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Aurélie – Chapitre 8

Aurélie - Chapitre 8



Voici maintenant deux semaines qu’Anna est parmi nous. Notre entente

est toujours aussi parfaite. Nous sommes le dernier dimanche de son séjour

parmi nous. Pour le déjeuner, ma mère a préparé un repas de gala et mon père

a sorti une bouteille de bon vin.

A la fin du repas, nous sommes un peu gais, mais sans pour cela avoir perdu la

raison. Nous nous installons dans le salon et ma mère nous sert le café. Cela

me rappelle le premier dimanche qu’Anna a passé chez nous. Je passe

donc ma main sous la robe de ma mère et constate que comme souvent elle

n’a pas mis de slip. Elle continue pourtant à servir le café sans faire

attention à nos regards sur ses fesses. Comme nous sommes tous servis, elle se

rassoit. Je dis alors :

— Nous avons tous vu qu’aujourd’hui maman n’a

pas mis de culotte. Je pense que c’est une bonne initiative.

Qu’en penses-tu Anna ?

— Je suis d’accord avec toi, car moi non plus je n’en

ai pas mis. Je me doutais bien qu’aujourd’hui, il

n’en fallait pas.

Elle se lève, et relevant sa jupe, elle nous fait admirer son sexe blond. Elle se

réinstalle sur le canapé et me demande en me donnant un baiser :

— Et toi Aurélie chérie, as-tu une culotte ?

— Tu sais bien que non, aujourd’hui, je n’ai ni slip, ni

soutien-gorge.

— Je ne te crois pas, fais voir.

Je me lève à mon tour et retire complètement ma jupe, n’ayant plus sur

moi que mon chemisier transparent qui ne cache pratiquement rien. Mon père

intervient alors :

— Je vois que tout le monde est rempli de bonnes attentions. Aussi

je propose que nous buvions chacun notre café, et je vais sortir les

verres et nous allons goûter à un vieux Cognac.

Nous avalons donc tranquillement notre café que ma mère réussit toujours

excellemment. Mon père nous sert à tous un petit verre de Cognac et laisse la

bouteille sur la table pour que nous puissions nous resservir si nous le voulons.

La température érotique monte encore de quelques degrés. Anna se tourne

vers moi et déclare :

— Je trouve totalement indécent qu’Aurélie soit la seule à

nous montrer son intimité. Je demande que tout le monde fasse

comme elle.

Immédiatement, elle retire sa jupe et en profite pour faire passer son pull

par dessus la tête. Elle se montre nue devant nous et en prend à

l’évidence un énorme plaisir. Je retire à mon tour mon chemisier et je

viens me blottir contre mon amie pour que nous puissions nous caresser. Nous

nous embrassons à pleine bouche. Et ses mains se promènent sur ma poitrine.

Elle me repousse et dit :

— Christiane, tu n’as pas envie de nous montrer ton joli

corps ? Moi je meurs d’envie de pouvoir te contempler.

Ma mère ne répondant pas, Anna m’attire vers elle, et nous

commençons à la caresser. Anna déboutonne le haut de sa robe qui laisse

apparaître sa poitrine abondante qu’elle attrape immédiatement. Moi,

j’ai relevé le bas de sa robe et je découvre son sexe roux à

l’odeur si caractéristique. Je ne peux résister à l’envie de

l’embrasser et je pose mes lèvres sur son pubis. Je m’enivre de

son parfum. Elle écarte les jambes le plus possible et je vois ses lèvres

finement ourlées qui brillent de la liqueur qui commence à s’échapper.

Nous obligeons ma mère à se lever et nous lui retirons sa robe pour

qu’elle soit comme nous, à poils. Nous la faisons asseoir à nouveau dans

son fauteuil et Anna me demande :

— Aurélie, penses-tu que ce soit normal que seules les femmes

soient à l’aise. Je penses que les hommes doivent eux aussi

être libres de toute entrave.

