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Alicia et son papa – Chapitre 13

Alicia et son papa - Chapitre 13



J’entrai sans faire de bruit dans la maison après avoir rangé mon vélo. Puis je me déshabillai rapidement et allai m’agenouiller devant mon père. Il avait jeté un il distrait sur moi, mais je savais qu’il avait remarqué les ecchymoses sur mes seins et mon ventre. Mais il n’a rien dit et m’a laissé uvrer en silence ; alors j’ai englouti son énorme bite jusqu’au fond de ma gorge pour la pomper avec conviction. Il n’a pas bougé et a continué à lire son journal sans se préoccuper de moi.

J’ai sucé et léché l’épaisse tige bien raide, aspiré chacune de ses couilles dans ma bouche, cependant de longues minutes avant qu’il éjacule de bonnes rasades de semence sur ma langue tendue. Après avoir dégluti et minutieusement nettoyé la colonne de chair, je me mis en position d’attente, à genoux, et les mains dans le dos pour dégager ma poitrine.

Tes seins ne grossissent pas vite ; tu prends ta gélule tous les jours, au moins ?

Bien sûr, oui Monsieur, m’exclamai-je.

J’ai failli hausser les épaules, je ne crois pas que papa aurait apprécié. Ce nest pas ma faute si je n’ai pas beaucoup de poitrine. Ni si le traitement n’est pas très efficace. Sûr que j’aimerais avoir de gros nénés, mais ce n’est pas comme si j’étais plate ! J’ai de beaux seins, ronds et fermes, pas agressifs. Impertinents, j’entends parfois. Je ne sais pas trop comment un sein peut être impertinent, mais bon…

Monsieur Rodriguez y tient. À propos, il m’a appelé ; tu as encore fait des tiennes, il paraît. Tu m’as doublement déçu, aujourd’hui. Tu travailles mal, tu fais des bêtises…

Mais…

Je t’ai donné la parole ? tonna mon père. Monsieur Rodriguez m’a dit que tu l’avais interrompu, lui aussi. C’est une très mauvaise habitude. Peut-être que je t’ai mal éduquée. Dans ce cas, c’est ma faute. C’est ce que tu penses ?

Papa, non ! Je veux dire, Monsieur, ce n’est pas votre faute. Maman et vous avez été les meilleurs parents dont je pouvais rêver. C’est seulement moi qui suis fautive, j’ai du mal à me retenir quand je suis victime d’une injustice.

Parce que tu es victime d’une injustice ?

Monsieur, vous savez bien que oui. Je ne suis ni fainéante, ni idiote, ni menteuse. Je travaille vite et bien, je fais peu d’erreurs. Pourtant on me traite comme une demeurée et on cherche sans arrêt à m’humilier.

Tu n’es pas une demeurée, ma fille. Tu as seulement trop de fierté pour obéir sans te rebeller. C’est pour cela que tu es si souvent punie.

Même si c’est injuste, Monsieur ?

Oui. Si j’attendais que tu commettes une erreur pour te punir, je ne te battrais pas assez souvent à mon goût. Il en est pareil pour Monsieur Rodriguez, il aime te contraindre et te punir. Si tu es humiliée en plus, c’est la cerise sur le gâteau. Tu comprends ?

Oui, je crois…

Papa me montra la clé et je me tournai pour lui présenter le cadenas placé sur mes reins ; il m’envoya à la salle de bain pour la suite. Cette fois encore, j’eus du mal à ôter les godes, surtout celui dans mon anus qui s’était collé ; je fis ma toilette intime avant de revenir dans le salon. Je compris ce qui m’attendait, car mon père faisait plaquer sa ceinture qu’il tenait par la boucle.

Tes fesses vont morfler, tu as joui plusieurs fois, contre mon ordre. Vingt solides coups de ceinture. C’est dommage, les marques avaient presque disparu.

Mais, c’est pas ma faute, me plaignis-je inutilement, je le savais.

C’est bien ce que je disais, tu es toujours en train de la ramener. Tu oublies de dire Monsieur, tu me fatigues avec tes jérémiades, donc ce sera trente coups. Tu préfères comme ça ou tu continues à ergoter ?

Oui Monsieur, pardon Monsieur.

Que dire d’autre ? J’avais perdu, encore une fois. Je m’appuyai contre la table basse, pliée en avant et cambrée pour offrir mes fesses, pieds écartés pour rester stables. Car pas question de bouger, sinon j’allais avoir un supplément et je n’y tenais pas.

Dix minutes plus tard, je sanglotais de manière incoercible alors que papa me défonçait l’anus avec son gros démonte-pneu. Je m’accrochais tant bien que mal à la table de salon que j’inondais de larmes et de salive tant j’avais mal. En même temps, mon sexe ruisselait de cyprine qui s’écoulait à l’intérieur de mes cuisses, témoins de mon émoi. Je dus me mordre les lèvres, encore une fois, pour m’empêcher de jouir sous les coups de boutoir si puissants que mon corps menaçait de se disloquer.

