Histoires de sexe noir Histoires érotiques de couples amateurs Histoires porno

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie – Chapitre 1

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie - Chapitre 1



(premier chapitre soft, le trash vient après…)

Plusieurs semaines que je préparais mes vacances : avec des amis, on avait décidé d’aller faire le GR20 (en fait, un bout seulement), ce fameux sentier de randonnée en Corse. L’itinéraire étant trop long pour notre niveau et la durée de nos vacances, nous avions décidé de n’en faire qu’une partie, en 7 étapes, de Conca à Vizzavone. Au départ nous devions partir à cinq avec Rémi, un ancien pote du lycée, sa copine Lilou, et deux amis à eux. Mais un imprévu au boulot obligea Lilou à annuler au dernier moment, les deux potes n’étaient finalement plus disponibles mais proposaient deux remplaçants, que je ne connaissais pas, Rémi non plus. Mais il parait qu’ils étaient bons marcheurs, alors ça irait. Nous n’étions plus que quatre : Rémi, les deux nouveaux Thomas et Fred, et moi.

 Mon copain n’étant pas un fan de rando n’avait pas posé de vacances et me laissait partir seule.

 Partant en plein été, nous avions décidé de bivouaquer au lieu de dormir en refuges (en général bondés pendant cette période). Il fallait donc s’équiper pour du camping en pleine nature, avec du matériel léger : ces dernières semaines avaient donc été consacrées à effectuer les achats nécessaires, du gros matériel (tentes – même si nous pensions dormir à la belle étoile : la pluie, bien que rare, est toujours possible – duvets etc) aux petits détails (lampe frontale, lampe torche plus puissante, etc). Nous avions potassé l’itinéraire sur plusieurs soirées (bien arrosées, tant qu’à faire) ; bref nous étions fin prêts ! Je devais retrouver les garçons directement en Corse : tous les trois partaient un jour plus tôt : ils avaient eu un tarif préférentiel pour le ferry, mais vu la durée du trajet ils partaient avant. Pour ma part j’avais pris l’avion, trop compliqué de me rendre à Toulon à la gare maritime (bus, train, bus avec toutes les affaires de bivouac, non !)

  

 J’arrivai donc à l’aéroport d’Ajaccio, de là long trajet en bus jusqu’à Conca. Une nuit en camping, et je retrouvai Rémi, Fred et Thomas au départ du GR. Rémi me prend dans ses bras : nous étions toujours ravis de nous voir et restés très proches depuis la fin du lycée. Fred et Thomas me font une bise franche (on s’était vus lors des soirées de préparation).

 Belle balade, cette première étape est très belle, avec des paysages un peu arides et sablonneux. Le démarrage est dur, comme souvent, mais une fois le rythme pris nous avançons bien, jusqu’au soir, interrompant la rando pour quelques pauses seulement.

 Une fois arrivés au refuge de Paliri, repos ! Nous déballons nos affaires, pour le repas, pour la nuit. Nous ne sommes pas les seuls à bivouaquer autour du refuge ; nous trouvons un coin sympa un peu à l’écart.

Le repas commence bien, la bouffe est bien préparée, les deux bouteilles de vin que Fred et Thomas ont eu la drôle d’idée de se trimballer jusque là (vu le poids !!) sont vite descendues. Je commence à être bien pompette, surtout avec la fatigue, visiblement Rémi aussi. C’est alors que Fred et Thomas commencent à enchainer les réflexions bien lourdes et grasses, ce dont j’ai horreur. Thomas rigolait :

 – Bon Emilie, tu dors où pour cette première nuit ? Entre Fred et moi pour te chauffer, ce serait bien, non ?

 C’était la remarque de trop.

 – Vous savez quoi, les gars ? Trop marrantes vos blagues qui font croire que vous êtes de gros beaufs machos. Mais comme c’est pas le cas et qu’en fait vous êtes loin des clichés, ce soir c’est pas bobonne qui fait la vaisselle, vous prenez tout et vous allez laver ça au torrent !

 Rémi était à moitié mort de rire. Fred et Thomas haussèrent les épaules.

 – Bah ça va, pas de quoi s’énerver, on va la faire, ta vaisselle

 « Ma » vaisselle, mon cul oui !

 Ils se levèrent et s’éloignèrent en direction du torrent.

 – Ma puce (Rémi m’appelait souvent comme ça, depuis le lycée), fais gaffe quand même à ne pas les énerver. Je les connais pas plus que ça, ces gars-là, mais il ne faudrait pas qu’ils aillent plus loin que les blagues

 – Bah t’inquiète, ça ira. Ils ont surtout besoin d’être remis à leur place, je pense !

 Les deux autres revinrent de la vaisselle. Nous rangeâmes tout et commençâmes à préparer le bivouac pour la nuit. Je demandai à Rémi si je pouvais dormir près de lui : malgré ce que j’avais dit, je n’étais pas très rassurée par la présence de Fred et Thomas.

 – Pas de problème

 Nous installâmes nos matelas à côté, sans monter la tente (il faisait beau et chaud). Thomas et Fred firent pareil de leur côté. Nous nous couchâmes, dans le peu de lumière qu’il restait du crépuscule. Au bout de quelques minutes, j’entendis Fred lancer :

 – Eh, Emilie, t’es sûre que tu voudrais pas un peu plus de compagnie ? Genre un mec bien chaud, pour te réchauffer, vu qu’il commence à faire frais ?

 Je me serre instinctivement contre Rémi, qui lance à son tour :

 – Vous allez lui ficher la paix, oui ? Sinon c’est moi qui vais venir vous chauffer la gueule, vous allez voir !

 Les deux crétins ricanaient et chuchotaient entre eux.

