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Agréable vengeance – Chapitre 1

Agréable vengeance - Chapitre 1



J’avais travaillé comme une dingue et j’avais réussi à sauver ce contrat avec un gros client qu’un de mes collègues avait bien failli faire foirer. Content, le patron m’avait dit : "Alice, vous pouvez prendre votre après-midi. Vous ne l’avez pas volée."

Je ne me l’étais pas fait dire deux fois. J’avais pris mes affaires et j’étais partie avant qu’on ne me demande un nouveau service qui m’aurait obligée à rester en fin de compte.

Aussitôt dans la rue, j’avais pris mon portable pour appeler mon chéri, Kévin. A cette heure-ci il devait sortir du boulot ou à peu près. Il prenait ses RTT le vendredi après-midi. Je voulais lui demander de passer me prendre. On pourrait bouffer ensemble, faire quelques courses et rentrer à la maison. J’avais envie de lui montrer quelques petits trucs car on songeait à se marier. On était ensemble depuis quatre ans, Je l’avais rencontré à une soirée en boîte, mes copines m’ayant fait sortir  quand j’avais coiffé Sainte-Catherine le jour de mes 25 ans On s’était installés dans cet appart trois mois plus tard.

Malheureusement mon portable était déchargé. J’eus l’envie de retourner au bureau pour l’appeler de là-bas, mais j’y renonçai. Si son téléphone était sur répondeur, je perdrais mon temps.

Je décidai donc de rentrer en bus. Je pris tout mon temps, flânant, faisant du lèche-vitrine…

On habite un petit immeuble au fond d’une cité dortoir à quinze kilomètres du centre. Autour, il y a trois autres bâtiments identiques, de quatre étages chacun. Je traversai la vaste place parsemée de petits coins de verdure plus ou moins abrités avec des bancs ou des jeux pour enfants. Les mamans rentraient après avoir emmené leurs gamins à l’école. Je croisai Alexandre, un grand black sympathique d’une vingtaine d’années, qui vivait de petits boulots et de menus services, et qui passait du temps ici à rien faire qu’à discuter avec ses potes quand le travail se faisait rare. Il était avec Steeve et Jimmy, sur les bancs du bosquet , bien tranquilles la derrière les jardinières. J’apercevais seulement la tête d’Alex et la casquette des deux autres, sûrement assis, dans un nuage de fumée: "salut Alice" me fit Alex.

Salut les garçons.

Les autres répondirent, "Salut Alice".

Mais je ne m’arrêtai pas comme je faisais souvent pour taper un peu la discute avec eux . Je venais d’apercevoir la voiture sur le parking et les volets de la chambre étaient fermés alors que je les avais laissés ouverts ce matin. Donc Kévin était rentré et, comme il s’était levé tôt, il devait s’être allongé pour une sieste.

Je rentrai donc dans l’appart sans faire de bruit.

Au moment où je franchis le seuil, j’entendis un gémissement féminin, suivi d’un autre. Je me dis qu’il devait finalement être en train de regarder un film de boules. Il savait que je n’aime pas trop cela et je l’imaginais profitant de mon absence pour se taper une queue en solitaire devant un truc bien hard. Je m’approchai donc lentement du salon pour le prendre en flagrant délit devant la téloche ou l’ordi et l’engueuler un peu. Je m’amusais déjà de la tête qu’il ferait en me voyant. Mais il n’était pas dans le salon. Le bruit venait de la chambre. J’eus une sueur froide dans le dos, un mauvais pressentiment.

Je rentrai dans le couloir. La porte de la chambre était entrebâillée laissant passer la faible lumière de la lampe de chevet. Je collai mon il et je portai ma main tremblante à ma bouche pour retenir un cri. Je ne pus voir que les jambes écartées de la fille et le bas du corps de mon mec dessus. Ils étaient en missionnaire et il retirait lentement sa grosse queue pour la refoutre d’un coup sec tout au fond, ce qui la faisait gémir à chaque fois qu’il la percutait. Je voyais son cul musclé rond et ferme s’agiter, la trace sombre des poils dans la raie de son cul qui se densifiaient en allant recouvrir ses grosses boules et qui s’évanouissaient un peu quand les muscles se contractaient.

Je reculai sans rien dire, pétrifiée, tremblante. Je tombai assise, hébétée sur un fauteuil. Je tendis la main vers la table de salon et son petit rangement à bouteilles pour attraper le whisky. Je débouchai et avalai une grande rasade. Je restai là je ne sais combien de temps, frappée de stupeur, incapable de réagir. C’est le son de la voix du mâle et les plaintes orgasmiques de la fille qui me ramenèrent un peu à la réalité.

