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Alice, femme trompée, femme libérée – Chapitre 3

Alice, femme trompée, femme libérée - Chapitre 3



Chapitre 3 : Douce vengeance

Bien que nous avions d’autres projets, nous n’avions même pas eu le temps de reprendre que David avait déjà répondu à mon message. Ce dernier enrageait, ce qui nous fit bien rire. Nous décidâmes de nous amuser un peu en lui répondant, avant de reprendre là où nous nous étions arrêtés, ce qui n’était pas plus mal, car cela permettrait à Axel de retrouver des forces (Bah oui, contrairement à ce qu’on voit dans les films pornos ou la littérature érotique, il est humain, pas une machine à éjaculer sur pattes) :

"T’es vraiment une salope putain! C’est qui que tu as laissé te balancer la purée à la gueule?"

Au vu de ce message, Eve n’avait pas dû la prévenir de notre échange. Cela n’en rendrait la vengeance à venir que plus agréable.

"Venant de celui qui a préféré se taper une radasse au prétexte qu’elle tortillait un peu plus du cul que moi, je trouve ça très drôle. Ca changerait quoi que tu le saches?"

"Tu restes ma femme, j’ai le droit de savoir avec qui tu me trompes."

"Je suis encore ta femme sur le papier, en vrai, je ne le suis plus depuis que je t’ai trouvée la queue dans le cul d’Ève. J’espère qu’elle est bonne au pieu cette conne, parce que tu me récupèreras jamais."

La réponse qu’il fit à ce dernier SMS fut un peu surprenante sur le coup, quoi que pas tant que ça, David ne semblant, comme d’habitude, penser qu’à sa gueule.

"Ok, j’aurais pas du me laisser faire, mais c’est une erreur, tu peux me la pardonner. Comme je te pardonnerais d’avoir laissé un autre te faire une faciale si tu me laisses faire pareil."

Il manquait pas d’air ce petit con quand même. Je lui répondis alors séchement : 

"Tu peux courir. Reste bien au chaud dans le cul et la chatte d’Eve pendant que moi, je vais faire l’amour avec Axel. Si j’avais su, c’est lui que j’aurais choisi il y a dix ans."

Je voulais au départ lui garder cette révélation pour plus tard, quand j’aurais estimé que cela lui ferait vraiment le plus mal, des fois que par ricochet, cela lui crée des problèmes de couples. Mais là, il m’avait tellement énervée que je n’en avais plus rien à foutre si cela l’envoyait encore plus dans les bras d’Ève. Il avait qu’à pas préférer se taper un 36 tonnes plutôt qu’une belle femme.

Sur ces entrefaites, je coupais mon portable pour ne plus être dérangée, et pouvoir me consacrer à mon nouvel amoureux. A peine ceci fait, j’allais le rejoindre dans le fauteuil en face du canapé où je m’étais assise et me mit à l’embrasser fougueusement. Mes mains recommencèrent comme précédemment à fureter sur son torse, mais Axel m’arrêta et me dit : "Tu m’as fait du bien, c’est à mon tour de te rendre heureuse."

Il recommença alors à m’embrasser tout en baissant les pans de mon haut qui ne tardèrent pas à tomber. Tout en continuant son baiser passionné, il m’empauma les seins pour les caresser, parfois doucement, parfois plus énergiquement. Après quelques instants à me faire subir ce traitement, il arrêta de m’embrasser les lèvres, pour mieux s’occuper de mordiller mes seins, en alternance avec des séquences où il léchait ceux-ci. Si ceci ne m’aurait certainement pas fait jouir, c’était en train de me faire fondre dans sa petite culotte, et il s’en doutait bien.

C’est d’ailleurs pour cela qu’il me fit vite échanger sa place avec lui, me demandant de rester assise dans le fauteuil. Une fois ceci fait, il recommença à m’embrasser les seins, tout en faisant passer ses mains sous ma jupe longue. Je n’attendais qu’une chose, que ses mains m’enlèvent ma culotte puis qu’il mette la tête sous la jupe pour me faire un cunni. Mais il semblait décidé à me faire patienter là encore, puisqu’il se contentait de me caresser les cuisses, tout en remontant son visage pour de nouveau m’embrasser fougueusement. Après un de ces baisers passionnés, il enleva enfin ma culotte qui devait être complètement trempée. Mais il recommença alors son manège de bisous et de caresses diverses des cuisses et des jambes.

