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Surpris par ma collègue – Chapitre 2

Surpris par ma collègue - Chapitre 2



Ces mots déstabilisèrent Thomas qui s’enfonça dans son siège. Il ne savait que répondre : évoquer certains de ses fantasmes devant Laure, au risque que cela puisse se retourner contre lui si elle venait à en parler à ses collègues, ou à l’inverse, esquiver la question et peut être mettre un terme au trio qui se profilait.

Après quelques secondes d’intense réflexion, il préféra botter en touche :

— Je ne suis pas sûr qu’apprécier les jolies femmes puisse être considéré comme une déviance, répondit Thomas en se redressant pour tenter de masquer son manque d’assurance, que sa gestuelle trahissait.

Même si cette réponse fît sourire Valentine, elle ne se semblait pas satisfaite. Elle croisa les jambes et fît onduler son pied droit en direction de Thomas.

— De la façon dont tu regardais mes bottines, je m’attendais à une autre réponse de ta part.

— Oui, enfin non, bafouilla Thomas en scrutant la réaction de Laure du coin des yeux.

Celle-ci se contentait de siroter son verre en observant l’échange, sans chercher à prendre part à la conversation.

— Je me suis peut-être trompée, mais il m’a semblé à ton attitude que tu avais des tendances fétichistes. Si ce n’est pas le cas, il est préférable que nous en restions là pour ce soir, reprit Valentine.

Thomas se figea à ces propos. Désormais, il ne pouvait plus esquiver. Il devait faire un choix et son envie de poursuivre cette soirée avec ces deux femmes était plus forte que ses craintes. Il confessa donc un penchant :

— Tu as raison, j’ai une attirance pour les pieds féminins.

— Tu as déjà eu l’occasion de pratiquer ?

— Oui quelquefois.

— Bien, tu vas nous montrer tes talents alors, poursuivit Valentine en lui désignant son pied droit.

Toujours hésitant, Thomas se leva, posa son verre sur la table basse et se rapprocha de Valentine. Arrivé devant elle, il se mit spontanément à genoux et plaça ses deux mains sous la bottine. Cela lui permit de stabiliser le pied alors qu’il déposait un premier baiser sur la pointe de la chaussure. Il continua en déposant un autre baiser sur le dessus de la bottine, puis un autre, jusqu’à sortir sa langue et commencer à lécher.

Après de longues minutes, Valentine posa son pied sur l’épaule de Thomas pour le repousser légèrement le temps d’enlever ses bottines, et de lui retendre ses pieds enveloppés de nylon.

Thomas se remis à quatre pattes pour reprendre son rôle. En s’approchant, il put humer une légère odeur résultant d’une journée de transpiration et observer que les pieds de Valentine avaient la forme égyptienne sur lesquels elle avait apposé un vernis rouge Paris.

Il ouvrit la bouche et commença à lécher ces magnifiques pieds avec entrain. Il passa ensuite sur chaque doigt en essayant de les sucer un à un à travers leur voile, puis il remonta en léchant la plante du pied. Il essaya ensuite de les prendre à pleine bouche le plus profondément possible. Un filet de bave coula sur sa joue, mais Thomas n’en avait cure, il était trop heureux de cet instant qui durant une vingtaine de minutes. Il était tant occupé, qu’il ne remarqua pas l’absence de Laure.  Ce n’est que lorsqu’il entendu des talons claqué sur le parquet qu’il se rappela de sa présence.

Elle s’approcha de Thomas et lui posa la main droite sur l’épaule :

— Je pense que l’on ne s’est pas trompé à ton sujet, on va pouvoir aller un peu plus loin, lui susurra-t-elle à l’oreille en lui passant un collier autour du cou.

Thomas ne chercha pas à protester et se contenta de relever la tête en direction de Laure pour faciliter l’opération et connaître la suite des opérations.

Ce fut cependant Valentine qui reprit la parole sur un ton plus directif qu’auparavant :

— Maintenant déshabilles toi, tu ne gardes que ton boxer.