— Tu as entièrement raison chérie. Tu t’occupes de David, je

m’occupe de mon père.

Pendant qu’Anna se dirige vers mon frère, je m’approche de mon

père dont la bosse du pantalon ne cache pas l’effet que notre petite

scène lui procure. Je me blottis contre lui et je viens plaquer ma poitrine sur

la sienne. Je défais les boutons de sa chemise et caresse sa poitrine. Il

semble apprécier ma caresse et ferme les yeux pour mieux la déguster. Ma

bouche s’attarde sur ses mamelons qui bien que tout petits se dressent

fièrement comme chez les femmes. Je les mordille tour à tour et je les sens

durcir encore. Ma main sur son pantalon me confirme l’effet que je lui

procure. Je défais sa ceinture et fais glisser la fermeture éclair de sa

braguette. Son sexe est énorme et remplit complètement son slip.

Je pense que ma mère a de la chance d’avoir un mari si doué pour

l’amour. Je souhaite avoir la même chance plus tard. Je dégage le

membre paternel de son emballage et je commence à le caresser lentement.

Mon père nous dit alors contre toute attente :

— Nous devrions nous calmer quelques instants. Nous avons encore

toute l’après-midi devant nous. Dégustons chacun ce petit

Cognac, et vous me direz ce que vous en pensez.

Mon père a raison. Nous nous réinstallons confortablement. Comme

d’habitude, ma mère est dans un fauteuil, mon père dans un autre,

tandis qu’avec Anna et mon frère nous partageons le canapé. David est

entre Anna et moi pour pouvoir profiter de nous deux. Nous sommes

maintenant tous les cinq entièrement nus et n’en éprouvons aucune gêne.

Nous savons pertinemment comment va se dérouler dette demi-journée, et mon

père a raison, nous ne devons pas démarrer trop vite, il nous faut tenir la

distance. Mon père nous explique comment boire notre cognac pour en

profiter au mieux :

— Pour bien déguster ce Cognac, je vous conseille de faire comme

Christiane et moi. Vous prenez le verre à dégustation bien dans

votre main pour réchauffer le breuvage. Le cognac doit être

pratiquement à la température du corps. Quand il est bien à

température, vous passez le verre sous le nez pour profiter au

maximum de ses effluves. Puis, vous le buvez par petites gorgées

en le gardant bien en bouche. Ainsi vous pourrez apprécier au

maximum ce breuvage si délicat, son parfum, et son goût.

Je fais comme mon père vient de nous expliquer, et nous sommes tous les cinq

avec notre verre en main. Je le passe de temps en temps sous mon nez, et je

découvre cette douce odeur d’alcool. J’ai l’impression

que ce parfum éveille mes sens. Je vois mon père qui porte son verre à ses

lèvres et avale une petite gorgée de liquide ambré. Il me fait un signe de tête

d’acquiescement, et à mon tour je m’apprête à boire. Je pose le verre

sur mes lèvres et laisse couler une gorgée du précieux liquide dans ma bouche.

J’ai l’impression de boire du feu. Je manque de

m’étrangler, mais je garde le précieux nectar bien en bouche. Le

miracle se produit alors et je sens se développer dans ma gorge une variété

de parfums très délicats. Je bois enfin cette première gorgée.

Anna hésite à commencer son Cognac. Elle n’a certainement jamais

encore bu d’alcool fort. Je me penche donc vers elle par dessus mon

frère et viens l’embrasser. Elle peut goûter sur mes lèvres et sur ma

bouche les effluves du doux breuvage. Elle hésite encore et se décide à boire

la première gorgée de son verre. Je la vois sur le point de suffoquer comme

moi tout à l’heure. Ses yeux se mouillent, mais elle avale ce divin

Cognac.

