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Autoroute – Chapitre 1

Autoroute - Chapitre 1



J’ai eu récemment l’occasion de vérifier combien les aires de repos des autoroutes méritent leur réputation de lieu de débauche.

J’étais au milieu d’un assez long trajet dans la voiture d’une amie, quand elle a soudain eu un pressant besoin de dormir, décidant de s’arrêter pour une sieste de vingt minutes. Ne conduisant pas mais tenant à la vie, j’ai approuvé cette idée, et je suis sortie de la voiture pour me dégourdir les jambes et fumer quelques cigarettes en attendant que ma conductrice rouvre l’oeil.

L’endroit était assez calme, assez propre, relativement dénué de détritus jonchant le sol, et seul un autre véhicule s’y trouvait garé, de l’autre côté du bâtiment sanitaire.

D’abord je suis restée éloignée, sans faire trop attention à cette voiture, ne sachant même pas si ses occupants se trouvaient dedans ou pas. Je faisais les cent pas, tirant sur ma clope, esperant que ma copine ne dormirait pas trop longtemps.

Puis un bruit a attiré mon attention, et il semblait venir de cette même voiture, dont les verres teintés empêchaient qu’on puisse bien voir au travers de si loin. Lentement je me suis approchée, et le spectacle qui s’est révélé à moi, même derrière ces vitres sombres, a produit son petit effêt.

Une femme était assise du côté passager, vêtue de rouge, les cuisses écartées. Près d’elle le conducteur avait la queue sortie, et la main de la femme dessus.

Derrière, se trouvait un deuxième homme dont les mains se prommenaient sur la poitrine de la femme. Cette dernière se touchait la chatte tout en branlant son voisin et sa tête roulait de gauche à droite contre son siège. Sa bouche ouverte laissait par moments échapper des gémissements tels que celui qui avait initialement attiré mon attention.

Excitée par cette vision, je suis restée à les regarder, sans bouger de derrière l’arbre qui m’avait procuré une relative cachette, et qui se trouvait peu-être à trois mètres de la voiture.

Mes yeux s’habituaient à la couleur des vitres, qui n’étaient pas si foncées que ça, et je pouvais maintenant remarquer que la femme semblait agée d’une trentaine d’années, ainsi que l’homme près d’elle, et que leur voisin de derrière avait apparemment plusieurs années de moins.

Près de lui, sur la banquette arrière, il y avait un gros sac à dos.

J’en ai conclu qu’il était peut être un auto-stoppeur que le couple avait monté, et j’ai trouvé cette idée digne d’un film porno des années 80.

La femme continuait à se caresser, et à gémir de façon distincte, et soudain elle s’est courbée vers son voisin pour le prendre dans sa bouche.

Forcément je voyais beaucoup moins bien, mais j’avais à présent une assez bonne vue sur le conducteur, la tête rejetée en arrière et la bouche ouverte. De ses mains il guidait sa suceuse, lui imprimant un mouvement lent et régulier.

Etre si proche de cette scène étrange était assez excitant, et juste au moment ou je commençais à me dire que ça me faisait un certain effet, le mec qui était assis derrière a tourné la tête vers moi, plongeant ses yeux dans les miens.

Il avait l’âge que je lui supposais, une vingtaine mal définie, et un air insolent qui n’était pas désagréable.

Sans mot dire je l’ai regardé, portant sans y penser ma main gauche à ma poitrine et la refermant que mon sein gauche. J’ai senti mon têton tout dur et dressé, et machinalement je l’ai caressé, en traçant le contour du bout de l’index.

Le type a ouvert sa portière. J’ai vu le conducteur de la voiture tourner la tête, lui dire quelques mots, et la femme tenter de se relever aussi, mais maintenue par la poigne de fer de son compagnon.

J’ai noté que je ne m’étais pas trompée sur les âges. L ’auto-stoppeur’ portait un jean dont la braguette était ouverte, libérant une queue de taille moyenne mais qui bandait bien dur.

Sans me quitter des yeux, il s’est mis à se caresser, et j’ai senti que je commençais à être très mouillée.

Dans ma position, evidemment, n’importe quelle femme aurait tourné les talons, choquée. Mais j’étais comme hypnotisée. J’imaginais des scénarios, le jeune homme qui lève le pouce le long du bitume, le couple libidineux qui passe, qui s’arrête, puis le mari qui lance des reflexions assez transparentes sur ses intentions, histoire de voir…. Le jeune homme qui mord, et la voiture qui s’arrête finalement dans cette aire de repos pour permettre à ses occuppants de cabotiner en toute quiétude.

