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Le jeudi, c'est permis – Chapitre 1

Le jeudi, c'est permis - Chapitre 1



Cette histoire a eu lieu il y a quelques années maintenant, quand jétais au lycée. J’avais 18 ans, et jétais en 1ere, et oui j’ai redoublé deux fois ! L’éloignement du lycée m’avais amené à ma première expérience avec un internat, qui me laissa de très bons souvenirs d’étude, et d’autres encore meilleurs et dont je me souviendrais toute ma vie, qui seront raconté ici.

Nous étions trois dans la chambre. Je ne connaissais personne dans cet internat, mais je nouais vite des liens d’amitié avec mes voisins de chambrée. Je ne faisais pas partie de leur classe, et le jeudi je commençais les cours à 9h au lieu de 8h pour mes collègues, ce qui me permettais de profiter un peu plus longtemps de la chambre. Une petite grasse matinée en somme. Les premières semaines, je sortais quand même en même temps que mes pour le petit déjeuné, et je restais dehors pendant une heure, à lire, rouler mes cigarettes ou flâner en attendant d’entrer en cour.

Après un mois, je décidais de rester dans la chambre pour profiter un peu plus de mon lit et surtout de la solitude que me laissait ce trou dans lemploie du temps. La promiscuité ne permettant que peu de moments d’intimité dans cet internat, je sautais sur l’occasion pour me laisser aller à mes désirs… je me déshabillais sous les draps et profitais de mon érection. Jentendais l’aspirateur de la femme de ménage dans le couloir mais ça ne minquiétais pas plus que ça. Jusqu’au moment où j’entendis des clés dans la serrure. Mon lit étant en face de la porte, je m’allongeai en vitesse en feignant de dormir, le cur battant la chamade, le sexe dressé comme une obélisque.

La femme de ménage entrait pour son travail quotidiens. Elle fut surprise de me trouver ici, et je lui bafouillais que je profitais d’une heure vacante pour me reposer un peu. Je ne sais pas si elle s’est rendu compte de quelque chose, mais très aimable, elle referma la porte en disant quelle repasserais plus tard dans la matinée pour faire la chambre, et s’en alla à la suivante. L’excitation provoquée par la situation eu raison de la gène, et je repris mon travail en éjaculant très très rapidement sous l’effet de ladrénaline. Je me souviens de cet orgasme, puissant, qui me secoua au plus profond. Je restais là, béat, le sperme sur mon torse, et mon sexe se reposant de sont effort aussi brut que soudain…

Moi qui aimais déjà les situations cocasses et risquées (dont j’ai quelques anecdotes à vous raconter par la suite si vous le voulez), je décidais de me lancer dans une petite expérience. La semaine suivante donc, je me mis de nouveau nu sous les draps, et l’idée de mon petit plan d’éxhib que j’étais déjà me faisait bander au plus fort. J’entendais l’aspirateur se rapprocher, et la clé dans la serrure fut le signal pour que je m’allonge sur le dos, avec la bosse qui ne laissais que peu de doutes sur son origine. Japprenais dailleurs plus tard par ma première petite amie que la nature m’avais plutôt bien pourvu de ce coté là… mais je n’en savais rien à l ’époque. Les yeux fermé, j’imaginais ce qui se passais en écoutant tout les sons. La porte s’ouvrit, j’entendis entrer, et un hoquet étouffé de surprise. J’avais réussit mon plan, la femme de ménage m’avais vu, avec ma plus forte érection ! Il y eu un petit silence, où j’aime imaginé qu’elle profita de la vue de ce sexe 20 ans plus jeune…

Je n’étais pas encore assez sure qu’elle ai profité de l’instant, alors je repris le même cirque le jeudi suivant. Nu sous mes draps, tendu comme jamais j’étais à laffût de cet aspirateur, signal que mes fantasmes se rapprochaient peu à peu. La clé, l’aspirateur qui sarrête, la porte s’ouvre, mais pas de son de surprise cette fois ci, je pense que cette coquine femme de ménage savais ce qui lattendais derrière cette porte de la chambre 210. A ma grande surprise, je lentendis entrer, toujours dans mon faux sommeil. Je me demandais ce qui se passais, je l’entendais alors passer le balais délicatement. Elle voulais profiter de la vue ! En faisant le minimum de bruit pour ne pas me réveiller. Légèrement couché sur le coté, j’avais la tête un peu dans loreiller, j’entrouvrais un il pour voir ce qu’elle faisait. Cette fois j’en étais sure ! Elle me matais, les coups de balais plus qu’ hasardeux, et ses regards intempestifs sur la bosse formée par mon sexe ne me laissais plus aucun doute. La situation m’excitais au plus haut point, j’avais terriblement envie de prendre mon sexe en main et de soulager toute cette excitation ! Quand elle eu fini son petit ménage, ou plutôt devrais-je dire son manège, elle referma la porte en douceur, et ralluma l’aspirateur un peu plus loin.

Chaque jeudi ce fut la même histoire, j’attendais l’arrivée de ma petite femme de ménage, qui me faisait de plus en plus fantasmer. Quand je la croisais dans les couloirs, il y avait toujours un sourire ou un bonjour, j’avais un peu peur qu’elle en parle à ses collègues, mais rien dans leurs regards ne les trahissaient. Et puis cétait aussi ce risque qui m’excitait… Je continuais donc, à l’espionner en train de me mater, chaque semaine, et chaque jeudi, je me masturbais, et les orgasmes venaient, toujours avec une intensité que je ne trouvais que pendant ces moments là.

Malheureusement, à la fin du premier trimestre, un changement dans le planning me faisait commencer à 8h le jeudi… La nouvelle me laissa sur les genoux… et je ne pouvais plus que penser à la douceur de ces réveils du jeudi matin.

Parfois je me demande ce qui se serrait passé si j’avais retiré le drap pour laisser apparaître mon sexe gonflé, ou même ouvert les yeux pendant qu’elle me matais… Mais cela reste désormais un fantasme, et parfois, j’aime y repenser le matin, quand je me réveil seul dans mon lit…

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