Nous prenons un certain temps pour déguster chacun bien installé notre

Cognac. Je sens la tête qui me tourne légèrement, mais j’apprécie cette

douce ivresse. Je vois ma mère qui est maintenant devant accroupie devant

mon père et qui a pris son merveilleux sexe dans sa bouche. Elle le suce

calmement, et je sens entre eux toute la connivence pouvant exister dans un

couple de vieux amants. Elle ne pense qu’à son plaisir à lui. Elle veut

qu’il jouisse. Je continus donc mon apprentissage. Je sens une main qui

se pose sur ma cuisse et remonte vers mon minou. Je m’abandonne et ne

cherche pas à savoir à qui appartient cette main, Anna ou David.

J’apprécie cette caresse et cela me suffit. Je suis subjuguée par le

spectacle que m’offrent mes parents.

Mon père s’est maintenant allongé par terre et ma mère est en position

de 69 sur lui. Ma mère a pris à nouveau la verge paternelle entre ses lèvres

tandis que lui a collé ses lèvres sur celles plus intimes de ma mère. Ils sont

seuls au monde. Ils profitent l’un de l’autre sans se soucier de

ce qui se passe autour d’eux. Le spectacle est magnifique. J’ai

écarté les cuisses au maximum et la main qui farfouille dans mon sexe me fait

ruisseler abondamment. Je me penche vers mon frère qui embrasse ma

poitrine. Il me mordille légèrement les pointes et elles durcissent au

maximum. Je tourne la tête vers lui et je vois qu’Anna est en train de

le sucer et c’est elle qui accapare ma vulve. David, lui est plutôt

passif. Il se laisse sucer et se contente de mes seins.

Je trouve que nous ne sommes pas particulièrement bien installés, et je guide

tout le monde vers le tapis pour pouvoir prendre toutes les poses que nous

voudrons. J’en profite pour subtiliser le sexe de mon frère

qu’Anna avait dans la bouche et à mon tour, je lui fais une fellation.

Anna présente son sexe sur la bouche de David et celui-ci ne se fait pas prier

pour en commencer l’inventaire. Je fais aller et venir ma bouche sur le

verge de mon frère qui est plus petite que celle de mon père, mais est bien

vivante et commence à sécréter quelques gouttes de nectar par son petit trou.

Je titille ce méat avec ma langue en pointe. Il apprécie cette caresse et me le

fait savoir par des grognements bien explicites.

Moi, je me sens frustrée, car si j’apprécie d’avoir un sexe bien

dur dans la bouche, je déplore que personne ne s’occupe de ma chatte.

Je le dis et immédiatement Anna qui avait la bouche libre vient la plaquer sur

mes lèvres intimes à notre grand bonheur à toutes les deux. Je mouille

abondamment. Je la sens placer sa langue sur mon anus et tenter de pénétrer

mon petit trou. Cela me donne des idées et à mon tour, je vais chercher

l’anus de David. Il paraît surpris de cette initiative, mais ne

s’oppose pas à ma manoeuvre. Je mouille bien mon index avec de la

salive et crache en plus un petit peu sur son petit trou du cul. Je replace mon

index pendant que je reprends ma caresse buccale.

Je force légèrement à l’entrée arrière de mon frère et

progressivement, je fais entrer mon index dans son anus. Ma bouche a lâché sa

verge qui continue à tressauter pour s’intéresser de plus près à ses

testicules. Ma bouche glisse donc le long de son membre et arrive aux

bourses. Contrairement à celles de mon père qui sont bien lisses, les siennes

sont couvertes de petits poils. Cela m’excite de les embrasser.

J’en prends une dans ma bouche en faisant rouler l’autre entre

mes doigts. Son anus se crispe sur mon index, indiquant tout le plaisir

qu’il prend à ma double caresse. Pour ma part, je jouis dans la bouche

d’Anna qui me pénètre le cul de ses doigts tout en me mangeant la

chatte.