 Rémi murmura:

 – Le mieux serait de leur faire croire qu’on a un plan cul ou un truc du genre.

 En disant ça, il se colla dans mon dos (nous étions allongés sur le côté gauche), de tout son corps et passa son bras droit autour de moi, pressant mon ventre contre lui.

 – Pfff, tu parles d’une idée à la con

 – Au moins ils te foutraient la paix jusqu’à la fin de la rando.

 –

 – Allez, on s’en fiche, on fait semblant, ça coûte rien !

 – Ok, mais on est d’accord que c’est juste de la simulation, hein ?

 Il rit doucement dans mon cou.

 – Oui, bien sûr

 Nous sortîmes alors chacun de notre duvet pour en mettre un seul, en position ouverte « couverture » et nous glisser dessous, lui toujours derrière moi, couchés sur le côté.

 Il agrippa fermement ma taille et commença un mouvement de bassin contre mes fesses, comme s’il me baisait. C’était très réaliste. Tellement que je sentais son pénis durcir contre moi Gênée, j’essayai alors de m’avancer un peu pour éviter le contact, mais de son bras il me replaqua contre lui en haletant et en murmurant à mon oreille :

 – Il faut qu’on soit crédible Si tu es à un-demi mètre de moi, ça ne rime à rien

 Je ne dis rien et le laissai continuer son mouvement, son érection désormais bien dure entre mes fesses. Il remonta sa main sur mon sein droit et commença à ma peloter à travers mon débardeur. Je chuchotai :

 – Eh, oh, on a dit faire semblant !

 – Oui, exactement, mais tu n’es franchement pas douée pour jouer la comédie, alors je te motive un peu

 Je dois dire que je commençais à trouver ça excitant D’autant que j’entendais Thomas et Fred chuchoter, non loin de nous : « Ah merde, ils se font pas chier, elle nous snobe mais par contre se taper son pote presque marié, ça la gêne pas Merde, quoi ! »

 Rémi trafiquait quelque chose dans mon dos, mais je n’y prêtais pas attention, je me concentrais sur sa main malaxant mon sein et tâchais de mieux jouer mon rôle, en haletant à mon tour. C’est alors que je sentis bien mieux le sexe de Rémi, bandé à mort, qui avait changé de position : il l’avait manifestement sorti de son boxer et cherchait à le faire coulisser entre mes cuisses. Je ne sais pas ce qu’il me prit, l’alcool, la fatigue, la combinaison des deux : au lieu de protester et de mettre fin à ce jeu stupide, j’écartai les jambes pour le laisser passer et les resserrai ensuite. Il accéléra ses mouvements de bassin, se masturbant ainsi entre mes cuisses. Je descendis ma main droite pour le toucher, il gémit sous le contact, mais ce fut tout : je ramenai ma main entre mes jambes, plus haut. Pas de raison qu’il n’y ait que lui qui en profite.

 – Hum dis donc, je retire ce que je disais, tu joues vraiment bien ton rôle, tu es même sacrément bonne (il avait abandonné mon sein et descendait lentement sa main vers la mienne). Tu fais vraiment des efforts, laisse-moi t’aider

 Sa main remplaça la mienne dans ma culotte, sans nuance : il me planta directement un doigt entre les jambes et s’activa, au même rythme que son sexe entre mes cuisses. Je me mis à haleter au rythme de sa main.

 – Oui c’est bon, vas-y, fais du bruit, gémis, crie, ils vont y croire à fond

 C’était très agréable, mais pas assez pour m’arracher les bruits qu’il souhaitait.

 – Ca ne marchera pas ça m’excite, mais pas assez pour que je gémisse

 Sans cesser d’activer son sexe, il remonta sa main et attrapa quelque chose derrière lui. Lorsqu’il la ramena entre mes jambes, je sentis le manche de la lampe torche (water proof. Heureusement. Quelle bonne inspiration j’avais eue) repousser ma culotte sur le côté et appuyer à l’entrée de mon sexe.

 – Hum, avec ça je te garantis que tu vas crier

 Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, il me l’avait enfoncée, d’un coup sec, sans difficulté : mon sexe était bien lubrifié par ce qu’il m’avait fait avant Je poussai effectivement un cri bref et commençai à gémir. Je parvins tout de même à murmurer :

 – Mais ça va pas on a dit qu’on faisait semblant

 Il haletait tellement que j’eus du mal à percevoir sa réponse :

 – Justement, on fait semblant, non ? Thomas et Fred croient qu’on baise, que je te défonce la chatte à grands coups de bite (il accéléra le mouvement entre mes jambes), alors que je ne te pénètre pas, je fais juste en sorte que tu joues bien ton rôle. Je suis désolé, ils peuvent visiblement être très lourds et entreprenants, voire essayer de te contraindre à force d’insister Je suis vraiment désolé, vraiment, il faut juste que tu sois une bonne actrice jusqu’au bout, bonne, bo

 Il s’arrêta de parler, son va-et-vient contre moi se transforma en grands coups de bassin désordonnés, tandis qu’il m’enfonça d’un mouvement sec le manche de la lampe, en entier. Je jouis brusquement, en gémissant longuement, tandis que je le sentais éjaculer entre mes cuisses en haletant assez fort « trop bonne, trop bonne, oh putain trop bonne. ».

 Nous restâmes immobiles quelques minutes. J’essayai ensuite de bouger pour me dégager un peu, retirer la lampe de mon sexe, nettoyer mes cuisses (ma culotte noire devait être dans un bel état), mais Rémi s’était endormi aussi sec et me serrait toujours contre lui. Je renonçai, d’autant que je me sentais m’endormir à mon tour.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire