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Amoureuse de Papa – Chapitre 2

Amoureuse de Papa - Chapitre 2



Je me levai le lendemain avec une forte appréhension et, c’est encore un peu ivre de ma témérité de la veille que je pris mon petit-déjeuner. Heureusement, j’étais seule. Ma sur était déjà à la fac et mes parents au travail.

Je n’avais pas cours avant plusieurs heures donc je préparai la suite de mon plan. De retour dans ma chambre, je sortis un t-shirt blanc tout simple et une jupe plissée qui m’arrivait aux cuisses. Je les pliai puis les déposai au-dessus d’une pile de vêtements fraîchement lavés et repassés. Et je posai juste à côté mon livre du moment, "Au Bonheur des Dames" de Zola. Tout était prêt.

Le soir venu, avec ma grand-mère maternelle qui dînait à la maison, j’étais pieds et poings liés. Je prenais mon mal en patience. C’était un vendredi soir. Le lendemain, nous serions en week-end et j’allais pouvoir passer du temps avec mon papa, comme à notre habitude. En parlant de papa, rien n’avait changé en apparence. De retour du travail, il m’avait embrassée sur la joue comme à l’accoutumée et son regard – que j’avais pensé fuyant – ne l’était pas du tout. Comme s’il ne s’était rien passé la veille. Pourtant je n’avais pas rêvé ! C’était pour le moins déconcertant. Et si je faisais fausse route ?

Qu’importe, j’étais décidée à en avoir le cur net…

Arriva enfin le samedi matin. Je portais le t-shirt blanc et la jupe plissée bleu nuit sélectionnés la veille. C’était le jour des courses. Comme je vous l’ai expliqué, dans ma famille, hormis les repas et quelques vacances, nous faisions tout séparément. C’était valable pour les courses. Maman faisait exprès de faire les courses seule et de ne jamais acheter ce qui faisait plaisir à mon père ; forçant ce dernier à faire ses propres courses de son côté. Je trouvais ça pitoyable, mais pour une fois, ça servit mes plans.

Ma mère et Sandrine se préparèrent à aller au supermarché. Pour la forme, ma mère me demandait parfois si je souhaitais les accompagner. Je refusais tout le temps. Chaque instant passé avec papa – sans ma mère et son mauvais caractère – était pour moi une bénédiction.

Je préférais rester à la maison, à lire dans ma chambre ou à écouter de la musique dans le bureau de mon père.

Une fois ma mère et ma sur parties, je passais rapidement dans la salle de bains pour enlever ma petite culotte, et mon Zola en mains, je frappais au bureau de mon père. La porte était entrouverte.

— C’est moi…

Un superbe Chesterfield en cuir marron trônait dans la pièce, face au bureau de mon père. Assise sur cet imposant canapé, papa aurait une vue plongeante sur moi. Parfait ! Je m’assois et reprends mon roman là où je m’étais arrêtée. Je jette un coup d’il à mon père. Il travaille sur son ordinateur, sans prêter attention à ce que je fais. Hormis le bruissement des pages que je tourne et le tapotement de ses doigts sur le clavier, la pièce était silencieuse. C’était le bon moment. Recommencer mon manège de la fois précédente, en poussant plus loin cette fois-ci. L’attente était une douce torture. Plus j’attendais et plus j’étais excitée. Je commençais déjà à mouiller. Prenant mon courage à deux mains, je relève lentement mes jambes. Mes deux pieds sont à présent sur le bord du canapé, je suis jambes écartées, très écartées. Dans cette position, ma jupe glisse naturellement sur mes cuisses, offrant une vue royale sur mon intimité. Le visage caché derrière mon livre, je fais mine de lire attentivement.