Je reprends le membre de David dans ma bouche et fait glisser mes lèvres de

haut en bas pour bien le faire se dresser. Je profite de son plaisir pour faire

entrer un deuxième doigt dans son anus. Il pousse un petit cri étouffé par la

chatte d’Anna qui ruisselle. Je maintiens ma pression et je sens son

petit trou se détendre et accepter mes deux doigts sans effort. Je commence

de petits mouvements de va-et-vient dans son anus et je le sens se crisper au

même rythme que sa queue que j’ai dans la bouche. Sa verge se gonfla

encore et je sens que bientôt, il va lâcher sa semence. J’accélère mes

mouvements, et quand je le sens prêt à exploser, j’enfonce un troisième

doigt dans son cul, déclenchant son flot de sperme que j’ai du mal à

avaler tellement il est abondant.

Au même moment, je suis secouée par un violent orgasme qui inonde le visage

d’Anna qui doit à son tour jouir abondamment dans la bouche de David.

Je suis secouée pendant encore quelques instants par les derniers spasmes de

ma jouissance et je reste inerte, la sexe de David dans ma bouche et les

doigts dans son anus. Anna garde également ses doigts dans mes entrailles et

j’en prends un plaisir immense. Nous entendons alors une série de râles

et en me tournant, je vois que maintenant, ma mère est assise sur mon père et

le chevauche comme une amazone. Nous pouvons voir le pieux paternel

s’enfoncer dans la chatte de ma mère au plus grand bonheur de tous les

deux. C’est ma mère qui mène la chevauchée. Ils sont au bord de la

jouissance. Ma mère accélère ses mouvements et tout à coup, je vois les

petites boules de mon père se crisper, mon père se cabrer et nous comprenons

qu’il éjacule au plus profond de ma mère.

Ma mère s’écroule sur mon père complètement anéantie par la

jouissance. Nous voyons le sexe de mon père se ramollir et commencer un

mouvement de retrait de la vulve. Aussitôt, Anna s’approche et pose

ses lèvres sur la chatte de ma mère et boit la totalité de la liqueur qui

s’en écoule, mélange de miel de ma mère et du sperme de mon père.

Nous restons ainsi alanguis pendant de longues minutes à reprendre nos

esprits. Nous avons besoin de reprendre notre souffle et pour ma part, je

désire faire le point sur tout ce qui se passe. Je me rends compte que quelle

que soit l’excitation de chacun de nous, personne n’a essayé

d’attenter à ma virginité, et je leur en suis reconnaissante.

Mon père est le premier à sortir de la douce euphorie qui nous absorbe. Il

nous propose alors :

— Nous devrions reprendre un nouveau Cognac. Vous verrez, les

saveurs de l’alcool mêlées à celles que nous avons maintenant

en bouche, cela est merveilleux.

Sans attendre notre réponse, il attrape la bouteille et remplit nos verres un

peu plus que la première fois. Nous chauffons notre alcool tout en discutant.

C’est le moment que je choisis pour poser une question.

— Maman, je peux te poser une question? Il y a une chose que je ne

comprends pas très bien.

— Bien sur ma chérie, si je peux te répondre, ce sera avec plaisir.

— Bien voilà. J’ai remarqué qu’en général les hommes

ont des poils sur les testicules ainsi que sur le bas de la verge, au

ras, du pubis. C’est le cas notamment pour David. Petit

frère fais nous voir….

David s’exécute et nous montre ses testicules recouverts de petits

poils, et je continue

— … or, j’ai également remarqué que les testicules de papa

n’ont pas ces poils et que son pénis est parfaitement lisse.

Sa pilosité s’arrête au pubis.

— Aurélie chérie, je suis contente que tu aies remarqué ce détail

qui pour moi a son importance. Je vais t’expliquer.

Mon père nous montre bien ses petites boules et ma mère écarte ses jambes à

l’extrême. Elle reprend donc :

— Tout d’abord, pour comprendre, regarde bien ma chatte.

Tu vois que les poils forment un triangle parfait. Si tu te regardes

ou que tu regarde Anna, tu peux remarquer que si vos chattes sont

très jolies, leurs pilosités sont moins parfaites que la mienne.

