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Batgirl – Chapitre 1

Batgirl - Chapitre 1



La nuit régnait, maîtresse fidèle de chaque jour, sur la ville de Gotham City. Le vieil entrepôt paraissait vide, inhabité. Mais un oeil avertit remarquait rapidement le camion à l’arrêt, camouflant des ombres mouvantes. Visiblement, on chargeait le véhicule avec des caisses, plutôt lourdes, à en juger par le nombre d’homme pour en porter une seule. Tapie dans l’ombre, une forme sombre observait. Elle sauta, dans un froissement de tissus, dans la direction des ? déménageurs ?…

— Dépêchez vous ! Le boss n’aimerait pas qu’on soit en retard…

— Il sera déçu alors.

La voix qui avait répondu était féminine, suave. Les quatre hommes se retournèrent, pour ne voir que l’ombre. L’un d’eux dégaina un 9mm, reculant de quelques pas. Une main fine et fuselée, gantée de noir, tomba sur son épaule, pour le propulser violemment contre le camion, avec un gros BONK. L’homme s’écroula, dans un bruit sourd. Les trois autres se retournèrent, pour voir leur camarade étendu par terre, aux pieds d’une apparition peu commune : Face à eux, se dressait une femme étrange, dont le costume révélait immanquablement l’identité. Son corps ne pouvait passer devant les yeux, sans que chacun sois excité par ses formes. Sa taille était fine, sa poitrine conséquente, son postérieur très alléchant. Une combinaison de cuir gris sombre collait à sa peau, moulant ses formes, y ajoutant quelque chose d’excitant… Des bottes noires lui montaient jusqu’à ses genoux, et des gants de la même couleur moulaient également ses avants bras. Une ceinture dorée, truffée de gadgets divers et arborant une chauve souris stylisée, enserrait doucement sa taille. Une longue cape tombait dans son dos, jusqu’à ses pieds, fixée à une cagoule de cuir noir étrange. En effet, la cagoule comportait, outre les oreilles en pointes à son sommet, deux ouvertures : la première libérait largement la mâchoire inférieure, ainsi que les joues, laissant apercevoir une bouche pulpeuse, d’un rouge sombre ; la deuxième se situait à l’arrière du crâne, pour laisser libre une longue chevelure auburn. Batgirl sourit.

Les trois hommes restaient bouche bée face à une telle apparition, ne sachant comment réagir. Puis l’un d’eux se décida, à réagir. Dégainant une matraque, il fonça sur elle dans un rugissement bestial. Elle esquiva le coup avec une agilité féline et profita de l’élan de l’homme pour l’assommer lui aussi contre le camion. Les deux derniers demeurèrent plus prudents et, si l’un s’arma d’une matraque, l’autre opta pour un 9mm. Il braqua Batgirl moins d’une seconde, car un projectile en forme de chauve souris fit valser l’arme de sa main. L’autre s’élança, mais ne frappa que le vent. Le coup ne fit que siffler l’air, avant que la femme masquée ne riposte, écrasant l’entrejambes masculin d’un simple de la botte. Dans un grognement, il tomba à genoux. Sa voix suave et provocante résonna dans la nuit.

— C’est tout ce que de grands garçons comme vous sont capable de… ehhh !

La chute l’empêcha de finir sa phrase. L’un des hommes à terre semblait avoir repris ses esprits et l’avait déséquilibré en la saisissant par les jambes. Grognement comme un fauve, elle essaya de se relever, mais son adversaire était sur lui, plus fort et plus imposant. Elle se débattit comme une furie, mais un simple crochet du droit suffit à la plonger dans les ténèbres de l’inconscience…

— Réveilles toi poufiasse.

L’esprit embrumé de Batgirl ne réagit pas tout de suite à l’ordre. Elle émergeait lentement du coma, sentant peu à peu ce qui l’entourait : le sol dur, le vrombissement d’un moteur, le tremblement du transport. Une gifle lui fit ouvrir les yeux, qu’elle posa sur ce qui l’entourait. Ils l’avaient embarqué dans leur camion, à en juger par les caisses empilées, ainsi que par le ballottement régulier de l’espace dans lequel ils se trouvaient. Face à elle, l’un des hommes qu’elle avait affronté lui lançait un sourire carnassier. Batgirl voulut bouger, mais elle sentit alors pleinement les menottes qui lui liaient les poignets dans le dos. Elle voulut reculer, mais tomba dans les bras d’un autre homme, qui répondit à son hoquet de surprise par un petit rire. Les puissantes mains masculines se posèrent alors sur ses seins, encore moulés dans la combinaison. Les doigts épais comprimèrent la chaire veloutée et sensible, au travers du cuir. Elle retint un râle, mais ne put s’empêcher de gémir quand ses tétons furent pressés, déjà durcis par une excitation inavouée. Elle essaya de se débattre, mais les bras puissants qui l’encadraient ne lui laissaient aucune fuite. Au contraire, la tenant par les seins, il l’obligea à se redresser, se tenant à genoux.