En réalité, je lis et relis les mêmes paragraphes, les lettres se brouillent devant mes yeux et je n’osais plus tourner la page, de peur de rompre le charme. Je ne sais pas si mon père avait suivi mon manège et s’il m’observait en ce moment même. Alors, comme une invitation, j’avançai mon bassin vers le rebord du canapé. J’accueillais avec réconfort le cuir froid du canapé contre mes fesses. J’étais en feu. J’avais le sexe offert. On ne pouvait faire plus explicite. Je l’allumais pour la deuxième fois en trois jours. J’avais tendu la perche, papa devait maintenant la saisir. C’était trop excitant. Je sentais ma mouille couler à l’intérieur de mes cuisses. J’entends mon père qui se lève.

— Léa…

Mon prénom prononcé comme dans un soupir. Je regardai papa se lever, mais ce n’était pas vers moi qu’il se dirige. Il alla d’abord vers la fenêtre, sûrement pour s’assurer que la voiture de ma mère n’était effectivement plus là. Il se dirigea ensuite vers la porte qu’il ferme à clé de l’intérieur. Mon cur battait la chamade. Crainte, excitation… Pourquoi prenait-il toutes ces précautions s’il ne comptait pas céder à la tentation ? Je serrai mon livre des deux mains, contre ma poitrine, et je n’osai plus bouger ni prononcer un seul mot. Je fermai les yeux. J’étais persuadée que j’allais m’évanouir face au trop-plein d’émotions. C’est à peine si j’osais respirer.

— Léa ma chérie…

J’ouvris les yeux. Mon père vint s’agenouiller contre le canapé. Il était sur la moquette, face à moi. Si proche que son vêtement caressait le bout de mes orteils. Il regarda mon sexe offert. Ça me fit mouiller de plus belle. J’avais conscience de souiller peu à peu son précieux canapé, mais qu’importait. Je sus – je sentis – que tout ça ne le laissait pas indifférent. Il soupira à nouveau et quelque chose changea dans sa respiration. Je posai mon Zola puis l’encourageai d’une voix très douce:

— Vas-y. Fais-le…

Faire quoi ? Je n’en avais aucune idée. C’était flou sur le moment. Mais une chose était sûre, j’avais envie qu’il fasse quelque chose. J’avais rêvé de cet instant un tas de fois et j’étais prête. Quoi quil fasse, j’étais prête. J’étais à lui. Je ne voulais plus attendre.

Ce devait être l’encouragement qu’il attendait en secret, car juste après, il se releva pour forcer l’entrée de ma bouche avec sa langue. Jusqu’ici, je n’avais été embrassée par un garçon qu’une seule fois. Je n’avais pas trouvé ça extraordinaire, c’était baveux, maladroit et pas franchement excitant. Mais le baiser de mon père était un pur bonheur. Il tenait mon visage entre ses deux mains et prenait son temps. Il effleurait ma bouche avec sa langue pour mieux revenir à la charge et fouiller ma bouche. Il gémissait. C’était terriblement sexy. Il mordilla mes lèvres, en dessina les contours avec le bout de sa langue. Toute cette délicatesse m’excita énormément. Je caressai son torse en gémissant de désir moi aussi. J’étais en train d’embrasser mon papa et ça me faisait mouiller sans discontinuer. C’était un échange doux et passionné. J’étais sur un nuage. C’était un véritable feu d’artifice dans ma tête. Mais ce n’était pas suffisant.

— Lèche-moi papa…

J’écartai bien les cuisses. Je sentis mon sexe palpitant, un peu comme si mon cur battait à l’intérieur de mon vagin. J’en voulais encore plus.

— Non Léa, c’est de la folie.

— Et alors ? Tu viens de m’embrasser. J’ai trop envie ! S’il te plaît. Personne n’en saura rien. C’est promis !

Après un pareil baiser et des gémissements aussi appuyés, je sentis qu’il protestait seulement pour la forme. Un verrou avait sauté. L’aspect tabou de l’inceste s’éloigna de plus en plus. Je lui décochai mon plus joli sourire.