C’est alors que j’aperçus un sac sur le canapé, un sac à main. Ce sac je ne le connaissais que trop bien. Ce n’était pas possible. Elle l’avait oublié…. un autre jour…. Ce n’était pas elle qui… que…

Je me levai pour en avoir le cur net, plus tétanisée que jamais. Ils avaient changé de place. Je poussai légèrement la porte pour mieux épier, sans être vue.

Elle s’était allongée comme en position de l’étoile, sur le côté gauche, face à moi donc, la jambe gauche tendue sur le matelas, la droite repliée et lui, assis à cheval au dessus de la jambe raide, la limait sauvagement en lui pétrissant son gros nichon d’un blanc laiteux et  en bavant des insultes : "T’aime la queue hein salope? Tu jouis grosse pute hein? T’aime que je te remplisse la chatte comme ça grosse truie. T’en veux toujours plus de la bite chiennasse… Tu la sens ma grosse trique bien dure… Elle te fait jouir… aller, prends-la ma queue, là….".

Pour toute réponse la rouquine répondait par des "oui" à peine articulés et des râles de bonheur…. et cette rouquine, dont j’avais bien reconnu le sac, c’était ma mère !

Je retournai dans le salon en sentant ma haine monter et un désir de vengeance exploser en moi… Oui mais quoi ? Comment ? C’est alors que j’aperçus les garçons par la fenêtre. J’agis alors sans réfléchir. Kévin est endurant, certes, mais il fallait le prendre de vitesse, avant qu’il ait fini de baiser ma vielle pute de mère.

Je fus vite dans le bosquet.

"Les garçons, je peux vous demander un service"?

— On n’a rien à te refuser, tu sais bien Alice.

Je soulevai ma mini-jupe et baissai ma culotte pour leur montrer ma petite moule rose avec son joli petit ticket de poils. Ils étaient médusés. "Vous voulez me baiser"?

— Sérieux ?

— Sérieux !

— Là tout de suite ?

— Chez moi maintenant mais vous venez en silence et ça restera entre nous.

— Ok.

Ils me suivirent en rigolant et il était visible que ça bougeait sous leur survet. Steeve avait les mains dans les poches et commençait sans doute déjà à se tripoter la bite.

En entrant dans l’immeuble nous croisâmes Saîd et Othmane.

"Ils peuvent venir aussi" ?

— Ok.

— Où çà ? demandèrent-ils?

— On va baiser !

— Qui ?

— Moi.

— Vrai ?

— Vrai!

— Putain cool.

— Mais silence.

Je leur fis rapidement un topo sur ce qu’ils auraient à faire et nous entrâmes sans bruit.

Nous fûmes dans le salon rapidement et nous entendîmes les souffles des deux autres qui se déchainaient. Un doigt sur la bouche pour leur imposer vraiment le silence le plus absolu, je fis entrer mes nouveaux partenaires de jeux. J’ ôtai ma mini-jupe, ouvris mon chemisier, laissai tomber mon soutif. Ils étaient entrain d’enlever leur baskets, de relever leur T-Shirts, de libérer leurs tiges tendues de leurs pantalons et de leurs slips.. Leurs corps étaient très beaux et leurs queues vigoureuses. Je me mis à genoux et en attrapai une au hasard pour commencer à la pomper bien fort.

Les mecs s’excitaient et commençaient à souffler quand je leur prenais la queue, les bras ballants le long du corps ou mains croisées derrière la tête. Ils avaient tous entendu les bruits de baise dans ma chambre qui s’intensifiaient, et commençaient à chuchoter entre eux.

Je me relevai, m’allongeai sur le canapé, ouvris mes jambes. Alex vint y fourrer le museau. Il se laissait pousser une petite moustache et un léger collier de barbe. Les poils m’excitèrent la moule et le clitoris en douceur. Je commençai à onduler du bassin tout en léchant avec gourmandise une superbe paire de couilles rasées qui sentaient bon le mâle et qui appartenait à Saïd je crois.

Dans la chambre, les cris de ma mère me signalaient l’orgasme et les jurons de mon gros porc de mec atteignaient le paroxysme, faisant rire les types qui m’entouraient. J’avais une langue dans la chatte, un sexe magnifique au dessus de mes lèvres et des mains partout, notamment sur mes seins qui en prenaient pour leur grade.

Je fis un tour d’horizon pour être sûre de ne pas me tromper et choisir la bite la plus grosse et la plus dure.