Batgirl ferma les yeux, croyant ainsi pouvoir échapper à son sort.

Mais, quand elle les rouvrit, elle se retrouva face à un caleçon, déformé d’une manière plus que significative. Le possesseur de ce jolis paquet sourit, avant de poser une main sur la tête toujours cagoulée de la justicière.

— Tu m’as tapé dans les couilles, connasse, tu vas devoir te faire pardonner…

A ces mots, il libéra un mandrin turgescent, d’une taille impressionnante. Il devait mesurer dans les 20cm de long et était plutôt épais. N’osant pas parler, de peur qu’il profite de la moindre ouverture pour lui enfourner son sexe dans la bouche, elle garda les lèvres résolument fermées. Mais ce fut vain, car une pression plus violente sur ses mamelons de la part de l’autre homme lui arracha un gémissement, ce qui suffit au membre pour entrer, se plantant jusqu’au plus profond de la gorge féminine. La femme masquée eut un haut le coeur, mais s’habitua vite à cette grosse verge, y faisant inconsciemment glisser une langue caressante. Elle sentit alors son agresseur agripper sa tête à deux mains, avant de ressortir son mandrin luisant de bave. Une grande goulée d’air emplit les poumons de Batgirl, pendant ce court instant de répit car il avait de nouveau rengainé dans ce chaud et humide fourreau de chaire. L’homme, la tête de sa proie toujours entre les mains, imprima alors un mouvement de va et vient rapide et brutal.

L’étalon laissait Batgirl reprendre sa respiration de temps en temps, malgré l’absence de signes d’étouffement. Il s’en rendit compte et ne put s’empêcher de faire la remarque :

— Je vois que tu sais comment bouffer des queues, salope !

La jeune, appliquée à ne pas s’étouffer avec la bite du malfrat, sentit tout de même le désir de son autre bourreau, raidit, contre les fesses couvertes de cuir. Il se frottait, doucement, mais perceptiblement, entre ses fesses, caressant de manière plus lascive et plus sensuelle ses seins, par-dessus le costume. Batgirl sentait sa propre intimité s’humidifier, ressentant tout le plaisir vibrant dans le mandrin qu’elle suçait sans retenue. Le membre s’épaissit encore entre ses lèvres, contre sa langue, la prévenant de l’explosion proche de son agresseur. Au même moment, des doigts forts se pressèrent contre sa vulve, lui arrachant un gémissement. La raideur phallique plantée au plus profond de sa gorge s’immobilisa, avant d’envoyer plusieurs giclées chaudes, qu’elle dut avaler totalement. Le sperme épais coulait lentement le long de l’oesophage féminin, dans une sensation pas si désagréable que ça, après tout. L’étalon grogna comme un pourceau, puis libéra sa proie avant de s’affaler sur la paroi du camion, en soupirant.

L’autre homme, plus délicat et attentionné, continuait de caresser le sein et le sexe de la femme, au travers du costume. Il lui fit tourner la tête, pour l’embrasser à pleine bouche, usant de sa langue avec une surprenant dextérité, pour un mec de son style. Celui là avait un look plutôt décontracté, avec un T-shirt blanc et un jean usé. Il possédait également une imposant musculature, plus développée que celle de l’étalon qu’elle venait de soulager. L’homme, stoppant ses caresses, fit asseoir Batgirl sur une des caisses les plus basses, avant de se placer face à elle. Ses longs cheveux, sa légère barbe et sa fine moustache lui donnaient un air de Jésus. Il déboutonna rapidement son pantalon, afin de libérer à son tour un sexe gonflé d’excitation. Le sien était de proportion plus ? normale ? que l’énorme mandrin de l’autre homme, monté comme un étalon, mais de taille tout à fait honorable…