 

Thomas avait déjà pratiqué quelques jeux de domination. Servir de soumis à deux superbes femmes n’était donc pas pour le déplaire, d’autant plus que ses précédentes expériences ne lui avait pas permis d’approfondir l’ensemble de ses fantasmes. Il voyait donc dans cette soirée l’occasion de remédier à cela.

Il se releva, se plaça face à Valentine et commença à déboutonner sa chemise. Bien que n’ayant jamais réalisé de striptease, il tenta d’adopter une attitude assez sensuelle. Pendant qu’il s’exécutait, Laure, toujours à côté de lui, en profita pour le palper : le torse, les fesses, puis le paquet.

Satisfaite de la marchandise, Laure alla rejoindre Valentine sur le canapé en tirant sur la laisse accroché au collier de Thomas.

— Maintenant, tu vas t’occuper un peu de mes pieds.

Thomas ôta les bottes de Laure et entrepris de s’occuper de ces pieds avec le même soin qu’il avait mis pour ceux de Valentine. Ils dégageaient également une odeur de transpiration, légèrement plus prononcée que les précédents, ce qui n’était pas pour déplaire à Thomas.

Thomas s’afféra ainsi un long moment. Il n’avait plus la notion du temps.

Laure portant une robe, il en profiter pour faire glisser sa langue sur son mollet. Cela lui permit d’apercevoir qu’elle ne portait pas de collants mais des bas, ce qui eut pour effet d’augmenter son excitation.

Valentine en profitait également, alors que les deux femmes continuaient à papoter, pour faire parcourir ses pieds sur le corps nu de Thomas, toujours positionné à genoux. Elle s’attardait parfois sur le boxer, ce qui avait pour effet d’accroitre une érection déjà largement visible.

Lorsque Laure regarda la pendule, il était déjà 21 heures. Les deux femmes décidèrent de se faire livrer pour le repas du soir, sans pour autant demander son avis à Thomas qui continuait à s’afférer à sa tâche.

Bien qu’adapte de cette pratique, il commençait à avoir la mâchoire qui fatiguait et la bouche sèche. Laure le remarqua et lui proposa de se désaltérer. Ce dernier acquiesça et commença à se diriger vers la table basse pour saisir son verre. Il fût néanmoins retenu par la laisse que tenait fermement Laure :

— A genoux et ouvre la bouche.

Elle saisit son verre et en bu une gorgée qu’elle recracha dans la bouche de Thomas, qui sous l’effet de la surprise, en régurgita une partie sur son visage et son torse. Laure réitéra l’opération à deux reprises. Elle avait choisi du kir, ce qui ne désaltéra guère Thomas, mais il ne fit aucune remarque.

Au même moment, la sonnerie de l’appartement retentie. Valentine se leva et Thomas craignit qu’on lui demande d’aller ouvrir, mais il n’en fut rien. Cela eut pour effet de le rassurer sur le comportement des deux maitresses et lui donna confiance pour le reste de la soirée.

Au loin, il entendait l’échange de banalité entre Valentine et le livreur, puis elle revint avec un sac à la main.

Les deux amies s’assirent et commencèrent à manger. Thomas se positionna à leurs pieds en attendant un signe de leur part. Par moment, l’une d’elle posait un maki ou un sushi par terre. Thomas devait le manger sans utiliser des mains, ce qui l’obligea à s’y reprendre à plusieurs reprises pour ne laisser aucun grain de riz sur le sol.

Le repas terminé, Valentine se tourna vers Thomas :

— J’espère que tu as apprécié le début de la soirée et qu’il te reste de l’énergie pour la suite.

— Oui, j’ai beaucoup aimé et ce serait un plaisir de poursuivre.

Avant qu’il puisse s’en réagir, Thomas reçu une gifle sur sa joue gauche :

— Oui qui ? lui demanda froidement Laure ?

— Oui maitresse répondit Thomas en baissant la tête.

— C’est mieux ainsi, repris Laure en se levant et en tirant sur la laisse. On va pouvoir commencer à s’amuser un peu.

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