Quand j’ai connu ton père, la mienne était à peu près comme

la tienne. Mais lui a toujours aimé des pilosités impeccables. Pour

lui faire plaisir, j’ai accepté de m’épiler pour avoir

ce merveilleux triangle encore mis en valeur par sa couleur

naturelle. Mais en contre partie, je lui ai demandé de supprimer

tous les poils qui sont sur ses testicules et sur le bas de sa verge.

Ce n’est pas plus compliqué que cela.

— Mais cela doit faire mal de s’épiler à cet endroit.

— Non, l’un comme l’autre nous avons pratiqué

l’épilation électrique qui est pratiquement définitive, et

lorsque nous découvrons chez l’autre un poils qui ne devrait

pas y être, nous prenons la pince à épiler et nous le retirons. Mon

chéri, confirme nous que cela ne fait pas très mal.

— Lorsque ta mère me retire les quelques poils qui repoussent, cela

me fait u peu mal, mais c’est amplement supportable. Et cela

est tellement agréable de faire plaisir à la personne que

l’on aime.

Mes parents s’enlacent à nouveau et échangent un baiser qui

n’en finit pas. Je me tourne vers Anna et je lui demande :

— Anna qu’en penses-tu ?

— Je trouve cela formidable. C’est une magnifique preuve

d’amour, elle est marquée dans le corps de tes parents. Je

sais que pour plaire à leur compagnon, certaine femmes

s’épilent complètement, mais sans réciproque, je ne pense

pas que je le ferai. Par contre si mon compagnon se faisait épiler

complètement, pourquoi pas ? tu as vu l’autre jour, avec

Céline, cela est joli pour une femme.

Nous continuons à discuter tout en buvant notre Cognac. Mon père avait

raison, je trouve que ce deuxième verre a un goût différent. Il est mélangé

avec le sperme de David, et je dois avouer que ce n’est pas

désagréable.

Ma mère se lève et vient vers David pour lui demander :

— Fais moi voir les petits poils que tu as sur tes couilles. Je

n’y ai jamais fait vraiment attention.

Je vois ma mère se pencher vers mon frère et soulever son pénis qui

n’a pas encore repris toute sa vigueur. Elle le fait tourner dans tous

les sens et déclare :

— Ta soeur a raison. Je trouve que les couilles de ton père sont

plus agréables. J’ai pris l’habitude de voir des

testicules bien lisses, et cela me choque un peu. J’estime que

cela est plus propre.

— Mais maman, si tu me le demande vraiment, je me ferai épiler

comme papa.

— Mais non, ce n’est pas la peine, ce n’est pas pour

toi que j’ai redessiné mon pubis, mais pour lui. Alors attends

de trouver une compagne qui en vaille la peine.

Ma mère continue de tenir le pénis de mon frère et je le vois qui reprend

lentement de la vigueur. Elle commence un lent mouvement alternatif, et le

bâton d’amour de David se retrouve rapidement à la verticale. Ma

mère lui dit alors :

— Mais petit cochon, c’est que tu bandes de nouveau, laisse

moi te goûter.

Elle prend le sexe de mon frère dans sa bouche et commence une fellation. Je

m’approche de mon père, mais Anna m’a devancée. Elle a déjà

pris le sexe paternel dans sa bouche et lui redonne toute sa raideur. Je me

sens désoeuvrée et commence à me caresser toute seule. Anna qui a compris

ma frustration se place dans une position qui m’offre sa chatte tout en

me laissant la possibilité de donner la mienne à mon père. Je ne rate pas une

si belle occasion et je me retrouve le nez sur le sexe blond de mon amie. Mon

père s’empare du mien et sa langue s’attarde sur mon clitoris qui

attendait cette caresse. Je sens tout de suite beaucoup plus

d’expérience dans la langue de mon père que dans celle de mon frère.

