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A trois, c'est mieux – Chapitre 1

A trois, c'est mieux - Chapitre 1



Il est 21 heures. Papa s’est installé sur le canapé du salon en peignoir de bain, après une bonne douche. Il a sélectionné un dvd pornographique et le film projeté sur le grand écran plat est très vite captivant, troublant. Je dois venir le sucer, agenouillée entre ses cuisses pendant que maman finit de débarrasser la table. Ce pervers hyper-membré (et très fier de ses attributs virils) a ses habitudes familiales et lorsque je le vois se tripoter ostensiblement l’entrejambe, je sais ce qu’il me veut, sans même le demander. Papa a horreur de demander! Quant à moi, fille unique et bisexuelle initiée par mon père le jour de mes 18 ans, je suis toujours soucieuse de me rendre utile pour satisfaire l’homme de ma vie, celui précisément qui a su prendre son temps pour parvenir, avec le concours d’une mère vicieuse et prévenante à souhait, à me déflorer en douceur. Souvenirs désormais inoubliables…

Depuis ce temps pas si lointain, je ne quitte plus la maison. Je travaille et je suis coquette, bien sûr, mais je n’ai pas de petit copain et guère de relations amicales. Je ne vois d’ailleurs pas pourquoi j’irais chercher hors de chez eux ce que je trouve d’incomparablement si précieux en compagnie des deux êtres que j’aime le plus au monde?

J’adore ces ambiances incestueuses délicieusement perverses et si jouissives. Mes parents sont deux fieffés adultes dépravés toujours en quête de sensations fortes qui ne se privent pas de partager leurs secrets les plus honteux et leurs pratiques immorales avec moi. Je prends cela pour un vrai privilège. Ils sont tous les deux naturistes. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours vu mes parents nus. Je n’en ai jamais été choquée. J’étais même déjà très fascinée par l’énorme engin paternel qui contrastait si bien avec la belle et suave fente glabre maternelle. En grandissant, le naturel de la chose s’est transformé en émois sexuels de plus en plus prégnants au point de ne plus pouvoir en supporter la persistance douloureuse, malgré mes nombreuses séances de masturbation en solitaire. D’abord, la nuit, puis en journée aussi. Maman ne me cacha pas son intérêt malsain pour l’éveil de ma sexualité. Elle fut très vite bien plus qu’une confidente pour moi. Innocente, mais déjà très stimulée par des fantasmes salaces, je lui donnais, chaque jour, toute ma confiance sans réserve lorsqu’elle me certifiait qu’il n’y avait aucun mal à se faire du bien. De plus, je devais constater à l’évidence que sa présence impudique et indiscrète à mes côtés augmentait fort l’intensité de mon plaisir, la qualité durable de mes premiers orgasmes. J’en étais de moins en moins gênée. Je finissais même par lui avouer mes envies de papa pendant mes séances d’exhibition lorsque ma mère tenait à me regarder faire.

  Je fus vite rassurée de savoir que maman pensait tout naturel mes penchants incestueux envers mon père. Elle disait aussi n’en éprouver aucune jalousie de femme mariée. "Bien au contraire !", me répétait-elle. "ça m’exciterait plutôt"… Elle m’embrassait souvent, d’abord tendrement et affectueusement, sur la bouche, les seins et le sexe, puis cet amour maternel devint bien vite un amour lesbien torride et enivrant. J’aimais passionnément ce corps sensuel et si réceptif à mes caresses pourtant maladroites. Quant à ma mère, elle savait si bien s’y prendre pour me mettre à l’aise et me faire vibrer comme jamais auparavant toute seule, que cela en devenait une drogue. On faisait l’amour comme deux fillettes délurées et irresponsables n’ayant plus aucun secret l’une pour l’autre dans toutes les pièces de la maison en l’absence de papa. Ce que j’ignorais à l’époque, c’est qu’elle ne se privait pas de tout lui raconter en détail lorsqu’ils se retrouvaient, le soir, dans leur chambre à coucher, pour faire l’amour. Je n’ai pas vécu cette découverte comme une trahison maternelle. Mieux, même. Je ne la remercierai jamais assez d’avoir si habilement joué les intermédiaires entre mon père et moi.

  Les élans amoureux étaient plus fougueux encore du fait que je ne lui cachais rien de mes vices naissants. La perversité de ma mère encourageait toutes mes audaces naïves et nouvelles et tout était, avec elle, permis. Son expérience de femme salope me devina bien vite d’un caractère docile et masochiste et j’appris, avec une réelle gourmandise, à boire toutes les sécrétions intimes de ses orifices naturels jusqu’à son urine tiède et âcre lorsqu’elle s’agenouillait au-dessus de mon visage, dans la baignoire de la salle de bains, pour pisser en dirigeant les jets de son méat brûlant vers mes lèvres. Elle découvrait combien j’aimais être manipulée, utilisée et insultée par elle comme un objet, une jolie poupée qui ne dit jamais "non". Mon désir de me conformer absolument à toutes ses attentes redoublait son bonheur d’avoir, sous la main, un modèle de fille obéissante et si câline.

A suivre ?

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