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Au bonheur des dames – Chapitre 1

Au bonheur des dames - Chapitre 1



Coucou revoilà votre folle de lycra

Voilà ce qui m’est arrivé voilà 5 ou 6 ans.

J’ai rencontré une grande blonde aux yeux bleus qui habitait en Seine-et-Marne dans une grande maison avec un gros rottweiler, dissuasif mais très affectueux.

Bien qu’un peu forte du style Catherine Jacob cette dame prénommée Muriel me plaisait énormément.

Nous fîmes connaissance grâce à un célèbre site de rencontre.

Elle m’avait avoué avoir un petit côté dominatrice, chose qui m’a beaucoup plu, moi qui suis plutôt soumis avec les femmes.

Ainsi lors de notre première rencontre elle s’était arrêtée dans les bois et j’avais eu le droit à ma première fellation de sa part.

Sa prestation buccale avait été formidable mais j’étais un peu sur mes gardes car j’avais peur que l’on se fasse surprendre.

Dans sa voiture en nous rendant chez elle elle avait retiré sa culotte et me l’a donner à sentir de force.

Je protestait pour la forme mais je reconnais que aimer la culotte d’une femme dont on sent l’odeur du désir, il n’y a pas meilleur comme aphrodisiaque.

Rapidement nous avons constaté que nous avions de nombreux atomes crochus, rapidement je me suis retrouvé chez elle est dans son lit; où nous faisions des folies.

Il ne fallut pas beaucoup de temps, une quinzaine de jours, pour que Madame veuille mettre un peu de piment dans notre relation; piment qui s’est présenté sous forme de menottes, plug, gode, cravache, baillon à boule, ainsi que tous les vêtements bien sexy et moulants…

Évidemment c’était moi qui était le dominé, ce n’était pas pour me déplaire.

Après nos rapports assez chauds voire hards, je me promenais dans la maison tout de lycra vêtu et il m’arrivait souvent d’avoir des tenues assez féminines. Ma partenaire de plus d’un mètre 80 dt assez forte avait constaté que je pouvais rentrer dans tous ses vêtements.

C’est ainsi que rapidement je me retrouvais avec un collier au cou des colliers aux chevilles que l’on pouvait joindre ensemble et je portais les robes ainsi que les jupes de ma partenaire; bref je ne débandais pas une seconde quand nous étions ensemble.

Le truc qui me bloquait un peu c’est que son chien était présent partout: dans la cuisine, dans le séjour, dans la chambre; on aurait dit que ce chien me regardait me faire défoncer de partout…

En attachant un peu mon attention sur ce représentant de la race canine, je le trouvais même un peu collant avec ma copine.

En fait ce chien commençait à m’énerver et surtout me déconcentrer.

Nous faisions ça dans toutes les pièces je me retrouvais bâillonnée la tête sous l’oreiller avec un gode à ceinture bien au fond de mon petit trou.

Une autre fois j’étais assis sur une chaise, elle montait sur la table, s’allongeait et je devais lui nettoyer son petit minou…

D’autres fois je devais arriver à quatre pattes dans la cuisine pour aller lui brouter son minou sous la table.

Par-dessus ça je commençais à vraiment prendre goût à ce qu’elle me fasse enfiler toutes ses tenues des plus féminines.

J’appréhendais désormais les fins de weekend car dès le dimanche soir, je devais à nouveau reprendre une tenue civile.

Je prenais vraiment grand plaisir à me promener en femme chez mon amie.

Désormais son chien, en plus d’aller fourrer son nez entre les jambes de sa maîtresse, le faisait aussi entre mes fesses.

Je protestais mais mon amie rigolait et disait de laisser faire.

Au début je venais le samedi pour repartir le dimanche puis ensuite je venais le vendredi soir pour rester jusqu’au dimanche soir, je prenais goût à ce mode de vie où Madame me dominait, où madame me féminisait, où le chien venait nous reniffler…

Au bout de plusieurs mois j’ai fini par constater que le chien venait nettoyer le minou de Madame après que je sois parti en elle, cela me fit tout drôle mais en même temps cela m’a excité fortement.