Batgirl, sans attendre que ce ravisseur lui imprime la cadence, fit entrer directement la queue dans sa bouche, la faisant disparaître totalement. Mais l’homme posa une main sur la tête, lui intimant le rythme à suivre. Il ne recherchait pas la brutalité, ni la profondeur que le précédant avait obtenu, mais demandait un rythme plus lent, d’une pression de la main. La femme masquée prit son temps alors, s’appliquant sur cette bite en érection, entourant le gland de sa langue, léchant le sexe dans toute sa longueur, avant de sucer les boules pleines de foutre, pour finalement renfourner la totalité de la verge au plus profond de sa gorge. Elle le pompait comme jamais et, d’après les gémissements répétés de l’homme, elle savait bien y faire…

Quand elle le sentit sur le point d’exploser, elle redoubla d’efforts, mais il tira ses cheveux pour empêcher le flot de sperme de se déverser. Au contraire, il se pencha sur elle, noyant son visage dans la poitrine comprimée de Batgirl. A grand renfort de salive, il lubrifia la zone sur laquelle se dessinait une grande chauve souris stylisée. Puis il y plaça sa bite, l’écrasant entre les seins imposants de la justicière. L’homme baisa alors sans ménagement la poitrine féminine et la jeune femme sentit les couilles claquer contre le cuir de son costume à intervalle régulier. Elle sentait également les frottements de cette queue, raidie à l’extrême, sur ses seins. La caresse prodiguée, sans être sensationnelle, n’était pas sans provoquer plaisir et excitation, arrachant même quelques fins gémissements à Batgirl. Soudain, prise d’une envie irrésistible de le bouffer, elle pencha la tête pour aspirer le gland dur à chaque fois qu’il se présentait. Ce traitement vint rapidement à bout de son ravisseur qui, dans un râle de pur bonheur, vida ses couilles sur le visage masqué de la femme.

L’homme resta un instant immobile, avant de la regarder. Dans un sourire, il se pencha sur elle et commença à nettoyer le foutre qu’il avait lui-même répandu, à l’aide de son T-shirt, qu’il jeta ensuite au sol. Sans un mot, il la fit se relever, puis s’agenouiller devant le tas de tissus blanc, pour y déposer finalement se tête.

Elle se laissait faire, ne disait rien. Aucune rage dans le regard, aucune tristesse sur le visage, Batgirl ne paraissait pas affectée par le traitement qu’elle subissait, à première vue. Mais, pour avoir analysé ses gémissements non feints et son application à la tâche, elle devait y prendre un plaisir certain. Là, elle attendait patiemment, la tête posée sur le sol, la cape tombant sur le côté, le cul en l’air. L’homme ressemblant à Jésus se mit finalement à genoux derrière elle, tirant sur le cuir de son costume. Il essayait apparemment de décoller cette seconde peau du postérieur alléchant, mais la cyprine qui s’était écoulée en dessous la maintenant collé. Il y parvint finalement et, à l’aide d’un couteau, déchira le cuir dans la zone. L’entre cuisse fut alors libéré l’anus, le sexe et la toison entretenue de la femme, même si les fesses n’étaient pas totalement à l’air libre. L’homme ne fit aucune remarque, il avait bien vu l’humidité de la zone. Il se contenta de sourire…

Il agrippa les hanches de Batgirl, plongeant le visage dans son intimité. Elle accueillit sa langue avec un soupir de bonheur. Elle gémissait de plus en plus bruyamment, à mesure que cette langue fouillait les moindres recoins de sa vulve, jouait avec le clitoris, faisant monter en elle le plaisir, en vagues successives et toujours plus intenses. Il joua ainsi plusieurs minutes et la jeune femme se sentait au bord de l’orgasme quand il délaissa le fruit défendu, pour pointer sa langue sur l’anus contracté. Elle fut surprise, mais nullement gênée par ce changement, car il continua à faire monter la pression en introduisant trois doigts dans le vagin. La sensation que le fin anneau élastique irradiait accompagnait celle des doigts dans son sexe, différemment et de moindre intensité, mais tout aussi agréable. Elle n’entendait même pas la force de ses gémissements, alors que tout son corps était parcourut de frissons et de tremblements, tendis que son bassin ondulait sous la jouissance. Elle allait craquer, d’une seconde à l’autre, elle pousserait des cris qui couvriraient les bruits du moteur de leur transport…

Mais rien.

