mickael nous arrosait de sperme. Nous nous léchions et nous embrassions afin de goûter encore plus au liquide anis. Aurélie et moi tombions sur le sol alors que Mickael s’en allait. Il nous dit de quitter la chambre et d’aller nous coucher. Je ramassais mes vêtements lorsque Mickael m’interpella. ’ Pas besoin de vêtements. ’ Je le regardais et compris qu’il ne changerait pas d’avis. J’étais nue, couverte de sperme et il me demandait de sortir pour changer d’étage. Aurélie n’eut pas les mêmes hésitations que moi, elle ouvrit la porte et sortit. Je la suivais bien vite pour rejoindre ma chambre. Par chance nous n’avions croisé personne. Nous n’avons pas échangé le moindre mot sur le trajet et nous somme enfermées dans nos chambres aussitôt. Je tombais endormie aussitôt. Je me levais le lendemain pour prendre mon bain et repenser à la nuit passée en me frottant sur les bulles de la baignoire. J’avais bien besoin d’un bain, j’étais puante, n’ayant pas pu me laver hier soir. Je me remémorais mon expérience d’hier soir, je n’avais jamais eu d’expérience à trois ou même avec une fille. Cela ne m’avait pas déplu, c’était même assez agréable. même plutôt très agréable. Je sortais de mon bain et m’habillais encore avec les vêtements de l’armoire. Plus question de jouer les fausses prudes, je savais que je n’étais pas ainsi ou plutôt que je ne l’étais plus. Je mis juste une culotte blanche et un chemisier blanc transparent. On aurait pu me voir nue à la lumière et cela ne m’inquiétait plus. Cela semblait faire couleur locale ici. Je descendis pour prendre mon petit déjeuner et retrouva Aurélie. Nous discutions d’un peu de tout mais pas de notre aventure, non pas par honte mais plutôt pour en garder le côté magique. Et bientôt un autre garçon vint à notre table, je ne le connaissais pas et apparemment Aurélie non plus.

’ Salut, vous êtes Aurore et Aurélie c’est ça ? ’ Nous le lui confirmions. ’ Parfait, venez avec moi. ’ Un peu interloquées, nous nous sommes quand même levées et l’avons accompagné. Il remontait à l’étage et nous demanda d’entrer dans sa chambre. ’ Parfait, Mickael m’a tout expliqué, déshabillez-vous ! ’ Nous restions pétrifiées et ne sachions que faire. ’ Allez, dépêchez-vous ! ’ Incapable de réfléchir, je retirais mon chemisier et Aurélie me voyant m’exécuter fît de même. Nous étions de nouveau nues, cette fois-ci devant un garçon qui nous était inconnu. Il baissa son pantalon et nous fît signe de nous exécuter. Nous tombions à ses genoux, ouvrants la bouche pour avaler son sexe. Nous nous relayions pour le prendre en bouche, nous le léchions, le mordillions en nous appliquant le mieux possible, si bien que peu de temps après il jouit sur nous. Il nous arrosa copieusement puis se rhabilla et partit. Nous étions seules dans la chambre, couvertes de spermes. Nous sommes donc allées prendre un bain toutes les deux et nous sommes rhabillées avant de redescendre. Nous avons pris notre petit déjeuner et nous préparions à partir à la promenade du jour. Alors que nous sortions, on me prit le bras et me tirait un peu en arrière. ’ Tu es Aurore c’est ça ? ’ Je tournais la tête pour voir un garçon que je n’avais jamais vu. La situation m’avait excitée, je ne voyais là qu’une occasion de plus de faire l’amour. Je ne pensais vraiment plus qu’à ça. Aurélie continua son chemin, elle ne semblait pas avoir remarqué que je n’étais plus à côté d’elle. Le garçon me prit par le bras et m’entraîna derrière la maison. Un autre gars attendait là. Il me dit de me déshabiller, ce que je fit en fait avec plaisir. J’étais nue face à ces deux inconnus. Je me couchais sur le dos et le premier fît glisser son sexe en moi alors que l’autre était passé derrière moi et me touchait les seins. Je fermais les yeux et faisais glisser ma main sur les bras du garçon derrière moi. Celui-ci m’embrassa tout en continuant de caresser ma poitrine alors que son copain s’enfonçait toujours plus loin en moi. Je commençais à gémir et le garçon derrière moi se mit à me lécher le bout des seins. Celui qui s’enfonçait en moi sortit tout à coup et éjacula sur mon ventre. Presque par réflexe, je passais mes mains dessus et goûtais. Les deux garçons repartirent, me laissant couchée par terre. Je me relevais, me remis un peu d’aplomb et me rhabillait pour rejoindre Aurélie. La journée continua ainsi pour Aurélie et moi. Toute la journée, des garçons nous prenaient et nous faisaient l’amour. J’étais ainsi, à quatre pattes en train de me faire sodomiser et de sucer un type dans les bois, couchée dans une chambre à sucer un type alors qu’un autre me pénétrait, à genoux dans un fourré avec trois sexes devant mon visage. Une fois, une fille participa même et me léchait le sexe alors que son copain me sodomisait. Je ne pensais plus à rien, je prenais mon pied et c’était tout ce qui comptait pour moi.