Et pourtant mes fesses étaient en feu tellement la punition avait été sévère ; mais quand papa m’avait embrochée, la souffrance était passée au second plan, elle n’était plus soudain qu’une facette de mon ressenti de femelle prise par un mâle en rut.

Papa s’immobilisa, planté jusqu’aux couilles, sa verge tressauta et durcit, puis envoya de longues décharges de sperme dans mon ventre, me précipitant dans un orgasme que je ne pus retenir. Je criai et m’effondrai sans force sur la table basse alors que mon père se retirait. Quand je repris mes esprits, encore un peu sonnée, il était debout, majestueux dans sa nudité. Il me considérait avec circonspection, comme s’il se demandait ce qu’il allait pouvoir faire de moi.

Ben oui, j’ai joui ! C’est comme ça. Papa, tu peux dire ce que tu veux, mais je n’ai pas trouvé de recette miracle pour ne pas avoir d’orgasme quand je suis si bien baisée. C’est à croire que j’adore me faire sodomiser avec la plus extrême sauvagerie, après m’être fait violemment fouetter le cul. J’ai du mal à comprendre pourquoi. En attendant, j’ai intérêt à adopter un profil bas, papa a l’air furax.

Ali, tu as encore joui.

Oui Monsieur. Je vous présente mes excuses, je n’ai pas réussi à m’en empêcher.

Pourtant, je ne t’y avais pas autorisée.

Je sais, Monsieur. J’accepterai votre punition, quelle qu’elle soit.

Il est l’heure de manger. Allons nous laver, puis nous préparerons le repas ensemble. Ça me laissera le temps de réfléchir.

Bien Monsieur.

Il était vraiment perturbé, pour retarder ainsi l’échéance. Ou alors il mijotait quelque chose de terrible. Nous mangeâmes en silence, je gardais la tête baissée, assise sur le bord de ma chaise, car mes fesses étaient particulièrement douloureuses. J’espérais qu’il n’aggraverait pas leur état, les boursouflures violacées gravées dans ma chair étant difficiles à supporter. Après le dîner, nous avons rangé la cuisine et tout nettoyé. Puis papa est allé s’asseoir devant les actus de 20 heures et je me suis agenouillée à ses pieds. J’ai commencé à frissonner dix minutes plus tard, au point de me sentir mal.

Papa… Monsieur, j’ai froid, ça ne va pas.

Ali ?

Papa se pencha pour m’examiner, il toucha mon front en fronçant les sourcils et se leva brusquement. Il me souleva dans ses bras comme si je ne pesais rien et me porta dans ma chambre. Je grelottais quand il me ramena la couette jusqu’au cou, je serrais les dents pour les empêcher de claquer. Le thermomètre de contact indiqua 38.7°, aussi papa décida d’appeler un médecin. Je somnolais quand celui-ci s’approcha de moi ; c’était le type au visage rougeaud qui m’avait prescrit le traitement pour faire grossir ma poitrine. Il était vraiment toubib, ce type ?

Tu lui as donné quelque chose ? demanda-t-il à papa.

Un gramme de Doliprane, c’est tout.

D’accord. Température 38.8° maintenant, c’est stabilisé. C’est un simple coup de froid, je pense. Elle ira mieux demain. Sa poitrine n’a pas dû grossir, j’imagine… Non, en effet. Bon, garde-la au chaud, surtout, et appelle-moi si ça ne s’améliore pas, disons demain matin.

Plus tard, papa s’est glissé dans le lit pour me tenir chaud ; je me suis blottie contre lui et me suis endormi la tête sur son épaule pour un sommeil sans rêves. Je me suis éveillée au petit matin, bien avant le réveil, tenaillée par une envie pressante. Je me sentais bien mieux, la fièvre avait dû tomber. Je suis revenue sous la couette, au chaud.

Papa dormait à poings fermés, étalé sur le dos, il occupait bien plus que la moitié du lit. Par inadvertance, en posant la main sur son ventre, je touchai son membre qui me sembla bien raide. Je me tortillai pour m’approcher, saisis la bite et la guidai vers ma bouche. Je la décalottai et pris le gland au chaud, dans ma bouche. Je commençai alors à le téter doucement, il ne tarda pas à prendre de la vigueur, emplissant ma cavité buccale. C’est alors qu’une grosse main se posa sur ma tête.

Ali ? Tu vas mieux ? Dieu merci…

Je sursautai, mais sans mordre ce que j’avais en bouche, bien sûr ! Je libérai le gland pour sortir la tête de sous la couette.

Bonjour et merci, papa. Monsieur.

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