Othmane et Alex étaient des bêtes de compétition. Chacun avait un énorme chibre encore plus gros que celui de Kévin. Je choisis celui d’Othmane, au gland plus petit qui terminait le gros membre en pointe, et me réservai celui d’Alex pour le plaisir de la langue, le bout de sa queue étant largement plus large que la hampe et dessinant un ourlet très prononcé à l’aspect doux comme le satin, une superbe tête de pine, ferme et toute en relief dont la langue ressent chaque ondulation.

Dans la chambre les bruits avaient cessé. Othmane me pénétra sans ménagement m’arrachant un cri. Il commença à me démonter à toute allure en se cramponnant vigoureusement à mes épaules. Je ne retins pas mes cris de plaisir et les exagérai même pour que Kévin m’entendît. De fait il apparut bientôt. Il ne s’était même pas rhabillé. Sa queue pendait, grosse, rouge, humide… Il me regarda : "Putain, c’est quoi ce bordel ? Tu fais quoi là?"

Et toi tu faisais quoi dans notre lit espèce de salaud ?

Il s’adressa aux mecs qui m’entouraient et m’offraient leur zob. J’en avais un fameux dans le con, un dans chaque main et deux qui attendaient successivement leur tour pour se planter au fond de ma bouche : "Vous vous cassez d’ici bande de bâtards. Vous touchez pas ma femme, bande de chiens !"

Je répondis: "Les garçons. Faîtes taire ce connard qui vient de s’enfiler une grosse pute dans mon propre lit" !

Othmane resta dans ma chatte mais les quatre autres se précipitèrent sur Kévin, bientôt neutralisé. Je leur indiquai où ils pourraient trouver de quoi le ligoter et le bâillonner. Ce fut fait en deux minutes. Ce vicelard s’agitait dans tous les sens pour se dégager. Il pleurait de rage. Accroupi sur le sol entre les deux fauteuils, il ne manquait rien de la scène.

Ma mère ne s’était pa montrée. Elle ne perdait rien pour attendre : "Eh les garçons, dans ma piaule, il y a une vielle pute rouquine à gros seins, bonne à prendre dans tous les trous. Vous laissez pas impressionner si elle gueule et résiste un peu, ça fait partie de son jeu pour exciter les hommes."

Je l’avais dit suffisamment fort pour qu’elle m’entende car j’étais persuadée qu’elle avait tout suivi en percevant mes cris de plaisir et la lutte des mecs contre Kévin.

Saïd, Steeve et Jimmy disparurent. Elle n’offrit sans doute aucune résistance car les rires et les voix des mecs se congratulant autour d’elle me parvinrent bientôt. Othmane et Alex s’occupaient de moi. C’était bon. Leurs queues, chacune dans son orifice, me régalaient la raie et la langue. Alex pratiquait une irrumation ferme mais supportable… Il empoignait ma tête pour forcer le mouvement de ma bouche autour de son braquemart.

Jimmy réapparut : "Alice, t’as pas du gel? J’voudrais lui casser le cul. Elle est vachement bonne ta copine. Elle aime la queue!"

— C’est pas ma copine… C’est ma mère. Le gel est dans le tiroir de la table de nuit. Tu me le rapporte après.

Jimmy repartit : "eh, les gars, putain, c’est sa mère. Elles sont chaudassses dans la famille!"

Alex s’était retiré de ma bouche: "C’est pas des conneries, c’est ta daronne?"

— C’est pas des conneries!

— Ton mec baisait ta propre mère ?

— T’as vu toi même!

— Putain, c’est dingue… depuis longtemps ?

— J’en sais rien. Laisse les tomber et baise-moi à fond.

Alex regarda Kévin à terre et lui envoya un gros mollard en le traitant de tous les noms.

Cependant, Jimmy ne revint pas. Le bruit qu’ils faisaient dans la piaule, les cris de jouissance de ma garce de mère et leurs propos de mecs en rut me parvenaient distinctement et suffisamment pour que je comprisse que Jimmy était en train de chevaucher la croupe sans se soucier de me rapporter le tube de vaseline.

"Alex, va chercher le tube, s’te plait. J’ai envie que  tu me casses le cul devant l’autre bouffon." Je désignai ainsi Kévin qui, toujours ligoté était le témoin impuissant de notre partouze.

Alex ne se le fit pas dire deux fois. Il revint, la main déjà pleine de graisse et roulant sur le gland pour bien le lubrifier. Steeve le suivait, le sexe dressé en l’air, tout humide et luisant: "Y’a d’ la sodo par là?".

Je demandai à Othmane de me libérer le vagin et me mis à quatre pattes. Alex me prépara la rondelle avec les doigts, puis il m’encula lentement, faisant coulisser l’énorme bite dans l’étroite ouverture. Othmane m’avait donné sa queue à bouffer. Steeve attendait son tour pour me perforer en commentant : "Les mecs, la vieille meuf c’est une affaire. Elle vous bouffe les roustons, j’ai jamais vu ça…J’y ai mis le pieu, regardez comment qu’il est ressorti. Elle avait la moule pleine de foutre. L’autre connard, il l’a drôlement arrosée…".

Je rétorquai : "Et bien va te laver la queue. Je veux pas que le sperme de ce mec entre en contact avec moi, même sur ta bite". Je le vis disparaître et revenir bientôt le sexe frais. Il prit aussitôt la place d’Alex. Sa verge, moins épaisse rentra comme à l’exercice et glissa jusqu’au fond comme dans du beurre. Il s’agrippa à mes hanches et se mit à me tirer à toute vitesse. J’alternai pour sucer les deux queues.

Je commençai vraiment à prendre du plaisir. La haine ne m’avait pas quittée mais, désormais, elle ne m’accaparait plus l’esprit et j’étais toute disponible pour cette baise de groupe, exercice tout nouveau pour moi mais que j’appréciai.

"On te fait une double ? J’ai envie de retourner dans ta chatte" !

Je ne résistai pas à cette proposition d’Othmane. Il s’allongea sur le canapé, je vins m’empaler sur sa grosse trique et Steeve me remit son zob. Je m’éclatais vraiment. Les mecs étaient virils, endurants, bien montés… Bien occupée par ces trois chibres, je finis par ne plus faire attention à ce qui se passait dans la chambre. J’eus un premier orgasme, une déferlante de plaisir qui m’obligea à cesser de sucer Alex pour me tendre tout à fait et laisser échapper des feulements de satisfaction qui durent s’entendre dans tout l’immeuble. Les soubresauts de mes deux trous au moment de la décharge excitèrent les mâles. Je sentis ma rondelle se comprimer, se resserrer par à-coups autour du Zob de Steeve et je provoquai son éjaculation. Elle fut longue. Les jets, puissants, se multiplièrent. Ce mec avait un débit de cheval Je sentis la jute se répandre en moi et le liquide abondant et chaud enduire la paroi. Ma moule pissait et rendit le pubis et le sexe d’Otmane aussi humides que le fond d’un lac.

Steeve se retira aussitôt pour se faire décrasser le nud que je récurai avidement avec la langue. La nature ayant horreur du vide, Alex m’enfila aussitôt. Je sentis le sperme ruisseler sur mes fesses quand le gros gland prit la place dans l’orifice saturé de semence. Du coup, ce fut Othmane qui capitula. Il se tendit à l’extrême, sa queue tout au fond de moi, et me remplit le vagin de sa crème. Il se retira à son tour, dans un bruit de clapotis…Alex et moi lui ayant livré le passage. Je me remis sur le dos et Alex me replanta en missionnaire. Les autres mecs se tenaient autour de nous pour mater tout en commentant leurs prouesses et la scène que nous formions, et tout en se foutant la gueule du cocu attaché au sol : "T’as vu gros con comment elle mouille ta copine. Tu l’as jamais fait jouir comme ça hein? Ça te fout les boules qu’elle prenne son panard avec nous. Fallait pas nous la laisser. Nous on va bien s’en occuper maintenant."

Jimmy les avait rejoints, la queue flaccide. Seul Saïd était encore avec ma mère. Jimmy avait expliqué. "J’crois qu’il est accro aux gros nichons et qu’il veut les beurrer".

Cependant Alex y allait lentement, retenant son plaisir, s’enfonçant jusqu’aux couilles puis roulant son corps dans tous les sens pour faire danser le vit en moi en me faisant délirer. Les trois autres gusses regardaient, se tripotant mollement la tige, jouant avec l’extrémité de leur chibre sur mes mamelons ou mes lèvres, me faisant lécher leurs burnes, mais sans pouvoir rebander.

Enfin Alex accéléra le mouvement et me fit jouir encore. Au moment de conclure, il se retira et vint se finir entre mes seins. Des flashs crépitèrent. Steeve et Othmane prenaient des photos. Je demandai à les voir. Les visages n’y apparaissaient pas. Seuls se dessinaient l’énorme queue noire entre mes seins blancs et mes mains qui les resserraient autour du manche… et le liquide blanc et onctueux qui s’écoulait du trou de pine sur mon corps. Ils en firent autant avec ma mère, mais je ne voulus pas les voir.

