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Albert – Chapitre 2

Albert - Chapitre 2



Plusieurs jours se passèrent sans que ni l’un ni l’autre ne se rencontre.

Un jour, alors quÉvelyne marche sur le trottoir avec des amies, elle entend

— Alors, la bourge, on faisait moins la fière quand Albert s’occupait de ta chatte. Là, on fait les grandes dames mais tu gueulais de plaisir. Rendez-vous ce soir à mes appartements que je m’occupe de ton cul. Enculez une bourge, c’est mon fantasme..

Albert rit, un rire gras, tonitruant. Evelyne rougit et sent son corps frémir. Ses amies lui demandent si elle connaît ce SDF. Elle nie mais tout son corps dit l’inverse. Une fois chez elle, elle repense à ce que lui a dit le SDF. Elle n’a jamais pratiqué la sodomie. De toute façon, son mari ne connaissait que la position du missionnaire et les boysfriends se contentaient de la baiser rapidement. Elle s’apprête comme la dernière fois et ferme la porte. Elle réfléchit pendant le trajet. Elle commence à mouiller. Elle se dit qu’elle est folle mais elle a trop envie. Elle veut avoir de nouveau ce plaisir, elle veut être traiter comme une salope.

Albert la voit arriver. Il la regarde descendre les quais. Il boit du vin à la bouteille et crie :

— Alors, la bourge, tu viens voir Albert. Une bonne queue te manque.

Il reprend une rasade de vin, rote bruyamment. Elle ne bouge pas, ne dit rien. Albert s’approche en titubant, il pue le mauvais vin. Il lui donne une grande claque sur les fesses et la pousse dans son antre.

— Bienvenue dans mon appartement.

Elle se retrouve à quatre pattes. Elle ne sait pas si c’est elle qui si est mise toute seule ou si c’est Albert qui l’a forcée, peu importe. Elle sent les mains d’Albert qui soulèvent sa jupe. Malgré elle, elle bouge son cul. Elle veut être prise, elle veut sa queue.

Albert se recule pour admirer le spectacle et baisser son pantalon. Putain, cette bourge, elle a un cul du tonnerre, pense t-il. Il s’approche, baisse le string, présente sa queue devant la chatte. On voit la mouille, on croirait une chienne en rut. Il la prend sans ménagement. Evelyne pousse un cri de plaisir, de contentement. Après quelques va et vient, Albert ressort sa queue. Il la passe sur la raie des fesses. Evelyne a un trou du cul bien visible. Il remet sa queue dans la chatte. Evelyne tremble, gémit et jouit. Mais Albert n’en a pas fini. Il veut son cul. Alors, il sort sa queue et la présente devant l’anus de la bourge. Evelyne sent la queue forcer son sphincter, elle le resserre. Albert donne deux grandes claques sur le cul.

— Hé, la bourge, détends toi. Je vais t’enculer que tu le veuilles ou pas. Et franchement, tu aurais tort de ne pas en profiter.

Albert force. Sa queue rentre. Elle est pleine de mouille. Cela lubrifie suffisamment l’anus.

Alors, la bourge, je t’avais dit que je t’enculerai, en plus, tu as un petit cul bien serré. Un vrai bonheur.

Evelyne grimace mais ne dit rien. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus agréable. Albert continue, sort complètement pour rentrer entièrement dans le cul d’Evelyne. Au fur et mesure, Evelyne commence à apprécier. Elle sent cette queue qui la possède.

Albert fait des va et vient de plus en plus rapide. Evelyne , à sa grande surprise, sent le plaisir monter.

— Tu vois, la bourge, tu aimes cela. Elle est bonne la queue d’Albert. Ha, ces bourges, toutes les mêmes, elles font les mijaurées mais une bonne queue dans le cul et elle se comporte comme la dernière des salopes.

Sur ces paroles, Albert se vide dans le cul d’Evelyne. Il se retire et tombe sur les cartons à côté d’elle. Il se met à ronfler. Evelyne est toujours à quatre pattes, elle se finit en se caressant et jouit rapidement. Après quelques minutes, elle regarde autour d’elle. Elle n’avait même pas remarquer qu’on pouvait les voir du quai d’en face. Elle se relève, remet de l’ordre dans ses vêtements, couvre Albert avec une couverture qui traînait à côté. Elle laisse son string. Elle repart chez elle. Elle se couche et s’endort aussitôt, heureuse, rassasiée.

Elle se réveille le lendemain assez tard, son anus lui fait mal. Elle repense à sa soirée. Elle se fait couler un bain, se coule avec plaisir dans l’eau chaude, se détend. Ses mains passent sur tout son corps, elle masse doucement son anus douloureux. Elle frémit en repensant à la soirée. Elle caresse ses seins, ses tétons durcissent. Elle les pince doucement. Elle descend vers son pubis, trouve son clitoris, le décalotte et se caresse. Elle se revoit à quatre pattes, elle repense à sa soirée. Sa main insiste sur son clitoris, ses doigts rentrent dans son vagin. Elle s’imagine prise devant ses amies par Albert. La jouissance monte, elle gémit, ses yeux se ferment. Elle jouit doucement, longuement

Albert est réveillé par le camion poubelles. Il se lève, va pisser dans l’eau, regarde dans la glace accrochée au pilier par un fil de fer. Il prend un gant se le passe rapidement sur le visage, aperçoit le string, l’accroche à côté de la glace. Il se gratte les couilles, ouvre une bouteille de vin blanc, prend une gorgée, se rince la bouche et avale. Ses mains tremblent un peu. Deux trois verres régleront se léger problème. Simone passe devant lui

— Alors, on vient plus voir Simone, Albert?

— J’ai trouvé un cul plus accueillant que le tien

— Va te faire voir, Albert. De toute façon, tu sais ou je suis et tu connais le tarif

— Je sais

Albert repense à la bourge. En voilà, une grande salope,Albert si tu te démerdes bien, tu vas pouvoir prendre ton pied et avoir tout le vin que tu veux pense t-il.

Il sourit et part au turbin

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