Je n’ai pu compter combien de fois j’avais pu jouir sur la journée ou combien de personnes m’avaient pénétré. Mais cela ne m’inquiétait pas, j’étais au paradis. A la fin du souper, alors qu’Aurélie et moi discutions sans pudeur de nos expériences de la journée, Mickael arriva. ’ Venez avec moi, les filles. ’ Nous ne réfléchissions même plus. Nous nous sommes levées et avons suivi Mickael. Je n’avais plus rien d’autre que le sexe en tête et je croisais les doigts pour qu’il nous fasse jouir comment jamais. Nous sommes entrés dans sa chambre et il nous a remis des vêtements en cuir noir. ’ Mettez ça ou vous serez punies. ’ Nous nous sommes déshabillées sans honte devant lui et avons pris les vêtements. Aurélie enfila sans trop de difficultés sa combinaison mais j’avais du mal avec la mienne. A cause de mes seins, je n’arrivais pas à fermer la ’ veste ’. Elle était à ma taille mais la largeur n’était pas adaptée à mon tour de poitrine. ’ Et bien Aurore ? Dépêche-toi ! ’ Je lui dit ne pas arriver à l’attacher, ce à quoi il répliqua : ’ Et bien tu devras être punie. Déshabille-toi’ Ce que je fis sans l’ombre d’une hésitation. Mickael me fit très fort écarter les jambes et les attacha à une barre de fer, me forçant à rester jambes écartées. Il me mit alors un collier auquel pendait une chaîne. Il attacha celle-ci à la barre de fer, ce qui me forçait à rester courbée. Il m’attacha ensuite les bras ensemble et les tira dans mon dos pour les lever très haut. Et il attacha la corde à une poutre du plafond. J’étais honteuse, cette position était humiliante. mais cela m’excitait énormément. Mickael plaça ses mains sur mes hanches et s’enfonça en moi. Je ne le voyais pas, je pouvais juste voir ses pieds. Aurélie commença à me lécher le dos et les épaules. Je jouis plus vite que je ne l’aurais cru. ’ Mais on dirait qu’elle aime ça. Va te laver et reviens me voir. Aurélie, tu retournes dans ta chambre et je veux que tu te doigtes toute la nuit. ’ Nous sortîmes et nous retournions dans notre chambre. Je pris mon bain, encore excitée et prête à recommencer. Je me lavais en vitesse et sortais nue dans le couloir pour rejoindre Mickael. J’ai croisé quelques personnes qui m’ont regardé passé, dont certains d’un air assez envieux. Mickael m’ouvrit et me fit entrer, il m&

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