Nous devons former un joli tableau. Mo père qui connaît bien les goûts des

femmes vient titiller mon anus de sa langue. Je hurle de plaisir, mais ne veux

pas lui laisser l’initiative. Je dis alors à Anna ;

— Ma chérie, ce n’est pas une fellation que tu dois faire à

mon père, je veux qu’il te fasse l’amour devant nous

tous :

Elle hésite et demande par précaution :

— Christiane, tu me permets de faire l’amour avec ton mari ?

— Bien entendu, ce ne sera pas la première fois que je le verrai

faire l’amour avec une autre femme.

La réponse de ma mère a annihilé les dernières réticences d’Anna, et

elle oblige mon père à se mettre sur le dos. Immédiatement, elle

s’empale sur le pieux qu’il lui présente et l’absorbe dans

son entier. La bouche de mon père n’a pas quitté mon sexe et je

m’assois à mon tour sur son visage. Nous pouvons ainsi avec Anna nous

caresser et nous embrasser. C’est merveilleux, Anna presse sa poitrine

contre la mienne tout en se trémoussant sur le pénis de mon père. Celui-ci lui

donne le rythme qu’il désire en passant ses mains sous ses fesses. Sa

langue s’enfonce dans ma chatte et va y dénicher mon abondante

liqueur. Je frotte mon sexe sur son visage et sa langue ne peut pas toujours

être en moi. Il est obligé de lâcher les fesses d’Anna pour immobiliser

mon bassin et pouvoir s’occuper de moi comme il le désire. Il continue à

me fouiller la vulve pendant qu’il présente un doigt à l’entrée de

mon anus. Je me détends au maximum pour lui faciliter l’introduction.

Il sait que j’aime cette pénétration anale, la seule que je permette, et

rapidement il fait pénétrer un deuxième puis un troisième doigt.

Nous sommes tous les trois extrêmement excités. Nous nous donnons

totalement et sans retenue. Les seins de mon amie me font un plaisir fou et je

mouille de plus en plus dans la bouche de mon père. Ma mère qui regarde avec

attention nos ébats tout en continuant de sucer David me dit :

— Aurélie, on peut dire que tu mouille beaucoup. Ton père qui a

l’habitude n’arrive pas à tout boire et celui

dégouline le long de la bouche. Je ne pensais pas que tu pouvais

avoir encore autant de miel.

Cette appréciation m’excite encore plus et je ne me retiens plus. Je

vois Anna qui accélère ses mouvements sur le sexe de mon père et je sens

celui-ci se raidir. Il lance son ventre en l’air, et je vois qu’il

jouit dans mon amie. Il n’en finit pas de se vider et j’en profite

pour le gratifier d’un orgasme qui me fait hurler de plaisir. Anna jouit

également et me serre encore plus fort contre elle. J’entends alors ma

mère qui nous déclare :

— Vous avez été merveilleux. On voit que nous nous entendons bien.

Mais moi j’ai réussi à ne pas faire jouir David. Maintenant

vous allez pouvoir nous regarder, car je veux qu’il me baise.

Elle se met à quatre pattes et demande à mon frère de la prendre en levrette.

Il vient derrière elle, mais je vois qu’il hésite à pousser son pénis dans

la chatte de ma mère. Je m’approche et prenant son sexe dans ma main,

je le présente devant la fente de ma mère et celle-ci donnant un grand coup

en arrière se fait pénétrer jusqu’à la garde. Mon frère ne peut se

retenir et commence immédiatement ses mouvements de va-et-vient en tenant

ma mère par le hanches. Il est tellement excité qu’il ne fait que

quelques mouvements avant de se cambrer et d’éjaculer dans le ventre

qui l’a porté pendant neuf mois.

Nous sommes tous épuisés par cette séance et décidons d’aller prendre

chacun une douche avant de nous retrouver dans le séjour pour le dîner, car

cette petite partie nous a occupés tout l’après-midi.

(A suivre)

Aurélie

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