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Ma blonde suce sur les aires d'autoroute – Chapitre 1

Ma blonde suce sur les aires d'autoroute - Chapitre 1



Comme promis elle me rappelle, elle est chez ses parents et ce sont des échanges courtois, sans baise fictive. Elle me rassure sur son intention de me revoir.

Le dimanche matin je suis à la gare bien en avance pour ne pas la faire attendre. Il y a du va et vient, des gens qui partent, qui arrivent, qui attendent, et bizarrement une grande majorité de femmes. Elles sont pour la plupart jeunes, jolies, avec des jeans moulants ou des petites jupes, brunes. Ma queue ne sait plus où donner du gland, et je me demande pourquoi on fantasme sur les blondes, jusquà ce que japerçoive ma Joëlle. Ses longs cheveux flottent au rythme de ses pas, sa mini jupe ne cache rien de ses belles cuisses, de ses longues jambes, et jai la réponse à ma question. Ma queue ne voit plus quelle, et toutes ces jolies brunes bandantes sont oubliées. Je nai plus à être discret, et la mate ouvertement jusquà lavoir face à moi. Je voudrais lembrasser passionnément, mais il y a du monde, des gens quelle risque connaître, et je me contente à lui faire la bise. Elle est assise à mes côtés, sa mini jupe encore plus remontée que le dimanche précédent.

On est en ville, je nose la caresser, mais au niveau du péage je marrête sur le petit parking désert. Les deux bises mont laissé sur la faim, elle aussi, et on se bouffe la poire éperdument, nos langues refont connaissance, tandis que ma main saventure sous sa jupe. Je jette un coup dil autour, massure quil ny a personne, sort de la voiture, déballe mon manche, remonte, et reprend la route :

— Ah ça va mieux, je nen pouvais plus de bander dans mon froc. Regarde dans quel état tu me mets salope. Mais au fait, jy repense, je nai pas réalisé en te caressant, mais tu as la culotte par-dessus tes collants !

— Oui, je me suis dis que vous voudriez peut-être que je lenlève, et cest plus pratique.

— Je ny avais pas pensé, mais cest une excellente idée.

Elle soulève ses fesses, et la retire, non sans quelques difficultés qui mimpatientent. Elle la range dans la boite à gants. Je pose ma main sur son genou et remonte rapidement sur son entre cuisses. La salope. Elle a découpé son collant, et son huître déjà huilée invite mes doigts à la visiter. Elle saffale sur le siège pour mieux se donner, ferme les yeux et nen finit pas de gémir. Sa main cherche ma bite, se referme légèrement dessus, et elle meffleure au ralenti.

On roule ainsi jusquà laire du rendez vous.

Il y a deux voitures. Notre mec est assis au volant de la sienne, et discute avec un autre, debout près de la vitre ouverte. Il a dans les 65 ans, un peu bedonnant, et fume le cigare.

Je me gare, et il remonte dans sa caisse, une grosse Mercédès. Je demande à Joëlle de ne pas bouger, range ma queue, et vais voir notre connaissance :

— Cest quoi ce plan ?

— Mais il ny a aucun plan, je ne le connais pas ce mec. Cest un vieux salaud qui cherche des mecs pour le sucer, il ma même proposé du pognon.

— Et pourquoi il reste ?

— Je lui ai parlé de ta copine. Tu peux te faire du fric si tu veux.

— Cest une bonne idée. Mais tu pourrais payer toi aussi !

— Excuse-moi, je retire ce que jai dit.

— Pas de soucis, elle a trop envie de ta queue pour que je len prive. Mais saches que ce nest pas une pute, elle suce gratuit, pour son plaisir. Par contre tu as raison, je vais le faire payer, si la petite veut bien le pomper.

— Mais je croyais quelle tobéissait !

— Moi aussi, mais ça a changé, et cest mieux ainsi. Bon, je vais lui demander.

— Ah si ça peut la décider, il sest vanté davoir un très gros sexe, et des boules en proportion.

Ma petite chérie, à qui je nai pas parlé dargent, est daccord pour les sucer les deux. Je vais voir le vieux et il me propose cinquante euros. Je ne me souviens plus de ma dernière pute tellement ça remonte loin, nai aucune idée des tarifs, et accepte. Il écrase son cigare et on se dirige tous les quatre vers les toilettes. On a, les trois mecs, le pantalon et slip ou caleçon aux chevilles, à attendre les faveurs de notre belle et bonne turluteuse. Sans hésiter elle saccroupît devant celui quelle a déjà sucé il y a huit jours, et dont elle garde un bon souvenir. Cest vrai quil a beau manche le salaud, gros comme le mien mais un peu plus long. Sa jupe est remontée au maximum, elle a les cuisses écartées, et le vieux fixe sa chatte. Elle sen rend compte, et souvre encore plus.

Il est tout rougeaud, souffle comme un buf :

— Salope tu vas me faire jouir sans me faire bander, donne moi ta bouche pute, vite.