Les mecs restèrent un moment. Ils burent quelques apéros, puis se rhabillèrent et partirent à l’exception de Saïd qui ne donnait plus signe de vie. Kévin ne bougeait plus, résigné.

En allant prendre une douche, je passai devant la chambre. La porte était grande ouverte. Je regardai ma mère avec dégout. Elle gisait, les bras et les jambes écartés, offerte, la touffe humide, frisottant, impudique. Saïd, à côté, le sexe mou continuait de la doigter avec lenteur. Il me vit. Leva le pouce de sa main libre en l’air en signe de satisfaction. Quand je repassai, une fois lavée et habillée, il était toujours là. Il paraissait fasciné par les poils roux et la chatte rose. Il s’était mis à quatre pattes pour titiller le clitoris avec sa langue. Je pus distinctement voir son gros paquet poilu avec la queue toujours inerte pendre magnifiquement.

Je passai mon chemin sortis sans savoir où aller ni quoi faire.

Alex m’attendait : "Tu vas te débrouiller comment maintenant. Tu vas rester avec ce mec ?"

— Sûrement pas.

— Tu vas faire quoi ?

— Je vais me casser d’ici. Faut que j’trouve une solution en attendant.

— Si tu veux, tu peux venir chez moi pendant quelques jours.

— Ta mère va pas apprécier Alex.

— Elle est pas là. Ma grande sur vient d’accoucher. Elle est partie l’aider pendant quelques jours. Tu peux rester à la maison en attendant.

J’acceptai la proposition et m’installai chez Alex qui m’emmena aussitôt chez lui, m’offrit sa chambre. Quand tout fut OK et après avoir discuté un long moment, je lui demandai de m’accompagner chez moi juste le temps de prendre quelques affaires et de me protéger si Kévin était là. A ma grande surprise ce dernier était toujours attaché dans le salon. Personne ne l’avait détaché. Il me regarda avec un air imbécile. Dans la chambre, Saïd, en levrette, était en train de ramoner ma mère qui avait l’air d’apprécier. Je pris mes affaires.

Le soir j’allai me coucher. Je m’étendis nue sous les draps. Je me sentais seule.

Avant d’aller se pieuter à son tour, Alex frappa à la porte. Je lui dis d’entrer. Il était torse nu et portait juste un pantalon de pyjama qui dissimulait mal la grosse proéminence de son paquet.

" Tu as besoin de quelque chose ?" me demanda-t-il.

— Je me sens juste un peu seule, et triste.

— Tu veux qu’on cause ?

En guise de réponse, j’ouvris les draps, écartai mes cuisses et lui dis : ’Viens".

C’était la réponse qu’il attendait. Il baissa son pantalon libérant sa bite qui se raidissait à vue d’il et il s’allongea sur moi.

Nous fîmes l’amour tout le week-end. C’était un extraordinaire amant, très endurant et très attentif à mes propres sensations. Peu de mecs savent écouter le corps de leur partenaire et donner autant de plaisir qu’ils en reçoivent. Je payai ainsi ma location chez lui.

Plus tard, je trouvai un nouvel appartement. Je fis prendre le reste de mes affaires par des potes. Je ne revis plus jamais Kévin.

Quant à ma mère, Saïd en était fou. Il s’installa chez elle pendant quelques temps, tout en  partageant avec ses potes les faveurs orgiaques qu’elle lui consentit. Il avait mis les photos en ligne.  Je lui avais demandé d’enlever les miennes. Il ne restait que celles de ma mère.  Plusieurs mecs de s connaissance les avaient vues. Il en fit la publicité. "Bonne vieille pute à gros seins qui taille des pipes comme pas une et qui est bonne sous l’homme". Si on voulait la baiser, il n’y avait qu’à demander. Et il en vint, des jeunes et des vieux, des puceaux et des expérimentés, des célibataires et des mariés. Ma mère devint le vide couilles du quartier. Il me le raconta lui même plus tard, sans retenue et sans pudeur. Elle, je ne l’ai toujours pas revue…

Depuis, j’ai repris un appartement. Quand j’ai du vague à l’âme, je téléphone à Alex. Il vient, parfois accompagné à ma demande. Il voudrait bien qu’on se mette ensemble. Je ne suis pas prête à me remettre en couple pour le moment…

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