C’est brûlante de frustration que Batgirl tourna la tête, quand son ravisseur cessa ses caresses. Elle voulut protester, mais la puissante main masculine appuya sur son dos, l’obligeant à poser de nouveau la tête sur le T-shirt. La jeune femme sentit alors le gland de l’homme appuyer contre son anus, qui s’écarta avec une facilité déconcertante. Le plaisir ressentit ne lui avait pas permis de prendre conscience du relâchement de l’entrée interdite. D’une unique, mais lente poussée, il fit entrer la totalité de sa verge dans son intestin, se penchant sur elle, les mains posées sur sa taille. Il fit ressortir sa queue presque entièrement, avant de la pousser de nouveau à l’intérieur du ventre féminin. Il entama alors un mouvement de va et vient dans le cul de Batgirl, accélérant un peu le rythme mais sans violence. Là encore, son intestin irradiait d’un plaisir que la femme masquée n’avait encore jamais connu auparavant, différent mais tout aussi efficace qu’une pénétration plus classique. Lui gardait un silence relatif, entre coupés de quelques soupirs et râles, tout en la sodomisant. Elle gémissait bruyamment, fermant les yeux. La transpiration faisait coller son costume à sa peau, elle le ressentait comme si on avait couvert son corps d’une pellicule brûlante…

Soudain, elle sentit qu’on lui tirait les cheveux, l’obligeant à relever la tête. C’était l’autre étalon, qui lui présentait son énorme mandrin, avec un sourire de plaisir anticipé. Incapable de réfléchir, elle enfourna l’énorme bite, mais avait du mal à s’appliquer à la sucer, à cause du feu qui lui dévorait les entrailles. Vibrante de plaisir, elle pompait avec une force incroyable sur la grosse queue face à elle. L’homme se retenait visiblement d’éclater, mais se refusait à se retirer, pour ne pas perdre une miette de jouissance. Mais elle l’abandonna finalement, se redressant en sentant l’orgasme la saisir. C’était comme une violente décharge électrique qui partait de son anus et de son intestin, pour se répandre dans tout son corps. L’étroit conduit se resserra encore autour du sexe de son sodomite, qui ne parvint pas à résister et, dans un râle, vida à nouveau sa semence brûlante dans le cul de Batgirl.

Elle se laissa tomber, vaincue, la respiration lourde, l’anus en feu…

— Et ben, maintenant que mon pote a un peu élargit ton petit trou, peut être que je vais pouvoir te défoncer à mon tour…

L’attrapant par le bras, le mec monté comme un étalon souleva la jeune femme, pour la remettre sur pieds. Elle tituba jusqu’à une caisse, sur laquelle l’homme l’obligea à se pencher. La caisse était juste assez haute pour que Batgirl puisse écarter les jambes et toucher le sol, tout en laissant la partie supérieure de son corps reposer sur le dessus de la caisse. Son ravisseur laissa sa main claquer sur l’une des fesses charnues de la femme, puis se plaça son gland monstrueux sur le trou élastique, avant de le faire entrer délicatement. L’insertion se fit sans difficultés, puisque la semence du précédent sodomite avait rendu l’étroit conduit encore plus glissant qu’avec de la salive. L’étalon se cramponna à la ceinture de sa prisonnière, faisant attention à n’activer aucun des gadgets, puis fit entrer les 20cm de sa queue d’une seule et violente poussée. Batgirl poussa un râle, que l’homme ne parvint pas à reconnaître comme étant de douleur ou de plaisir. Mais, au lieu de s’activer comme un forcené, l’homme gardait son immense pieu de chair immobile, enfouit au plus profond du cul de sa victime, lui laissant le temps de s’habituer. C’était une bonne chose, mais l’immobilité du mandrin dans ses entrailles la rendait folle et Batgirl, bien qu’ayant l’anus écartelé, ne pouvait attendre plus.

— Et bien, Batgirl, ton trou du cul est très étroit… même après le passage de mon pote. Je ne te fais pas trop mal, dis moi ?

— Hmmmm… N… non… Actives toi… Je veux sentir ta queue me défoncer, vite !

— Quelle impatience… Et ben tu vas être servie.

