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Baise avec des bouteilles – Chapitre 1

Baise avec des bouteilles - Chapitre 1



La femme est une sacrée salope et aime baiser souvent, dans un seul but : jouir le plus possible. Elle a trouvé un bar où le patron compatissant permet des rencontres amoureuses. Mis à part quelques jeunes de 15 ou 16 ans, qui viennent là pour se masturber, les autres sont des couples illégitimes ou des personnes isolées. Le bistro comporte des salles très isolées : chacun occupe comme il lentend les lieux.

Chaque fois que Virginie, 35 ans, bien faite, vient ce nest que dans le but de faire des rencontres qui la mène au 7° ciel. Pour elle tirer un coup ne suffit pas, il lui faut jouir beaucoup est souvent : cest pour ça quelle vient tous les jours. Vers 15 heures elle arrive, prends un café avant daller dans sa « loge privée ».

Ainsi ce jour, elle attend une autre fille, une amie de longue date avec laquelle elles ont fait les quatre cent coups. Quand elle se rencontre elle sembrassent dabord sur la bouche, passe rapidement une main sur la chatte de lautre. Elles se laissent aller à une gâterie en se mettant déjà en 69. Pour elle cette première fois est la plus importante, celle qui ouvre la voix aux autre fois. Virginie aime bien la chatte de son amie Eveline, elle sent bon et elle raffole de son goût presque sucré. A 34 ans, elle est très sensuelle, portée vers la débauche depuis son plus jeune âge par un vague cousin. Elles sont encore assez habillées, seuls manquent les strings. Les bas de jupettes sont relevées pour leur permettent de passer facilement les têtes vers leurs cons.

Cette première caresse les mène vers lorgasme recherché. Elles savent quun peu plus tard des amants connus la plupart du temps vont venir. Elle aime, comme aujourdhui quun nommé Paul (Est-ce son vrai prénom) vienne. Il est très vicieux. Il leur fait faire des machins pas possible, quelles acceptent de faire facilement. Le plus fort est quil ne les baise jamais : il est presque impuissant : avoir le rôle de dirigeant lui convient pour se branler même sil ne bande pas beaucoup, en tout cas pas assez pour se payer une chatte ou un cul.

Et Paul vient. Il se fait embrasser sur la bouche. Il annonce la couleur :

— Aujourdhui je vous propose de vous branler avec des bouteilles de bière. Dabord avec le goulot et ensuite avec le cul de la bouteille. Si vous pouvez jaimerais vous voir aussi avec la bouteille dans le cul. Vous êtes assez salopes pour faire ça : vous me ferez bander un peu, suffisamment pour me sucer pour que je jouisse dans un corps de fille.

— Tu es sur de nous voir nous baiser avec une bouteille.

— Je veux que vous baisiez lautre avec la bouteille.

Eveline voudrait protester alors que Virginie est daccord. Les deux filles échangent leur salive juste au moment ou le patron porte les bouteilles de bière, avec trois verres.

Virginie, la plus dévoyée commence à boire une gorgée de bière. Avant la seconde elle déshabille son amante qui se laisse faire. Quand les deux sont nues, Paul commence à être satisfait :

— Vous êtes aussi baisable lune que lautre, jaimerais vous baiser toutes les deux à la fois, une avec ma langue, lautre avec ma queue.

Dans sa bouche cest un compliment rare. Il ouvre son pantalon pour sortir sa queue qui est de marbre, avec quand même un léger mouvement vers le haut : qui sait il bandera peut être.

Elles prolongent leur baiser pour finir par se masturber devant Paul. Elles aiment se donner du plaisir devant les autres. Pour elles cest un passage obligatoire pour montrer leur déviance. Les doigts changent de position : si au début ils étaient sur le clitoris, maintenant celui de Virginie est sur lanus dEveline. Elle caresse le rectum doucement avant de le pénétrer légèrement : lamante se sentant ainsi prise se laisse aller vers un autre orgasme. Après quelle ait joui, Eveline entre deux doigts dans le trou principal de Virginie simplement pour aller la faire jouir par son point sensible.

Elles sarrêtent pour boire la bière. Les bouteilles sont froides, tant pis, cest Virginie qui commence par prendre la première bouteille pour la mettre par le goulot sur lentrée du vagin de sa compagne. Contrairement à ce quelle pensait Eveline apprécie la présence de cette nouvelle chose dans son con. Elle lapprécie tellement quelle oublie de baiser Virginie qui la rappelle à lordre : elle aussi voudrait sentir ce nouveau plaisir dune bouteille très froide dans son vagin tout chaud. Le contraste entre les deux températures fait que lorgasme arrive trop tôt.

— Cétait bon ? demande Paul.

— Tu nes quun salaud de nous faire faire de pareille choses. Jai bien jouis, comme rarement. Putain que cétait bon.

— Alors tournez les bouteilles pour vous les enfiler par lautre coté.

— Cest trop gros.

— Essayez ça entrera tout seul.

Les deux filles obéissent, elles ne voulaient pas trop avec le goulot, elles en ont joui.

Cette fois cest Eveline qui pose la bouteille sur le sexe de son amie. Elle force à peine pour que le début du cul de bouteille entre. Il entre profondément ensuite : Virginie crie son bonheur. Les va-et-vient ont vite raison des sexes : elles jouissent encore. Elles aiment tant cette sensation de plénitude de remplissage de leur vagin quelles refusent de les faire sortir. Elles reprennent une autre portion dorgasme plus fort que le dernier.

— Arrêtez de vous baiser comme ça, enculez vous.

Elles ont peur dentrer ces bouteilles dans les culs qui restent toujours leurs petits trous. Des petits trous qui sont finalement vite ouverts pas les goulots. Elles les enfoncent dans le cul de lautre. Des mains libres, elles font ce quelles font quand elles sont enculées, elles se branlent en plus.

Cette fois Paul bande pour de bon. Il se touche la bite avec plaisir, il se masturbe même un peu pour tenir jusquà lorgasme féminin suivant.

Etonnées de voir sa bite ainsi, et Virginie et Eveline vont vers lui, se mettent à genoux devant. Ensemble elles prennent la base de la bite et les couilles. Leurs langues sont en même temps sur la tige pour se partager le gland bien épais. Elles ne pensaient jamais voir une telle pine à leur disposition.

Leur léchage porte rapidement ses fruits : Paul se crispe un peu en faisant une drôle de grimace : il jouit pour la première fois depuis des années. Son sperme est épais : sil était dans un verre, il ne se renverserait pas. Les deux filles se partage la semence concentrée. Le peu quelles oublient sur leurs lèvres est vite léché par la langue de lautre. Un dernier baiser les réunit encore.

Pour aujourdhui elles ont eu leur dose avec ces bouteilles quelles craignaient au départ, maintenant elles sont convaincues que rentrées chez elle elles pourront remplacer les godes par une simple bouteille, quelle que soit sa taille. Elles le feront ce soir pour en parler demain après midi.

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