Au début je reprochais à mon amie de se laisser faire, maintenant je la regardais se laisser brouter en me caressant.

Manifestement la langue râpeuse du chien était vraiment très efficace au contact du clito de madame.

Un jour elle m’a appelé et m’a demandé de ne pas me faire un seul plaisir solitaire de la semaine avant que l’on se retrouve pour le weekend, elle m’a dit qu’elle avait une surprise pour moi.

Ce weekend là quand je suis arrivé comme d’habitude nous nous sommes embrassés langoureusement et nous sommes passés dans la chambre pour voir la tenue qu’elle m’avait préparé pour le weekend.

Une robe blanche longue moulante à manche longue m’attendait, le fait qu’elle soit en lycra et moulante m’excitait encore plus.

C’est avec empressement que je l’avais enfilée, mon amie savait me faire belle et surtout me faire plaisir.

Depuis un an maintenant que nous étions ensemble elle m’avait interdit de me couper les cheveux et ces derniers commençaient à vraiment être longs. C’est ainsi vêtu qu’elle me fit une belle coiffure, féminine et désirable.

Ça y est elle avait fait de moi une une jolie femme désirable mais surtout un peu salope en chaleur.

Ainsi parée je me retrouvais au centre du séjour, accompagnée de mon amie qui me présenta à son amie; elle m’avoua qu’à leurs heures perdues elles se gougnotaient un peu.

Tout un programme… Cette nouvelle amie se présenta elle se prénommait Sophie et me félicita pour mon côté androgyne très bien exploité en ces lieux.

J’eu le droit à des caresses très précises et en passant elle m’a retirer mon collier en cuir au profit d’un gros collier bien plus large autour du cou, histoire de montrer qui étaient les maîtresses.

Je ne raconte pas comment j’étais excitée, elles se glissaient les doigts dans leur minou pour les essuyer sur mon visage pour que je sente la femme désireuse.

Ces odeurs me rendaient encore plus chaude.

Je savais maintenant que ce weekend j’allais franchir une étape supplémentaire dans ma femellisation et ce n’était pas pour me déplaire…

C’est ainsi que peu de temps après nous nous sommes retrouvés tous les trois assis profondément dans le canapé, moi au milieu de ces deux femmes en chaleur.

Moi aussi j’étais excité car je ne savais pas ce qui allait m’arriver mais j’avais envie de voir la suite et surtout de la vivre.

Muriel et Sophie ont commencé à me caresser d’une façon on ne peut plus précise.

Dans ma douce et belle robe blanche elles m’ont fait mettre à quatre pattes entre elle c’est à tour de rôle que j’ai dû leur manger le minou.

Toutes les deux s’amusaient à me doigter mon petit cul pour mon plus grand plaisir.

Il y a des moments où j’étais à deux doigts d’étouffer tant elles appuyaient sur ma tête pour que ma langue aille le plus loin possible en elle.

Manifestement ma langue répondait à leurs désirs car elles produisaient une quantité indicible de cyprine.

Par moment elles se mettaient toutes les deux pour me doigter, du coup je me retrouvais avec quatre ou cinq doigts dans mon petit trou qui en fait n’était plus un petit trou mais juste un trou en manque et désireux.

Quelle ne fut pas ma fierté quand toutes les deux prirent leurs pieds pratiquement en même temps, j’étais fière car j’en étais à l’origine.

Elles ont poussé des cris de folles mais il n’y avait pas de problème nous étions seuls dans la maison et cette dernière était loin de tout.

Elles se sont embrassées passionnément et j’ai eu ensuite le droit de moi aussi les embrasser.

Mon visage sentait la mouille de mes deux partenaires et je peux vous dire qu’elles se sont délectées en me léchant le visage.

Le pire c’est qu’ensuite c’est le chien qui est venu me lécher le visage, c’est à ce moment que j’ai compris combien sa langue était rapeuse et que du coup elle pouvait être source de plaisir.

Bien évidemment ensuite le chien s’est mis à lécher l’entrejambe de mes deux copines en chaleur, puis à ma grande surprise il s’est mis à me lécher mon anus…

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