Sans répondre, il revint s’agenouiller entre mes jambes. Je retins mon souffle. Il me regarda droit dans les yeux. Qu’est-ce qu’il était beau ! J’étais si contente d’être sa fille, d’être là, avec lui. Je n’aurais échangé ma place pour rien au monde.

— S’il te plaît papa, fais-le…

Fort de ce nouvel encouragement, il plongea sa tête entre mes cuisses. Je sentis sa langue à l’orée de mon sexe. Elle m’arracha un cri de surprise. J’étais encore vierge et c’était la première fois qu’on me faisait un cunnilingus. C’était divin ! Et que ce soit avec mon papa, l’homme que j’aimais le plus au monde… cela ajoutait une dimension toute particulière et indescriptible à ce moment tant de fois fantasmé.

— Hmmmm… Tu es bonne ma chérie. Ta chatte a bon goût.

Je ne sais ce qui m’excitait le plus. Ces mots, sortis de la bouche de mon papa, cet homme d’habitude si raffiné et policé ; ou le fait qu’il aimait le goût de mon sexe. J’étais transportée. Je gémis et remuai en caressant les cheveux de papa. Parfois, j’appuyais doucement sur sa tête pour sentir sa langue plus profondément en moi. J’étais bien. Détendue. Il me régala. C’était trop bon.

Il fouilla mon intimité avec sa langue comme un explorateur à la recherche d’un trésor. Aspirant, suçant, léchant, tétant, embrassant. Ce fut délicieux. Je sentis la jouissance monter, une boule de feu partie de mon ventre qui grimpait lentement vers mon cur, en dévorant tout sur son passage. Mon corps se crispa. Je griffai le cuir du canapé en gémissant de plus belle. Mon père était sur le point de me donner un orgasme. J’avais fermé les yeux un instant, pour mieux ressentir le plaisir de mon premier cunni et en les ouvrant, je découvris mon père toujours affairé entre mes cuisses, mais il se caressait maintenant le sexe d’une main à travers son pantalon. Cela ajouta à mon excitation. J’aurais tant voulu qu’il ouvre sa braguette et me dépucèle sur-le-champ. Mon but ultime était de lui offrir ma virginité puis que l’on devienne des amants réguliers. Cette pensée incestueuse fut le déclencheur de mon orgasme.

— Papa… ça vient… ahhh, ahhh…

— "Oui ma chérie, laisse-toi aller", dit-il avant de replonger sa langue dans mon sexe.

— Ahhh, ahhh… oui, je jouis… aahhhhh… ahhhh… aahhhh…

Je jouis doucement, les yeux mi-clos, le corps pris de légers spasmes, pendant qu’il continuait à me lécher. Grâce à mon père, j’avais eu mon premier "vrai" orgasme. Je me sentis épuisée, mais heureuse, triomphante.

Il continua à me lécher plusieurs minutes après mon orgasme. Ce fut très agréable, ça chatouillait même par moments. Puis il se releva pour m’embrasser à nouveau. Il avait les lèvres fines et douces, sa salive et son haleine légèrement âcres de mes sécrétions.

— Moi aussi j’aime le goût de ma chatte dans ta bouche…

Il éclata de rire:

— Je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter une fille aussi adorable que toi. File t’essuyer et remets une culotte avant que ta mère et Sandrine ne rentrent.

— Mais… et toi papa ?

— Et moi quoi ?

— Bah… j’ai joui… mais pas toi… On recommencera, dis ?

— Oui… aussi souvent que tu le voudras.

— Promis ?

— C’est promis Léa. Maintenant file !

Il m’ouvrit la porte en souriant. Je quittai le bureau de mon père et me dirigeai vers la salle de bains le cur léger. À le voir si heureux, plus aucun doute n’était permis. J’avais pris la bonne décision. Qui mieux que sa fille adorée pour jouir de plaisirs que ma mère lui avait depuis trop longtemps refusés ?

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