Il ponctua sa phrase en ressortant sa bite avec une lenteur calculée, avant de la renfoncer profondément dans l’intestin féminin, arrachant un gémissement clair à la femme. Il renouvela l’opération, faisant à nouveau résonner la voix sensuelle de Batgirl. Le cape pendait le long de la caisse, sur le côté, laissant à l’homme la vue d’un dos couvert de cuir bleu nuit, un dos féminin et excitant. Il s’activa enfin comme elle le voulait, l’enculant à grand coups de butoirs. A chaque coup de reins, la jeune femme se sentait envahie par le plaisir, submergée par des vagues de plaisir d’intensité toujours croissante. Le pieu de chair était si gros en elle, que Batgirl se sentait remplie entièrement. Il allait et venait en elle, malmenant ce conduit étroit avec des grognements bestiaux. La prisonnière n’en pouvait plus, criant son plaisir à qui voulait l’entendre. Tout contact la rendait folle, la combinaison contre sa peau, les menottes à ses poignets… Elle avait du mal à respirer tant le plaisir était intense et cherchait, tête relevée, de l’air frais, pendant que l’homme continuait à l’enculer toujours plus vite, toujours plus fort, avec son énorme mandrin. Chaque parcelle de son corps semblait renfermer de la vapeur sous pression, qui ne demandait qu’à être libérée, d’une manière où d’une autre. Son anus se contractait de manière incontrôlée et la jeune femme crut un moment que son ? bienfaiteur ? se viderait. Mais il ne semblait même pas s’en rendre compte, pistonnant toujours aussi puissamment le cul serré de la justicière. Elle ne tint pas plus et la même décharge que précédemment lui envahit tout le corps, comme un électrochoc.

Elle laissa tomber sa tête sur la caisse.

Mais l’homme n’avait pas finit.

Insensible à l’état de sa prisonnière, il poursuivait ses coups de reins avec force et détermination, cherchant lui aussi le plaisir ultime, tout en se retenant un maximum. Chaque nouveau coup de bite semblait prendre une parcelle de l’orgasme précédant, à présent endormit, pour le réinjecter dans le corps convulsé de plaisir. Batgirl n’avait plus la force de crier et le traitement que lui faisait subir cet étalon lui procurait tellement de plaisir, qu’elle couinait en permanence. Rapidement, une seconde montée de plaisir annonçait l’imminence d’un nouvel orgasme. La jeune femme n’aurait pas cru ça possible.

Mais, alors que le dernier coup de butoir venait racler les parois intérieures de son cul, pour ne pas ressortir, l’explosion survinrent. C’était plus puissant que tout ce qu’elle avait connu et elle ne pouvait retenir le cri qui s’éleva de sa gorge. Au même moment, l’homme vida son sperme dans les entrailles de Batgirl, râlant de bonheur.

A ce moment précis, le camion freina, propulsant l’homme en avant. Ce dernier se laissa tomber sur sa prisonnière, aussi épuisé qu’elle. L’autre était adossé contre la paroi du camion. Ils attendirent tous comme ça pendant une minute, puis les deux hommes se rhabillèrent. Batgirl reprenait toujours son souffle, à moitié endormie sur sa caisse, les mains toujours liées dans le dos…

— Et ben, pourquoi ils se sont arrêtés ces cons là ? Ils tiennent à nous mettre en retard ?

— Attends je vais voir…

C’était là les premières paroles de celui qui avait été le plus caressant des deux. Il se dirigea vers l’ouverture, puis cogna du poing contre la grande porte, en beuglant :

— Alors ! Qu’est ce qui se passe ?!

La porte s’ouvrit et il n’eut pas le temps d’éviter le fouet qui claqua à sa gorge. Surpris, il s’écroula sur le dos, tenant son cou dans ses mains en gargouillant. Le second ne réagit pas plus, percuté au sternum par une masse sombre qui, souple comme un chat, parvint à retomber sur ses jambes. La femme qui venait de faire son apparition était elle aussi habillée d’une tenue moulante de cuir sombre. Mais elle n’avait pas de cape et son masque arborait deux jolies oreilles de chat. Une queue souple était fixée dans le bas de son dos. Les deux hommes étaient mis hors d’état de nuire, elle s’occupa donc de Batgirl. Elle lui retira les menottes, mais la femme chauve souris laissa pendre ses bras le long de la caisse, poussant un gémissement indisctinct. La femme chat observa l’arrière train ruisselant de sperme, avant de faire la grimace.

— Les salauds… Ils t’ont pas ratée…

— Non… Ils m’ont pas ratée…

— Ca a pas été trop dur pour toi j’espère.

— Tu déconnes ? Ca a été le meilleur coup de ma vie…

Mon seul regret, c’est qu’ils ont déchiré mon costume.

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