N’en pouvant plus, entre deux embrassades, je lui dis alors que c’étaient d’autres lèvres que je voulais qu’il embrasse. Ayant compris le message, il passa alors sous ma jupe et là, cela dépassa toutes mes attentes. A peine avait-il posé ses lèvres sur les miennes que je sentis la chaleur en moi monter d’un seul coup. Dieu que c’était bon d’être touchée et caressée par quelqu’un qui avait vraiment envie de ça et pas juste afin d’avoir ce qu’il voulait ensuite. 

A peine eut-il embrassé mon sexe de bas en haut, qu’il darda sa langue avant de s’attaquer à mon clitoris. Cela ne m’avait pas encore fait jouir, mais je sentais bien que je ne résisterais pas longtemps si il continuait comme ça. Et à vrai dire, je n’en avais pas envie. Je ne souhaitais qu’un chose :  Qu’il continue. Ce que je lui fis vite comprendre en serrant les cuisses et en lui appuyant sur la tête. Là encore, il comprit parfaitement la signification et accéléra les mouvement circulaires de sa langue autour de mon clitoris.

Je gémissais de moins en moins discrètement, mais qu’importe, tout mon corps n’attendait plus qu’une chose, la délivrance. Et tant pis si cela voulait dire être entendue par les voisins, pas de ma faute si j’avais toujours été vocale, ce qui avait toujours excité tous les mecs avec qui j’avais dépassé le stade du touche-pipi. Mes gémissements semblaient exciter aussi Axel, qui mettait de plus en plus de cur à l’ouvrage, n’hésitant pas à me laper l’entrée du vagin avec sa langue aussi afin de varier les plaisirs.

Je n’en pouvais plus, j’en voulais plus. Je lui dis alors, telle la première salope venue "Prends-moi Axel, j’en crève d’envie", mais il ne répondit pas positivement à ma demande. Il s’arrêta quelques secondes pour ressortir la tête de sous la jupe et me dire "J’en rêve, tu n’imagines même pas à quel point Alice, mais tu m’as fait jouir uniquement avec tes mains et ta bouche, et je veux te faire pareil". Si tôt dit, il retourna sous ma jupe, bien décidé à finir ce qu’il avait commencé. Il recommença à me triturer le clito, d’abord en recommençant ses mouvement circulaires, puis ensuite en le mordillant, ce qui m’approchait là encore de la jouissance. Puis alors qu’il s’était remis à me lécher, il m’enfonça alors deux doigts dans le vagin, doucement, comme si il me faisait l’amour avec son sexe.

En moi-même, je pensais "Si il commence à faire des va et vient avec ces doigts, je ne vais pas tarder à exploser, même si il ne continue pas avec sa langue." Et à mon grand plaisir, c’est ce qu’il fit, doucement d’abord, avant d’accélérer les mouvements de ses doigts. Je sentais la jouissance monter, monter, et je n’étais vraiment plus très loin de l’orgasme, ce qu’il semblait avoir compris, puisqu’une fois au bord de ce dernier, il ficha alors ses doigts au plus profond de moi avant de mordiller de nouveau mon bouton. Cela eut pour effet de me faire partir instantanément en exprimant bruyamment mon plaisir tout en serrant les cuisses pour mieux lui maintenir la tête.

Cette jouissance était entêtante, et je mis du temps à en redescendre. Mais en plus de m’avoir fait prendre un putain de pied, elle m’avait rendue heureuse, comme il le souhaitait. Maintenant, même si j’avais de moins en moins de doute, je m’étais vraiment plantée il y a 10 ans, j’aurais du le choisir lui. 

Il était temps de le lui montrer, surtout que plutôt que de me rassasier, cette jouissance m’avait plutôt ouvert l’appétit.

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