Ce serait dommage de gaspiller la marchandise, et elle change de sucette. Bien quil bande mou, son chibre est effectivement très gros et ses couilles monstrueuses. Elle ouvre grand la bouche et a juste le temps de le gober quelle déglutit de nombreuses fois au rythme des râles jouisseurs quil éructe. Il se retire, et elle avale encore, reprend son souffle.

Lautre bite limplore et elle la satisfait. Tandis quelle suce avec gourmandise je fais signe au vieux, qui se masturbe, de régler la note :

— Attends, je nai même pas eu le temps de bander.

— Cest ton problème si tu es trop vieux pour tamuser avec des petites filles, mais tu as jouis, tu payes.

— Laisses moi rejouir. Elle est trop pute cette chienne.

— Cest sûr que pour pomper des porcs comme toi il faut être chienne, mais ça se paye. Donne moi le fric que tu me dois, et autant si tu veux remettre ça.

— Ah non, cinquante ça suffit. Il me donne un billet sorti dune grosse liasse.

— Pour ce que tu as eu, oui. Mais pour un supplément cest cent de plus maintenant.

— Mais on était daccord pour cinquante.

— Oui mais je ne savais que tu nétais quune ordure. Ca fait deux fois que tu traites me petite amie de pute, et ce nest pas bien. Dailleurs je suis trop gentil avec toi, si tu veux te soulager dans sa bouche ce nest plus cent mais cent cinquante.

— Et pourquoi pas cinq cents tant que tu y es, ou même mille.

— Excuses moi, mais cest vrai quavec la voiture que tu as, les cigares que tu fumes, et ton air fier et vaniteux de vieux connard imbu de sa personne, tu dois toucher le rmi et bouffer aux restos du cur.

— Et alors, ce nest pas ma faute si

— Ferme ta gueule, ou tu payes avant que je naugmente le tarif ou tu te casses.

— Ok, elle me suce encore et tu as ton fric.

— Non, tu payes avant.

— Oui mais qui me.

— Tu parles trop. Tu payes ou tu te casses. Au fait, il y a eu inflation, cest deux cents maintenant.

— Tu es vraiment un pourri.

— Monsieur est connaisseur et me flatte, tu mérites une remise. Pour toi, et exceptionnellement parce que tu es un immonde porc, ce sera cent quatre-vingt dix neuf.

Tout le temps de cette discussion ma petite suce son mec qui est loin de jouir, trop amusé par la scène entre moi et le vieux. Il me lance des regards pour me soutenir et sera avec moi sil faut en venir aux mains. De son côté le vieux na cessé de mater la petite moule de ma chérie, de se branler. Il bande comme un âne, sa queue est plus courte que la mienne, mais beaucoup plus large, un engin impossible. Il me donne les deux cents euros qui pour lui ne sont rien :

— Tu as gagné, mais à ce prix là je me fais sa chatte.

— Ah non, sa chatte cest propriété privée. Il ny a que sa bouche qui est en accès libre, mais dépêche toi avant que ça ne change.

— Je veux bien, mais elle suce lautre.

— Patientes, ton tour va venir. Mais de grâce ferme la, ou je téclate la gueule.

Il se tait enfin, et lautre mec se concentre sur la pipe dont il bénéficie. Il explose et abreuve ma petite salope de ces gerbes de foutre. Elle avale tout et se tourne vers le vieux. Elle tombe en arrêt devant son sceptre. Plus court que le mien, mais hyper large. Son gland, cette fois ci décalotté, a tout dun uf de poule. Elle le prend en bouche, et il lemplit de son volume.

Elle le suce malgré tout, faisant de son mieux, et il succombe à son savoir faire. Il jouit pour la deuxième fois, et semble til encore en abondance.

Pendant ce temps lautre mec me félicite de ma négociation avec ce gros salopard avide de jeunes mecs, se félicite que ce soit gratuit pour lui, et part avec ma promesse de le rappeler.

Le vieux se rhabille, est un peu confus et ose à peine espérer nous revoir. Jaccepte, au même tarif, et il me laisse ses coordonnées.

Ses partenaires sont partis, et on reste seul. Jai la queue en libre service et elle sapprête à se servir. Dommage pour elle, mais après les fellations extrêmes accomplies je lui suppose une huître inondée, et veut my abreuver. Je magenouille, soulève sa jupe, la lape, la boit, lengloutît. Jai à peine fini de la nettoyer quelle me dispense un orgasme démentiel et tout est à recommencer. Je la nettoie à nouveau, et ne maperçois même pas quun nouveau mec est arrivé. Il nous voit, se masturbe face à Joëlle, jouis dans lurinoir, et sen va.

Je me relève et moffre enfin à sa bouche. Elle me savoure de son mieux, et obtient le fruit de son labeur. Je la nourris de ma semence quelle avale avec délectation.

Je me rhabille, et on repend la route.

A suivre

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