Sans trop savoir pourquoi, je me suis approchée, et j’ai vu que le jeune homme se reculait pour me laisser une place sur la banquette arrière. Il n’avait pas lâché sa bite, et devant, la femme en rouge suçait toujours son partenaire.

Je me suis assise, et aussitôt mon voisin a mis la main sous ma jupe, trouvant de suite le chemin de ma chatte, (une fois de plus je ne portais pas de culotte), et commançant à me caresser d’une manière assez impulsive mais pas dénuée d’efficacité.

Devant, les autres ne disaient rien, trop occupés à leurs propres activités. Sentant qu’il valait mieux les y laisser, j’ai pris mon nouveau partenaire par la main et je l’ai entrainé à ma suite.

Nous avons marché un peu, lui la queue toujours à l’air, moi la jupe toute dérangée, et nous nous sommes éloignés de la voiture vers la lisière de la forêt qui s’étendait derrière le petit barraquement sanitaire de cette aire de repos.

Un des arbres m’a particulièrement inspirée, et je m’y suis adossée, les jambes largement fléchies. Immédiatement mon compagnon s’est mis a genoux devant moi et a commencé à me lécher, écartant mes cuisses de ses paumes. Je sentais le petit vent frais caresser mes cuisses et ma chatte ouverte et humide, et j’ai défait les boutons de mon chemisier pour que mes seins en profitent aussi.

Pendant ce temps l’auto-stoppeur me léchait toujours, titillant mon clitoris qu’il avait trouvé sans peine, passant sa langue le long de mes petites lèvres, les pinçant légèrement par moments, les mordillant…

Très excitée par ce traitement je sentais mes genoux plier de plus en plus, et rapidement je suis tombée sur les genoux, embrassant à pleine bouche ses lèvres encore humides de mon excitation. Contre mon bas-ventre je sentais sa bite dure, et je me suis penchée pour le prendre tout entier dans ma bouche. J’ai tout de suite senti qu’il était très très excité, et j’ai d’emblée adopté le rythme plus soutenu qui convient à ce genre de circonstances. Ses couilles étaient bien dures, bien ramassées sur elles-mêmes, et je les massais doucement pendant que je léchais sa queue.

Ses mains caressaient mes joues, mes lèvres, ses doigts glissaient sur ma peau, insistaient sur l’endroit ou sa queue disparaissait dans ma bouche, et je trouvais ça divinement excitant.

Puis je me suis relevée et je me suis plaquée contre lui, écrasant mes seins contre sa poitrine, attrapant sa queue à pleine main pour la branler d’une poigne ferme mais douce.

Pendant ce temps, il caressait ma chatte, enfonçant plusieurs doigts à l’intérieur, m’arrachant des cris ert des halètements de plaisir.

Il a glissé sa main dans sa poche et en a sorti un petit étui argenté, contenant un préservatif qu’il a enfilé d’une main tout en poursuivant ses caresses de l’autre. Puis je me suis retournée, me collant à l’arbre qui se trouvait derrière moi, entourant son tronc de mes deux bras. J’ai collé ma joue contre l’écorce, douce et peu accidentée, et ce contact étrange, allié au vent léger qui caressait à présent mes fesses et mes jambes, a augmenté encore mon excitation.

Mon auto-stoppeur a placé sa queue à l’entrée de ma chatte trempée et brulante, et d’un seul grand coup il s’est enfoncé au plus profond de ma personne, commençant de suite à me pilonner sur un rythme endiablé.

Il gémissait lui aussi, et bientôt nos deux voix étaient mélangées en magma vocal informe et enfièvré. Quelques secondes après il me bourrinait toujours aussi fort, voire de plus en plus fort, et j’avais l’impression d’être en feu. Mon clito était tout gonflé, et je me caressais tout en sentant que j’allais jouir super vite, là contre ce tronc d’arbre, avec cet inconnu en pleine nature.

Au moment de l’orgasme je n’ai pas essayé de me retenir, j’ai crié comme jamais, cambrée au maximum, la queue de mon partenaire bien plantée dans mon ventre. Il a joui peu après, s’abandonnant contre moi d’une façon assez touchante.

Après ça nous sommes retournés vers la voiture de nos deux exhibo du dimanche, qui s’adonnaient à la même pratique bucco-genitale que lorsque nous étions partis, et mon auto-stoppeur a récupéré son sac à dos.

Je l’ai emmené en direction de la voiture de ma copine, qui dormait toujours, et je l’ai invité à y déposer ses affaires.

Quelquesn minutes plus tard, la conductrice réveillée, je faisais les présentations; et nous repartions pour de nouvelles aventures!

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